Exhibitions dorées par Claire_N
J’ai écrit ça assez vite, ce n’est pas de la haute littérature mais j’avais envie de coucher ce fantasme sur le papier….
C’était l’été dernier mon mari et moi étions partis sur la Côte d’Azur quelques semaines. Vers la fin de nos vacances, nous avions dégotté une petite plage naturiste très bien isolée mais assez peuplée.
Mais ce qui était le plus excitant ce n’était pas la plage, mais ses alentours, de petits chemins très étroits, avec plein arbustes, où voyeurs et exhibitionnistes s’en donnaient à cœur joie.
Et je me souviendrais toujours la première fois, car un après-midi je fus saisi d’une grosse envie de pisser, Robert, mon mari, peu habitué aux us et coutumes du lieu me dit :
– Va dans les petits chemins, personne ne te verra et puis je surveille.
Alors je m’accroupis dans un coin à moitié dégagé, Robert reste dans le chemin, quand voilà que déboule un vieux à poil qui du coup ne peux pas passer et qui me matte ostensiblement, je sens Robert prêt à intervenir, mais d’un autre côté on est dans une zone naturiste…
– Laisse-le ce gentil pépère, il a bien le droit de mater !
– Ah, merci, madame !
– Et si tu veux te branler en me regardant, ce n’est pas un problème, mais tu ne t’approches pas.
Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’un sourd et là l’ancêtre s’est astiqué le poireau en me regardant faire mon petit pipi, son sperme est venu asperger la végétation et il est reparti avec un sourire niais.
Je me suis relevée et nous partîmes nous baigner un peu amusés et moi très excitée par l’insolite de la scène. Le soir nous avons fait l’amour en y repensant.
Le lendemain, j’avais une envie folle de recommencer, mais j’avais envie de faire ça dans un endroit offrant davantage de place, on s’est un peu baladé dans le sous-bois et on a croisé pas mal de vieux cochons à poil, pas mal de gays qui se tripotent, on en a même vu un qui se faisait enculer, inutile de dire que ça nous a bien excité, on a aussi croisé un type qui tenait en laisse une belle blonde un peu dodue.
– Si vous voulez la baiser, allez-y ! Dit le type en direction de Robert.
Il a refusé, on était pas venu pour ça, il m’a avoué ensuite l’avoir un peu regretté !
On est arrivé dans un coin où cinq bonhommes visiblement retraités, discutaient la bite à l’air. Je me suis posé à quelques mètres d’eux et me suis baissée pour commencer à pisser.
Du coup les séniors se sont mis à mater, et certains se tripotaient la bite.
L’un deux s’approche de moi :
– Je peux vous caresser ?
– Juste un petit peu, et juste caresser, pas autre chose.
Le mec m’a effleuré le nichon avec la main, il était content, un deuxième a pris le relais. Bientôt ils étaient tous les cinq à me peloter.
– Messieurs, c’est terminé pour aujourd’hui ! Leur dit Robert.
Ils n’insistèrent pas, furent très corrects.
On a répété le même scénario le lendemain, ils étaient trois dont deux qui étaient présent la veille et je me suis fait tripoter plus longtemps, l’un deux a demandé s’il pouvait m’asperger de son sperme.
La demande m’a surprise, je ne m’attendais pas à ça ! C’est Robert qui a répondu à ma place.
– Vas-y, arrose-lui les seins à cette salope !
Ces mots crus conjugués au fait qu’un type se branle devant moi jusqu’à la jouissance m’a profondément excitée.
Le mec a juté sur mes nichons et je me suis amusé à étaler ça comme si c’était de la crème de beauté.
Robert a ensuite demandé s’il y avait un autre volontaire. Non, pas d’autre volontaires pour ça, mais l’un des types a demandé à tout hasard si j’accepterai qu’il me pisse dessus.
– Bien sûr, vas-y arrose là, cette morue !
J’aurais quand même aimé qu’on me demande mon avis ! Cela dit personne ne m’a forcé, il me suffisait de me relever et de laisser tomber cette bande de pervers. Mais non je suis restée devant le pépère qui m’a arrosé partout, enfin presque partout, parce que je n’ai pas osé en boire… ce sera pour une autre fois je suppose.
Et là, Robert excité comme un pou, m’a demandé de me mettre en levrette et m’a enculé devant les trois vieux cochons.
Ce fut notre dernière folie sur la côte puisque le lendemain il nous fallait rentrer.
Cette expérience nous avait marqué et nous nous étions promis de la renouveler l’été suivant. Mais un an à attendre c’est long, un jour Robert a émis une suggestion.
– Il paraît que dans le Bois de la Petite Source », il y a des couples exhibitionnistes…
Bref, j’ai accepté de suite et le samedi en fin d’après-midi, nous voilà sur place.
