Mais la réalité fut pire, les amazones de Mijarka possédaient évidemment un écran de contrôle et quand elles virent des hommes en armes sortir du vaisseau, eurent le temps de poster une quinzaine de guerrières aux endroits stratégiques.
C’est ainsi qu’O’Neal à la tête d’une quinzaine de redresseurs de torts avancèrent sur le tarmac, armés jusqu’aux dents prêts à en découdre.
La sono locale se déclenche aussitôt :
– Vous n’avez aucune chance, posez toutes vos armes à terre et levez les bras en l’air ! Vous avez une minute pour obtempérer, sinon on ouvre le feu.
Moment de flottement !
– Rendez-vous ! cria O’Neal qui se rend compte de l’impossibilité de mener à bien l’opération..
Mais non seulement on ne l’écoute pas mais un imbécile se met à tirer sur une cible imaginaire.
La riposte est immédiate. Les amazones font feu. O’Neal et ses compagnons périssent dans un déluge de feu.
Les amazones sollicitèrent ensuite l’ouverture du vaisseau que Karlson sous la menace des canons laser, ne peut empêcher. Les filles montent à bord et gazent tout le monde avant de nous emmener devant la reine.
Le problème c’est que je suis à moitié dans les vapes et qu’on a beau me soutenir d’un côté, je marche en canard, et ce qui devait arriver arriva : je trébuche sur le sol de ce tarmac mal entretenu et perd connaissance.
Lorsque je me suis réveillée, j’étais dans ce qui devait être une infirmerie. Une nana m’informe que j’avais deux côtes de cassées et quelques contusions bénignes au visage.
Je me touchais et me découvrais garnie de pansements et revêtue d’un pyjama infâme.
Une autre arriva, c’était Yolaina la capitaine des gardes, une belle brune assez sculpturale, avec un très joli visage :
– Votre version ? Me dit-elle.
– Ma version de quoi ? Je ne suis qu’une petite employée sur ce vaisseau, je n’ai rien à voir avec ce qui s’est passé !
– Votre capitaine a renié sa parole !
– Encore une fois, je n’y suis pour rien.
– Il est mort !
– Qu’est-ce que vous voulez que je vous dise ?
– Il y avait beaucoup de monde sur ce vaisseau, vous ne trouvez pas ?
– Mais j’en sais rien, moi !
– Vous faisiez quoi sur ce vaisseau ?
– La boniche !
Elle m’a posé ensuite d’autres questions, rien de fondamental… Sauf celle-ci complétement incongrue, vu les circonstances :
– Je vous trouve très belle ! Vous allez avec les femmes ?
– Pardon ?
– Vous n’êtes pas obligée de me répondre !
– C’est quand même très intime ce que vous me demandez là !
– Donc c’est oui, sinon vous m’auriez répondu « non ».
– Quelle importance ?
– Aucune ! Mais nous allons vous garder quelques jours ! Si je peux vous aider à agrémenter votre convalescence, moi ça me plairait bien.
Drôlement gonflée la nana !
En fait la fille avait flashé sur moi, une sorte de coup de foudre, quoi ! Elle ne jouait pas la comédie, ça se voyait à la façon de me regarder.
Aussi quand avec beaucoup de tact elle m’a proposé de m’embrasser et plus si affinités, je ne me suis pas dérobée. Je vais peu avec les femmes, mais je n’ai rien contre non plus.
Donc le bisou n’a pas été chaste, il a même été très baveux. Je m’y attendais, de même ses mains baladeuses par-dessus ma veste de pyjama ne m’ont pas non plus surprise.
– Tu aimes les caresses ? Me demande-t-elle.
J’allais pas lui dire non.
– Enlève-moi ton machin, ce sera plus pratique.
– Moi je veux bien me mettre à poil, mais toi tu vas rester habillée ?
– Mais non, mais non ! Répond-elle.
L’instant d’après on était l’une contre l’autre toutes nues. Elle s’est alors jetée sur mes seins avec frénésie. Au début elle m’a fait un peu peur tellement elle semblait excitée, mais sa façon de m’agacer mes tétons a fini par me procurer de délicieux frissons.
Du coup je me suis senti obligée de lui rendre la politesse, ce qui n’a pas été une corvée.
– Je vais te bouffer la chatte ! Me dit-elle.
– Si tu veux !
Je m’allonge sur le lit, j’écarte les cuisses, et la voilà qui arrive. Dans la position que j’ai adoptée, je ne peux voir ce qu’elle fait, mais je sens bien sa langue me balayer la minouche. Je commence à sentir le plaisir monter en moi, il suffirait qu’elle s’occupe de mon clito afin que je démarre au quart de tour.
Mais il faut croire que ce n’était pas dans ses intentions immédiates, elle me fait relever un peu les jambes afin d’avoir accès à mon trou du cul et se met à me le lécher avec avidité, on ne me l’a pas fait souvent mais j’avoue que ce n’est pas désagréable. Et bientôt un doigt vient remplacer la langue et vient forer mon conduit intime, puis un deuxième doigt, puis un troisième, je ne suis pas sûre, quand on aime, on ne compte pas ! Je gémis, je halète, je transpire, cette nana va me rendre dingue.
