Je ne sais combien de temps j’ai dormi, affalé sur ce canapé, nu comme un vers et avec un « corps étranger » dans le derrière ! Je retire avec précaution ce plug qui ne m’a pas quitté durant cette sieste réparatrice et me dirige vers la salle de bain. Une bonne douche revigorante et réparatrice, rien de tel !
En me remémorant les événements du matin, je ne peux m’empêcher de ressentir un début d’excitation qui me parait bien légitime. Mais je sais surtout qu’une soubrette bien éduquée ne se masturbe pas sans en avoir l’autorisation et ce « permis de branlette », je ne l’ai pas reçu.
Par contre, cette douche, c’est l’occasion d’effectuer une tâche qui est elle, strictement obligatoire ! Il s’agit tout simplement de l’entretien de la toison pubienne. Toison pubienne est un bien grand mot, je dois l’avouer ! Maîtresse Clara contraint ses domestiques à ne conserver qu’un reliquat de poils pubiens sous forme d’un petit carré (poilu) sur le haut du pubis ; et rien d’autre…. ! Cette règle concerne aussi bien le personnel « masculin » que féminin : c’est ce que l’on dénomme l’égalité des sexes. L’entretien de cette mini toison incombe à l’esclave et les contrôles réguliers font que cela constitue une besogne à ne pas négliger ! Il faut signaler qu’en certaines occasions, cet « entretien » se fait entre esclaves au cours de séances particulières un peu plus hard. Enfin, en de très rares occasions, c’est la Maîtresse qui fait l’honneur de s’en occuper personnellement. J’aurai sans doute l’occasion d’y revenir ultérieurement. Pour le moment, il s’agit pour moi d’ôter les quelques poils excédentaires qui repoussent à la base du sexe, sur le périnée ainsi que dans la région péri anale. A cet effet, je m’assois sur le carrelage de la douche en écartant les jambes et en propulsant le bassin vers l’avant. C’est dans cette position aussi peu esthétique que confortable que muni d’un petit miroir, j’arrive à raser cette région peu accessible (mais qui doit le rester, voilà tout le paradoxe… !) à plus d’un titre.
Je parviens à oublier l’érection qui me taraude et à m’habiller afin d’aller faire les commissions. A cet effet, j’enfile un ensemble fait d’un string rouge assorti un petit soutien pigeonnant, d’une jupette à carreaux, d’un chemisier uni et d’un simple pull en laine à col roulé. Ensuite, un brin de maquillage fait de moi une jeune fille très présentable…
Je déambule dans les allées du supermarché local et remplit l’inévitable chariot métallique de toute une série de choses et denrées indispensables pour ce séjour alpestre. Personne ne semble faire attention à moi et cela m’arrange fort bien. J’attaque le rayon des fruits et légumes, me penche sur les cagots de pommes quand je sens, dans mon dos, le souffle de quelqu’un qui s’approche fort près et me susurre à l’oreille :
– Comment elle va la petite demoiselle de ce matin !!
Mince ! à cette heure ci, un moniteur de ski est sensé se trouver sur les pistes de la station et pas dans les rayons d’un grand magasin !! Ce moniteur fait manifestement exception à la règle.
– Fort bien ! Il n’y a pas de raison d’être impolie, me dis-je.
– Vous êtes bien installées ? Je ne sais si le « vous » m’est destiné ou s’il sait que je ne suis pas seule ?
– Oui, merci beaucoup.
Décidément, des phrases complètes avec un sujet, un verbe et un complément, ce n’est pas mon fort aujourd’hui; je suis sans doute impressionnée par l’individu.
– C’est lourd tout ça ! je peux vous raccompagner en voiture ? Me répond-il.
– Euh oui, ce serait très sympa.
