Je suis un gigolo, c’est un fait que je ne peux pas nier. Si on y réfléchit bien, beaucoup d’hommes rêveraient de faire ce « métier ». Ils pensent que c’est une méthode facile pour gagner un maximum d’argent sans se fatiguer. Je le pensais aussi, il y a quelques années, quand j’ai décidé de me lancer dans cette « carrière ». Maintenant avec le recul, je me rends compte que c’est loin d’être ce que j’avais imaginé. Il faut composer avec les désirs de la cliente, passer du temps à lui faire croire qu’elle a de l’importance et qu’on a envie d’elle. Avec certaines c’est facile, elles gagnent en beauté et en sensualité avec l’âge. D’autres au contraire, perdent leurs attraits et c’est surtout avec celles-ci qu’il faut user d’artifices.
Comment j’arrive à trouver des femmes riches pour me faire entretenir ? Rien de plus simple avec le net. Je dépose régulièrement des annonces sur des sites spécialisés dans les rencontres et j’attends qu’une femme me contacte pour rompre sa solitude le temps d’une soirée, d’une semaine ou plus. Généralement, je n’ai eu affaire qu’à des femmes seules, rarement à des couples et une seule fois à un groupe.
Je venais de terminer un contrat avec une cliente très fortunée et mariée. Avec elle, il n’avait jamais été question de sexe : elle m’utilisait comme faire valoir et en contrepartie, m’avait bourré les poches de billets de banque et de bijoux somptueux. Mais il fallait à présent que je me remette en selle et que je me trouve quelqu’un d’autre. Je déposais donc une nouvelle annonce agrémentée de quelques photos sur la toile.
J’ai très vite reçu un message d’une certaine maîtresse Dakota. Une femme dans la cinquantaine, plutôt belle et très sensuelle. Elle me proposait une petite fortune pour que je sois le gros lot d’une tombola un peu spéciale qu’elle avait organisée avec ses amies. Alléché par cette offre, je n’hésitais pas une seconde et la contactais pour lui demander un peu plus de détails. Elle se décrivait comme une dominatrice, mais qu’elle n’allait jamais plus loin que la flagellation avec ses partenaires. Je connaissais peu le milieu SM, mais quand elle me proposa une rallonge d’argent, je me laissais tenter par l’expérience.
Très vite, je me retrouvai chez elle pour cette fameuse soirée. Elle me reçut dans une robe de latex noire mettant bien en valeur ses courbes généreuses, puis m’emmena dans sa chambre pour que j’enfile mon « costume ». Ses amies étaient déjà présentes et me dévoraient du regard quand je passais devant elles. Ma surprise fut grande quand je découvris le fameux costume. Ce n’était qu’un simple collier de chien en cuir noir avec des clous argentés. Maîtresse Dakota m’ordonna alors de me déshabiller et de me passer l’objet autour du cou. Elle me regardait ôter mes vêtements avec un rictus sadique.
Une fois nu, je passai le collier autour de mon cou et serrai la boucle de manière à ne pas être mal à l’aise. Elle m’agrippa alors le bras et vint fixer une laisse de cuir noir sur l’objet, puis elle m’ordonna de la suivre. Me précédant dans le corridor qui menait au salon, je la vis s’emparer d’une cravache qui trainait sur une commode ancienne. Elle tira d’un coup sec sur la laisse quand nous pénétrâmes dans le salon. Je me retrouvai là, planté au milieu d’une douzaine de femmes qui chuchotaient et riaient entre elles. L’une d’elles, une petite rondelette à lunettes d’écailles, gloussa même de plaisir en me regardant. Je cachai machinalement mon sexe dans mes mains, me sentant confus et piégé face à cette horde de femmes.
Sans crier gare, Maîtresse Dakota m’asséna un grand coup de cravache sur les fesses, m’ordonnant de leur montrer ma queue. Je ne bandais pas d’un poil et n’arrivais pas non plus à imaginer une situation qui m’exciterait assez pour que je puisse avoir un début d’érection. La rondelette se leva soudain puis vint s’agenouiller devant moi, elle prit ma queue entre ses doigts, soupesa mes couilles et me fixa avec un air coquin, elle décalotta mon gland et se mit à le lécher avec gourmandise avant de me sucer lentement. Ma bite se mit à durcir et au bout de cinq bonnes minutes, j’étais au garde à vous. Je tentai d’agripper la tête de la rondelette pour aller plus profondément dans sa gorge, mais un autre coup de cravache me fit comprendre que je n’avais pas le droit de la toucher. Celle-ci se leva et laissa sa place à une autre femme qui me suça à son tour, puis vint le tour d’une troisième et d’une quatrième femme. Malheureusement, la situation m’avait excité au point qu’à la sixième participante, j’éjaculai dans un râle rauque et profond, empêchant les six autres d’avoir le plaisir de me gouter la queue.
