Sex Addict par Ryan
J’avais 40 ans et cela faisait 20 ans que nous étions mariés. Nos premières années avaient été partagées entre les grossesses et le sexe à tout va. Mais entre nous deux car nous n’imaginions pas autre chose.
Cela faisait quelques temps que l’idée me taraudait de faire autre chose. Car baiser la même femme pour moi et le même homme pour elle devenait lassant.
Dans mon adolescence j’avais lu pas mal de revues porno et je me branlais au moins une fois par jour. Puis vint la rencontre avec ma future femme. Ce furent des mois de sexe à deux, tout au moins de préliminaires, de branlettes, de caresses, d’éjaculations. J’avais trouvé une petite salope qui savait s’y prendre avec moi. Moi j’étais pas très doué avec elle. Elle me laissait tripoter ses seins et son entrecuisse. Je m’énervais parce que je n’arrivais pas à la faire jouir, enfin ce que j’imaginais la jouissance pour une femme.
Elle n’arrêtait pas de me dire que je ne savais pas y faire. Et moi je m’entêtais, ce qui l’amusait. Un jour, elle me laissa glisser entre ses cuisses et je me mis à lécher son joli con.
Elle n’était pas très poilue, ce qui ne m’empêcha pas de lui dire que je n’aimais pas les poils. Cette première fois, elle me laissa faire, mais je fus incapable de faire le distinguo entre ma salive et son plaisir. Elle poussa quelques cris, me traita de cochon. Je ne sus jamais si j’avais été bon.
On se voyait deux fois par semaine, le mardi soir et le samedi. Elle m’avait raconté que ses parents n’aimaient pas qu’elle traîne et je la ramenais chez elle avant minuit chaque fois.
Je venais de la prendre et je conduisais en direction de la Loire quand elle remonta sa robe et écarta ses cuisses.
« Ça te plaît comme ça ! »
Je tournais les yeux. Elle avait tout effacé ! Plus un poil. Elle me prit ma main droite et la guida sur sa motte. C’était tout doux. A 18 ans, elle avait encore la chatte d’une jeune fille, une fente mince d’où rien ne dépassait. Ah ! Jeunesse !
J’avais du mal à conduire et j’en pouvais plus. Mes doigts sur ses chairs ! Je m’engageais dans un chemin au milieu des champs de blé et j’arrêtais la voiture.
J’aurai bien aimé la baiser mais jusque-là elle n’avait jamais voulu. On se regardait, les yeux dans les yeux. Elle souleva sa robe sur ses hanches, plus haut encore pour me permettre de toucher ses seins comme elle me le laissait faire à chaque fois. La première chose qu’elle faisait quand elle sortait de chez elle était de retirer culotte et soutien-gorge. Je la voyais faire au travers de la grille. Elle se cachait derrière le petit pavillon abandonné qui avait servi au jardinier du temps de sa grand-mère. Puis elle courait vers moi.
Au moment où se termine ce récit arrivera la révélation. Je ne sais pas si c’est cela qui a fait que j’ai désespérément cherché ça. Son père venait de mourir. Ma femme me révéla qu’il avait été, toute sa vie, homosexuel. Depuis le temps que ça me travaillait, ça me fit un choc de savoir ça.
Ainsi donc notre plaisir sexuel s’était émoussé. Mais revenons à nos premières années. Je tripotais sa poitrine depuis quelques minutes et on s’embrassait sur la bouche. Presque à chaque fois c’était la langue de ma femme qui travaillait la mienne. Elle me prenait la tête et faisait tout le travail.
Comme pour le reste, elle m’a toujours reproché mes pulsions. Ses pulsions ! Puis sa main s’est emparée de ma verge et elle a commencé à me branler. D’habitude, après quelques branlettes, elle venait me sucer puis, sentant la progression de mon désir, elle me reprenait en main et me faisait jouir. Elle recueillait mon sperme dans le creux de sa main puis le laissait s’égoutter sur le sol, la main à travers la portière puis sortait un mouchoir en papier pour s’essuyer la main.
