Vie d’un maniaque de la masturbation (ou Histoire ordinaire d’un bitophile) par Petibicou

Préface
Bonjour à tous les animateurs de Vassilia.

J’utilise l’informatique depuis de nombreuses années pour mon travail et
pour le plaisir. Je suis un utilisateur, je sais manier un ordinateur avec
l’objectif concret de faire un document mais je ne suis pas informaticien.
Je n’avais jamais eu l’occasion ni la possibilité réelle d’utiliser Internet.
A cause de l’opportunité d’avoir des messages pour un travail que je fais
actuellement, on m’a proposé d’avoir un e-mail.
Disposant de la possibilité d’accéder à Internet je me suis mis à chercher
des possibilités de « voir » du sexe. En cherchant  » masturbation  » j’ai
découvert  » Le Forum masturbation « . Après diverses recherches rapides et
sans intérêt, j’avais enfin trouvé le « top » et un état d’esprit qui me
convenait bien par son ouverture et sa liberté.
Votre site, en quelque sorte, présente un panel des « sexophiles » dans leurs
diversités. Quand on vous rend visite, on n’est pas pollué par d’autres qui
viennent s’imposer. Enfin il est gratuit et permet à tous de s’exprimer
d’une manière ou d’une autre. J’ai, depuis, quand je suis seul, fait
plusieurs voyages chez Vassilia. Un vrai plaisir dans tous les sens du
terme.
Parmi les différentes parties de votre site j’ai découvert la bitophilie,
dont je m’aperçois qu’elle me poursuit depuis de nombreuses années.
J’aime beaucoup les galeries des lecteurs. Moi, malgré mon envie de le
faire, je n’ai pas les moyens d’envoyer des photos. Je ne sais pas faire et
je n’ai pas d’appareil. J’aurais pourtant aimé me montrer. Je me contenterai
de regarder les autres.
J’aime aussi voir les transsexuels et les gays. J’ai quelques amis
homosexuels. Ce sont de bons amis. Mais ils savent très bien que je ne veux
pas les suivre. Eventuellement, si cela se présentait, je serais prêt à
m’amuser, avec eux, autour de la masturbation. Mais je ne pourrais jamais
aller plus loin. C’est quelque chose que je refuse.
Les photos de sexes de femmes m’intéressent aussi beaucoup par leur mystère.
J’en aime la forme et la texture. C’est comme un paysage inconnu. Cependant,
je dois ajouter que je ne trouve pas, personnellement, de plaisir
particulier à voir deux femmes ensemble. Je préfère nettement voir de belles
bites. J’ai ainsi découvert un petit site ( en tapant « grosse bite » ) sur
lequel il y a des curiosités qu’on ne doit pas prendre au premier degré.
Mais c’est amusant.
J’ai lu quelques récits proposés par les visiteurs de Vassilia. Certains
sont criants de vérité. D’autres donnent l’impression d’être de pures
inventions. Certains prennent leurs fantasmes pour des réalités.
A chacun son pied. C’est en lisant ces écrits que j’ai eu l’envie d’en faire
autant. Je ne sais pas ce que cela pourra donner.
Je ne sais pas si, même, il pourra être lu tant il sera sans doute décousu.
Quant à être publié par vos soins je ne me fais pas d’illusion car je sais
d’avance que je serai trop banal et que bien d’autres proposent des
histoires bien plus intéressantes.
Tant pis je vais le faire quand même.
Tout peut se raconter. Mais je ne veux pas raconter n’importe quoi. Je veux
seulement raconter tout ce qui concerne ma vie sexuelle en essayant de me
souvenir de tout et de tout dire. Je sais d’avance que je me ferai plaisir
en faisant remonter mes souvenirs.
Je sais d’avance que certaines réminiscences ne me feront pas vraiment
bander mais que mon gland va mouiller quand même et que je vais mieux sentir
la peau glisser sur lui quand je le ferai rouler entre mes cuisses.
Je sais qu’ensuite, tard dans la nuit, j’irai me masturber avant de me
coucher.
Je sais aussi que le lendemain matin je banderai rien qu’à repenser à la
veille et que si ma femme ne veut pas faire l’amour ou me branler, je me le
ferai moi même. Couché sur les draps, la bite en l’air, je ferai des va et
vient le plus rapidement possible jusqu’à l’éjaculation. Je serrerai mon
prépuce pour retenir mon sperme. Je me lèverai et j’irai dans les wc pour
laisser goutter ma semence. Je me sentirai soulagé.
Les rares fois -toutes récentes- où j’ai eu le loisir de vous rendre visite,
je me suis mis dans la situation que je viens de décrire. Avant de me
coucher, j’ai été obligé de me branler rapidement, sans vraiment bander et
j’ai joui avec la bite encore molle. Ca faisait très longtemps que je ne
pouvais plus le faire. Plus jeune, c’était parfois mon objectif : éjaculer
avant de bander. Je réussissais souvent. C’est une autre sorte d’exploit de
prendre un plaisir rapide.
Maintenant je me lance et je vous remercie d’avance si vous avez la patience
de me lire. Je vous propose le texte suivant, qui est le récit tout à fait
véridique de ma vie très anonyme et ordinaire.
Si vous le publiez j’en serai très content.

