Trio infernal par Phil_du_75

Trio infernal
par Phil_du_75

Je m’appelle Philippe, et vit en Bretagne. La quarantaine, je mène aujourd’hui une vie trop tranquille (mais je suis ouvert à d’autres aventures).
Il me reste les souvenirs que je me suis décidé à partager. En contrepartie, j’attends vos commentaires sur mon mail : phil_du_75@yahoo.fr

A l’époque, j’étais étudiant avec Marc nous avions tous les deux vingt un ans. Nous partagions un appartement en région parisienne. Il fréquentait Christine 20 ans, elle vivait avec nous depuis quelques mois. Ils connaissaient ma bisexualité et je savais que, de leur côté, ils aimaient le sexe et partouzaient avec une copine. Nous étions très complices, je connais Marc depuis le lycée. Un soir, nous avons joué au strip-poker et nous nous sommes retrouvés nus tous les trois. L’ambiance et certainement un peu d’alcool ont fait que la discussion et les gages ont vite dérivé au sexe.

Christine est assise entre nous deux. Une queue dans chaque main, elle nous masturbe. Nous l’embrassons et la caressons, sa peau est chaude et mielleuse. Je lui suce un sein. Son fiancé l’embrasse à pleine bouche. Il caresse son clitoris. Marc est super bien monté, au moins 22 x 5, impressionnant. Elle se met à quatre pattes sur le canapé et commence à me sucer, pendant qu’il lui bouffe la chatte. Marc sort la tête d’entre les cuisses et me demande :

– « Elle suce bien, n’est ce pas ? »
– « Oh ! Oui elle est douée, c’est délicieux »
– « C’est une experte, elle adore sucer les bites, les culs et les chattes » répond-il

Sa caresse buccale est super excitante. Elle m’engloutit ma tige jusqu’au fond de sa gorge. Le contact de mon gland avec sa glotte m’extasie. Je veux moi aussi lui rendre ce plaisir. Je lui caresse le dos et la croupe, essayant d’atteindre sa rondelle. Mais Marc me prend la main et la pose sur sa queue, que je branle. Pendant qu’il lui pénètre le con avec ses doigts, elle m’avale jusqu’aux couilles.

– « Tu veux me sucer » me demande Marc

Pour toute réponse, je lui fis un léger signe de la tête approbateur. Depuis que Christine vit avec nous, c’est la première fois que je touche Marc. Il présente son braquemart entre mes lèvres. Je l’engloutis du mieux que je peux. Christine roule mes boules sous sa langue. Il imprime à ma tête le rythme de ses reins et me viole la gorge. J’ai du mal à respirer, mais je m’applique à lui aspirer son gland.

– « Tu es aussi bon suceur que Christine, tu aimes ma bite » me dit-il.

J’acquiesce de la tête

– « Alors ce soir, nous allons te souhaiter ta fête ».

Déjà que je suis aux anges.

– « Vas-y chérie prépare lui son petit cul ».

Du coup c’est moi qui me retrouve à quatre pattes. Elle me fait une feuille de rose, et m’assouplit l’anus avec sa langue. Alors que je gobe la queue de Marc. Sa langue m’excite, mon cul se lubrifie. Elle me bourre avec deux doigts dans le fion.

– « Il aime ça, regarde sa rondelle s’ouvrir » annonce Christine.
– « Vas chercher tes godes, on va s’amuser » répond Marc.

Il m’appuie sur la nuque pour mieux pénétrer ma bouche. Deux minutes plus tard, elle revient avec quatre ou cinq vibromasseurs, je ne suis pas surpris de voir leur attirail. De suite je suis engodé, ses doigts et sa langue m’ont bien préparé. Elle commence un délicieux va et vient entre mes fesses. De ma bouche prise, s’échappent quelques sons de satisfactions. Mes reins se creusent pour mieux sentir le pieu. Mon cul bien relevé je m’offre totalement à Christine. Je m’applique avec ma langue sur le gland. Elle s’amuse de mon petit trou. Elle rentre et ressort entièrement la trique. Marc s’allonge alors sur le tapis et me demande de venir sur lui, mon cul sur sa bouche. Il lèche mes entrailles puis me pénètre d’un gros godemiché noir. Je lui tête la verge en même temps.

Christine s’est harnachée d’un gode ceinture. Elle se présente devant moi, et je suce sa prothèse. Je sens mon cul dilaté et coulant de mon jus. La queue noire rentre et sort en moi avec facilité. Christine vient se positionner derrière moi et me pénètre à son tour, puis ils alternent les deux godes toujours plus vite et plus fort. Je branle et lèche la bite de Marc, j’exprime mon plaisir. Mon cul va au devant de leur coup de boutoir. Le rythme s’accélère. Et d’un coup ils m’enculent en même temps. Je crie tant la douleur est vive. J’ai l’impression d’être éclaté, ils restent au fond de mon rectum sans bouger. Christine me caresse le dos, Marc me lèche la queue. Les baisers de sa copine dans mon cou me donnent des frissons. La surprise passée, je me détends. La douleur laisse place à une douce chaleur qui m’emplit le bas ventre. Je reprends Marc en bouche. J’ondule doucement du bassin. Mes partenaires recommencent légèrement leurs à-coups. Délicatement les deux godes s’animent et me liment en cadence. Les deux membres restent dans ma cavité, et chacun leur tour, ils me pénètrent au plus profond. Puis je me fais chienne et je leur demande de me défoncer. Alors ils m’astiquent plus vite et sans ménagement avec leurs deux engins. Cette double pénétration me procure une érection. Marc me renverse, lui toujours allongé, moi à genoux, poitrine contre poitrine, je viens me sodomiser sur sa grosse queue. Mon cul gluant est grand ouvert, je m’empale jusqu’à la garde. Christine vient nous rouler des patins. Puis elle me taille une pipe. Mes fesses montent et descendent sur ses bourses, je me décule et me rencule à fond. Il me pince les tétons. Enfin je le sens venir en moi, je passe ma main entre ses cuisses pour lui presser les couilles. Et j’éjacule dans la bouche de Christine.

