Histoires de bons plaisirs… Remue… Ménage par Verdon

Histoires de bons plaisirs… Remue… Ménage par Verdon

Sans doute, suite à la fin du dernier épisode (028, Mâles habiles…), vous devez vous attendre, chers lecteurs et lectrices, à retrouver Lucie, notre garce de ménagère, revenir chez ses employeurs, la jupe toujours, ras du cul et l’insolence refoulée au fond de sa culotte sûrement déjà trempée !… .

Eh bien, pas du tout !

Georges un peu confus, qui s’est essuyé une sacrée baffe, suite à sa petite (mais si galante) indélicatesse sur les fesses de la chipie, n’en espérait pas moins qu’une petite repentance et un retour à de meilleurs sentiments de la part de notre maltraitante !

C’eut été la suite logique des événements.

On sait qu’une femme qui donne une gifle est une jouisseuse. Fière d’avoir corrigé l’impoli, elle rentre chez elle, toute humide de la jouissance que ça lui a procurée. Quitte, au prochain coup, d’ouvrir un peu la fesse, selon le doigté et la délicatesse du prétendant. (Ainsi, combien de maris ne se doutent pas que certains soirs, si leur coquine se jette sur eux, c’est qu’en la rue ou le métro, elle a capté un p’tit coup d’œil ou mieux, une main sur son cul, ce qui lui a sans doute foutu le feu!).

Donc, vous auriez pu d’entrée de jeu, en lisant ce nouveau récit, découvrir notre petite timorée se faire pardonner le popotin et se prendre une délicieuse dégelée sur son petit cul présomptueux et offert avec engouement à notre Ami Gégé.

Figurez-vous que comme c’est moi l’auteur, et que je n’aime pas les petites vicieuses qui veulent péter plus haut que leur cul, en faisant du mal à leurs complaisants admirateurs, j’ai décidé de changer l’ordre des choses………………….

Ainsi donc j’ai habillé de fond en comble notre pimbêche avant de la renvoyer ‘convenable’ dans la maison de Victor, le tonton, pour y terminer le ménage.

– Bon, ça y est !… Je vous entends rechigner…Une soubrette sous un tas de chiffon, le cul enfermé dans une culotte de bonne sœur et la robe qui descend jusqu’aux chevilles….ça n’a plus aucun charme !… On va aller fouiner ailleurs.

Mais non, attendez que je mette tout cela en branle (si je peux dire ainsi !).

Je sais bien que pipi, caca, trou du cul et grosse fellations c’est votre marotte, (vous avez bien raison…), alors laissez entrer notre pétasse et vous allez voir nos hommes comment ils vont la mettre à l’ouvrage.

Je dis ‘nos hommes’, parce que justement il n’y a qu’eux dans la maison.

Il faut vous dire que la Tantine, Vivianne, est partie ce matin, je ne sais où, et on ne la reverra pas de sitôt.

Elle a la bougeotte cette bonne femme, et le neveu n’est pas loin de penser que lors de ses sorties, elle doit bouger son cul beaucoup plus que ses guibolles, (en fin les deux ensemble…). Mais où est le drame ! (Si à son bel âge elle n’a pas le cul chaud…C’est quand que ça va lui prendre…Nom d’une pipe !). D’ailleurs d’après les revues qu’il a découvert dans son boudoir, le Gégé, il se doute qu’elle doit avoir de bonnes accointances avec la gente féminine, la coquine. Découverte qui lui laisse espérer qu’un jour il pourrait assister à un bel festival ‘œcuménique’, me semble-t-il.

Donc s’il n’y a que deux hommes à la maison…Qu’est-ce qu’elle va se prendre…La Lucie ! Oh la putain !… Elle risque gros !

Mais non, ne craignez rien. On a affaire à des gentlemen, des gens sérieux. Même que le tonton il va tous les dimanches à la messe, (histoire de se faire pardonner ses péchés…Et de regarder de jolies saintes-ni-touche. Il aime bien le curé – on ne sait pas pourquoi ! et des Dames patronnesses aussi, qui lui font des yeux doux quelques fois… Mais pas plus, non pas plus…c’est que sous ces vieilles jupes, les araignées ont tissé leurs toiles depuis longtemps…les pauvres ! Et, attention, il paraît qu’il y en a de venimeuses ! – des araignées…pas des Dames…Quoique….).