VIE D’UN MANIAQUE DE LA MASTURBATION

ou
HISTOIRE ORDINAIRE D’UN BITOPHILE
Je suis né en 1938. En 2003 je vais donc avoir 65 ans.
Je ne me sens pas vieux. Mais je sais que l’âge est là.
Ma liberté physique commence à décliner un peu. Je ne me sens pas aussi
libre de mes mouvements que quand j’avais 40 ans ou moins.
C’est une leçon que l’on apprend au fil des ans. C’est le lot de chacun mais
ce n’est pas toujours facile d’accepter.
Je sais que j’ai plus de temps derrière moi que devant. Alors maintenant il
me prend l’envie de raconter ma vie. Elle n’a rien d’extraordinaire. Mais
j’ai un certain besoin de me faire plaisir par l’acte de m’exhiber. J’ai
envie, par moments, de me montrer aux gens. Je n’ai pas le courage de
l’action. Alors je me suis mis à écrire car j’ai l’impression que je pourrai
éprouver ce plaisir en sachant que d’autres me liront et découvriront ma
plus profonde intimité. Ils connaîtront mes histoires sans me connaître
physiquement. Ils pourront peut-être eux aussi, éprouver un plaisir
personnel et en tirer une satisfaction. C’est, du moins, mon espoir égoïste.
Car je suis un égoïste de naissance. Je cherche d’abord mon propre plaisir.
Il se peut que certains trouvent cela tout à fait dérisoire et banal. Il
pourront penser que mes expériences sont ridicules et sans intérêt. Ils
pourront dire que je suis complètement mégalo de croire que le récit de ma
vie peut intéresser les autres. Tant pis. Je veux rester authentique en ne
racontant que ce que ce que j’ai vraiment vécu, contrairement à d’autres qui
enjolivent ou rajoutent des évènements et des exploits qui sont parfois le
résultat de leurs fantasmes.
Enfin il y a certaines choses et certains évènements sur lesquels je
resterai discret.

Note de l’éditeur [afin de respecter nos obligations légales, la première
partie de ce texte n’a pas été publiée ! Que voulez-vous : tout le monde
mélange tout et sous prétexte que quelques individus se sont livrés ou se
livrent encore à des actes abominables avec des mineurs, d’aucuns ont décidé
que la sexualité ne commençait qu’à 18 ans… Ne nous énervons pas, ça
finira par s’arranger…]

