Muriel et Sylvain, couple coquin
7 – Louisette
par Sylvain_Zerberg
Ça y est on est arrivé à la maison. Je m’attendais à trouver ma femme Muriel en compagnie de Chantal dans la chambre en train de s’envoyer en l’air. Mais non, petite déception, elles sont bien là, mais dans la cuisine en nuisette plutôt transparentes, en train de boire un verre d’eau gazeuse. Elles ont manifestement pris une douche.
– Ça va les filles ?
– On vous attendait plus tôt, on est un peu fatigué.
– Dommage, on vous aurait volontiers regardé, avant de passer à autres choses.
– Ouais, ben peut-être pas ce soir ! Par contre nous on va peut-être vous regarder cinq minutes avant d’aller se coucher. Je vous sers un verre de Badoit, ou vous commencez de suite ? Intervint Muriel.
On a tout de même accepté le verre d’eau, puis nous sommes allés tous les quatre dans la chambre. Je me suis déshabillé et Ludovic au lieu de m’imiter demande où se trouve la salle de bains et y disparaît en nous informant qu’il n’en a pour cinq minutes.
Toujours est-il qu’au bout de dix minutes, il n’était toujours pas revenu. J’espère qu’il ne nous a pas fait un malaise ou qu’il ne soit pas en train de se camer. Je vais voir, il s’est enfermé. :
– Ludovic ?
– J’arrive tout de suite !
– Ça va ?
– Oui, oui…
Il nous a encore fait poireauter cinq minutes et le voilà qui apparaît !
Le choc
Ludovic s’est maquillé, perruqué, il s’est attifé d’un ensemble de sous-vêtements bleu clair composé d’un soutien-gorge à ballonnets, qui tente de faire illusion, d’un minuscule string épousant la forme de son sexe, et d’un porte-jarretelles supportant une paire de bas couleur chair.
– Alors, ça vous plaît ? Je ne suis plus Ludovic, je suis Louisette.
C’est vrai que c’est troublant, j’apprécie beaucoup et ces dames semblent elles aussi intéressées.
– Vas-y suce lui sa bite ! Me propose Chantal.
Ça tombe bien, c’était justement dans mes intentions.
Ça y est j’ai sa bite dans la bouche, et déjà je la sens grossir sous l’effet de ma langue et de mes lèvres. Je crois que je vais devenir un spécialiste en pipe.
– C’est fou ça ! explique ma femme à Chantal. On est allé dans ce club parce qu’il avait envie de me voir faire la salope. Ça pour faire la salope, j’ai fait la salope, mais je ne pensais pas que lui, il reviendrait à moitié pédé.
– Et ça te pose un problème ? Demande innocemment Chantal.
– Pas du tout ! Et puis ça m’excite ! Regarde comme il lui suce bien sa queue, non mais regarde moi ces deux salopes, et l’autre travelo qui se pâme de plaisir… Hummmm…
Je continue à me régaler de cette fellation, j’en profite parce que je sais qu’après il me faudra attendre un certain temps avant de connaître de nouveau ce plaisir.
– Arrête-toi, c’est moi qui vais te sucer maintenant ! Propose Ludovic (Louisette, pardon)
Bizarrement, ça m’intéresse beaucoup moins, n’empêche qu’il (qu’elle) suce divinement bien, la Louisette. Mais ça ne dure pas trop longtemps. « Elle » se redresse, se tourne, me montre ses jolies petites fesses qu’elle écarte de façon obscène, dévoilant son mignon petit trou du cul.
– Lèche moi un peu, et après tu pourras m’enculer.
– Et on inversera les rôles après ? Demandais-je.
– Tu la voudrais dans le cul, ma bite ? Hein ? Salope !
– Ben oui !
– Et ces dames seront d’accord pour que je te prenne comme un pédé ?
– Bien sûr qu’on est d’accord ! Intervient Muriel.
– Hummm… deux mecs qui s’enculent c’est génial ! Ajoute Chantal.
– OK, on fait comme on a dit. Suce-moi le trou de balle, la bonne rondelle à Louisette.
Je lui lèche donc consciencieusement le trouffignon, puis y introduit ma bite. La vigueur est pas mal revenue et je parviens à l’enculer correctement.
– Et si on lui léchait la bite pendant qu’il se fait mettre ? Propose Chantal.
– Oui, mais on le fait pas jouir, je veux qu’il jouisse dans le cul de mon mari.
Au bout d’un quart d’heure de ce traitement qui a fait pâmer d’aise « Louisette », je décule sans avoir joui. Chantal me suce un peu la bite, on souffle un peu, on se reboit un verre. J’irais bien ronfler mais tout le monde insiste pour que je me fasse sodomiser à mon tour.