Bof !… Ce ne sera que du bonheur (du grand, bien sûr…)… ou du moins bon, ça se pourrait. Mais juste un peu moins bon, là où ça commence à faire du bien alors qu’on croit que ça fait mal ! (Arrête, arrête…non continue…Aïe !… Ouiiii !)…Oups !

Le Tonton, vous le connaissez, c’est un bon gros nounours, gentil comme pas deux, plutôt costaud, aussi bien sûr légèrement brutal (oh ! si peu ! Juste comme les aiment les femmes…), mais tellement bien rembourré ! (Les vieux messieurs, c’est bien connu, ont le bide plus lourd que la queue…).

Quant au neveu…Alors là !… Ce petit cul qu’il a entrevu…..cette chair si fraîche !… et ce bouillonnement dans ses roustons !… Ben, attendons la suite…

Donc notre greluche vient prendre son travail en tenue de carmélite.

Quand elle arrive, pas de réception, pas d’accueil de charme, un bonjour…c’est tout. Aucune réflexion sur sa tenue vestimentaire.

– Madame n’est pas là aujourd’hui, vous pourrez nous préparer le repas de midi, s’il vous plaît. D’autre part, comme il fait chaud aujourd’hui, nous comptons sur votre discrétion quant à vos déplacement dans la maison, vue la tenue estivale que mon neveu et moi-même, pourrions revêtir. Je vous crois déjà avertie en ce domaine.

Bon, la douche froide…Pour être avertie, c’est vrai qu’elle l’a été, notre soubrette…Plusieurs fois, avec Victor elle est tombée nez à bite sur cette fameuse tenue estivale ! La première fois, ça a été dur à avaler …je parle de la présentation, évidemment, pas de la bite (je vous l’ai dit, l’oncle est un gentleman.). Quoique, le coup d’après, c’est la bite qui est tombée toute seule entre les dents de la soubrette…Hi, hi ! (par accident sûrement…).

Maintenant, avec le tonton, ça ne lui pose plus de problème. Elle est aguerrie. Oui, bien guérie, elle n’a même plus mal aux dents maintenant ! Elle mastique … (Ce n’est plus de l’andouillette de Guéméné, c’est plutôt du genre : guimauve !)
.
En plus dans son portefeuille, il a de bons calmants, le vicieux ! Aussi Lucie n’est- elle pas bégueule !… un petit en-cas, dans l’après-midi en l’absence de Madame, ça ne gêne personne. Même pas son mec, car son mec, il est de la pédale, paraît-il…Alors ! il est content quand elle lui rapporte son petit cul bien crémeux, la ‘saligotte’.

Mais vous avez compris qu’aujourd’hui, ce sont deux hommes qu’elle a devant elle…et en plus ils sont presque nus !

Alors un homme ça va, surtout quand on l’a déjà amadoué, mais deux, bonjour les dégâts ! (Ben oui, deux bites et quatre mains…Dix doigts bon sang !… Deux bouches et puis deux langues – quoique là ?- Peut-être qu’avec un peu d’imagination, la pilule doit vite passer… Non ?!… ).

– Oui, Monsieur, je prendrai toute précaution pour ne pas vous déranger dans vos saines occupations.

Leurs saines occupations ! Tu parles…elle les devine déjà leurs occupations à ces deux-là ! Elle est curieuse la chipie et coquine. Sûrement qu’elle va se débrouiller pour aller voir de plus près, leurs belles occupations. Elle commence à regretter d’avoir endossé tout ce tas de chiffons qui lui tiennent plus chaud, qu’il ne la protège de ce voyou de Georges.

C’est que le jeune homme il n’a pas l’air si dangereux que cela. Et là, en sous-vêtement, comme il était quand elle est entrée…qu’il était beau dans son slip blanc !

– Conne que je suis ! Je lui mettrais bien la main dans son joli sac à billes à ce grand couillon !

Eh bien voilà qu’elle commence à s’échauffer la gazelle…Hi ! Hi !… Ils vont la faire transpirer nos deux camarades…La main au cul ça ne lui a pas plu !… Mais le cul sous le nez…qu’est-ce qu’elle va dire.

Ils sont malins nos deux coquins. Ils savent attraper les nanas par le côté qui leur plaît le plus.