Du même coup, elle m’essuyait le gland et me remballait mon trio. Puis elle se rhabillait et je la ramenais chez elle.
C’est seulement après notre mariage que ma femme acceptera d’avaler mon sperme.
Mais ce jour-là, elle repoussa ma main, avança ses fesses sur le bord du siège, faisant galber la courbe de sa chatte. J’étais fasciné. Elle avait joint ses pieds, dessous du pied gauche contre dessous du pied droit, ce qui faisait un parfait losange et l’obligeait à maintenir ses cuisses bien ouvertes.
Et là, sous mes yeux, avec son index, elle commença à se masturber. Elle passait son ongle dans la fente. Petit à petit, sa vulve gonflait et la fente s’écartait. Puis je vis cette chair rosée, ses petites lèvres, le V inversé. Son doigt glissait dessus en souplesse. De temps en temps, il quittait la vulve pour s’humecter dans la bouche. On dit de certaines femmes qu’elles ont une bouche à faire des pipes. Ce n’était pas son cas, mais ça viendra avec le temps et l’expérience. A force de me sucer, ses lèvres ont changé de forme, sont devenues plus goulues. Un jour que je l’attendais à la terrasse d’un troquet, un couple assis à côté de moi a convenu que ce devait être une bonne suceuse, vu la forme des lèvres. Quand ma femme s’est assise à côté de moi, ils se sont éclipsés, sans doute de honte d’avoir dit ça. Mais c’était la vérité et ça l’est toujours.
Fasciné par le travail du doigt, je n’avais pas prêté attention à sa poitrine qui changeait, les aréoles qui fonçaient et les mamelons qui se tendaient. Ma copine gémissait et poussait aussi des cris incompréhensibles. Mais, petit à petit, je finis par trouver que ça ressemblait à ceux que je poussais pour m’encourager vers la fin, juste avant de jouir.
« Ah ! Mon Dieu ! »
Ce fut son dernier cri. Elle avait posé sa main sur sa vulve, doigts écartés comme pour cacher son forfait. Les mamelons étaient durs et m’impressionnaient. Puis je vis la main bouger, les doigts se resserrer. La main remontait sur le ventre, l’index pianotait sur le haut des lèvres. Je savais que ça s’appelait le clitoris. Elle jouait avec. Sa bouche était fermée, les lèvres serrées. Je sais que c’est pénible chez certaines femmes que de le toucher quand on a eu un orgasme. Une fois, je l’ai mordu. Ma femme m’en a voulu pendant longtemps. Elle qui ne me disait rien quand je lui mordillais les mamelons.
Elle avait la main sur son ventre nu et elle reprenait son souffle. Alors, malgré la peur de sa réaction, j’avançais ma main, touchais ses cuisses mouillées, huilées, luisantes. Je remontais mes doigts vers sa vulve, la touchais, en touchais les lèvres. Et là, nos mains se sont rejointes. J’avais la main gauche pleine de son jus. Et là-haut, ces seins qui ne demandaient que ça. Je posais ma main dessus.
Elle ouvrit les yeux.
« Cochon ! »
Comme si c’était de ma faute ! C’était toujours comme ça, elle prenait du plaisir et c’était de ma faute !
En tout cas, c’était la première fois qu’elle se masturbait devant moi. Elle s’essuya les cuisses. Son jus avait coulé sur le siège. Heureusement c’était du skaï, je n’aurai pas trop de mal à le nettoyer. J’étais encore plus fasciné. Elle avait vidé une pochette de mouchoirs en papier, s’en tamponnait la vulve, jetait le papier par la fenêtre, en prenait un autre et recommençait.
Puis elle se tourna vers moi :
« Tu me ramènes ? »
Je ne lui racontais pas, mais une fois dans ma chambre, je me branlais, rageusement et jouissais en quelques minutes, deux tout au plus. Et je pensais à ce foutre que je gaspillais, d’autant plus que j’avais vu ce magnifique con qui m’était destiné.