Qu’a ne cela tienne, je me positionne, et offre mes fesses à Louisette qui m’encule comme un chef, tandis que les deux femmes excitées par le spectacle s’embrassent, se caressent, et se pelotent.
– Qu’est-ce c’est bon de se faire enculer ! Commentais-je.
Après que Louisette ait joui dans mon fondement, je ne me souvins plus de rien. Je ne sais pas trop comment je me suis retrouvée pour la nuit dans la chambre d’amis, toujours est-il que je m’y suis réveillé avec Ludovic à mes côtés.
Je me lève et vais à la salle de bain pour pisser. Chantal me rejoint, retire sa nuisette. Elle est bien jolie cette Chantal, je me la ferais bien.
– Bien dormi ? Demandais-je.
– Ça va, et toi ?
– Ben, je bande alors, ça doit aller !
– Je vois, tu aimerais bien un petit câlin, c’est ça ?
– Ben ma fois…
– Je ne sais pas si Muriel serait d’accord, on va l’attendre.
Curieuse cette réaction, mais bon.
– Par contre si tu as envie de pisser, tu peux m’arroser, j’adore ça ! Dit-elle en s’asseyant sur la cuvette.
Mais c’est que ce n’est pas si facile de pisser quand on bande. Et ce n’est pas la vue des splendides nichons de Chantal qui va m’aider à débander !
Je ferme les yeux, je pense au boulot, à ma déclaration d’impôt et à ma belle-mère et miracle je débande !
J’entreprends alors de diriger mon jet doré vers le torse de la belle Chantal qui s’en répand partout à l’aide de ses mains, puis qui désire en boire. Je vise sa bouche et elle en avale de longues gorgées.
Une fois l »opération terminée, elle fait un petit mouvement de lèvres signifiant par là qu’elle désire m’embrasser… sur la bouche bien entendu. Je ne me dérobe pas et me voilà avec ma propre urine dans ma bouche. Evidemment je rebande.
– Je prends ma douche d’abord, parce qu’après, il faut que j’y aille.
Bon, ça veut dire que je m’enverrais Chantal une autre fois… ou jamais…
Le reste du week-end fut très calme, nous étions invités chez des amis ce Dimanche midi, et ces gens-là, par ailleurs fort sympathiques semblaient bien loin de nos folies libertines.
Aussi n’avions-nous pas commenté avec Murielle cette folle soirée avant le dimanche soir. Ce fut elle qui aborda le sujet :
– Pour toi, ce qu’on a fait samedi soir, c’était juste une expérience, ou ça t’a donné envie de recommencer ?
– Et toi ?
– Réponds-moi d’abord !
– J’avoue m’être bien amusé.
– Ça t’a excité de me voir faire des trucs avec d’autres hommes ?
– Oui, j’aurais bien aimé aussi, te voir faire des trucs avec Chantal, mais je n’ai pas vu grand-chose.
– On pourra arranger ça, elle m’a invité au restau cette semaine, je lui en parlerai. Ça te ferait plaisir ?
– Oui bien sûr ! Répondis-je
– Mais je ne sais pas si elle acceptera d’aller plus loin, je veux dire sans doute que tu regarderas, mais ce sera tout.
– Je regarderai en me masturbant !
– Ça t’excite de penser à ça, hein mon salaud ?
– Ben, oui ! Répondis-je franchement
– Montre-moi !
– Montre-moi quoi ?
– Ben ta bite !
– Attends on va peut-être finir de manger !
– Non, je veux voir tout de suite, baisse ton pantalon et montre-moi tout ça, j’ai envie.
Je me levais de table et m’exécutais. Elle me tripota la bite avant de passer derrière et de m’introduire un doigt dans le cul.
– Ça t’a fait quoi, de te faire enculer ?
– Ce n’est pas désagréable !
– Tu te rends compte qu’on a été en boite pour que tu me regardes me faire baiser et que tu es revenu en ayant sucé je ne sais combien de bites, sans compter celles que tu as pris dans le cul.
– C’est un reproche ?
– Mais pas du tout, ça m’a excité. J’ai très envie de revoir ça ! Tu es prêt à recommencer.
– Pourquoi pas ?
– Tu sais, demain, je veux que tu m’achète un gode ceinture et je te prendrais avec.
– Pas de soucis !
– J’ai encore une chose à te dire :
– Oui ?
– Je t’aime !
– Mais moi aussi, je t’aime, Muriel
(à suivre)
Ke plaisir de se travestir…
Une bonne idée d’introduire (oh !) un travesti dans cette saga, ça permet de varier les plaisirs
se travestir, ça rend moins beauf (Benoît de Macadamia)
cette saga est vraiment très bonne et pleine de suprises
Pas mal et très bandant, cet épisode
Très beau, très érotique et très respectueux