Aussi, tous les deux, nus sur le lit en train de faire ce que la morale réprouve mais que les sens adorent, nos deux collègues ont laissé la porte de la chambre, légèrement entrouverte, juste une petite fente, pour laisser passer une mouche….et quelle mouche, vous, vous en doutez !

Aussi notre curieuse, dès qu’elle croit entendre, des grincements et des gémissements, venir de la fameuse chambre, elle se précipite, manche à balai et seau dans la main, pour aller voir par la dite petite fente, les événements qui se produisent en ces lieux.

– Oh Bon Dieu !… Qu’est-ce que je vois ! Se dit-elle tout bas…

En fait elle ne voit rien.

Enfin, pas tout à fait rien…en s’approchant d’un peu plus près….

Elle aperçoit une grosse rondeur qui dépasse effectivement de temps en temps, le montant du grand lit où font la sieste nos deux hommes.

– Ben ! On dirait un cul ! Oui deux globes avec une fente entre les deux. Ça doit être un cul ! Un gros cul !… à tous les coups, le cul de Victor…Nom de dieu !
C’est lui, j’en suis sûr avec son petit grain de beauté à la commissure de ses fesses (c’est sûr qu’elle le connaît ce grain roux, il lui a demandé si souvent de le lécher, ce gros cochon !).

Mais alors, si c’est le cul du patron, où est donc son neveu ?… Qu’est-ce qu’il fout !

– Mais c’est qu’il est entre ses cuisses, le couillon !… Oui, je vois les cheveux du Gégé entre les fesses de son tonton !
Il lui lèche le cul, le dégueulasse ! (Elle n’en disait pas autant, l’autre jour quand il lui avait posé son cul sur le nez…La Salope !).
Putain, qu’ils sont salauds ces hommes !… Mais que font-ils, maintenant !… il lui lèche le troufignon ou bien ils se sucent la bite l’un de l’autre !
J’aimerais bien voir sa bite, au neveu !

Elle ne la voit pas la belle bite. Les hommes se sont relevés, elle n’a pas le temps de l’apercevoir, car elle s’est vite retirée de crainte de se faire découvrir et elle est retournée à son ménage.

Le calme revenu, de nouveau quelques bruits de sommier qui bouge et de petits gémissements…

– Oh ils doivent remettre cela ! Il faut que je regarde.

Comme le montant du lit, lui coupe la vue, elle va chercher une chaise, l’approche de l’ouverture de la porte et en s’appuyant sur le manche du balai, grimpe sur le siège pour mieux voir.

Putain ce quel voit !!!

C’est le cul du neveu qui est là, devant elle, à 2 mètres, pas plus.

Mais pas que le cul.

Ben oui ! Dessous ce cul, évidemment, il y a une de ces paires de couilles !!! Oh grand Dieu… à faire chavirer notre petite ménagère qui n’en a jamais vu d’aussi grosses !

– Oh, putain de morceau ! S’écrie-t-elle…Mais il encule le Tonton, le salaud !

Et ce disant elle s’appuie tellement sur la porte pour mieux voir, que celle-ci s’ouvre, le balai tombe et « patatras » la voilà qui roule en criant, au pied du lit de nos deux amoureux !

Les deux artistes, surpris, bondissent et se précipitent devant le lit pour savoir ce qu’il se passe. Ils se sont plantés au-dessus de Lucie allongée sur le dos, en train de se frotter le genou qui semble ne pas avoir apprécié la chute sur le carrelage.

Honteuse, elle se voile, un peu la face (un tout petit peu…)

– Oh Pardon, Monsieur, j’étais en train d’enlever la poussière au plafond (la fallacieuse !).
– Et tu as pris un grain dans l’œil, bien entendu…pauvre petite…
– Sans doute, Monsieur, je suis confuse !
– Ben voyons, on peut l’être pour bien moins…Mais tu n’as pas pris que de la poussière dans l’œil, ma cocotte ! Il est bien grand ouvert, le coquin, me semble-t-il ! Peut-être un peu curieux. Non ?
– C’est que…Oh, là, juste au-dessus de ma tête…Je n’avais pas remarqué… (salope !)….oh j’ai honte…

En effet, ils sont là, au-dessus d’elle, debout, jambes écartées et service trois pièces à l’étalage.

