Chanette 30 – La disparition de Carole – 6 – Karine avec Jackie… et sa fille par Chanette

Chanette 30 – La disparition de Carole – 6 – Karine avec Jackie… et sa fille par Chanette

Karine

Karine Levillain s’est habillée très classe, tailleur gris perle et chemisier blanc, elle à la main un grand sac qui ne contient pas grand-chose mais qui fait style. Elle sonne au domicile de Jackie Montgeron, celle-ci ouvre et jauge sa visiteuse.

– Vous n’avez pas lu le panneau ?
– Pardon ?
– Interdit aux démarcheurs, colporteurs et autres emmerdeuses.
– Je ne suis rien de tout ça, je suis détective privée. Répond Karine en exhibant sa carte professionnelle.
– Et alors ?
– Je voulais juste vous poser quelques questions…
– Je ne réponds à aucune question…
– Même lorsque la vie de quelqu’un est en danger ?
– C’est qui le quelqu’un ?
– Cette personne. Répond Karine en lui mettant sous le nez une photo stockée sur son smartphone.
– Connais pas !
– Vous ne connaissez pas mais vous l’avez peut-être aperçu.
– Je ne vois rien, je n’entends rien, je suis une tombe.
– Ok. Vous participiez à Lacanau à une partie fine…
– Oh ! Un, qu’est-ce que ça peut vous foutre et deux qui vous a raconté ça ?
– Si vous me laissiez entrer je pourrais vous répondre.

Alors là, Jackie est tiraillée, d’une part elle claquerait volontiers la porte au nez de cette pétasse, mais la curiosité est la plus forte, elle a envie de savoir et laisse entrer Karine.

– En fait, commence cette dernière, une femme a disparu pendant cette partouse, nous avons pu récupérer les identités de quelques participants…
– Comment ça ?
– Secret professionnel.
– J’aimerais quand même bien savoir comment ?
– Si vous répondez à mes questions je vous le dirais.
– D’accord, entrez cinq minutes… mais juste cinq minute, hein ?

Eh oui, la curiosité féminine…

Karine dévisage son hôtesse., Elle est en tenue très décontractée, jeans et pullover saumon très trop ample.

– Donc ce qui m’intéresse c’est de savoir si au cours de cette partie vous avez remarqué quelque chose de particulier, je veux dire quelque chose de pas ordinaire….
– Non, les gens étaient juste là pour tirer un coup.
– Et cette femme, ça vous dit quelque chose ?
– Oui, je l’ai remarqué.
– Vous l’avez vu longtemps ?
– Disons que je me suis très vite trouvée assez occupée.
– Donc vous l’avez perdu de vue ?
– On va dire ça comme ça.
– Comment vous est venue l’idée de vous rendre à cette partie ?
– Qu’est-ce que ça peut bien vous foutre ?
– Je demandais ça comme ça…
– Attendez, vous cherchez une nana qui a disparu et vous espérez la retrouver en me demandant pourquoi j’ai participé à ce truc ! J’avoue ne pas bien comprendre.
– C’était juste pour contextualiser.
– Et mon cul, il est contextuel ? On va s’arrêter là.

Karine est un moment décontenancée par ce brusque changement d’attitude. Elle se lève :

– Je vous laisse, mais vous ne saurez jamais comment nous vous avons identifié.
– Je m’en fous… euh non je ne m’en fous pas, rasseyez-vous une seconde… c’était quoi la question ? Comment j’ai su pour la partie ? Ah vous allez être surprise.
– J’adore les surprises.
– Eh bien c’est tout simple ! Figurez-vous que je connais très bien l’organisateur.
– Ah ?
– Ben quoi ? Et vous croyez que ça va vous aider ?
– Allez savoir ? Et ce monsieur Sauvignon il organise comme ça des petites séances dans toute la France ?
– Ah, vous connaissez son nom ?
– Eh oui !
– Je ne sais pas trop ce que vous cherchez en interrogeant tout le monde comme vous le faites, mais vous allez droit dans le mur.
– Et pourquoi donc ?
– Vous imaginez quoi ? Que Bertrand organise des soirées pour se livrer à la traite des blanches ?
– Bertrand ?
– Oui Bertrand Sauvignon.
– Ce n’est pas comme ça qu’il faut raisonner, on réunit le maximum d’informations, ensuite on essaie de trier.
– Pff, Sauvignon est un doux rêveur, il en est resté à « peace and love », au départ il voulait créer une espèce d’organisation pour défendre ses idées. Mais ça ne marche pas. Les libertins n’ont pas besoin d’organisation, le libertinage est un choix individuel, pas collectif, mais vous ne pouvez pas comprendre ça, vous n’êtes pas libertine.
– Qu’est-ce que vous en savez ?
– Vous l’êtes ?
– A mes heures.
– Les hommes, les femmes ?
– Les deux.
– Les jeunes, les vieilles ?
– Qu’importe l’âge !
– Eventuellement je vous brancherais ?
– Ma foi pourquoi pas ! Vous êtes une belle femme. Répondit fort imprudemment Karine.
– Alors faisons-le !