Une petite voix intérieure me dit, « Stéphanie, ce type a une petite idée derrière la tête, et pas seulement derrière la tête, d’ailleurs…. »
Il charge prestement mes achats dans le coffre de son 4X4 japonais flambant neuf tandis que je m’installe à la place du passager avant. Le frottement de mes DIM UP avec le cuir du siège me gratifie déjà de quelques frissons dans le creux des reins…Cet endroit parking est virtuellement désert en ce début d’après-midi.
– Comment t’appelles-tu ma jolie ? Moi c’est Stéphane.
Ah, voilà un élément neuf et de taille ! Le remplacement du vouvoiement par le tutoiement signifie à coup sûr que l’on va passer à des choses plus intimes, à mon humble avis. Il en est de même pour le mot jolie qui ne laisse planer que très peu de doute à ce sujet…
– Stéphanie.
– Et bien je sens que c’est au tour de Stéphanie de faire un petit plaisir à Stéphane.
Le ton utilisé n’évoque pas vraiment celui d’une interrogation. C’est à coup sur une affirmation tout ce qu’il y a de plus nette et directe ! Dans la foulée, il joint l’acte à la parole, dégrafe le bouton de son jeans, ouvre sa braguette et libère enfin son pénis qui a déjà acquis une tumescence certaine. Tout est parfois question d’anticipation…
– Si tu veux, Stéphane.
De la main droite, je m’empare alors de l’extrémité de son sexe et débute un mouvement de masturbation en faisant coulisser la peau du prépuce sur le gland. Une goutte de liquide séminale apparaît rapidement au niveau du méat. Avec un doigt, je l’étale sur le frein de la verge et stimule par un frottement tournant cette région hautement sensible. Sa bite est maintenant très dure, gorgée de sang et sillonnée de grosses veines superficielles quand je me penche pour gober ce gland écarlate. Stéphane commence à gémir discrètement tandis que ma langue suçote avec application le bout de son sexe. Parfois je le laisse sortir de ma cavité buccale pour lécher sa tige sur toute ses faces jusqu’à atteindre ses testicules velus, avant d’emboucher à nouveau son pénis. Au bout de quelques minutes de ce traitement, je perçois les spasmes rythmiques qui augurent de l’orgasme et mon palais encaisse effectivement une première giclée de sperme. Il gémit alors un peu plus fort. Une deuxième et même une troisième rasade terminent de remplir ma bouche de sa semence chaude. Je tente d’avaler le tout sans être certaine d’y arriver. Stéphane semble plutôt satisfait par la prestation et range son sexe encore humide dans son pantalon.
– Retire ton slip et branle-toi !
Ça, ce n’est pas de refus, surtout si on me le demande si gentiment ! Je soulève mon postérieur et fais glisser mon string le long de mes fesses avant de le retirer complètement. J’écarte légèrement les jambes et relève ma jupe à carreau exposant de la sorte mon sexe dressé de façon très impudique. Le contact de mes fesses nues avec le cuir du siège me procure quelques frissons prémonitoires supplémentaires. Je prends mon sexe dans la paume de ma main et (re)commence les mêmes mouvements masturbatoires.
-Ben dit donc, t’es une vraie petite branleuse Stéphanie. Clame-t-il !
Je ne tarde pas à éjaculer et mon sperme se repend en flaque sur ma main, le string et le haut de mes bas.
– Essuie ton foutre avec ta culotte et donne la moi !
Je suis sans doute tombé, en plus, sur un amateur de sous-vêtements féminins. Je m’exécute sans discuter et lui tend ce qu’il doit déjà considérer comme un véritable trophée. Il le roule en boule et le glisse dans la poche de son blouson. De mon côté, je risque quand même d’avoir quelques difficultés à justifier la disparition de cette petite pièce de tissus. Mon prince charmant ne semble manifestement pas disposé à aller plus loin et selon toute vraisemblance, l’opportunité de pouvoir m’enculer, en plus, ne lui a pas traversé l’esprit. Après l’engodage « forcé » de ce matin, j’étais pourtant très ouverte de ce côté-là, aussi….
