Martinov 22 – Univers parallèles.- 2 – Une bonne fessée pour Marianne par Maud-Anne Amaro
Marianne fut fort étonnée de voir arriver Martinov en plein milieu de la semaine, et en plus sans prévenir, ce qui n’était guère dans ses habitudes.
– Ben qu’est-ce qu’il t’arrive, ta pétasse t’a laissé tomber ? T’aurais pu me téléphoner !
– Je viens juste te demander si tu peux me prêter ton garage deux ou trois jours ?
– Pourquoi,? Tu t’es acheté une bagnole ?
– Non, faut que je travaille sur une cabine d’ascenseur !
– N’importe quoi !
Il lui expliqua…
– Tu sais bien que je ne peux rien te refuser.
– T’es un amour.
– C’est vraiment bête de ne pas m’avoir prévenu, je t’aurais fait une petite bouffe ! Remarque, j’ai des œufs frais, je peux nous faire une bonne omelette !
Le professeur n’osa pas la contrarier.
– Un petit câlin d’abord ?
Marianne n’avait rien d’une bête de sexe, mais Martinov appréciait sa gentillesse et ses rondeurs, quand ils faisaient l’amour c’était souvent à la papa, la pipe et la pénétration quelque fois en levrette mais souvent en missionnaire. Mais parfois les fantasmes de soumission de la dame reprenaient le dessus. Martinov n’était pas contre le fait de la dominer si elle était demanderesse
Et c’est exactement ce qui se passa aujourd’hui.
– J’ai envie que tu me fasses des petites misères !
– Y’avait longtemps !
– Une fessée ! Je veux que tu me flanques une fessée sur mon gros cul.
– Eh bien retire le bas, je vais t’arranger ça.
Marianne ne retire pas que le bas et se met complètement à poil.
– Attache-moi, maintenant les mains et les pieds !
– Si je t’attache les mains, ça ne va pas être pratique pour te donner la fessée.
– Attache-les moi par devant !
– Non, je vais me débrouiller.
Martinov louchait sur les grosses mamelles de sa maîtresse, il avait beau les connaitre par cœur, il ne s’en lassait pas.
– Tu les aimes, mes nichons, hein ?
– Tu le sais bien.
– Ils sont trop gros et ils commencent à tomber.
– N’exagérons rien !
– Alors elle vient cette fessée ? Mais si tu as envie de maltraiter les nichons avant, vas-y, ne te gêne pas.
Martinov n’a rien d’un sadique, mais puisque la chose est un jeu, il joue, et s’emparant des tétons de la Marianne, il les serre dans ses doigts, les tortille, les tiraille.
– Tu me fait mal !
– Oh pardon ! Dit-il en relâchant sa pression.
– Mais je ne t’ai pas dit d’arrêter, c’était bien !
– Ah bon ! Alors on reprend !
– Insulte moi !
– J’aime pas trop tu sais bien !
– Fais pas ta chochotte !
– Tiens, grosse truie, fille à soldat, radasse !
– Tu vois quand tu veux…
– Tourne-toi maintenant que je m’occupe de ton gros cul !
– Oui, mais si tu te mettais à poil, ce serait plus fun !
Martinov se demande d’ailleurs pourquoi ce n’est pas déjà fait, et se débarrasse de ses vêtements en les posant précautionneusement sur le dossier d’une chaise, mais il garde ses chaussettes.
– Ben dit donc, tu bandes comme un cochon ! Viens là que je te suce cette bonne bite.
– Plus tard, pour l’instant c’est la fessée !
– Homme cruel !
– Faudrait savoir ce que tu veux ?
– Je veux une fessée.
Martinov relève un peu les poignets attachés de Marianne pour avoir mieux accès à ses fesses et commence à taper.
– Plus fort ! Je ne suis pas en sucre.
– Oh, mais si tu veux que je tape fort, je vais taper fort, ça va te faire drôle !
– Je veux que tu me marques, je veux avoir les fesses toutes rouges.
Martinov se met à taper comme un forcené, à ce point qu’il finit par en avoir mal aux mains.
– Ça va comme ça ? Demande-t-il.
– J’en aurais bien pris encore un peu !
– Je ne peux plus, c’est moi qui me fais mal.
– Prend un objet !
– Un objet ?
– Je ne sais pas, moi, ta ceinture ?
– Mais Marianne, tu veux vraiment des coups de ceinture ?
– On peut essayer.
– Tu me fais faire de ces trucs, bon, tu vas te mettre à genoux contre le canapé, tu relèves bien tes bras
Martinov se demande si sa maîtresse n’a pas pété un câble, mais quelque part la situation l’excite même s’il se défend d’être amateur de ce genre de pratiques
Il lève sa ceinture et la dirige vers le cul déjà bien rougie de la Marianne, le coup laisse une belle trainée rougeâtre. La femme pousse un petit cri, mais maintient la position.
– Ça va ? Demande le professeur !
– Ecoute, Dédé, tu ne vas pas me demander à chaque fois si ça va ? Quand ça n’iras plus je te ferais signe. Je veux dix coups, allez vas-y et insulte-moi comme tout à l’heure.