Destiné, oui. Jusqu’à ce jour je n’avais qu’une copine. Je devins décidé à épouser cette fille. Ces nichons, ce visage pas trop moche. Elle gardait des cheveux longs qu’elle maintenait en chignon ou laissait tomber sur ses épaules. Jusqu’à l’âge de 30 ans elle les gardera si longs qu’ils atteignaient le haut de ses fesses. Quand elle les coupera ça sera pour moi comme si j’avais une autre femme.
A notre rencontre suivante, je lui dis que je voulais qu’on se marie. Il y a des questions qu’il ne faut jamais poser à une femme. Je lui avais demandé si elle avait connu beaucoup de garçons. A ça elle me répondit que si j’étais jaloux on ne serait pas heureux ensemble et pendant quelques mois il y eut un froid entre nous.
Mais le désir était tel que nous fûmes assez vite rabibochés. La belle-mère semblait m’avoir à la bonne, le beau-père je ne savais pas mais plus tard ça s’est arrangé. Ma future belle-mère, d’avoir fait 6 enfants lui avait fait avoir une poitrine longue qu’elle ne cachait guère, portant tout le temps des robes décolletées. Pendant longtemps je me suis imaginé que je ferais l’amour entre ses gros nichons.
La baise, la baise, la baise. Nous autres, jeunes mariés, ne pensions qu’à ça. Je l’avais eue enfin, cette fente mystérieuse, pendant la nuit de noce, vers les 6 heures du matin, dans l’hôtel où nous avions fait la noce.
Nous étions allés dans notre chambre, fourbus et j’étais allé dans la salle de bains me laver les dents. Quand j’étais revenu dans la chambre, elle était allongée sur le lit, entièrement nue.
« Prends-moi ! Il y a si longtemps qu’on attend ! »
Je m’étais jeté sur elle, l’avais prise, avais jouis ton mon jus au fond de son vagin et on s’était endormi. Au matin, je la regardais, elle était sur le dos, cuisses ouvertes, main emprisonnant sa vulve. Je la réveillais d’un baiser.
Ce que j’aime en elle c’est qu’elle aime se balader toute nue. Nos garçons ne lui en ont jamais fait la réflexion, mais notre fille aînée un jour lui a dit.
Je passe sur les grossesses qui ont émaillé les premières années de notre vie commune. Cinq enfants en six ans. Ce que ma femme en a gardé c’est une poitrine qui s’allongeait chaque année. Pas un kilo de trop. Juste les ans qui passent, les rides qui viennent dont une magnifique dans le sillon de ses seins.
Ainsi donc, les années ont passé. Le désir s’est émoussé. Pour le vaincre, nous avons commencé à regarder des films pornos, puis à en louer que nous regardions dans notre chambre avant ou pendant qu’on faisait l’amour. Mon goût s’est porté sur les actrices aux énormes seins naturels et plus tard à celles à la poitrine bourrée de silicone.
L’acteur préféré de ma femme a toujours été Roco Siffredi, à la verge sans pareille. Mais ce qui nous réunit tous les deux c’est de voir le pénis qui pénètre un vagin, le mouvement merveilleux des chairs qui s’allonge et s’enfoncent à chaque coup de piston. J’ai toujours eu un coup au cœur de voir une verge pénétrer dans un cul. C’étaient des femmes qui se faisaient mettre, parfois par deux types à la fois. Le sperme qui s’écoule ou qui jaillit émeut toujours ma femme et moi je dois dire que ça m’émeut aussi.
Ainsi donc, nous nous encanaillions et toutes ces vidéos nous permettaient de pousser le bouchon un peu plus loin. Un jour j’ai eu l’idée de proposer d’introduire un autre homme, une autre femme ou un couple dans notre couple. Ma femme n’a pas voulu sur le coup. Je la baise en levrette. Je la baise toujours en levrette, il n’y a que ça qu’elle accepte et à mon avis c’est la seule façon de baiser une femme.