– Il ne faut pas avoir honte…c’est que du naturel.
Mais dis-donc, que tu faisais-tu, en dehors d’enlever la poussière, là, derrière la porte ?… Qu’est-ce que tu regardais dans l’entrebâillement de la porte ?
– Oh ! Rien Monsieur…Rien !
– Petite menteuse ! Tu nous regardais. Ce n’est pas bien, ça !
Hé Gégé, ne crois-tu pas que cette petite menteuse, mérite une bonne punition ?
– Sûrement mon Oncle…Il faut la corriger, la garce…Voilà qui va la réjouir, la vilaine, on va lui montrer qu’on n’a pas rien entre les jambes, à cette impertinent !

Alors ils la soulèvent, la boniche et Victor, assis sur le lit, la prend en travers de ses genoux, et commence à lui remonter les jupes.

– Mais regarde-moi ça ! Elle n’a pas de culotte, la garce, et c’est tout mouillé là-dessous ! Tu la crois innocente, cette fieffée menteuse, Gégé ?, et elle nous fait glouglou dans son minou !
– Quel beau cul ! Oui, vraiment elle mérite une bonne punition…

Et vlan, voilà une bonne claque qui s’abat sur le gras de la fesse droite et une autre que lui accorde le tonton, et encore une meilleure qui lui vient du neveu qui jouit de la voir faire des soubresauts avec son joli cul. (C’est qu’il a l’air de bien s’y connaître en douceurs, le Gégé ! Je vous l’ai dit, il prend vite de la graine, le filou !).

Le petit exercice dure suffisamment pour que son postérieur prenne cette jolie couleur qui sied si bien à une Dame pas sage et en droit de se prendre une bonne fessée.

– Arrêtez, arrêtez, oui je suis une menteuse…Je ne recommencerai plus…C’est mérité…Pardon.
– Ah, dommage ! On l’aime bien ton petit cul…Va, enlève tout tes vêtements, on va te consoler.

Elle se dénude sans façons, puis à tous les deux, ils la déposent sur le lit, en la cajolant.

Le calme revenu, elle est souriante. Charmeuse elle se remue sur le matelas en balançant ses cuisses et en roulant ses épaules.

Elle a pourtant une petite larme à l’œil, la coquine…Mais ce n’est rien à côté du flot de jus de dames qu’elle débite entre les cuisses.

– Ah ! Diable qu’elle est chaude notre femelle ! Crapule, va !

Tout en disant cela, Victor lui tripote la chatte trempée et lui ‘gansaille’ tellement sa boîte à ouvrage, qu’elle se pâme en criant et en faisant des sauts de truite sortie de l’eau.

Elle attrape Gégé par la main. Il se rapproche et lui tend son gros vit, juste au niveau du visage.

Elle s’en empare, l’examine, lui caresse les roustons, admire le joli gland, hésite puis l’enfourne dans son gosier comme une grosse friandise.

– Humm !… ..Clap !… Clap…

C’est qu’il est bon ce gros nœud…Oh, juste un peu épicé… (Ben voyons ! n’était-il pas, il y a seulement quelques minutes, en train de faire une petite entrée en matière…interrompue par la belle indiscrétion de notre suceuse !).

Il n’en est cependant pas moins bon, l’os à moelle du neveu, bien au contraire. La vicieuse y va tant de ses lèvres et de la langue, que le beau membre prend des allures à rendre jaloux un bel âne.

– Ah mais je vais me la sauter, la bourrique qu’il se dit, le voyou ! en s’apprêtant à lui ouvrir les jambes pour lui faire un ânon !

Victor, allongé sur le dos à côté d’elle, pressentant le danger, la fait virevolter et la couche sur lui.

Les seins durs de Lucie, sur sa poitrine velue, ses deux mains plaquées sur les fesses de la coquine, Victor sent sa pine gonfler comme elle ne l’a plus été depuis longtemps…

– C’est qu’elle est bonne cette petite…Putain je vais me la payer ! (ça fait beaucoup de monde devant le guichet !!).
– Pas très dure, mais plus tout à fait molle, il arrive à la glisser dans la chatte en liquéfaction de notre petite amie qui se colle contre lui.