Et hop les doigts s’en vont, drôle de sensation quand ils se retirent, on dirait que mon anus peine à se refermer.
Mais voilà qu’elle me met sous le nez un godemichet (d’où le sort-elle ?) Il est très beau, très réaliste, imitant à merveille une vraie bite avec un joli gland décalotté, il y a même la petite veine bleue qui en parcourt la hampe.
– Suce-le !
Ah bon ! Je ne vois pas quel plaisir il peut y avoir à sucer une matière synthétique, mais je suppose que ça participe au fun.
– Je vais t’enculer avec ! M’informe-t-elle.
Est-ce une question ou une intention, mais comme je ne fais aucun commentaire, Yolaina se met à enduire l’objet de gel intime (il sort d’où le gel intime ? Elle doit être magicienne !)
– Mets-toi en levrette, ce sera plus pratique !
On y va, on y va, me voici à quatre pattes sur le plumard, le cul cambré, les cuisses écartées, les orifices offerts, une vraie salope, quoi !
Et hop ça entre. J’entends un bruit bizarre, avant de réaliser que le gode est muni d’un vibreur intégré.
Maman, quelle sensation, Yolaina le fait coulisser dans mon trou du cul. Ça dure plusieurs minutes, je ne sais plus où j’en suis. J’ai des frissons partout, je miaule de plaisir, je transpire.
– Maintenant, retourne-toi, tiens le gode avec ta main pour ne pas qu’il sorte, on va finir en feu d’artifice.
Je fais comme elle a dit.
– Continue à le faire bouger toute seule, maintenant je vais te faire grimper aux rideaux !
Nous voilà presque en soixante-neuf, elle m’offre sa propre chatte que je déguste ainsi pour la première fois. Mais il ne m’est pas facile de me concentrer sur cette action, je continue à me pilonner le cul avec le gode tandis que Yolaina me titille le clito. Je ne peux pas tenir longtemps ainsi et j’éclate de plaisir.
Yolaina ne bouge pas, attend que je reprenne mon souffle puis me demande de m’occuper de son cul !
C’est la première fois que je lèche le cul d’une femme, avec les hommes je l’ai déjà fait, c’est légèrement faisandé mais ça ne me dérange pas. C’est très doux !
– Le gode ! Le gode ! Quémande-t-elle
Il est où le gode ? Je ne le vois pas ! Il s’est échappé de mon cul sans que je m’en aperçoive ! il a dû dégringoler du lit.
Tant pis ! Mets tes doigts !
Et c’est parti, je lui pilonne le cul de mes petits doigts agiles, elle se met à couiner de plaisir, finit par hurler comme une baleine, puis se jette dans mes bras et se met à m’embrasser un peu partout sans me laisser reprendre mon souffle. J’ai le visage plein de salive tellement ça dégouline. Une vraie furie.
– T’es trop mignonne, toi ! Me dit-elle en se calmant un peu !
– T’es gentille !
– Juste gentille ?
– Non, t’es une belle femme !
– Tu sais que j’ai envie de pipi ?
C’est ce qui s’appelle passer du coq à l’âne !
– Ben non je ne sais pas…
– T’aimerais que je te pisse dessus ?
– Ça ne me dérange pas !
– Tu voudrais gouter ?
Je n’ai jamais fait ça, mais j’ai fait le contraire, pisser sur des hommes pendant ma période « pute », quand un jour un bonhomme m’a demandé de lui uriner en pleine bouche, je l’ai fait, puis je me suis demandée quel plaisir il pouvait trouver à ce genre de pratique, alors j’ai voulu savoir et j’ai gouté un tout petit peu à mon propre pipi. Le moins qu’on puisse dire c’est que ce n’est pas mauvais, mais ça n’a rien non plus d’exceptionnel, on va dire qu’il y a une part de transgression, faire quelque chose de peu commun, même si la pratique semble plus courante qu’on veut bien le dire. Tout ça pour dire que je ne me voyais pas refuser, ce qu’elle me demandait, mais j’ai tenu à lui préciser les choses.
– Je veux bien, mais tu sais, c’est un truc que je n’ai jamais fait…
– Ce sera donc une première ! Quel honneur tu me fais !
Tu parles !
– Disons que j’avais envie d’essayer mais que je n’avais jamais eu l’occasion.
– Allonge-toi et ouvre ta jolie bouche, je vais poser ma chatte dessus et te donner à boire.
Un peu d’appréhension quand même ! Quelques gouttes tombent dans ma bouche, c’est salé, c’est tiède, c’est spécial.
– Tu aimes !
– Oui, donne-m’en encore ! Répondis-je, uniquement pour lui faire plaisir.
J’attends, je me rends compte qu’elle n’avait pas une grosse envie, c’était simplement le désir de jouer avec moi à ce petit jeu pervers. Elle se concentre, un petit jet me remplit de nouveau le palais, finalement on y prend gout, je le déguste.
