Chemins libertins
Chapitres 6 et 7 – Découverte particulière
par plaisirs_extremes
– Branle-moi!
Arnaud ne se fit pas prier et il entra profondément son index dans sa chatte baveuse le faisant aller et venir plusieurs fois. Puis, Annick se mettant à genoux, elle ouvrit son pantalon, le lui descendit sur ses chevilles et prit sa queue déjà bandante entre ses lèvres. Ses mains jouaient avec les belles couilles emplies de sèves pendant que sa bouche allait et venait sur le Priape de son amant. Celui-ci poussait des gémissements de plaisir tout en rythmant la cadence avec ses mains qui maintenaient sa tête. Annick se releva prit dans son sac la fausse bite en plastique et, tortillant de la croupe, se rendit jusqu’à l’un des fauteuils du salon où elle courba le haut de son corps sur le bord de celui-ci. Cette position ouvrait totalement son sexe et son anus. Arnaud avait prestement enlevé son pantalon. Annick le voyait s’approcher la bite à la main.
– Viens, plante-la jusqu’au fond de mon sexe.
En disant cela, elle écarta ses fesses avec ses mains, ce qui eu pour effet de présenter à son homme un trou béant où il s’enfonça d’une seule poussée. Elle gémit de plaisir. Il semblait qu’il la défonçait jusqu’à la matrice. Elle prit le gode posé devant elle et l’enfonça dans sa bouche en poussant de petits gémissements de contentement. Elle le léchait de haut en bas, le mouillant de sa salive comme s’il s’agissait d’un vrai sexe. Elle était excitée comme une folle. De sa chatte s’échappaient des filets de cyprine et ses seins avaient durci et lui faisaient presque mal. Elle sentait son anus palpiter et quand Arnaud en contrôla l’élasticité au moyen de son pouce, elle cru jouir tout de suite. Elle se retourna et lui donna le gode. Ses yeux étaient assez expressifs pour qu’Arnaud comprenne ce qu’elle attendait de lui. Il plaça l’extrémité du gland de la fausse bite sur son œillet et poussa légèrement. Annick avait passé ses mains derrière elle et écartait ses fesses afin de faciliter la pénétration. L’engin pénétra d’une seule poussée dans l’anus conciliant, lui arrachant un hoquet de volupté. Pendant ce temps, Arnaud continuait de lui perforer le vagin. C’est Annick qui prit le gode à pleines mains pour s’en défoncer le rectum et, au moment où elle mit le vibro en marche, elle jouit de tout son soûl en criant à Arnaud
– Je jouis, je jouis, oh continue, continue, donne-moi tout ton foutre.
Il s’écroula sur elle en sentant les vibrations courir le long de sa queue.
Il était vingt heures quand je sonnai chez elle.
– Qui est là?
– C’est moi, Arnaud
A ces mots, la porte s’ouvrit sur une magnifique créature. Déborah était nue sous un déshabillé transparent. Ses jambes étaient gainées de bas noirs retenus par un mignon porte-jarretelles. Elle plaqua son corps contre le mien et m’embrassa fougueusement tout en autant ma veste.
– Tu viens pour me faire jouir du cul?
– Il me semble que c’est bien ce que je t’avais expliqué.
– Alors regarde, je me suis préparée.
Elle se retourna et me présentant son cul elle écarta ses fesses de ses deux mains.
Je vis avec ravissement son anus complètement ouvert, luisant de gel lubrifiant. Réunissant quatre doigts de sa main droite, Déborah les introduisit lentement dans son fondement. Puis elle les fit aller et venir en me regardant langoureusement.
– Regarde comme il est bien ouvert pour toi. Ca me fait tellement du bien, tu peux pas t’imaginer.
La petite salope avait effectivement l’air de prendre son pied en s’enculant ainsi.
Elle se retourna vers moi et me prenant la main m’attira jusqu’à sa chambre où je découvris une panoplie complète de godes, du plus petit au franchement monstrueux, alignés sur son lit comme pour la parade.
– Regarde comment je m’ouvre le cul quand je suis seule pour me masturber.
Elle se coucha sur le duvet et prenant un gode de taille normale, elle le passa et le repassa sur les lèvres de sa chatte avant de le faire glisser jusqu’à son anus où il entra d’une seule traite. Puis elle se mit à défoncer son trou du cul tout en se titillant le clitoris.