A 18 ans, à la fin de la deuxième seconde, j’ai été éjecté du lycée. J’avais
toujours cette obsession de me branler. Je le faisais le plus souvent
possible. A chaque fois je cherchais à éjaculer. C’était mon but. Il
m’arrivait d’aller en vélo à l’extérieur de la ville, dans un endroit isolé
et de préférence boisé, uniquement pour me branler et éjaculer sur l’herbe.
J’imaginais qu’un petit animal venait boire mon sperme après mon départ.
Une année, à Pâques, j’ai fait un stage pour être moniteur de colonies de
vacances. J’ai été embauché en Août. Il y avait des monitrices. Nous avons
un peu fricoté sans rien faire de très intéressant. Plus tard j’ai pu aller
rejoindre une des monitrices qui était étudiante. Je l’ai retrouvée dans un
ensemble qui abritait les étudiants. Je suis allé dans sa chambre. Nous
avons un peu joué et j’ai voulu faire l’amour avec elle. Nous étions dans
son lit. Un lit à une place, étroit pour deux. C’était la première fois que
je me trouvais dans cette situation. Je bandais et ma bite faisait une bosse
que je frottais contre ma copine. J’ai sorti mon sexe et j’ai voulu la
pénétrer. Mais elle a été réticente et a gardé son slip. Je n’ai pas réussi
à lui enfiler mon morceau qui me faisait de plus en plus mal. Je me suis
agité, j’ai glissé ma bite entre ses cuisses et j’ai fini par éjaculer entre
ses jambes. Elle devait avoir l’habitude car elle n’a eu aucun réflexe de
retrait et a accepté mon sperme. L’après midi même je suis reparti et je ne
l’ai jamais revue. En revenant par le train je me suis encore trituré le
sexe et j’ai tellement bandé que je me suis masturbé et que j’ai éjaculé
dans mon slip. C’est à la fois agréable et désagréable car on reste mouillé
et collant. Et puis en séchant, le sperme se transforme en amidon.
A 19 ans mes parents ont encore déménagé. Nous sommes venus dans une ville
près de la mer. J’ai fait une dernière année scolaire pour avoir le deuxième
bac. Avec toujours beaucoup de masturbations. J’ai connu des copains et des
copines. Ma chambre était située au rez-de-chaussée. Il était facile d’en
sortir ou d’y rentrer par la fenêtre sans que mes parents s’en aperçoivent.
C’est ainsi qu’un copain et une copine venaient dans ma chambre. Ils étaient
amoureux. Ils profitaient de ma chambre pour se retrouver. Il arrivait
qu’ils restent tard. Je faisais semblant de m’endormir. Et je pouvais
assister à leurs ébats. Je n’avais jamais baisé une fille et j’étais encore
vierge à 20 ans. Un soir, pendant qu’ils faisaient l’amour, je me suis
tripoté à travers le pantalon en me faisant le plus discret possible. Puis
comme ils semblaient très occupés j’ai sorti lentement mon membre et j’ai
commencé à me masturber discrètement. Je ne suis pas allé jusqu’au bout car
ils se sont arrêtés et se sont levés. J’ai eu l’impression qu’ils n’avaient
rien vu. La fois suivante j’ai recommencé à me branler pendant qu’ils
baisaient mais j’ai dû être un peu plus agité car je me suis retrouvé sous
le regard de la fille. Elle m’a fixé un court instant et ensuite elle n’a
plus quitté ma bite des yeux pendant que le copain la baisait. Rien de plus.
Je faisais des efforts pour lui montrer mes mouvements sur ma bite et sur
mon gland. J’ai joui et j’ai éjaculé sur mon ventre. Pendant qu’ils
continuaient je me suis levé. La bite encore bandante et pleine de sperme je
me suis essuyé devant la fille qui me regardait sans émotion apparente.
Quand ils ont eu fini de baiser ils sont partis par la fenêtre. Nous nous
sommes revus souvent et nous avons recommencé. Eux faisaient l’amour et moi
je me branlais sans me cacher. Je les regardais faire et elle me regardait
me masturber. Une fois la copine a branlé le copain pendant que je me
faisais jouir. Nous avons éjaculé ensemble. La fille nous a regardé et a eu
un sourire comme complice. J’étais un peu jaloux de mon copain et j’étais
amoureux de la fille. Pendant de nombreuses années ce furent de bons
copains. Nous n’avons jamais parlé des moments d’intimité silencieuse que
nous avons eus. Parfois encore maintenant je me branle en l’honneur et en
souvenir de cette fille qui est malheureusement décédée très jeune.
Les grandes vacances 1958 se sont terminées. Chacun est reparti vers ses
activités. J’avais plus de 20 ans. Je me suis engagé dans l’armée. D’abord
il a fallu passer par une base de l’armée avant de partir en formation. Un
jour en allant à la douche, dans le couloir, j’ai vu un collègue qui y
allait aussi. Mais lui il était nu et bandait fort. Il avait enfilé le gant
de toilette sur sa bite qui devait mesurer une bonne vingtaine de
centimètres et posé la serviette de toilette en travers de son membre comme
sur un porte manteau. Quand j’ai pris ma douche je me suis branlé en
savonnant ma bite et j’ai regardé l’eau de la douche entraîner mon sperme
dans la bonde du bac à douche.
Un autre jour je suis rentré à l’improviste dans la chambrée et j’ai vu un
autre copain sucer sa bite qui devait bien mesurer au moins 20 centimètres.
Il était très penché en avant, assis sur le lit, et se suçait le gland. Il
ne m’a pas entendu ni vu venir et a continué sa fellation. C’était la première
fois que je voyais ça et je n’avais pas même imaginé cette situation. En
marchant j’ai fait un peu de bruit. Il s’est arrêté et il a levé la tête. Ma
présence ne l’a pas gêné et il a repris sa sucette. Rapidement je l’ai vu
frémir et il a joui dans sa bouche. Cela aussi c’était nouveau pour moi.
Puis, comme si de rien n’était il s’est habillé, m’a souri et est sorti. Je
suis resté tout bête et je me suis branlé. J’ai joui dans ma main et j’ai
essayé de goûter mon sperme. J’ai avancé la langue pour tester mais je n’ai
pas pu aller plus loin. L’odeur ne me plaisait déjà pas et le goût ne m’a
pas plu.

