Chemins libertins
Chapitre 12 – Double vaginale
par plaisirs_extremes
Chapitre XII
La soirée chez Célia et Joël s’était terminée à l’aube. Annick n’avait jamais autant joui de sa vie. Dès qu’un orgasme était passé, un autre pointait, encore et encore. Bien sûr, son anus la faisait un peu souffrir. A la fin de la soirée, il n’était plus qu’un gouffre béant où les queues des deux hommes déversaient leur liqueur bienfaisante. Dans la voiture qui les ramenait chez eux, elle avait posé sa tête sur l’épaule d’Arnaud et s’était endormie, un sourire heureux sur les lèvres.
Elle avait dormi jusqu’à une heure de l’après-midi. Elle n’avait même pas senti qu’il la déshabillait et qu’il la mettait au lit. Son réveil fut pénible, elle avait mal partout et pour relaxer son corps meurtri, elle se décida à aller au fitness où elle pourrait se plonger dans un jacuzzi relaxant. Elle passa une petite robe ample, sans rien dessous, ce qui la fit sourire. Décidément, Arnaud l’avait bien éduquée. Le fitness étant à dix minutes de chez eux, et le temps étant au beau fixe, elle se décida à y aller à pied. Elle sentait la brise caresser ses fesses et son sexe meurtri.
Arrivée au fitness, elle rencontra Michel et Alex, les deux tenanciers, plutôt mignons d’ailleurs.
– Eh mais cette notre mignonne petite Annick lui dit Alex.
– Eh oui, et j’ai besoin d’un jacuzzi pour me remettre d’une nuit assez mouvementée.
– Oh oh, à ce point ?
– Hum hum
– Privé ou public le jacuzzi ?
– J’sais pas, c’est mixte ?
– Le public oui, mais avec le monde qu’il y a cet après-midi, tu ne risques pas de voir quelqu’un.
– OK, allons-y pour le jacuzzi mixte.
– Je te le mets en route.
Annick se déshabilla dans le vestiaire et enfila le peignoir mis à sa disposition. Puis, elle se dirigea vers la salle où se trouvait le jacuzzi entouré d’une végétation luxuriante. Une musique douce ajoutait à l’ambiance intime du lieu. Elle enleva son vêtement et se glissa avec délectation dans le bain de bulles. La chaleur aidant, elle se laissa peu à peu gagner par une bienfaisante torpeur.
Elle ne savait pas si elle rêvait. Elle sentait des mains caresser son cou, descendre lentement sur sa gorge, prendre ses seins, les presser comme deux fruits mûrs. C’était très agréable et son cerveau embrumé par le sommeil ne cherchait pas à comprendre ce qui lui arrivait. Elle sortit tout à fait de sa torpeur au moment où elle sentit quelque chose se poser sur ses lèvres. Elle ouvrit les yeux et vit en face d’elle une queue imposante, bandée et dont le gland violet l’hypnotisait. En levant les yeux, elle reconnu le regard noir d’Alex. Derrière elle, Michel avait passé ses bras autour de sa tête et la lui maintenait afin que son collègue puisse pousser son sexe vers sa bouche.
– Eh bien ma vieille se dit-elle, il y a deux possibilités, ou tu résistes ou tu les laisse faire.
Sa décision était déjà prise depuis longtemps. Elle savait qu’un jour ou l’autre ça devait arriver et c’est en fermant les yeux qu’elle ouvrit la bouche, offrant le passage à cette verge démesurée. Elle avait de la peine à la prendre entre ses lèvres tellement elle était grosse. Mais en ouvrant sa bouche au maximum, elle engloutit ce bâton de chair le plus profondément possible. Alex semblait apprécier le traitement. Il pénétrait maintenant l’orifice buccal de la fille avec de grands mouvements de va et vient. Puis se retirant, il aida son compère à sortir Annick de l’eau.
– Eh, regarde cette salope, elle est rasée.
Michel l’enveloppa dans un grand linge éponge et la sécha gentiment. Puis pesant sur ses épaules, il l’obligea à s’agenouiller. Annick avait maintenant deux belles queues pour elle toute seule. Elle les prenait alternativement dans sa bouche s’amusant de la différence de taille existant entre les deux hommes. De temps en temps, tout en branlant l’un, elle passait sa langue sur les couilles de l’autre.
Alex se couchant sur le dos attira la jeune femme à califourchon sur son bas-ventre. Annick, prenant la queue dans sa main la dirigea vers l’entrée de son vagin et la fit glisser lentement jusqu’au fond de son antre humide. Pendant ce temps, Michel, debout au-dessus de son ami présentait sa verge aux lèvres de la fille qui n’eût qu’à ouvrir sa bouche pour la gober entièrement. Les sexes entraient et sortaient de ses orifices en cadence, faisant gémir les deux hommes. De temps en temps, Annick devait relâcher la queue qui lui emplissait la bouche pour laisser échapper un cri de plaisir.
Après un long moment, Michel passa derrière la jeune femme. Celle-ci se remémorant l’état de son anus fut prise de panique.
– Non, pas mon cul, il est complètement démoli.
– Qu’est-ce qui te fait penser que je vais te prendre par le cul ? T’as jamais eu deux bites dans ton vagin de salope ?
Non, elle n’avait jamais fait ça et elle se demandait si ces deux pieux de chair n’allaient pas la déchirer. Néanmoins, elle se laissa faire et s’écarta du plus qu’elle pouvait. Michel, se baissant plaça sa verge contre celle de son partenaire et poussa afin de la faire entrer dans le trou distendu. Annick n’avait pas mal. Il lui semblait simplement qu’elle était totalement écartelée. Au moment ou les deux hommes se mirent en mouvement, elle sentit une chaleur intense monter au creux de ses reins. Sa chatte se liquéfiait, lubrifiant un peu plus les deux sexes plantés en elle. Le plaisir semblait partir de l’entrée de son vagin, comme un point de lumière qui n’en finissait pas de grandir. De sentir ces deux mâles en sueur labourer son corps sans défense la faisait se sentir esclave de ses sens. Elle aurait donné n’importe quoi pour que ce moment ne s’arrête jamais.
– Ne jouissez pas en moi, je veux vous boire tous les deux.
Elle était maintenant arrivée à un point où les orgasmes se succédaient les uns après les autres la transportant dans des jouissances insensées.
Tout à coup elle sentit les deux verges sortir d’elle, laissant son vagin béant. Elle se redressa et s’agenouillant attira les deux hommes vers elle.
– Venez, donnez-moi tout votre foutre, je veux vous sentir au fond de ma gorge.
Alex et Michel se branlaient au-dessus de son visage. Alex le premier introduisit sa queue dans la bouche de la jeune femme et éjacula à gros bouillon lui laissant à peine le temps de tout avaler. Elle garda un moment ce sexe entre ses lèvres, passant et repassant sa langue sur le gland. Puis elle avala la queue de Michel la faisant aller et venir jusqu’au fond de son gosier. L’homme ne put résister longtemps à ce traitement et il jouit lui aussi, inondant son palais de sa liqueur. Elle déglutit avec délectation, appréciant la saveur de cette semence.
– Merci mademoiselle, c’était super bon lui dit Michel.
– Mais de rien, tout le plaisir était pour moi et je reviendrai plus souvent pour me détendre leur répondit-elle avec un petit clin d’œil malicieux.