Debout en face d’elle, je me déshabillai rapidement et une fois nu, je caressai ma queue bandée.
Le plaisir montait peu à peu dans le corps de Déborah. Elle avait déjà changé de gode. Celui-ci me paraissait vraiment gros pour un anus. Mais ça ne semblait pas poser de problème à la jeune fille qui se branlait toujours plus vite. Enfin elle éclata dans un long cri de plaisir.
Elle reprit lentement ses esprits.
– Tu ne peux pas t’imaginer comme j’aime jouir du cul. C’est vraiment un besoin pour moi. Et il me semble que plus c’est gros et plus je jouis fort. Tu vois le dernier de mes godes, il fait sept centimètres de diamètres. Eh bien, c’est avec celui-là que j’ai mes plus fortes jouissances. Très souvent je passe dans les pommes. Mais il faut que je sois très excitée comme je le suis maintenant me dit-elle en m’attirant sur le lit.
Elle prit mes lèvres et m’embrassa doucement.
– Je suis prête à réaliser ton fantasme.
Elle se mit à quatre pattes en creusant les reins ce qui eut pour effet d’écarter ses globes fessiers. Elle me tendit un tube de gel lubrifiant.
– Mets-en assez, il faut que ça glisse tout seul.
J’enlevai le capuchon du tube et introduisant son extrémité dans l’anus ouvert, je lui en envoyai une bonne rasade. Je plongeai tout de suite deux doigts dans son orifice ce qui fit gémir Déborah.
– Viens, mets-moi tes doigts bien profondément, défonce-moi.
Je rajoutai un troisième doigt puis un quatrième, les vrillant dans le rectum de la belle. Je bougeais de plus en plus vite, essayant à chaque fois de m’enfoncer encore plus profondément.
Voyant son trou s’ouvrir encore plus, j’essayai de joindre le pouce aux quatre doigts déjà introduits. Ca devenait un peu plus difficile mais Déborah releva encore sa croupe ce qui ouvrit un peu plus son anus. Elle avait passé une de ces mains entre ses jambes et caressait à pleines mains sa chatte rasée. Je ressortis complètement mes doigts de l’anus distendu. La vue que j’avais de son anatomie était incroyable. On aurait dit un gouffre insondable. Je rajoutai du gel lubrifiant dans l’orifice et sur ma main. Cette fois, réunissant mes cinq doigts, je les fis pénétrer doucement, sans à-coups. Déborah avait écarté ses fesses et poussait pour détendre son muscle. Elle haletait comme un animal blessé. Tout à coup, toute ma main glissa dans l’œillet de la jeune femme. Elle poussa un cri de surprise et de plaisir mêlé. C’était incroyable. J’avais la main entière enfoncée dans son rectum. La sensation était bizarre. C’était doux, chaud, très gluant grâce au gel.
– C’est bon, c’est bon, vas-y commence à aller et venir avec ton poing.
Ce que je fis avec plaisir. On aurait dit un énorme bélier qui entrait et sortait de son trou. J’allais et venais de plus en plus vite, de plus en plus durement, lui arrachant des geignements de jouissance.
– Sors ta main complètement et rentre-la de nouveau.
Je la sortis doucement laissant son anus complètement ouvert puis je la replongeai dans la fournaise. Je fis ce geste plusieurs fois, arrachant à chaque fois un cri à ma tendre enculée. C’est maintenant elle qui rythmait la pénétration en avançant et reculant sa croupe et c’est dans une cavalcade folle, mon poing enfoncé très profondément qu’elle jouit de tout son être.
Ma queue n’en pouvait plus d’attendre. Je me couchai à côté d’elle en lui caressant la poitrine ce qui eut pour effet de la tirer de sa torpeur. Je présentai mon sexe à ses lèvres qui s’ouvrirent comme une fleur. Je poussai jusqu’au fonds de sa gorge mimant le coït. Elle se laissait faire, avalant l’entier de ma verge en poussant des petits gémissements de contentement. Je n’en pouvais plus. Je jouis puissamment, lui lançant des gerbes de sperme au fond de sa bouche. Elle avala le tout en me regardant tendrement dans les yeux.
– Merci, merci pour cette jouissance merveilleuse me dit-elle après avoir sorti ma queue.
Elle se blottit contre moi et s’endormit comme une petite fille.
Bof !