Ensuite j’ai souvent tenté de goûter mon sperme. Je n’y suis jamais arrivé.
Même encore maintenant j’essaye parfois. Je me dis  » cette fois je le fais
« . Je ne peux pas. Je n’aime vraiment pas l’odeur ni le goût. Je n’arrive
pas à aller plus loin que de sentir mon sperme.

Je cherchais toujours des endroits à la fois isolés mais aussi publics pour
me tripoter. C’est à cette époque que j’ai commencé à me masturber avec la
main dans la poche gauche de mon pantalon. Je voulais rester discret mais
cela me plaisait bien si quelqu’un s’apercevait de mon manège.

Maintenant encore je sors ma bite et mes couilles de mon slip et je tourne
légèrement mon pantalon vers la droite pour rapprocher ma poche gauche de
mon sexe. Je marche dans la rue en me triturant et en me faisant bander. Les
gens que je croise voient automatiquement une bosse et un mouvement de ma
main. Je me décalotte et je caresse mon gland. Parfois, quand je bande bien,
je sors ma main de ma poche et j’avance en exhibant une grosse protubérance
sous ma braguette. Certains regards de femme se posent sur ma bosse et les
yeux se lèvent vers moi. C’est tout. Mais j’ai l’impression, pour une fois,
d’avoir fait impression avec une grosse bite.
Je rêve d’avoir une grosse bite avec un gros gland. Pas un bite de 3 km mais
une bite de 18 centimètres. Quand je me branle je voudrais pouvoir utiliser
mes deux mains l’une au dessus de l’autre comme je l’ai parfois vu dans
certains films. Je voudrais pouvoir être fier de montrer mon engin. Je
voudrais faire envie. Mais je n’ai que 13 ou 14 centimètres. Cela ne
m’empêche pas de me faire de bonnes branlettes. Cela ne m’a pas empêché
d’avoir de belles éjaculations et de jouir fortement. Par contre j’ai, si on
peut dire, l’avantage d’avoir une bite de bon diamètre. Ma bite est courte
mais grosse. Quand je force sur la peau elle me donne l’impression d’être
longue. J’essaie de croire qu’elle peut encore s’allonger.