Elle a terminé et vient me rouler une pelle alors que j’ai encore le gout de sa pisse dans la bouche. Quelle belle salope !
– A toi !
Je la sentais arriver, celle-là ! Il a fallu que je me concentre, j’ai cru que ça n’allait pas venir, mais c’est venu, Elle a tout bu et avec le sourire en plus !
On se regarde, on s’embrasse. Toujours avec autant de passion.
– Tu sais que je suis un peu amoureuse de toi ! Me dit-elle à brule-pourpoint.
– Et si je te disais que… non rien !
– Ben si, dis-le
– Ben moi aussi !
On s’est de nouveau embrassées, avec passion !
Ben oui les coups de foudre, ça existe, non ? Et même les coups de foudre mutuels !
Yolaina m’a indiqué qu’elle me présenterait à la reine. J’en avais pas grand-chose à foutre, mais je ne voulais surtout pas la contrarier.
J’ai donc accepté cet entretien. Ce fut assez surréaliste. Yolaina m’avait indiqué que la reine préférait me voir complètement nue, mais que je n’étais pas obligée. J’ai trouvé ça bizarre, mais je me suis pliée à cette volonté. Il fallait l’appeler « Votre grâce » et la saluer d’une simple inclinaison de la tête.
Alors j’ai vu la Reine, ça n’a pas duré longtemps, elle voulait me voir, simplement me voir. Moi j’étais subjuguée, la Reine Russo est une grande rousse, mature mais remarquablement bien conservée. Le visage est agréable, malicieux dirais-je. Mais il faut parler de sa tenue : en haut un gilet de cuir sans manche entrouvert sur sa poitrine nue, elle avait des seins magnifiques, des gros volumes mais qui ne pendait qu’à peine. Elle avait des bottes qui lui remontaient jusqu’aux milieu des cuisses et était parée d’une incroyable collection de colliers et de bracelets. Mais le plus surprenant était en bas, elle avait une jupette de cuir très courte, avec rien dessous et sa majesté était assise sur une chaise percée.
Non il n’y avait personne en dessous. Pas ce jour-là…
– Vous êtes une très belle femme, votre grâce ! Crus-je devoir dire.
– Il faut vous en remettre, ma petite ! Je m’entretiens, mais je suis loin d’être la plus belle femme du monde. Je voulais absolument vous rencontrer, je me demandais quelle pouvait être cette femme dont Yolaina s’était amourachée. Elle a décidément bon goût ! Il n’est pas impossible qu’un jour où l’autre je vous demande de partager ma couche. Y verrez-vous un inconvénient ?
J’en était gênée et esquissais un petit sourire de connivence.
– Je n’ai pas bien entendu votre réponse !
– Je n’y vois aucun inconvénient, votre grâce, ce sera un honneur pour moi !
– Voilà qui est mieux répondu. Si vous choisissez de rester parmi nous, nous vous accueillerons avec grand plaisir.
Le problème c’est que je n’avais pas la moindre envie de m’éterniser, mais je me gardais bien de le dire surtout devant la reine !
On me fit comprendre ensuite que l’entretien était terminé.
– Ce fut bref ! Commentais-je auprès de Yolaina.
– Forcement, elle est débordée, mais c’est une bonne reine !
Yolaina était une incorrigible bavarde, elle m’a raconté un tas de trucs. Ainsi j’ai appris tous les détails concernant le vol du diamant, elle n’était pas dupe de la version édulcorée que lui avait servi Lizda, mais faisait semblant de lui porter crédit. Je m’en étonnais et lui demandais pourquoi ?
– Si un jour, je lui demande un service un peu spécial, elle ne pourra pas refuser de me le rendre !
Elle m’a aussi raconté l’histoire de la planète, une petite communauté de femmes s’était mise en coopérative pour acquérir les droits de la concession ici. La plus riche d’entre-elles s’est auto-désignée reine et elles ont lancé un appel d’offre pour peupler la colonie, ici les hommes ne peuvent accéder à aucun poste de responsabilité, mais ce ne sont pas des esclaves. La reine Russo était l’amante de la dernière reine et celle-ci a abdiqué en sa faveur quand elle se sentit trop fatiguée. C’était il y a une trentaine de nos années…
Fin provisoire du récit de Greta
– Ah ! Intéressant tout ça ! Intéressant et excitant ! Mais que sont devenus Lizda et Gazo ?
– Ah ! Ah ! Bonne question ! Gazo, on lui a fait croire qu’on allait le bouffer !
– Et alors ?
– Alors il est tombé dans les pommes ! Elles ne l’ont pas bouffé, il doit être immangeable ! Je ne savais pas encore ce qu’elles en avaient fait. Quant à Lizda, je ne t’ai pas raconté ?
– Non !
– Alors voilà :
A suivre
Les croustilleries de ces dames sont, ma foi, fott bien narrées
Sont trop mignonnes ces deux là, mignonnes et cochonnes 😉