Martinov 27 – La possession de Pétula – 7- Pétula et sa maman par Maud-Anne Amaro
Réunion de crise chez les Forville
– Bon, commence Gérard, on commence à y voir un peu plus clair, je résume : l’abbé Michel se débrouille pour lancer une application avec chalenge, il valide les inscriptions et se débrouille ensuite pour assurer le service après-vente et empocher la monnaie. Je peux vous demander quels étaient ses honoraires, Sylviane ?
– C’est pas donné.
– C’est-à-dire ?
– C’est-à-dire que je n’ai pas avoué la vraie somme à mon mari.
– Au point où on en est autant tout dire, intervient ce dernier.
– 10 000 euros.
– Avec une dizaine de patientes l’escroquerie est juteuse. Maintenant on peut le faire tomber…
– Comment ? Demande Hubert Forville.
– Il vous faudra porter plainte, si possible conjointement avec d’autres familles, mais bon, ce genre d’enquête peut être long. Alors autant présenter à la police un dossier un peu complet. Ce n’est pas à moi de faire ça, il faudrait par exemple un rapport de détective privé, Béatrice, est-ce que ton amie Brigitte serait d’accord pour…
– Elle ne peut rien me refuser.
– Donc on va s’occuper de ça dès notre retour à Paris, on vous tient au courant bien sûr.
Et voilà que Pétula se pointe, on ne l’attendait pas.
– Excusez-moi d’écouter aux portes. Mais c’est pas bien joli ce que vous faites, vous êtes des briseurs de rêves.
– Quels rêves ? Quand un escroc vend du rêve, le rêve n’est plus un rêve. Rétorque Gérard.
– Vous en avez beaucoup des phrases comme ça ?
– T’as pas compris que l’abbé Michel était un escroc ?
– Bien sûr que si, je m’en bats les couilles de l’abbé Michel, il a profité de la situation, c’est tout…
– Il n’a pas profité de la situation, il l’a créé.
– Hein ?
– C’est lui qui a inventé ce chalenge, rétorque Gérard en expliquant tous les détails de l’affaire.
Pétula a un certain mal à admettre ce qu’on lui raconte .
– J’y crois pas, vous avez des preuves au moins ?
– Plein, on a enregistré ce que nous a raconté Marie, on a la photo du domicile de l’abbé et plein d’autres choses encore.
– Donc tout était bidon ?
– Tout !
– Je me suis cassé le cul pour des prunes. Putain, saloperie, merde, con, cul, poil…
Et après cette envolée poétique, Pétula éclate en sanglots et vient se blottir contre sa maman.
– On se calme, on se calme. Lui dit Sylviane
– Je ne peux pas, je m’en veux de vous avoir fait subir ce cirque.
– T’as fait une connerie, tout le monde fait des conneries…
– Oui mais là j’ai fait fort.
– Certes mais maintenant faut tourner la page. Et arrête de chialer, qu’est-ce que je pourrais bien faire pour te consoler. ?
– Un câlin ?
– Un câlin comment ?
– Un gros câlin comme l’autre fois !
– D’accord. Viens ma coquine !
Dans la chambre de Sylviane, les deux femmes sans s’être préalablement concertées se déshabillent complétement.
– Allonge-toi Pétula, maman va te lécher l’abricot.
N’allez pas croire qu’il s’agît d’une habitude ! Non, non, ce n’est que la deuxième fois que les deux femmes se livrent à ce genre de privauté, la première fois Pétula faisait un gros chagrin, sa mère l’avait rejoint au plumard pour la consoler, les mains se firent caressantes, et les caresses de plus en plus troublantes.
Et aujourd’hui, ça recommençait.
Les deux femmes sur le lit s’enlacèrent avec tendresse. Pétula prenait un plaisir trouble à lécher les tétons de sa mère qui s’abandonnait à cette douce caresse.
Elles gigotaient tant et si bien et dans tous les sens qu’un moment le trou du cul de Sylviane se retrouva pratiquement devant le nez de sa fille.
– Oh, maman, qu’est-ce qu’il est beau ton trou du cul.
– Je n’ai pas souvent l’occasion de le regarder, je ne suis pas contorsionniste ! Plaisanta la maman.
– Si, si, il est mignon, un peu foncé, tout tendre humm, je vais te le lécher.
– Lèche, lèche-moi bien mon trou du cul, ma fille !
La petite langue de Pétula se mit à virevolter autour la petite rosette en éprouvant le gout légèrement acre. L’envie d’y foutre un doigt fut irrésistible. Elle le mouille et l’enfonce.
– Dis donc catin, tu aurais pu me demander !
– Oh pardon, maman, c’est l’excitation.
Et elle alla pour le retirer.
– Non maintenant que me l’a mis, tu le laisses et tu le fais aller et venir… oui comme ça c’est bon, tu m’encules avec ton doigt…
– Hi, hi ! On est cochonne, hein ?
– Après c’est moi qui vais te doigter le cul !
– Oui, oui, je veux bien !
Après cette petite séance de doigtage, Sylviane s’en alla fouiller dans son armoire.et en ressorti avec un long machin souple et cylindrique.
– En voilà une chose qu’elle est bizarre !
– Ça s’appelle un double dong ! On se l’introduit chacune soit dans la chatte, soit dans le cul et on gigotte.
Elles choisirent la chatte parce qu’elles souhaitaient se regarder en se livrant à cette petite fantaisie.
C’est parti pour des grands coups de reins qui font bouger le diabolique instrument. Les deux femmes ne tardent pas à miauler de plaisir et sentir la jouissance monter au terme de laquelle elles s’embrassèrent baveusement.
– Alors ça t’a fait du bien ?
– Un bien fou ! J’ai de la chance d’avoir une maman aussi salope !
– Non mais dis donc !
– Je vais envoyer un message à tout mon carnet d’adresse pour expliquer que l’abbé Michel est un escroc. Suggère Pétula.
– Je ne sais pas si c’est vraiment pertinent, il y des vérités que les gens refusent d’entendre. On va faire autrement, nous avons une amie détective privée assez efficace ..
A suivre
Voilà qui m’a remis en mémoire quelques aventures inavouables… Quand ma mère m’invitait à lui lécher sa moule humide, quel régal !
J’adore ce genre de situations
merci pou ces textes décomplexés