Week-end d’automne (suite) par Virginie01

Bonjour Helena,

Je profite de quelques jours de congés pour te raconter la suite de mon mémorable week-end de septembre dernier…

Le samedi suivant, les mecs ont tenu la première partie de leur pari, en nous emmenant en boîte. Une super soirée, durant laquelle Delphine et moi étions vraiment les reines au milieu des trois mecs… plutôt mignons… avec lesquels nous nous amusions beaucoup. Nous en avons profité pour fixer la date et le lieu du repas : un resto 3 étoiles dans notre jolie campagne, un dimanche midi !!! (C’est les mecs qui ont proposé, jamais nous n’aurions osé proposer un tel endroit… !)

Le samedi précédent le repas, c’était pour Delphine et moi le casse-tête de la tenue : que mettre pour être à la hauteur dans un tel endroit ? Nous savions que les mecs avaient prévu le costume-cravate… Nous partons donc faire les boutiques… C’est là que Delphine propose :

 » Tu sais, ils ont beaucoup apprécié les tenues que nous portions au mariage, que penses-tu de quelque chose de similaire, en blanc, c’est plutôt classe, non ?

« C’était effectivement une très bonne idée. Nous commençons bien sûr par les sous-vêtements, dans la boutique de lingerie ou nous allons d’habitude. Noud décidons vraiment de faire  » la totale « , et Delphine s’achète un ensemble composé d’une guêpière, d’un slip en dentelle, et de bas de soie, le tout en blanc, d’une très grande marque. Pour moi, j’opte pour un body et un collant Wolford, blancs (les mêmes que portait Delphine au mariage et que je trouvais superbes…) Premier bilan : près de 500 euros… !!! Ensuite, les vêtements : pour Delphine une robe longue blanche satinée, fendue sur le côté jusqu’au haut des bas, avec des manches en dentelle ; quand à moi, j’opte pour une jupe droite courte blanche également, en satin, et un veston assorti. Et là deuxième coup de massue : plus de 400 euros à nous deux… Nous terminons par les chaussures, et Delphine craque encore pour des gants blancs… ; puis direction le coiffeur… Bref, une journée à plus de 1200 euros… .!!!

Le lendemain, les mecs passent nous prendre vers 11H30. Et là c’est presque s’ils ne nous reconnaissent pas ! Nous sommes couvertes de compliments…

Le repas se déroule merveilleusement bien, c’est une expérience unique pour moi, un ravissement pour les yeux et les papilles gustatives… .Les plats s’enchaînent, accompagnés de leurs vins… Au cours du repas, il est beaucoup question de notre  » prestation  » après le repas du mariage… et les mecs nous avouent que c’était pour eux une expérience incroyable, quelque chose d’hallucinant… et de d’extraordinairement plaisant !!! Les mecs nous demandent surtout si nous y prenions de plaisir (ce qui était évident !), ce qui nous motivait… Un moment, Christophe nous explique que ce qui l’a le plus étonné, c’est que nous l’ayons fait avec les vêtements que nous portions au mariage, que nous ayons consciemment » foutu en l’air  » des fringues aussi coûteuses… pour savoir si cela nous procurait du plaisir… Ce à quoi nous avons répondu que cela faisait partie intégrante du plaisir éprouvé… J’avouais un peu gênée que de déchirer les vêtements de Delphine faisait monter mon plaisir à un niveau… .!!! Au fur et à mesure que le repas se passait, je constatais que d’évoquer cet épisode me faisait du bien, et l’intérêt porté par les trois mecs m’émoustillait…

Je constatais que Delphine semblait ressentir la même chose… C’était un peu fou, mais le désir montait en moi (sans doute aidé par le vin… !) je revoyais dans ma tête les images de cette journée avec délectation… Alors que la discussion portait sur les vêtements ( et surtout sous-vêtements ! ) que nous portions au mariage, Christophe demanda si c’était vrai que nous les avions payé plus de 500 euros, ce à quoi Delphine répondit par l’affirmative, avant que je ne rajoute :

 » Et encore, ce n’était pas grand chose à côté de ce que nous portons aujourd’hui, Messieurs, nous avons dépensé plus de 1200 euros pour vous plaire !!! »

Les mecs en restèrent la bouche ouverte, avant que Vincent ne lance

 » Mmmm, je n’ose imaginer ce que ça donnerait près d’un petit étang boueux… ! »…

La discussion se prolongea au café… j’étais complètement émoustillée, j’imaginais Delphine au milieu de la boue avec ses bas de soie… c’était dingue, j’avais envie de faire des folies, de m’exhiber devant ces mecs, de me jeter sur Delphine… Elle m’échangeais des regards qui en disaient long… elle était au même point que moi… .Et, elle dit :  » Ce repas était vraiment extra, je suis prête à reprendre un pari pour un suivant… ! » Les mecs nous regardaient d’abord étonnés, puis avec le sourire, et Christophe dit  » Attention, il ne faudrait pas me le répéter deux fois, surtout qu’il y a beaucoup de sous-bois humides par ici…  »