Après une douche, un peu de repos et du champagne, nous nous sommes occupés de Christine plus tendrement, à l’époque elle ne pratiquait pas la sodomie. C’est peut être pour ça que Marc aimait mon cul. Nos souffles chauds, nos langues ont parcouru tout son corps sauf son sexe. Elle se cabre sous nos caresses. Elle cherche le contact avec sa chatte, mais nous l’évitons, nous la laissons languir. Ses lèvres découvrent son sexe rose, d’où suinte sa liqueur. Toutes les parcelles de son anatomie sont honorées : aisselles, intérieur des cuisses et des genoux, nombril, nuque, lobe de l’oreille, sa bouche, son anus, ses pieds et orteils, sauf son abricot. Son corps est parcouru de quelques spasmes. Ses tétons, durs comme de l’acier, témoignent de son état d’excitation. Je les mordille lui arrachant des petits cris. Ouverte, les jambes écartés au maximum, elle nous espère. Nous prenons notre temps. Elle est chatte en chaleur, son sexe dégouline de sa cyprine. Elle en devient indécente. Enfin, Marc pénètre d’un coup son sexe détrempé, mais pour ressortir aussi vite et me laisse la prendre. Nous la baisons chacun notre tour, mais que deux ou trois coups de reins et nous nous retirons. Son bassin vient chercher nos queues. Elle se cambre plus haut pour venir au contact que nous fuyons. Elle gémit, nous traite de salauds. Son doux nid est trempé. Dès que son corps se convulse, nous recommençons depuis le début, les caresses, les baisers, les petites pénétrations.

Au bout de trois heures de ce traitement, nous l’avons prise pour de bon, nous l’avons labourée, enfin nous avons libéré son plaisir trop longtemps contenu. Ses orgasmes sous nos coups de bélier l’ont envahi. Dès que nous fatiguons, nous nous échangeons dans son con. Christine s’abandonne, elle hurle son plaisir. Plus nous la pistonnons, plus elle se liquéfie. C’est terriblement excitant. Nous avons fini par jouir, en répandant notre sperme sur son ventre. C’était notre première soirée baise ensemble.

Nous avons passé deux ans dans cet appartement. Jamais je n’ai fais l’amour à Christine sans Marc. Je continuais d’avoir des aventures, mais la complicité entre nous trois gênait mes conquêtes féminines. J’avais peu de relations sexuelles avec d’autres hommes, et elles étaient toujours sans lendemain. Jusqu’à ce que Christine et Marc me présente Sylvie avec qui j’ai vécu quatre ans. Nous organisions souvent des petites soirées, épisodiquement nous invitions d’autres couples. Nous préférions nous aimer tous les quatre, et toutes les combinaisons y passaient. Je vous raconterai ces soirées une prochaine fois.

Avec Marc et Christine, tantôt amis tantôt amant, parfois maître et esclave par jeu, nous sommes toujours complices. Je ne me souviens pas d’une dispute entre nous trois. Marc et moi avons commencé nos premiers attouchements à 15 ans, à 17 ans, il m’a défloré l’anus. Mais jamais, nous nous sommes pris la tête avec cette relation, les filles nous plaisaient, et nous avions du succès. Marc me connaît mieux qu’un frère. Nous savons nous comprendre sans se parler, jusqu’où nous pouvons aller et à quel moment.

Souvent aussi nous pratiquions la voile avec Batiste, un ami martiniquais. Nous partions en week-end prolongé ou pour une semaine entre hommes, de Lorient vers les Iles bretonnes avec le voilier de son oncle. Nos sorties étaient mouvementées sexuellement. J’étais leur femme, ils me sautaient chacun quatre à cinq fois par jour, nous profitions du grand large. Mais ce sera l’objet d’une autre histoire.

C’était une époque agréable avec de bons plans sexe, fin soixante dix début quatre vingt. On ne parlait pas encore du sida. Le boulot et l’éloignement géographique ont mis fin à nos parties. Aujourd’hui nous avons réussi nos vies professionnellement et familialement. Nous avons perdu de vue Batiste et Sylvie. Marc et Christine se sont mariés ensemble. Ils sont restés sur Paris. Nous sommes toujours amis et je suis le parrain de leur fille. Mais nous sommes « rangés » sexuellement. Ma femme actuelle ne connaît même pas ce passage de notre vie, c’est notre secret à tous les trois.

Mais je dois avouer que parfois le démon me torture l’esprit, seize ans de fidélité. Nostalgique de cette époque, je continue de m’assouplir l’anus avec des courgettes ou des carottes et à me masturber en cachette. Dès fois qu’un jour, je recommencerai.

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3 réponses à Trio infernal par Phil_du_75

  1. Ivanel dit :

    J’adore lire ces bonnes histoires de partouze bisexuelle. Je suis moi-même pratiquant, c’est si bon de sucer une belle bite bien bandée, puis d’offrir mon trou intime. Tout cela sous le regard des femmes qui m’encouragent en me traitant de pédale et d’enculé (et j’aime bien)

  2. Diri Dindire dit :

    Là où il y a de la bite, il y a du plaisir (bis repetita placent)

  3. Odin dit :

    Moi aussi j’adore sucer des bites !

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