Quelques vidéos nous avaient permis d’imaginer ce que serait notre passion pour le sexe partagée avec d’autres. Un couple d’amis avaient caché une caméra pendant qu’ils recevaient des amis très spéciaux et nous en avaient passé la cassette. De voir avec quelle facilité ils se pliaient aux volontés de l’autre couple m’avait fait bander. Serait-il possible qu’eux et nous puissions nous accorder. La façon dont ils faisaient la chaîne, l’un baisant l’autre et l’autre baisant l’un…
Il y a plusieurs années, devant aller aux Pays-Bas pour mon boulot, j’en avais rapporté un couple de godemichés. Que les femmes sont compliquées ! En les voyant, ma femme m’avait rétorqué que jamais au grand jamais elle ne se servirait de ça. D’ailleurs tant qu’on baisait ensemble nous n’avions pas besoin de ça ou de nous masturber. Mal m’en avait pris. Elle savait bien que parfois je me branlais à ce que j’étais incapable de la prendre ! Mais je me branlais aussi dans le lit, avec elle à mon côté. Elle dormait. Je me branlais.
Elle ouvrait un œil, me demandait ce que je faisais. J’avouais que je me branlais. Elle me traitait de cochon et se rendormait non sans m’avoir conseillé de ne pas salir le drap.
Mais elle avait fini par céder. Je les apportais dans le lit et jouais avec sur son corps, caressait ses seins, ses cuisses. Un jour elle m’a laissé faire.
J’étais fier de la pénétrer avec un godemiché. L’un était fin, l’autre épais. Elle m’avait affirmé qu’elle ne jouirait pas. Mais avec le gros, ce fut impossible. Elle avait gémit du moment où j’avais commencé à la pénétrer. Ce godemiché était bien plus gros que mon sexe. Elle avait même écarté les cuisses encore plus. Et puis ce truc planté dans son ventre c’était merveilleux !
Je n’en avais jamais assez. Chaque fois qu’elle me présentait ses fesses en levrette, j’avais envie de pénétrer sa rosace. Avec les ans sa vulve devenait expérimentée comme celle d’une pute ! Ses petites lèvres étaient comme des steaks qui pendaient entre ses cuisses entre les boursouflures de ses grandes lèvres et il n’était que de voir son clitoris pointer après chaque orgasme.
Je venais de la baiser et ma femme restait fesses en l’air, juste une main entre les cuisses pour empêcher mon sperme de refouler sur ses cuisses. Je lui dis que j’allais mettre un bouchon et avant qu’elle ne put répondre, j’avais enfoncé notre gros gode dans son vagin. Il avait disparu presque complètement. Ses doigts posés dessus comme si elle ne voulait pas qu’il ressorte. J’ai continué en caressant ses cuisses et ses fesses avec le petit godemiché. Le jus de son orgasme avait laissé des traces dans lequel j’huilais l’outil puis je l’enfonçais dans l’anus de ma femme qui aurait bien voulu hurler mais elle avait la tête dans l’oreiller. Toutefois, je touchais ses seins pour la calmer, en tirait sur les mamelons et de mon autre main caressait ses fesses.
Ce n’était pas la meilleure position ni le meilleur moment. Enfoncer une bite ou un gode dans un cul plein de merde ! Il vaut mieux déféquer avant et faire un lavement pour profiter de la place. Mais là, je n’avais pas réfléchi. Le gode était à moitié enfoncé dans l’anus. D’avoir pincé ses mamelons et caressé les seins fit que ma femme se calma. Elle resta là, plantée de deux magnifiques godes dans ses orifices. Elle ouvrit la bouche pour me dire que ça continuait, que je n’avais pour idée que de faire d’elle une putain.