Et Delphine de répéter :

 » Moi je suis prête à parier…  »
 » OK « , dirent les mecs, « même chose que la dernière fois ? ».
« OK « , répondit Delphine en me regardant avec un large sourire à mon égard, que je lui rendis…

Nous nous levons de table vers 15H, et je regarde Christophe (que je trouve décidément très mignon !) en lui disant :

 » Il est temps, j’ai une énorme envie ! »…

Ce à quoi il me répond

 » Tu veux passer au toilettes… ou…  »
 » Non « , je répondis avec un sourire…

Delphine et les autres mecs avaient suivi notre conversation…

 » Eh, les filles, vous allez pas me pisser dans la voiture « , lança Vincent en riant…

Delphine rajouta

 » Bon OK, pas dans la voiture, mais moi je peux plus attendre « … et elle commence à se soulager, accroupie devant la voiture sur le parking…

Les mecs rigolent en faisant des  » Waouuu!!! » Un jeune couple sort du resto et se dirige vers le parking. Je fias mine d’avoir très envie de faire pipi, me courbant en serrant les mains entre mes cuisses, puis je m’accroupie et lâche tout, au moment ou le couple arrive à quelques mètres… Je croise le regard écarquillé de la femme, à qui je fais un énorme sourire…

Puis nous montons en voiture, direction les petits chemins…

Au bout de quelques minutes, nous sommes dans un petit sous-bois et découvrons au bord d’un petit ruisseau un vaste espace boueux, avec des traces de sabots, qui doit servir à des animaux pour venir boire. L’espace forme une cuvette de plusieurs mètres de long, et la boue semble épaisse… .En sortant de la voiture, Vincent nous lance

 » Eh es filles, on n’a pas droit au détail des sous-vêtements ?…  »

Avec des sourires coquins, nous exécutons un mini défilé devant les mecs, en faisant l’une après l’autre les commentaire : Quand je montre mes vêtements, Delphine prend un ton de présentatrice en annonçant

 » Et voici Virginie. Virginie porte un splendide body Wolford d’une valeur de 140 euros, ainsi que… . »

Nous nous amusons avec les mecs qui n’en pouvaient plus… .Au bout de quelques minutes, nous nous dirigeons au bord de la mare boueuse… je regarde Delphine des pieds à la tête… nous avons tout gardé, même nos chaussures… elle est magnifique, sa robe scintille dans les rayons du soleil, ses gants blancs immaculés, ses bas de soie sa coiffure en chignon la rende plus femme, plus fatale… .Nous nous approchons, nous prenons la main, et avançons au centre de la mare… nous nous enfonçons jusqu’aux genoux… .Nous nous embrassons fougueusement, nos mains parcourent nos corps… nous tombons dans la boue…

Delphine cherche mes seins… elle tire sur mon veston, faisant sauter les boutons, dévoilant mon body blanc immaculé… mes seins pointent, je sens le plaisir m’envahir… elle déchire mon body, libérant enfin mes seins, provoquant chez moi un cri de bonheur… je veux toucher ses seins, son corps… nous roulons dans la boue, nos vêtements se chargent de boue… je me cherche la poitrine de Delphine… j’attrape sa robe boueuse en tirant de toutes mes forces, elle se déchire alors que Delphine se relève… sa robe avait protégé sa guêpière qui n’est presque pas sale, de même que son slip et le haut de ses bas… je la contemple… elle est magnifique… .Les mecs ne disent rien… Delphine est devant eux… malgré l’environnement, elle respire la pureté, l’innocence… .Sa guêpière mes sa magnifique poitrine en valeur, se formes harmonieuses sont magnifiées par les sous-vêtements, la large bande de dentelle en haut des bas de soie répond à la dentelle de son slip… je suis à genoux devant elle, et elle me regarde, pleine de désire… Je soulève mes mains pleines de boue… elle ferme les yeux… Je pose mes mains sur sa poitrine… elle pousse un gémissement… .J’arrache sa guêpière, je la veux nue, je tire de toutes mes forces, je sens les attaches des bas claquer, les tissus se déchirent… elle est nue… puis je la supplie de me déshabiller… elle tire sur ma jupe, puis s’acharne comme une folle… elle me fais presque mal… elle tire sur la ceinture du collant qui me rentre dans la peau, jusqu’à ce qu’elle cède brutalement…

Nous sommes enfin nues… .Plus rien n’existe, le plaisir nous envahie, et nous nous abandonnons totalement… .