Pendant mes 2 premières années d’armée rien ne s’est vraiment passé. Avec
des copains nous avons acheté une vieille Renault des années 30. Nous nous
en servions ensemble ou à tour de rôle. Un jour je suis parti seul voir le
Pont du Gard. Il faisait chaud. Il y avait des baigneurs. Je me suis
approché de la rivière pour regarder les filles en maillot une pièce. Il y
en avait plusieurs à mon goût. J’ai senti qu’elles me faisaient de l’effet
même de loin. J’ai cherché un endroit assez isolé mais qui me permettait de
voir les baigneuses. Et je me suis fait une bonne branlette. J’ai lancé mon
sperme sur le tronc d’un pin. Il a coulé le long de l’écorce. J’ai trouvé
cela beau. Nous allions quelquefois au bord de la mer. Il y avait une
plage magnifique. Je n’aimais pas tellement la mer mais je me suis souvent
baigné. J’allais assez loin pour avoir de l’eau jusqu’au cou tout en restant
debout. Je sortais mon sexe de mon maillot de bain et je me faisais bander.
Dans l’eau fraîche c’est une sensation agréable de sentir le gland grossir
et la verge raidir. Se masturber dans l’eau c’est aussi une expérience à
faire. Des gens passaient pas très loin de moi. Je continuais mes mouvements
sur ma queue tout en ayant peur d’être vu ou surpris. L’eau n’était pas très
claire mais on pouvait voir à 4 ou 5 mètres. J’ai toujours fini par jouir
dans l’eau.

C’est curieux de voir son sperme s’échapper du gland en mince
filets blancs qui flottent. Dans l’eau l’éjaculation n’est pas très forte
car elle fait un frein à la puissance du jet. Puis le sperme s’en va en
flottant entre deux eaux. Parfois il remonte à la surface. On peut le voir
flotter et on peut le prendre et le faire glisser entre ses doigts. Parfois
il coule et on le perd de vue. Qui sait ? De la nourriture pour les poissons. Je me suis souvent branlé dans la mer. Plus loin vers la frontière italienne, l’eau de la Méditerranée est si claire dans certains endroits que c’est un exploit de le faire sans être vu. Mais les coulures de sperme sont
encore plus belles sur fond azur. Il prend une teinte nacrée qui tranche sur le bleu. On a l’impression de le voir s’agiter et se mouvoir dans l’eau.
J’adore voir mon sperme s’écouler, se libérer de ma verge et vivre sa vie
mollement dans l’eau claire.

Puis j’ai acheté une 203 Peugeot. Nous étions quelques copains qui pouvions
sortir de la base et aller en ville. Nous avons fait la connaissance
d’autres jeunes, garçons et filles, avec qui nous sortions. Il s’est produit
quelques amourettes. Une fille avait jeté son dévolu sur moi. Elle voulait
toujours sortir seule avec moi. Mais on m’avait averti d’être prudent car
elle cherchait surtout l’argent. On m’avait aussi mis en garde contre la
mère qui pouvait être capable de tout si elle surprenait sa fille avec un
garçon. Un soir je me suis laissé faire. J’ai garé la voiture dans un coin
sombre. J’ai baissé les dossiers des sièges avant pour avoir plus de
commodités. Nous nous sommes tripotés. Elle avait commencé à m’astiquer la
queue quand il y a eu un grand choc à la vitre droite de la portière avant.
C’était la mère. La fille est sortie à moitié déshabillée. Sa mère lui
courait après. J’ai mis le moteur en marche et j’ai démarré sans même
relever le dossier de mon siège. Conduire sans dossier n’est pas facile.
Mais dans l’urgence on fait avec. Et j’ai vite débandé. Pendant une semaine
je n’ai pas pu descendre en ville car la mère de la fille me cherchait
partout. Quelques mois plus tard j’ai rencontré une autre fille. Elle était
la copine de l’amie d’un autre militaire que je connaissais. Nous nous
sommes plu. Avec cette fille nous avons flirté et nous nous sommes caressés.
Mais jamais nous n’avons tenté de faire autre chose. D’autant plus qu’elle
était très croyante et qu’elle voulait rester vierge jusqu’au mariage. Ma
seule issue était de me branler en rentrant à la caserne. J’attendais
toujours trop longtemps pour le faire et j’avais beaucoup de liquide
lubrifiant qui dégoulinait de mon gland. J’étais mouillé et quand je
marchais je sentais mon gland qui glissait facilement dans mon prépuce. Il
est même arrivé une fois, qu’à force de bander, juste en me passant la main
sur la braguette, j’ai joui en marchant au milieu de la foule sur le
trottoir en allant chercher ma bagnole un peu plus loin. C’était
impressionnant car les spasmes m’agitaient tout le corps. Mes jambes se
raidissaient et semblaient ne plus me porter. J’ai cru que j’allais tomber
sur place. Tout mon corps était tremblant et j’ai senti le sperme qui
sortait avec puissance de mon gland gonflé et sensible, traversait mon slip
et me dégoulinait sur la cuisse. Quand on jouit en marchant avec en plus
l’impression d’être vu par tout le monde c’est une tout autre sensation que
de jouir debout immobile, couché ou assis. Jamais je n’avais senti autant de
jouissance et cela ne m’est plus jamais arrivé.