Gégé se fait siffler la soupière sous son nez, juste au moment où il allait y planter sa louche. Il n’en fait pas une maladie. C’est que la façon dont son oncle écarte les deux lobes fessiers de la gourmande, laisse apparaître un de ces petits trous ronds et noir qui appelle au crime de lèse-majesté, qui n’est d’ailleurs pas un crime, mais plutôt un hommage (un outrage préféreront les autres) aux charmes de la Dame.

– Puisqu’elle a la bouche ouverte (Le cul…pardon) profitons-en, se dit Gégé qui embroche la méritante avec emphase !
– Aïe !… Ouille !… Salaud, tu l’as grosse !… Humm !

Il se la démolit notre soubrette. Il la percute comme un marteau piqueur…Elle crie…

– Oh ! Oui !… Encore …C’est fort…C’est bon…Salaud, connard…

Et le Tonton, là-dessous qu’est-ce qu’il fait ?

Eh bien, il encaisse. Il amortit. Il enserre la boniche à bras le corps, à l’étouffer…Elle gigote, le mord dans le cou, l’insulte, lui arrache les cheveux…

Dans le con de la jeune femme, il sent les à-coups de bite que Gégé lui fout au cul…

– Oui va s’y …C’est bon ta pine… (Il le nique en même temps qu’elle !).

Ça y est, dans un élan sublime, Gégé lâche la sauce, il remplit le colon de la Belle en s’enfonçant au plus profond de son corps et en hurlant de plaisir.

Aplatie comme une grenouille…et empalée ras les roustons de son fouteur, elle agonise de jouissance.

Le calme revenu après un petit moment de récupération, Gégé la libère et retire sa bite du divin petit trou.

Mais quel trou ! Noir, grand ouvert, bordé de traces brunâtres et débordant de crème d’homme qui s’écoule dans le sillon entre les fesses.

Victor dont la quéquette s’est fait la malle depuis un instant, profite de ses mains libres pour tapoter vigoureusement les fesses de la satisfaite. Il reprend sa respiration quand Lucie se lève, se retourne et pose son cul sur le visage de son patron.

Il fait plutôt la grimace Victor, mais il n’a pas le choix. Il barbotte dans la raie du cul de la cochonne qui lui vide les bonnes faveurs de son neveu, en pétant et en vociférant comme une ânesse.

Elle se réjouit de sentir dans son anus encore mal refermé, le bout du nez de ce gros vicieux lui tire-bouchonner les entrailles.

Gégé qui n’est pas le dernier à prendre le dessert, suce la pine du tonton, encore toute laquée de la mouille de notre innocente !
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Tout ce remue-ménage et cet échange de bonnes saveurs animales, personne n’a remarqué, l’entrée imprévue et précoce de Vivianne, la maîtresse de maison qui reste figée et bouche bée devant le trio infernal.

Au premier abord, vexée, jalouse, furieuse, elle s’apprête à hurler sa colère comme une furie…

Mais elle se reprend très vite, estimant, grâce à un second coup d’œil, que la scène est sympathique.

Finalement, elle regarde. L’exhibition est d’une superbe indécence…

– Hi !… Hi !… Mon vieux il s’en prend plein les naseaux…elle est chouette cette petite garce…J’espère qu’elle va lui chier dessus…Waouh ! Avec moi, il n’a jamais voulu.
Et le neveu, je suis sûre qu’il a dû lui trouer le popotin à cette garce !… ça va aider !… Ah le brave garçon !

Elle en est là de ses réflexions, quand la Lucie, toujours en train de se faire limer la raie du cul par Victor, se redresse et tombe en sidération en découvrant sa patronne plantée bouche ouverte face à elle.

Figée, la bouche toute aussi béante que Vivianne, elle ne sait pas quoi dire ni faire et craint beaucoup pour sa place dans la maison.
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Et merde, après tout, elle le connaît bien son mari, alors elle ne va pas nous chier une pendule, la vieille pour si peu, nom de dieu !

…et sur ce, elle te fout un de ces compliments aussi gras que parfumé sur le museau du vieux, sous l’œil épouvanté et terriblement amusé de sa compagne…

Puis saute du lit et va se cacher dans la salle de bain !

– A toi de jouer, la vieille !… … … … .

21/06/2025

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Une réponse à Histoires de bons plaisirs… Remue… Ménage par Verdon

  1. Harivel dit :

    Encore… encore !

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