Le déguisement Le jour où tout a basculé par Yaou01

Le déguisement
Le jour où tout a basculé
par Yaou

C’était il y a une dizaine d’années. A l’époque j’avais 35 ans, 1,75 m 78 kilos, brun et mon épouse 1,68 m 56 kilos, châtain clair, très belle fille. Moi Christian dit Chris et elle Vanessa dit Vann.

Elle fréquentait un club de Gym et y allait une fois par semaine. J’avais eu l’occasion de faire connaissance de plusieurs membres de ce club en majorité féminin, avec bien sur quelques exceptions.

Un jeudi soir, alors qu’elle était à sa gym je regardais la télé; Soudain, vers 22 heures, quatre furies arrivent dans la maison, toutes bien excitées…

Il y avait Cathy, 28 ans, jolie, 1,58 m, 50 kilos, sa sœur Fred (Frédérique) un peu plus grande, Eva (une copine de 19 ans) et Vann.

Dans le cadre d’une soirée organisée, j’apprends que nous sommes invités à une soirée costumée pour dans un mois et demi environ. Elles s’amusent comme des folles et envisagent des déguisements. On sort ce que l’on a sous la main et on regarde … Alors que Vann assez réservée et prude d’habitude se met en sous-vêtements avec ses amies et fait des essayages. La situation m’excite.

Puis les filles me prennent à partie et me demande en quoi je me déguise … Je dis que je n’en sais rien mais qu’elles continuent car j’apprécie la situation.

Fred dit alors : Tu serais bien en fille …Cela me fait sourire, sans plus … Les autres reprennent en chœur … En fille !!!

Je joue le jeu bien que peu enthousiaste et je leur dis pourquoi pas ?

On me sort tout un tas de vêtement, je me retrouve en slip, et j’ai du mal à cacher mon excitation. Vann est quelque peu perturbée, voir son mari excité, en slip et entouré de jolies filles n’est pas habituel.

Mais les tailles de vêtements ne correspondent pas bien, elles prennent des mesures, et on se fixe rendez-vous pour l’après-midi du Dimanche en huit.

Fred précise que les filles s’occupent entièrement de moi tant vestimentaire que pour le comportement, je dois apprendre à me conduire en fille, à marcher comme une fille, à me féminiser.

La situation bien qu’excitante m’effraie un peu … Fred ajoute qu’elle se déguisera en homme … Ce sera un petit homme par la taille mais il me plait bien … Pourquoi pas ?

De nombreux échanges téléphoniques ont lieu dans la semaine et demi qui passe; Je ne suis pas mis dans la confidence … l’excitation et l’inquiétude gagne.

Arrive ce fameux dimanche … 14 H … Les filles arrivent,

D’abord Cathy et Eva (rien à jeter, très jolie), puis Fred accompagnée d’Audrey qu’elle nous présente comme amie esthéticienne. Elles ont toutes des sacs avec je ne sais quoi dedans et je trouve qu’elles en font un peu trop. Je leur dis, mais elles n’ont pas l’intention d’arrêter.

Elles sortent des sacs une perruque assez courte, tirant sur le roux, des jupes, des chemisiers, des bas, un porte-jarretelles, une guêpière blanche.

Là, je leur dit qu’elles poussent, elles rient et retirent mon tee-shirt. Je précise que je n’ai pas l’habitude de me déshabiller devant des filles que je ne connais pas…Audrey précise que dans son métier elle en a vu d’autres. Vann perd de sa réserve et insistent. En fait, elles s’y mettent toutes les cinq et je me retrouve vite fait en slip avec un début d’érection. Fred dit alors que ce n’est pas une réaction de femme, et que si je ne me contrôle pas elles prendront leur disposition pour que ça n’arrive pas.

J’avoue ne pas contrôler la situation. Presque nu au milieu de cinq filles …

Fred choisit en premier la guêpière … on me la passe, on me la lace, on serre … Je suis vraiment serré. Avec la guêpière il y a l’avantage de pouvoir faire croire à une poitrine. On me fait m’admirer dans un miroir; je me trouve ridicule et je leur dis. Elles rient, même Vann.

Alors que je suis devant le miroir, Eva la plus calme jusqu’à maintenant, saisi rapidement mon slip et le baisse aux chevilles. Là j’ai l’air plus con que jamais et tout en riant et se moquant elles finissent d’enlever ce slip… Je ne sais plus que faire, je suis dépassé par les évènements et je bande.

Les commentaires fusent : Petite bitte (pas vraiment à mon avis), trop poilu (pas beaucoup non plus).

Audrey prend les choses en main si l’on peut dire pour l’épilation.

Elles me couchent sur un lit, m’attachent les bras et les pieds à chaque coin du lit, pour que je ne puisse pas bouger et avoir des mouvements incontrôlables disent-elles.

Elles commencent par la poitrine le haut du torse. Ail, ça fait mal, elle arrache avec une espèce de papier, ça fait mal, elle s’attaque aux jambes, au bras, aux aisselles. Puis elle dit : la queue …Là j’ai peur, je les supplie d’arrêter, rien n’y fait et ça continue. Je bondis à chaque arrachage … On me passe de la crème … Je suis maté je n’ai plus envie de me rebeller, je ne bande plus. On me détache, me positionne sur le ventre, je dis que je me laisserai faire et que l’on ne m’attache pas. Elles sont d’accord et c’est reparti … Audrey dit : Les fesses et la raie, à quatre pattes !

J’obéis, elle me fait écarter les jambes, épile entre les jambes, la raie, demande à ce que l’on me tienne bras et jambes et tourne autour de mon anus. Elle joue, le titille, met de la crème, puis soudain enfonce un doigt, je crie non … mais elle continue, elle me lime, un doigt, deux doigts, je supplie mais ça continue et je bande. Ma femme dit que je n’ai vraiment pas un comportement féminin, qu’il va falloir me dresser. Je ne comprends pas, je n’aurai jamais imaginé qu’elle puisse dire ça.