Après m’avoir déposée au chalet, j’ai droit à un SALUT en guise d’au revoir…
L’appartement est en ordre, nickel chrome ! Maîtresse Clara m’appelle avec son portable et me prévient qu’elle rentre d’ici peu et qu’elle n’est pas seule ! Elle souhaite que je les accueille en portant pour seuls habits des bas blancs et un porte-jarretelles assorti. Le blanc, c’est pour le côté virginal… Je m’exécute rapidement et me rend dans le local à skis où il ne fait pas très chaud. La porte s’ouvre et Maîtresse Clara précède une jolie jeune femme d’une vingtaine d’année environ, cheveux châtain tombant sur les épaules, de superbes yeux verts bouteille et portant une combi de ski fuchsia. Elle a énormément d’allure et a vite assimilé l’attitude à adopter face à une soubrette… C’est néanmoins Maîtresse Clara qui prend la parole :
– Stéphanie, je te présente Isabelle ; elle fait partie d’un groupe d’étudiantes et leur éducatrice a eu un accident de ski cet après-midi ; rien de grave mais elle a quand même été transférée dans un hôpital universitaire pour surveillance. Isabelle et ses amies sont par conséquent toutes seules et j’ai décidé que tu allais faire un peu de ménage dans leur appartement. Je vous rejoindrai sans doute plus tard.
– Bien Maîtresse.
Il n’y a en effet rien a ajouté.
– Avant ça, Isabelle va t’essayer. Tu as intérêt à la satisfaire pleinement, sinon tu vas passer la semaine dans le local à skis. Je vous laisse ma chambre, dit-elle en se tournant alors vers Isabelle.
L’invitée me suis alors dans la chambre de Maîtresse Clara ; elle ôte sa combinaison de ski, place deux oreillers contre le mur et s’allonge sur le lit en croisant les bras derrière la tête. Elle n’a conservé que ses sous vêtements. Je suis à son chevet, debout, un peu gauche, pas encore réchauffé du tout, ne sachant guère où poser le regard tandis qu’elle commence à me détailler en arborant un air plutôt amusé. Après ce court temps d’observation, elle se redresse, s’assois au bord du lit et me demande d’approcher tout près d’elle. Quasiment au garde à vous dans l’encadrement de ses jambes, ses mains débutent alors une exploration qui va se révéler aussi poussée que minutieuse. Je commence par sucer les deux doigts qu’elle a introduits dans ma bouche. Au passage, ses ongles égratignent ma langue et des bruits non équivoques de suçotement se font entendre dans la chambre. Ses mains se déplacent ensuite sur mes tétons qu’elle effleure très superficiellement dans un premier temps avant de les pincer en alternance de façon plus insistante. C’est classique mais toujours d’une redoutable efficacité. Je tente de ne pas grimacer. Un étage plus bas, elle emprisonne mes testicules en les faisant rouler dans sa main gauche tandis que la droite se rabat sur mon sexe. Elle actionne le prépuce vers l’arrière dénudant de la sorte le gland dont le volume augmente graduellement. Je me sens encore plus nue et vulnérable… Elle étire la peau du prépuce un maximum vers la base de la verge et comprime ensuite plusieurs fois le bout de mon gland en le pinçant entre trois doigts en pince, semblant jauger de son élasticité et de sa réactivité. Ensuite, elle me fait faire un demi-tour sur moi-même.
– Ecarte un peu les jambes et penche-toi vers l’avant. Ajoute-t-elle.
