Depuis le temps que je pratique le libertinage, mes sorties se divisent en 2 catégories : les sorties en club et les rencontres en privé (hôtel ou plus rarement chez le partenaire).
J’avais fait le serment de tester une troisième catégorie en 2014 : les après-midi ou soirées organisées par des « asso’s « indépendantes.
C’est à présent chose faite.
Mon choix se porta sur une » Travo afternoon » organisée par » Translips » dans un appartement à Anvers.
Mon amie travestie Mona et moi-même sommes arrivées dès le début de l’évènement, qui ne durerait que 4 heures au total.
Nous étions quasi prêtes, le maquillage et les vêtements étaient déjà en place, il nous fallait juste encore changer de chaussures et se donner un petit coup de peigne avant de pouvoir explorer les lieux.
Quelle ne fut ma surprise en sortant du vestiaire, de trouver immédiatement sur mon chemin un visage connu ! Il s’agissait d’un jeune homme que je croise régulièrement au club Goesting et avec qui je m’entends très bien. Lui aussi était surpris de me voir, c’était sa première visite dans cet endroit et il semblait content de m’y retrouver.
L’une des organisatrices, Ellie, nous proposa de boire un verre de Cava. J’acceptai avec plaisir, tout en me lovant dans les bras de mon ami, qui était assis sur une chaise haute. Très vite, il releva ma jupe et je sentis son sexe durcir au contact de ma peau désormais nue. A présent je lui tournai le dos et, mes talons hauts solidement plantés dans le sol, les jambes bien tendues, je basculai légèrement les fesses vers l’arrière pour aller à la rencontre de sa queue qui, lentement mais sûrement trouva son chemin dans ma petite grotte. Je pense que c’est la première fois que je baise en buvant du Cava. C’était assez sympa ! A refaire ! Nous avons tout de même terminé nos galipettes de manière plus classique, sur le lit de la mezzanine (où il règne une chaleur étouffante).
J’avais repéré un mec, Nord-Africain, que j’avais déjà croisé plusieurs fois au club Aphrodisia (ben oui, à force de fréquenter les clubs assidûment, on finit par connaître un peu tout le monde à la longue). Il se tenait debout, en appui contre un divan, le sexe à l’air. Je m’accroupis pour lui sucer la queue et lorsqu’elle est bien dure, je lui propose d’enfiler une capote pour me prendre. Mais non, Môssieur veut que je poursuive mon œuvre de succion. Je sens qu’il exerce une pression avec ses mains contre ma nuque afin de m’empêcher de retirer la tête et sans prévenir il jouit au fond de ma bouche. Je m’arrange pour laisser son jus s’écouler de mes lèvres (j’aime avaler uniquement si j’estime que le partenaire mérite ce traitement de faveur, et ici, ce n’est clairement pas le cas). Le mec s’en va, me laissant là devant une flaque de sperme sur le plancher, c’est encore moi qui peux nettoyer ses crasses ! Je savais déjà que ce type n’était pas très causant mais là je me rends compte qu’il ne respecte absolument rien, et surtout pas les T-girls avec lesquelles il est pourtant le premier à vouloir jouer. Cette fois-ci on ne m’y reprendra plus : la prochaine fois que je le croise, et même s’il n’y a que lui à se mettre sous la dent, je préfère encore danser la polka en tutu sur les Champs Elysées que de m’offrir à lui !
Pour me remettre de ces émotions, un petit verre de Cava s’impose. C’est là, au bar, que je fais connaissance d’un autre Bruxellois qui découvre ce milieu pour la toute première fois de sa vie. Il se touche le sexe dans le but inavoué d’obtenir une érection mais ça ne donne rien. N’écoutant que mon bon cœur, je me mets à genoux devant lui pour lui donner un coup de main (et surtout un coup de langue). Mais après cinq minutes d’efforts, il s’avère évident qu’on n’arrivera à rien. Était-ce dû au stress, au fait de faire ça en public, je ne sais pas trop. Je me suis assise sur la chaise haute et je lui ai offert mon sexe à sucer. Je sentais bien, à sa manière de faire, trop précipitée, qu’il n’avait pas l’habitude. C’était attendrissant. Il ne s’activa pas longtemps sur ma queue mais fut relayé par un homme ayant déjà un peu plus d’expérience. Celui-là me faisait du bien et je commençais à prendre une position assez dangereuse sur mon frêle tabouret. J’étais quasi à l’horizontal, l’un de mes talons posé sur le bar.
Lorsque ce petit jeu cessa, je remarquai qu’un homme m’observait. Je l’avais déjà repéré un peu plus tôt, lorsqu’assis dans un divan, l’une des organisatrices était venue s’empaler sur sa grosse queue.
A présent c’était moi qui étais dans sa ligne de mire. Nous sommes montés dans la mezzanine et là, il s’allongea sur le lit, alors que je le suçai tout doucement. Lorsque sa bite fut bien dure, et après avoir enfilé une capote, je vins me placer sur lui et mes cris envahirent tout l’appartement. Bientôt, nous fûmes rejoints par la T-girl avec laquelle il avait baisé un peu plus tôt. Elle était accompagnée du gars qui m’avait fait du bien sur le tabouret. Nous avons entamé un quatuor où les membres se mélangeaient tant et si bien qu’on ne savait plus quel bras appartenait à quel corps.
Lorsque je suis redescendue, quelques personnes étaient déjà occupées à se rhabiller, l’après-midi touchait à sa fin. Nous avons un peu discuté avec les organisatrices, bu un dernier verre, pris quelques photos, et nous nous sommes promis de rester en contact pour surtout ne pas louper la prochaine » Tranny party « .
Je croyais les photos prohibées dans ce genre de party
C’est quoi du Cava ?
C’est du Champagne espagnol. Et ce n’est pas mauvais du tout !
bonjour
Assez curieuse de particper à une d evos soirée, comment me mettre ds les listing ,
sarah