Une fois, pourtant, bien plus tard, en me masturbant il est arrivé un moment où je me suis arrêté quand la jouissance arrivait. J’ai regardé ma bite et j’ai poussé pour bander un peu plus. J’ai voulu imaginer que je jouissais et que mon sperme s’échappait de mon gland. J’ai voulu toucher ma bite et à ce moment tout est parti sans que je m’y attende. Mon jet est parti très loin devant moi. C’était aussi très bon.

Un jour j’ai emmené la fille chez mes parents. En cours de route nous nous
sommes arrêtés pour manger dans un restaurant. Puis nous avons avancé un
peu. Je me suis garé le long de la nationale dans un pré. Il n’y avait
aucune habitation et nous avons pu tranquillement nous embrasser et nous
caresser. J’ai pu lui passer les mains sur les cuisses mais pas au delà. Je
lui ai caressé les seins mais sans qu’elle ôte son soutien gorge. Elle me
caressait aussi mais elle n’avait pas de tentation de venir toucher mon
sexe. De temps en temps je me passais la main sur la braguette et je sentais
ma verge dure et sensible à force d’être en érection. J’avais peur de jouir.
J’ai essayé de lui prendre la main et de la mettre sur mon pantalon. Elle a
accepté mais n’a pas insisté et a retiré sa main. De plus en plus je tâtais
mon sexe pour essayer de lui faire comprendre que c’était urgent pour moi.
Elle n’en tenait pas compte. Au bout d’un long moment je suis sorti de la
voiture et je me suis un peu éloigné. Je me suis mis le long d’une rangée de
cyprès en faisant de sorte qu’elle puisse me voir. J’ai sorti mes couilles
et ma verge tendue et j’ai tiré sur la peau pour sortir le gland mouillé et
luisant. Elle m’a vu faire et n’a pas détourné le regard. Alors j’ai
commencé à me branler très lentement pour faire durer le plaisir. Je me suis
retourné vers elle pour qu’elle profite de la situation. J’étais à environ
une vingtaine de mètres. J’ai accéléré le rythme de ma masturbation. Je me
suis branlé de plus en plus vite. Je sentais la jouissance venir. Mon gland
était dur et me faisais presque mal. Tout d’un coup un jet de sperme est
parti sur l’herbe. Une tache blanche sur la pelouse. Ma main a continué à
faire des allers et venues sur ma bite et d’autre jets sont partis. La fille
me regardait et ne semblait ni gênée ni intéressée. J’ai bien astiqué mon
membre pour faire sortir tout le sperme. J’ai secoué ma bite et tout d’un
coup j’ai eu envie de pisser. J’ai pissé en bandant encore un peu et j’ai
joué à pisser le plus loin possible. J’ai fermé mon prépuce avec deux doigts
pour contenir l’urine. Le prépuce a gonflé par la pression du liquide. J’ai
lâché les doigts et un gros volume de pisse est sorti d’un coup. J’avais
oublié la présence de la fille. J’ai pris mon mouchoir et je me suis essuyé
le gland. Il était encore sensible et il ne s’en fallait pas de beaucoup
pour que je me remette à me branler. J’ai tout rangé et je suis revenu à la
voiture. Nous sommes allés chez mes parents. Contrairement à mes attentes il
ne s’est rien passé. Quelques mois plus tard j’avais fini mon temps d’armée
et je suis parti sans tambour ni trompette. Elle aussi je ne l’ai jamais
revue.
Après l’armée je suis parti dans un pays étranger. Je vivais seul dans une
chambre louée. Mon unique distraction était de me branler le matin avant de
partir, à midi quand je rentrais manger, et le soir et parfois même pendant
la nuit. J’ai du y laisser des litres de sperme.