– Tiens salope, tiens morue, tiens suceuse de bites, tiens enculée !
Le pauvre Martinov a en la matière un répertoire peu varié et répète sans arrêt les mêmes mots, tout en cinglant durement sa victime consentante dont le cul vire maintenant au cramoisi.
– Voilà ça fait dix, tu devrais aller voir ton cul dans le miroir, il a une vilaine couleur.
– Ah bon ! Détache-moi, tu seras gentil !
– Bien sûr que je suis gentil !
– Parce que moi je suis vilaine, et j’aime bien qu’on me punisse quand je suis vilaine !
« En plein dans son délire, la Marianne ! »
Celle-ci s’en va se regarder dans le miroir de sa salle de bain et revient avec un gant d’eau froide.
– Tiens applique-moi ça sur le cul, ça va me faire du bien !
Martinov se prête volontiers à ce petit intermède, bien qu’il soit toujours énormément excité.
– On mettra un peu de pommade tout à l’heure. Pour l’instant je vais bien te sucer la bite et après tu vas m’enculer.
– Mais avec plaisir ma chère !
Marianne est une bonne suceuse de bites. Martinov ignore où elle a appris ça, il croit savoir qu’il est son seul amant, mais un voile recouvre son passé dont elle évite toujours de parler.
« Et puis on s’en fiche de son passé, du moment qu’elle me prodigue des bonnes pipes ! »
Sa bouche gourmande vient happer la bite du professeur, ses lèvres l’enserrent et la langue virevolte autour du gland turgescent.
– C’est bon, tu suces bien. Continue c’est trop bon
– Ne me jouis pas dans la bouche, c’est dans mon cul que je veux qu’on finisse !
– Alors tourne-toi ! On va le faire !
La femme se retourne exhibant de nouveau son fessier meurtri.
– Non pas comme ça ! Dit le professeur.
– Comment ça : pas comme ça ?
Martinov ne sait pas comment lui dire qu’il ne souhaite pas la sodomiser avec l’image de ce cul meurtri.
– Mets-toi sur le dos et lève tes jambes, je vais t’enculer comme ça !
– Mais ça ne va pas, j’ai déjà mal aux fesses…
– Tu voulais être punie, considère ça comme une punition.
– Alors d’accord.
– Et puis c’est pas si mal, je peux te regarder te palucher en même temps et je peux mater tes jolis seins.
– Bon, alors tu m’encules ou tu nous fais un discours.
Martinov approche sa bite, la Marianne a tellement mouillée pendant la flagellation que même son cul est imbibé. Et après qu’elle se soit mise dans la position adéquate, Martinov la pénètre avec une facilité déconcertante.
L’affaire ne traine pas, aussi excité l’un que l’autre, la sodomie se déroule à un rythme infernal, la bite entre et sort comme un piston de locomotive. Marianne piaille, gémit et finit par hurler, Martinov accélère et jouit comme une bête en rut.
Ils tombent ensuite dans les bras l’un de l’autre mélangeant leurs langues.
– Ça ne te dérange pas de me faire une petite course, je n’ai pas trop envie de sortir ?
– Non, tu veux quoi ? De l’homéoplasmine chez le pharmacien, je vais te marquer le nom.
– Mais ça va être fermé !
– Non ils ferment à 20 heures, t’as juste le temps
– C’est pourquoi faire ?
– Pour me pommader le cul !
Jeudi 20 février
C’est donc le lendemain en fin de matinée que Beautilleux repassa au domicile du professeur Martinov.
– On va pouvoir faire affaire ! Annonça ce dernier, j’ai trouvé un sous-traitant pour les circuits et un local pour la cabine.
– O.K ! Vous aurez les circuits quand ?
– Mardi matin ! Ma collaboratrice les récupère chez le sous-traitant et je pourrais travailler dessus dans la journée.
– Parfait, je déposerais la cabine lundi soir, donnez-moi l’adresse !
– Voilà, c’est indiqué sur ce petit carton.
– Ce sera donc terminé mardi soir ?
– Soyons raisonnable, donnons-nous un délai, on va dire mercredi en fin d’après-midi. Euh pour le paiement…
– Je passe à la banque demander un chèque de banque, je vous le déposerais dans votre boite aux lettres cet après-midi.
C’est alors que Béatrice intervint :
– Simple curiosité, mais vous allez présenter votre attraction dans quel cadre ?
– Je suis en négociation avec Disneyland et le parc Astérix !
– Un monde parallèle chez les gaulois ?
– Ben oui, pourquoi pas ?
En fin d’après-midi, Martinov eu la curiosité de regarder sa boite aux lettres. Il y avait effectivement une enveloppe contenant un chèque de banque de 7 000 euros auquel était joint un petit carton : « le chèque est daté de jeudi prochain, merci de ne pas l’encaisser avant cette date ». Il s’en étonna auprès de Béatrice.
– Un chèque de banque antidaté, c’est la première fois que je vois ça ! C’est légal au moins ?
– J’en sais rien, mais si c’est un gros client…
– Hum…
A suivre
Un chapitre de transition, dira-t-on, Mais fesser Marianne cela doit être interessant, non ?