Inconsciemment ou imprudemment, je lui dis qu’elle pourrait me le faire si elle le voulait. Finalement, il était temps de dormir et elle se leva pour se laver. Je la regardais aller vers la salle de bains, sa main toujours entre ses cuisses, retenant les deux godes ! Ses seins godaient. Ils ont toujours godé, le mamelon et l’aréole sur le dessus, le sein flasque sauf lorsqu’elle était enceinte, les seins posés bas, bas. Je me disais souvent que j’avais vraiment épousé une femelle.
Une vraie femelle. Même si elle n’était plus aussi belle que quand je l’avais connue, son corps n’était qu’un appel au sexe. Quand je regardais son cul, je pensais aussitôt qu’elle devait se mettre en levrette. M’avait-elle jamais déçue ? Chaque fois que j’en avais besoin, elle me laissait la baiser. Comment aurait-elle trouvé le temps de me le demander puisque je ne lui laissais jamais la moindre initiative. Ses seins, bien qu’infiniment plus petits que des mamelles de vache, étaient des mamelles avec leurs gros mamelons. D’ailleurs, quand elle aura du lait, on louera une pompe pour lui tirer le lait en surplus, malgré le fait d’allaiter un enfant et un mari amateur lui aussi !
Sa vulve, un garage à bites ! C’est dommage qu’elle n’en ait pas connu assez. Sa bouche d’en bas, comme je dis, avez les lèvres goulues qui rivalisaient avec celles de sa bouche d’en haut, qui sucent si bien ma bite ! Je regardais ma femme. Elle s’enleva le gode de l’anus avant de s’asseoir sur le bidet, puis fit couler l’eau, versa quelques gouttes de produits sanitaire dans l’eau et se leva pour aller s’asseoir sur la cuvette des chiottes et vider la merde qui l’encombrait. Le gros gode tomba dans la cuvette et elle le repêcha avant de le jeter dans le lavabo. Puis ma femme se rassit sur le bidet, saisit la poire à lavement et commença à se rincer par devant puis après par derrière. Ça m’a toujours excité de la voir faire, s’enfonçant l’embout et pressant sur la poire et l’eau qui jaillit tout autour, des fin fonds de sa vulve.
Tout ça avait fait que sa vulve était encore gonflée, malgré l’abandon du clitoris. Il lui arrivait le soir de se passer une crème adoucissante sur le visage, surtout par temps sec. Elle s’en mettait aussi sur les mamelons, les aréoles. C’est toujours très excitant. Comme à la plage, quand nous étions seuls, elle me faisait lui mettre du produit sur le dos et me laissait lui en mettre sur les seins, chose qu’elle faisait toute seule quand il y avait du monde.
Tout ça avait pris un moment. On a toujours dormi nus dans le lit. J’ai jamais toléré qu’elle mette une chemise, si sexy soit-elle, tout ça parce que je veux pouvoir la tripoter quand je veux.
Alors, on s’allonge dans le lit, je me serre contre elle qui me dit qu’il est temps de dormir.
« Cochon ! Tu ne penses qu’à ça ! »
C’est sa rengaine ! Que j’ai toujours les couilles pleines, la bite dressée, ma femme ne comprend pas que c’est la nature qui est faite comme ça !
Elle voit bien que je bande. Je lui enfonce ma bite dans les reins. Elle me dit que je peux la pénétrer mais pas plus, comme nous faisons souvent en nous endormant. Je passe mon bras sous le sien, attrape ses seins, me serre, me frotte. Elle écarte sa cuisse, je glisse ma bite. Sa main la saisit et la guide dans son intimité.
« Tu ne penses qu’à ça ! »
Mon œil ! Elle aussi elle y pense parce que dans son vagin c’est très accueillant.
Soudain l’idée de génie. Il me faut en profiter !