Maîtresse Dakota semblait en colère, m’obligea alors à me mettre à quatre pattes et me donna de nouveaux coups, violents, représentant les six femmes qui ne m’avaient pas sucé. Je commençai à être inquiet, pas parce que je subissais ce genre d’affront, mais parce que je commençais à éprouver un certain plaisir à mesure que la lanière mordait ma chair.
Une fois terminé, Maîtresse Dakota m’ordonna de me mettre debout et de m’asseoir dans le canapé. Celles qui n’avaient pas eu droit à la fellation s’installèrent autour de moi, me caressant, massant mes couilles et ma queue pour que celle-ci retrouve de la vigueur, ce qui ne tarda pas à arriver. Une des femmes se leva alors devant moi, la plus jolie de toutes, une belle blonde dans la quarantaine avec des yeux d’une nuance de bleu très clair. Sa jupe glissa lentement de ses hanches pour me dévoiler une petite culotte en satin rouge. Elle se frotta l’entrejambe et je pus sentir son excitation monter à mesure qu’une tache humide s’élargissait sur le tissu. Lorsqu’elle fut assez détrempée, elle la retira délicatement et s’agenouilla devant moi. Elle enveloppa sa petite culotte sur mon chibre puis se mit à me branler doucement, laissant trainer ses doigts sur mon gland pour le titiller. Elle se pencha vers l’avant et passa sa langue sur la couronne en tournant de plus en plus vite. Il m’était très difficile de résister face à ce traitement, je sentais que je n’allais pas tarder à éjaculer une fois de plus. L’effet de sa langue, de ses doigts et du satin humide était très dur à supporter. Elle s’en rendit compte et entrouvrit les lèvres pour gober mon gland, retira la culotte, avala ma bite centimètre par centimètre jusqu’à ce qu’elle arrive à sa gorge, puis elle serra soudain les dents sur ma queue. Je sentais la pression, j’avais du mal à respirer, au bord de l’explosion, puis soudain, je me suis rappelé les coups de cravache et la pensée de cette douleur m’aida à mieux me contrôler. La blonde se retira, un peu déçue de voir qu’il était temps pour elle de laisser sa place à une autre, une rouquine assez mignonne, mais qui ne semblait pas très à l’aise. Il me fut plus facile de me contenir pour éviter l’explosion, elle avait l’air d’avoir été embarqué dans l’aventure sans vraiment le vouloir et n’eut jamais plus que mon gland dans sa bouche. Elle semblait même soulagée lorsque son temps eut expiré. Les femmes se succédèrent mais je n’éprouvai pas les mêmes sensations qu’avec la blonde. Je parvins sans mal à retarder l’instant fatidique.
Vint finalement le tour de Maîtresse Dakota. Elle s’agenouilla en prenant soin de mettre un petit coussin sur le sol. Je fus très surpris de constater qu’elle savait s’y prendre ! Elle commença assez doucement par passer la paume de sa main sur mon gland, de manière circulaire : j’avais l’impression qu’un courant électrique me traversait le corps. Puis elle se pencha en avant et laissa couler un mince filet de salive de ses lèvres, qui atterrit sur le bout de ma queue qu’elle massait délicatement. Ses doigts semblaient glisser comme par magie sur chaque partie de mon chibre afin de me procurer le maximum de sensations, puis sa langue les as rejoint, suivie de ses lèvres. Elle glissait le long de ma hampe avec douceur tandis que ses doigts massaient mes couilles. Pendant tout ce temps, elle me regardait droit dans les yeux, elle avait un air taquin avec la pointe de sadisme que je lui avais vu précédemment. Mon sexe réagissait de la manière dont elle l’avait sans doute souhaité : je pouvais sentir mon jus se former au plus profond de moi, ma tige était prise de soubresauts que je n’arrivais pas à contrôler. Dakota se retira alors et se leva légèrement, elle posa ses lèvres humides sur mon gland et puis lentement descendit le long de ma queue, j’avais l’impression que ma bite entrait dans une chatte humide et serrée. Sa langue se mit à pulser contre ma peau. Je me cambrai en gémissant, mes jambes se mirent à trembler et je laissai échapper un flot de sperme dans sa bouche. Je hurlai de plaisir alors qu’elle continuait à s’acharner sur ma tige, récupérant la moindre goutte. Puis se relevant, elle se lécha les lèvres.
Une fois sortit de cet appartement, le portefeuille garni de billets durement gagnés, je me suis fais une remarque qui me surprend encore aujourd’hui : J’aurais pu supporter douleur et humiliation tous les jours, rien que pour avoir une autre chance de remplir de mon sperme brulant la bouche de Maîtresse Dakota.
A SUIVRE…
C’est un peu (beaucoup) le monde à l’envers mais ne dit-on pas qu’en matière de fantasme tout est permis ?
Pour une fois c’est le soumis que l’on rétribue, ça change !
Et la suite elle est où ? je ne l’ai pas trouvé sur le site.
Encore une suite qui ne nous ai jamais parvenu… ce sont des choses qui arrivent… une panne d’inspiration ?
Etre sucé par une horde de maitresses qui vénèrent votre membre. Quel fantasme !
Agréable à lire mais assez peu crédible.