Oups !

– Vous êtes directe, vous !
– La vie est courte, inutile de perdre son temps.
– Evidemment, c’est un point de vue, mais bon…
– Vous n’êtes pas motivée ?
– Disons que je suis un peu prise par le temps…
– OK mais avant de partir vous me devez une explication.
– Ma cliente est tombée sur votre carte d’identité…
– De quoi ?

Jackie se précipite sur son sac à main, en extrait son portefeuille et vérifie si sa carte d’identité est bien à sa place.

– Et en quelles circonstances votre cliente serait comme vous dites tombée sur ma carte d’identité ?
– En vous rendant visite dans votre logement de vacances
– La salope !
– Pardon ?
– Je ne vois pas bien comment ma carte d’identité aurait pu sortir de mon portefeuille ni comment le portefeuille aurait pu sortir de mon sac. Donc cette salope, je maintiens mes mots, a fouillé dans mon sac pendant que j’allais pisser.
– Écoutez, je vous ai donné la version de ma cliente, il ne m’appartient pas de la contester.
– N’empêche que c’est une salope ! Bon vous n’y êtes pour rien, je vais me faire un café, vous en voulez un ?

Et sans attendre de réponse, Jackie fila en cuisine pour revenir quelques minutes plus tard avec deux tasses bouillantes.

Les deux femmes sont face à face, Jackie trouve le moyen de caresser la main de Karine.

– Vous avez les mains douces !
– N’est-ce pas ? Et vous, vous avez de la suite dans les idées !
– En effet. Laissez-vous donc tenter.

« Elle ne va pas me les lâcher, mémère ! Mais je vais la dégoûter pour de bon…  »

– Ecoutez, je veux bien mais je me fais payer.
– Ce n’est pas un problème. Tu veux combien ?

Le lecteur ne sera pas sans remarquer ce passage au tutoiement fort circonstancié.

Et voilà notre Karine prise à son propre piège.

– 100 balles !
– Tu mérites mieux que ça, je t’en donne 200. Ça t’arrive souvent de faire la pute ?
– C’est très occasionnel.
– Je te demande ça mais peu importe, pose donc ton blouson et le reste sur le dossier de la chaise…

C’est ce que fit Karine avant de se poster devant Jackie…

« Ne pas me laisser dominer, c’est moi qui dois mener la barque ! »

Jackie lui déboutonne son chemisier, le fait glisser laissant apparaître un joli soutien-gorge en dentelle bleu-gris.

– Ça m’a l’air bien rempli tout ça !
– Je ne me plains pas !

Les mains de Jackie passent dans le dos de Karine, cherchent l’agrafe, la fait sauter, puis fait glisser le soutif.

– Quelles merveilles ! S’exclame la bourgeoise.
– N’exagérons rien.

Les mains se font caressantes, sa bouche s’approche, un petit coup de langue furtif sur le téton… Se sentant encouragée Jackie se met alors à téter carrément les jolis fruits offerts.

– Si vous enleviez tout ça ? Suggère Karine en désignant le pullover de sa partenaire.
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Pas de problème, elle retire le pull, le soutif suit.

– Ils sont moins beaux que les tiens…
– Mais non, mais non.

Et les deux femmes se pelotent mutuellement. Après le haut, c’est le bas qui se libère, les deux femmes sont désormais toutes deux à poil quand tout d’un coup Karine est effrayée par un bruit de clés dans la serrure. Quelqu’un est en train d’entrer dans l’appartement et va les surprendre en train de se caresser les nichons !

Karine se précipite pour récupérer ses vêtements afin de cacher sa nudité.

– Ne t’inquiètes pas, c’est ma fille ! Lui dit Jackie.
– Ta fille ?
– Bonjour tout le monde ! Ben alors Maman, t’as une nouvelle copine ? Tu me la présentes ?

Ça devient surréaliste, admettez-le !

– Candice, ma fille, euh c’est quoi ton prénom déjà ! Bafouille Jackie en regardant Karine
– Tu ne connais pas le prénom de tes copines ? Qu’est-ce que tu nous fais, maman ?
– Je m’appelle Karine, j’allais partir…
– Mais non, tu n’allais pas partir, je vous ai dérangé, mais je vais vous laisser, je vais aller en cuisine préparer la bouffe.

Et Candice disparaît dans la pièce contiguë.

– Je vais te rendre tes sous, on aura peut-être l’occasion de remettre ça un autre jour… Commence Karine en récupérant son pantalon.

Mais Jackie passe derrière elle et lui pelote les fesses.