« Je veux t’enculer ! »
Ma femme dit que je ferais mieux de dormir. Je laisse ses seins pour son ventre, je dégaine pour rengainer aussitôt dans son trou du cul ! Elle me dit que je lui fais mal. Je fini par trouver la meilleure position. On s’endort. Au matin quand je me lève, elle est déjà sortie du lit. Je la retrouve dans la cuisine en train de préparer le petit déjeuner. Quand je la vois la première fois au matin, pour salut, je lui touche les seins, le ventre, je me serre contre elle puis je lui fais un baiser dans le cou. Quand elle avait du lait, je pressais ses seins ou elle le faisait pour me mettre quelques gouttes dans mon café. Ça l’a toujours fait rigoler. La prendre sur mes genoux, attraper un sein, le sucer, être repoussé pendant que madame presse son sein pour faire monter son lait, pendant que le bébé réclame son dû. La première gorgée est pour moi, sein gauche, pendant qu’elle prépare son sein droit.
J’ai remarqué que presque toutes les filles, ma mère et ma grand-mère comprises ont souvent le sein gauche un quart plus gros que le sein droit. C’était encore plus vrai quand ma femme était enceinte. Ça toujours été son problème quand nous allions sur la plage et qu’elle fait sein nu. C’est vrai. Plus les seins grossissent, plus la différence est grande.
Je lui pressais les seins, papouillait dans son cou quand elle me reprocha gentiment ce que je lui avais fait la veille dans la nuit.
« Je ne suis pas une putain ! »
Elle se mit à rigoler.
« Tu me fais faire de ces choses ! »
Je lui dis alors qu’il n’y avait pas grand-chose que nous n’avions fait. Elle rigola encore en disant que nous n’avions pas encore fait l’amour à trois. Dites que vous voulez une autre femme et elle vous rétorqueront qu’elles préféreraient plutôt un autre homme.
Mais elle n’en dit mot.
« Tu n’as pas aimé ? »
Ma femme dit que non. Je lui fis la remarque que sur les vidéos, les filles semblaient apprécier… Elle resta un instant sans parler puis dit qu’elles avaient l’habitude. Je répondis que s’il n’y avait que ça, j’aimerai bien qu’on le fasse, plus souvent ! Elle répéta que ce n’était pas le moment, que les enfants allaient se réveiller. Elle était enceinte de quatre mois et son ventre commençait à me plaire. Ses seins avaient enflés encore une fois tout de suite.
« Oh ! Puis non, je veux pas ! »
Mais elle avait eu l’imprudence de se baisser pour ramasser le torchon et me présentait ses fesses. Au milieu, la cible tant désirée. Je bandais assez pour essayer et réussir mon coup. Les mains glissées sur ses hanches, je l’enfilais. Ce fut un peu difficile. Dans le sexe, ma femme ne se défend qu’en paroles puis cède. Ce fut le cas. J’étais bien au fond de son trou du cul, mes couilles pressées sur ses fesses.
« Dépêche-toi alors ! »
Ce fut vite fait. En quelques minutes mon foutre avait jailli au fond de son cul, Le torchon servit à essorer le trop plein de son cul et elle s’échappa vers la salle de bains, la main pressée sur ses fesses, serrant le torchon.
J’entendis le rinçage, l’eau couler. Ma femme revint quelques minutes plus tard, s’assit face à moi.
« Tu ne penses qu’à ça ! »
Ce fut au tour des enfants. Elle a toujours été rationnelle, pas un instant de gaspiller. C’était un samedi matin. Je ne travaillais pas. Je ne pensais qu’à une chose en faisant ma toilette : rebander pour monter une nouvelle fois ma femelle !
Certains diront que j’en faisais une fixation. C’est vrai que pendant toute cette période je baisais une fois son con, deux fois son anus. Ma femme semblait y prendre goût. Quand j’arrivais du travail, elle m’accueillait sur le perron, son gros ventre en avant, ses gros seins replets s’étalant au sommet.
