Naturisme scato par Cosi-cosa
Nous sommes un couple d’âge mûr comme on dit, mais en forme et apprécions les plaisirs du sexe sous toute ses formes.
Par une belle journée d’été mon mari et moi nous avons décidés d’aller comme à chaque année au camp naturisme à quelques heures de la maison, nous étions légèrement habillés, moi vêtus d’un simple short moullant mes grosses fesses et un tee-shirt et lui d’un boxer et d’une chemise à manches courtes,
Parvenus à destination nous nous sommes mis tout nus sans se faire prier, la vue de tous ces nudistes nous excitaient terriblement, moi j’étais mouillée et mon mari semi-bandé, il y avait des bites, des seins et des fesses partout autour de nous, j’ai dit à mon mari :
– Viens, on va à la piscine pour se faire bronzer
Mais tout juste à côté de nous était allongée une très belle femme nue dans la cinquantaine avancée avec de gros nichons et deux ou trois piercings, moi je n’osais pas la regarder trop mais mon mari lui, lui parlait de tout et de rien. A un moment, elle a mis sa main sur la bite de mon mari, l’a caressé, l’a fait grossir et l’a branlé un peu, puis elle s’est penchée pour le sucer après m’en avoir sollicité « la permission ».
Mais la fellation fut interrompue par un vieux mâle avec qui la dame devait avoir rendez-vous, elle abandonna donc la bite de mon mari avec un air désolé.
Un peu plus tard, deux pédés se tenant par la main passèrent à notre proximité, mon mari semblait fasciné par leurs belles bites à moitié bandées, il fut si peu discret que l’un des gars l’apostropha :
– Alors Papy ? Tu mates nos bites ?
– Hé, c’est qu’elles sont bien jolies !
– Tu veux sucer ?
– Pourquoi pas
Et l’instant d’après Raoul avait une bite dans la bouche, le second passa derrière lui, lui flatta les fesses et lui introduit un doigt dans le cul avant de lui proposer de l’enculer.
Mon mari se plaça alors en levrette comme une vraie chienne et se fit enculer tout en continuant à sucer la première queue.
Cela dura quelques minutes, les deux mecs ne désirant pas jouir.
Il était environ 17 heures quand nous avons repris notre route et mon mari m’a dit qu’il se sentait très excité pas nos petites rencontres.
Je lui répondis que moi aussi j`étais excitée par le spectacle, uniquement par le spectacle puisque je n’avais pas eu le plaisir de consommer ! Je lui précisais néanmoins que j’avais envie de faire pipi et aussi caca et je savais qu’en lui disant cela, il serait bandé comme un cheval
Alors nous avons emprunté un chemin de terre et avons trouvé un champ abandonné où personne ne pouvait nous voir. Raoul a arrêté l’auto, ouvert les portières et en deux minutes à peine nous étions nus tous les deux à proximité de la voiture.
J’ai commencé à faire pipi sur lui et dans sa bouche à califourchon au-dessus de sa tête je le voyais boire tout mon pipi et se délecter de mon nectar doré. J’étais toute détrempée ensuite il se coucha sur le sol, moi à califourchon sur son visage écartant mes grosses fesses, je déféquai sans retenue partout sur lui et dans sa bouche plus je poussais plus il bandait, il prit ma merde de ses deux mains et me tartina partout de la tête aux pieds j’en avais sur les nichons, la chatte, les fesses, et le visage. J’étais tellement excitée que je n’arrivai plus à contenir mes paroles je lui disais les mots les plus pervers et crades que je pouvais dire alors que nous étions tous les deux couverts de merde et de pipi chaud.
Trouvant la force de me lever je me suis mise à quatre pattes et lui la queue pleine de merde derrière moi, bandé au maximum regardant mon gros cul tout brun de matière enfonça d’un seul coup sa grosse bite et me défonça les deux trous sans pitié. Je jouissais comme une vraie truie et je suis venue trois fois de suite il a retiré sa bite toute merdeuse de mon cul et ma chatte dégoulinante et je suis ai sucé et avalé toute la merde qui entourait sa virilité jusqu’à ce qu’il vienne dans ma gorge de salope,
Épuisés de cette aventure nous nous sommes rincés dans le petit ru tout proche en rigolant comme des gosses qui viennent de faire une grosse bêtise. Arrivé à la maison nous avons pris une vraie douche et confié nos vêtements au lave-linge
Bien sûr nous avons recommencé, mais je voulais vous faire partager une de nos petites expérience uro scato, avec vous mes amours.
Il était tout proche le petit ru
C’est pour ça qu’il fut le bienvenu
trop crade, trop court, trop fouilli
Un petit délire sympa, mais malheureusement l’auteur a voulu mettre trop de choses dans un texte trop court