A cette époque, j’avais 27 ans, c’était facile de jouir et d’éjaculer
plusieurs fois dans la journée. Maintenant je bande moins facilement. Je
dois me tripoter pour bander. Je me décalotte et je tire sur la peau. Je
commence à bander. Si je continue la bandaison reste. Si je m’arrête je
débande aussitôt. Si je me branle et que j’éjacule je ne peux pas
recommencer avant au moins une demie journée. Avec l’âge les choses sont
moins faciles.

Puis ma vie a été transformée par la rencontre d’une jeune fille. Nous nous
sommes mariés. Nous sommes rentrés en France.
J’ai continué à me branler parfois parce que ma femme ne pouvait pas me
satisfaire et parfois par simple plaisir de me branler devant elle. Et
toujours parce que j’aime ça.

Quand je me masturbe devant ma femme elle me tient les couilles et les serre
fortement. Quand je jouis elle me triture les testicules et ma jouissance
est plus forte. Elle n’aime pas trop me branler. Je le fais à sa place.

Nous habitions dans une petite ville. Pour des raisons dont je ne me
souviens pas je me suis retrouvé seul quelques jours. C’est à ce moment que
j’ai essayé l’aspirateur. Il avait un tuyau assez grand pour recevoir ma
bite molle. J’ai mis l’aspirateur en marche et j’ai aspiré ma verge. Elle
est rentrée en totalité. Mais avec l’aspiration je l’ai sentie grossir. J’ai
arrêté l’appareil et j’ai eu des difficultés à sortir ma bite. Elle était
toute rouge et renflée. J’ai voulu continuer en enfilant mon gland dans le
bout du tuyau. L’aspiration a fait gonfler mon bout et seule une toute
petite partie de ma bite est entrée. J’ai manœuvré le tuyau. J’ai senti
venir la jouissance. Le sperme est parti dans le tube. Ce n’était pas
extraordinaire.

Depuis j’ai réutilisé l’aspirateur. Pour moi le seul intérêt est de faire
gonfler la bite. Il n’y a pas de véritable plaisir. Il faut un temps assez
long si on veut arriver à la jouissance.

Ensuite nous avons déménagé. Pendant deux ans j’ai travaillé pour améliorer
ma situation et j’ai réussi. Les trois années suivantes j’ai travaillé à
l’extérieur de la ville. Le parcours en campagne m’a permis de laisser de
multiples traces de sperme dans les champs, les buissons, les bois et les
fossés. La campagne déserte est une tentation pour se branler devant
l’infini. Cette impression de solitude au milieu d’espaces immenses ajoute à
la jouissance physique du jet de sperme lancé vers le ciel. Parfois je
rentrais tard, à la nuit tombée. Et j’ai souvent aussi profité des étoiles
pour lancer mon défi éjaculatoire vers elles. J’arrêtais ma voiture et
j’allais me branler dans la demie obscurité, debout au milieu de la route en
laissant la marque de mon sperme sur le macadam. Enfin j’ai obtenu ma
mutation dans la même grande ville où j’avais vécu auparavant.

Mon obsession masturbatoire a continué. Depuis le début de notre mariage, ma
femme n’a jamais été au courant de toutes les occasions que je recherche pour parvenir au plaisir. Je me masturbais souvent devant elle. Mais il arrivait
que je le fasse 2 ou 3 fois dans la journée hors de sa présence. Maintenant
je dois être plus modeste et accepter que ma libido décline. Mais cela ne
m’empêche pas d’avoir quand même des fantasmes.

Voilà la première partie de ma vie.
D’ici quelques temps je continuerai mon récit.

Petibicou vous envoie ses amitiés.

 

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