Comme de hauts murs entouraient la maison, je lui avais demandé de rester nu, en ce bel été, sauf lorsqu’elle allait faire les courses et promenait les enfants. Je montais les marches du perron et j’admirais sa vulve épilée, les grandes lèvres enflées et les steaks des petits qui pendaient au milieu de ses cuisses. J’y mettais la main et les doigts avant tout, puis pressais le gros ventre, tripotais les mamelles tremblantes et enfin lui collait un baiser avec la langue. Après j’embrassais mes enfants. Enfin seuls, ma femme s’étalait dans le fauteuil et m’écartait ses cuisses pour que je puisse, agenouillé, y coller ma figure, lécher ce con tant désiré. Pendant ce temps elle se tripotait les seins.
Elle n’aimait pas sa poitrine au début, effrayée de ses aréoles immenses mais j’ai fini par lui faire aimer pour qu’elle en saisisse les pointes, tire dessus, tortille ses mamelons, soulève ses seins. Hélas, elle n’est pas très sensible des seins. Des pis de vache je vous ai dit !
La femme enceinte aime être baisée. Elle me suppliait de la prendre au con mais je préférais l’enculer. C’était nouveau pour nous. Un soir, la levrette emmanchée dans le cul par ma bite me demande si je sais ce que c’est de faire ça. Je ne comprenais pas. Je ne voulais pas comprendre. J’avais joui. On s’allonge, elle derrière moi, innocemment, et joue avec ma bite. Et d’un coup je sens une chose qui me pénètre dans l’anus. C’est un gode. Ma femme me gode, m’encule, me branle, me fait jouir une deuxième fois.
Depuis ce jour, j’ai envie d’un vrai sexe, dans mon cul. Nous avons rencontré des couples, en vacances surtout mais jamais au grand jamais les maris n’ont voulu faire cela. L’une des meilleures positions c’est un homme dessous qui prend le cul de la femme, au milieu et devant elle l’autre homme qui la baise dans la vulve. Et la seconde femme, direz-vous, eh ! bien, elle se fait lécher par la femme baisée.
Comment est-ce arrivé ? J’étais au boulot. Je vais dans le bureau d’un collègue et je le surprends en train de se branler face à la fenêtre. L’autre ne se démonte pas et me demande tout de go si ça ne m’arrive jamais. Je dis que non, mais je mens. Il me dit qu’il a toujours pensé que j’aimerai sucer sa bite. Me voici à genoux, la bite de mon collègue dans la bouche, sans pouvoir parler. Il jouit dans ma gorge et j’avale. Et je panique. Il me certifie que je suis le premier. Que je peux faire un test et que j’en serais pour mes frais. Il y a si longtemps que je n’ai pas fait ça, depuis mon adolescence…
Quelques jours plus tard, j’en avais encore le goût dans la bouche même si j’avais goûté mon propre sperme dans le vagin de ma femme. Ma femme ne se rendait compte de rien. Je sors le soir pour prendre ma voiture au parking.
Une voix. Mon collègue est garé juste à côté et me demande de le suivre. On roule jusqu’au petit bois. On sort.
« Encule-moi qu’il me dit, je n’ai jamais connu que des godes ! »
Et il baisse son pantalon. Pour moi la panique c’est surtout que je bande puis je l’encule mais je jouis sur ses fesses et lui me dit que par récompense, il va m’enculer à mon tour. Je n’ai plus qu’à démasquer mes fesses, me laisser faire. Ce que m’a fait ma femme va me libérer, je reçois la verge, bien au fond, les couilles qui s’écrasent sur mes cuisses, le foutre qui jaillit tout au fond. Et le voici qui se retire, qui m’essuie et qui me demande de pousser et j’évacue son foutre et ma merde et ma timidité.
J’aime ça je dois dire, presque autant que me branler ou de prendre une femme
Quel fouilli ! Cela aurait mérité d’être travaillé, structuré…
C’est vraiment très maladroit aussi bien dans les mots que dans certaines situations
il y a dans ce texte plein de choses qui feraient très joli dans un bêtisier :
« A force de me sucer, ses lèvres ont changé de forme, sont devenues plus goulues… » pour ne citer que la plus surprenante ! »