Elle malaxe mes fesses comme un boulanger le ferait avec de la pâte à pain durant quelques minutes, me file quelques petites claques, avant d’écarter mes globes fessiers et de révéler ma raie médiane. Elle parcoure plusieurs fois ce sillon qui va du bas des reins jusqu’aux bourses avec un doigt avant de concentrer ses efforts sur mon sphincter anal. Elle se contente de le titiller, à ce qu’il me semble, car je ne vois évidement pas ce qu’elle fait. J’espère secrètement qu’elle va se montrer clémente avec ces fragiles muqueuses qui risquent encore d’être soumises à de nombreux outrages dans les jours à venir. Durant toute la procédure d’examen, elle ne s’est pas départie d’un petit air goguenard, comme si elle était déjà consciente de sa force et de son incontestable supériorité. Pour la soubrette mâle que je suis, ce fut un moment d’une intensité rare…
– Tu vas me lécher maintenant ! Lâche-t-elle ensuite.
Elle a vite fait de retirer sa culotte et de reprendre sa position initiale, allongée confortablement sur le lit, ses longs cheveux reposant sur les oreillers. Avant de se coucher, elle ôte aussi son soutien gorge et se retrouve ainsi complètement nue. J’approche la tête de son entrejambe, non sans éprouver une certaine appréhension ! Faire jouir une femme avec la bouche est autrement plus complexe que de tailler une pipe à un gars, en particulier quand on ne sait pas (encore !) comment elle va réagir aux stimuli. Mais il faut bien qu’il ait une première… Sa toison pubienne est de forme triangulaire, d‘un beau brun, relativement clairsemée et s’arrête à hauteur de la vulve. J’applique d’abord la langue sur l’intérieur de ses cuisses avant d’obliquer vers ses grandes lèvres en négligeant volontairement sa fente. Des effluves éminemment féminines me parviennent aux narines et je m’enivre de ce bouquet qui sent la femme, la fille, la femelle dans toute sa splendeur et son intimité. Cette senteur emplit et sature mes sens jusque dans les fibres les plus profondes de mon cerveau. Je parcours ses grandes lèvres du bas vers le haut, la gauche et puis la droite, la droite et puis la gauche, en alternance. Ne sachant si je suis autorisé à utiliser les mains, je m’en abstiens et poursuit avec la bouche seule l’exploration de ce bijou merveilleux. Isabelle gémit doucement et bouge un peu le bassin par ondulations légères. Ses petites lèvres ont pris du volume et s’écartent de ce fait l’une de l’autre. Ma salive se mélange maintenant à ses sécrétions intimes pour ne plus former qu’une seule et même mixture visqueuse. Je couvre ses nymphes de baisers avant de procéder à l’introduction de ma langue dans son vestibule vaginal. J’essaye d’aller le plus loin possible mais les muscles de ma mâchoire ne tiennent pas le coup longtemps. C’est ma façon très personnelle de la pénétrer en ce moment et je sais pertinemment bien qu’il n’y en aura pas d’autres… Je m’égare sur son périnée lisse jusqu’à atteindre la marge de son anus. Je n’ai aucune directive précise sur le sujet mais suis gagné par l’excitation et il n’est un secret pour personne que ce type de pratique est fort apprécié…
Je peux alors poursuivre un savoureux léchage des plis concentriques de son anus. Là aussi, je tente de forcer le passage du bout de ma langue. Je n’ai plus guère la notion de la durée ; depuis combien de temps suis-je occupé à cette activité si jouissive ? Peu importe… Isabelle pousse des petits cris étouffés et semble néanmoins se contrôler. Je remonte à sa vulve littéralement inondée de fluide et pose mes lèvres sur le haut de sa fente, en donnant au passage quelques coups de langue sur son clitoris durci. Sans prévenir, Isabelle m’agrippe les cheveux avec force et plaque ma face contre son sexe en poussant un râle évocateur de l’orgasme…Le temps suspend son vol… Je ne bouge pas de peur de mal faire, attend un ordre hypothétique et surtout reprend mon souffle. J’ai le visage barbouillé de mouille…
-Vas t’habiller petite salope ; je prends une douche et on ira ensemble à l’appartement…
A SUIVRE…
Stéphanie
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Une bonne surprise, je me suis régalée