Effectivement il y a quelques couples mais aussi beaucoup de gays, la mentalité n’est pas la même, ce ne sont pas de naturistes, il y a de tout, de joyeux libertins mais aussi des mecs inquiétants.
On trouve une clairière, on remarque qu’il y a des gens juste derrière qui ne se cachent à peine. Donc allons-y !
Je commence à pisser ! Quatre bonhommes s’approchent à deux mètres de moi, la bite sortie de la braguette, Robert les imite et se place parmi eux, l’un des mecs attrape la bite de son voisin, lequel lui fait savoir en reculant qu’il n’est pas intéressé. Le mec change de cible et pose sa main sur la queue de Robert. Et il se laisse faire ! J’aurais tout vu !
Je pisse et me relève, un seul semble intéressé et me propose de m’essuyer avec sa bouche, je refuse, je ne veux pas n’importe quelle bouche sur ma chatte, alors il me donne un billet de 20 euros pour que je m’essuie avec ma culotte et qu’il me l’achète. Pourquoi pas ?
Je me relève après ma petite transaction, Robert continue à se faire branler, puis le gars se baisse et prend sa bite en bouche. Je vous dis : c’est le jour de grandes découvertes.
Je m’approche d’eux et provoque Robert :
– Et toi, tu ne le suces pas ?
– Ça t’amuserais de voir ça ?
– De toute façon, t’es pas cap !.
Ben si, il la fait, c’était très excitant. On s’est dépêché de rejoindre la bagnole et on a baisé à l’intérieur, moi à dada sur mon mari.
On a pas recommencé tout de suite, Robert semblait avoir honte de son petit épisode bisexuel, et puis j’ai trouvé l’ambiance moins amusante que dans le camp naturiste.
Mais un mois plus tard, rebelotte. Quand ça taraude, ça taraude !
Même clairière, même scénario ou presque sauf que les voyeurs ne sont pas les mêmes.
Je pisse donc devant les quéquettes à l’air, mais une autre envie me tenaille et j’ai du mal à me retenir.
– Eh, les mecs, je vous préviens, je vais faire caca.
Et là, c’est la débandade, tout le monde s’en va voir ailleurs d’un air dégagé sauf un, celui-ci a beau être en tenue décontractée, on voit bien qu’il ne s’habille pas aux puces, monsieur est un bourgeois qui s’encanaille.
Je pousse et pond un joli colombin bien ferme qui termine sa chute dans l’herbe folle, un second rejoint le premier et il y en a même un troisième, tant qu’à faire…
– Que c’est beau ! S’exclame le bourgeois ! J’adore voir une femme chier et ce plaisir n’est pas si courant.
– Ben alors je suis content de vous avoir fait plaisir !
– Puis je solliciter la permission de vous essuyer avec ma langue.
– Vous êtes drôlement cochon, vous !
– C’est juste un péché mignon !
– C’est que voyez-vous, on ne m’a jamais proposé ce genre de chose !
– Il y a un début à tout !
Je lance un regard à Robert qui l’air de trouver l’idée amusante, j’hésite quand même !
– Je vous donnerais un petit billet ! Insiste le bonhomme.
Alors je me suis mis en levrette et je me suis fait lécher mon cul tout merdeux, ses coups de langues m’ont ravi, inutile de vous dire que j’étais tout excitée.
– Pourrions-nous nous rencontrer ailleurs qu’ici pour refaire la même chose, ce serait contre dédommagement bien évidemment, voici ma carte, on peut faire ça chez vous ou chez moi, ou à l’hôtel… Merci encore pour ce délicieux moment.
Et il est parti.
– Tu ne vas pas garder sa carte ? Me dit Robert. Tu n’es pas une pute ?
– Ben quoi ? Ça nous fera de l’argent de poche.
– Ah bon ? Ben c’est toi qui décides.
– Bon on rentre, je suis toute excitée !
– J’aurais bien sucé une bite, avant de rentrer !
– Robert !
– Ben quoi ?
Fin !
Inspiré par une short story trouvée sur internet
Bravo Claire, j’ai adoré ton récit.
Tiens une petite anecdote, un jour je me baladais avec mon copain dans les bosquets d’une plage naturiste et je me suis mis à chier. Arrive un mec qui me regarde en bandant comme un cerf.
Il s’apprête à me dire quelque chose, mais voilà que sa femme le rejoint, alors il me regard prend un air courroucé et me dit « vous ne pouvez pas faire ça ailleurs , »
Au cap, j’ai vu une fille qui faisait ça, enfin juste pipi…
C’est à la fois léger, amusant et décontracté du gland. J’ai bein aimé !
En vrai tu fais ça ?
M’exhiber en faisant pipi, j’ai fait, en faisant caca, ça m’est arrivé, ce ne sont pas des trucs qu’on fait tous les jours non plus…