– Tu ne vas pas me dire que tu es pressée….
– La question n’est pas là, on n’est plus toutes seules !
– Mais ma fille s’en fiche de ce que je fais, nous sommes très proches l’une de l’autre, si tu vois ce que je veux dire…
– Pas vraiment, non !
– Ce n’est plus une gamine, elle va avoir 30 ans, on est donc majeures toutes les deux…
– Et vous êtes très proches comment ?
– Je crois que tu as deviné, mais je ne voudrais pas que ça te choque.
– Ça ne me choque pas, ça me surprend…
– Ça te dirait un plan à trois ?
– De quoi ?
– Ce n’était qu’une suggestion. T’as déjà vu une fille et sa mère se donner du plaisir, ça te ferait une expérience.

Karine ne sait plus quoi dire, ni faire, trop d’imprévus qui s’enchaînent. Et pendant ce temps-là Jackie appelle sa fille.

– Candice ça te dirait de jouer avec nous ?
– Ah, oui, pourquoi pas ! Je vais me mettre à l’aise alors.

Pendant que Candice se déshabille, Jackie a pris la main de Karine et l’entraine sur le canapé.

– Alors elle n’est pas mal, non ?
– Jolie fille en effet !

Candice s’approche du canapé, se baisse et se place entre les jambes de sa mère.

– Mais t’es toute mouillée, maman !

Et tandis qu’elle lèche de minou de sa génitrice, Candice tend sa main gauche vers le sexe de Karine qui se laisse doigter docilement.

– Oh ta langue ! Qu’est-ce que c’est bon ! Psalmodie Jackie. Tu te rends compte Karine, quelle salope je suis ! Je me fais brouter le gazon par ma fille !
– Non, c’est moi la salope, je lèche ma mère et je me régale. Tiens, regarde ce que je lui fais !

Candice mouille son doigt et l’enfonce profondément dans l’anus de Jackie qui se tortile de plaisir, elle ressort le doigt et le lèche avec une gourmandise non feinte.

– Hum, c’est trop bon le jus de son cul !

Ambiance !

Jackie a rapproché son visage de celui de Karine et les deux femmes s’échangent un gros patin baveux.

Jackie ne tarde pas à jouir sois les coups de langues diaboliques de sa fille. Celle-ci se redresse et vient embrasser Karine.

– Hum, je t’ai roulé une pelle avec le goût de la mouille de ma mère dans la bouche, c’était bon ?
– T’es drôlement coquine, toi !
– Maintenant détends-toi, je vais de faire grimper aux rideaux.
– Carrément !
– Hi, hi.

Candice descend entre les cuisses de Karine et entame son travail de lèche tandis que ses mains projetées en avant viennent lui agacer les tétons.

Karine ferme les yeux et se laisse aller à son plaisir. C’est tellement bon de se faire ainsi gougnotter.

Il n’entre pas dans les intentions de Candice de s’éterniser, non son truc serait plutôt le « vite et bien fait » aussi cinq minutes après avoir commencé, elle finalisait l’opération de fort belle façon, langue contre clito faisait hurler sa partenaire de bonheur.

– Bon. Maintenant les filles vous allez me laisser la place et vous occuper de moi, allez ouste !

Candice se relève et s’étale de tout son long sur le canapé.

– Faut peut-être mettre une serviette ? Suggère la maman.
– T’as raison va en chercher une. Toi, Karine vient t’occuper de mes nichons, ma mère va me lécher l’abricot.

Et c’est parti, Karine se régale des jolis tétons de la jeune femme tandis que sa mère lui broute le minou avec frénésie.

A ce petit jeu pervers, Candice ne résiste pas bien longtemps, elle jouit dans un geyser de mouille.

– Heureusement qu’on a posé une serviette. Commente Jackie très terre à terre !

Effectivement la serviette s’avère bien utile d’autant que Candice ne peut se prévenir de libérer quelques gouttes d’urine que Karine ne peut s’empêcher de laper goulument.

Candice se dégage au grand dam de Karine qui lui aurait volontiers prodigué encore maintes caresses

– Bon c’est pas tout ça, mais faut que je m’occupe de la cuisine. Conclue Candice avant de disparaitre et de laisser Karine et Jackie en tête à tête.

Elles se rhabillent sans un mot avant que la bourgeoise décoche une flèche :

– Au fait je repense à la salope qui a fouillé dans mes affaires, non seulement c’est une salope mais en plus elle est con !
– Et pourquoi donc ?
– Parce qu’elle m’aurait demandé de lui donner mon adresse parisienne, je lui aurais probablement communiqué.
– Ah ?
– D’ailleurs vous pourrez dire à cette personne que si elle désire me rencontrer, ma porte lui sera grande ouverte. Il ne me déplairait pas de faire un peu d’amour vache avec elle, histoire de lui apprendre les bonnes manières.
– Je n’y manquerais pas.

A suivre

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2 réponses à Chanette 30 – La disparition de Carole – 6 – Karine avec Jackie… et sa fille par Chanette

  1. Senior Oliveira dit :

    Ce doit être fabuleux de baiser en famille ! Moi je n’ai jamais eu cette chance !

  2. Dorine dit :

    J’adore ce genre de relation, dans ce récit je me suis davantage identifiée à Jackie qu’à Karine c’est mon petit côté pervers

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