Uro in Budapest Par Enzo_Cagliari

Le hongrois est une langue difficile, parce que pour nous, francophones, nous n’avons aucun repère… J’avais quand même été intrigué par ce panneau dans cette immense sex shop de Budapest qui semblait résumer les activités et services offerts par l’établissement. On y voyait à un endroit une femme uriner sur un homme, je pensais alors qu’il s’agissait d’une des spécialités du peep show local, ce qui ne m’intéressait pas trop, et je me baladais nonchalamment dans la sex shop. Le fond était occupé par un bar, ou officiait quelques belles entraîneuses peu vêtues.

Je commandais une bière, elle me fut servi par une serveuse topless qui ne me fit aucune proposition d’ordre sexuel, laissant ce genres de choses aux autres filles. Je fut donc bien sûr abordé par l’une d’entre-elles qui me parla en anglais, me proposant carrément une passe. Je fis semblant de ne pas comprendre, et lui demandait si elle parlait l’islandais ! Non elle ne parlait pas l’islandais… ce vieux truc marche à tous les coups, elle essaya de me faire comprendre par gestes tout le bonheur qui pouvait m’attendre contre un peu d’argent, mais je jouais les abrutis, non pas que cela ne m’intéressait pas mais je voulais profiter pleinement de la soirée et pour l’instant, il était trop tôt…

La fille ma laissa, en faisant semblant d’être déçue et elle alla aborder un autre touriste avec lequel le dialogue s’engagea et quelques secondes après le mec se faisait carrément sucer devant tout le monde avec force commentaires en allemand. Cette vision était très excitante mais ne dura pas très longtemps, car la fille finit par emmener son client vers une porte donnant vers un endroit sans doute plus discret.

Une deuxième fille tenta sa chance, m’expliquant à moitié en anglais, à moitié par gestes qu’on pourrait faire comme le couple en question, je refusais de nouveau. Du coup les nanas me snobèrent… Je pris mon temps pour siroter ma bière, puis me sentant une envie d’uriner je cherchais les toilettes… rien n’était indiqué de façon claire, je me dirigeais à tout hasard vers le sous-sol !

C’était là ! Mais juste à côté une autre porte affichait la même photo intrigante que celle du panneau que j’avais vu dans le hall. Je poussais, poussé (justement) par la curiosité et me retrouvait dans un petit vestibule où un gorille me fit comprendre que l’entrée était payante. Qu’a cela ne tienne, je payais, ce n’était pas excessif. Le mec me tendit alors une clé de vestiaire attaché à un bracelet à poche ! Ah ! C’est donc un sauna, je n’avais pas pensé à ça, mais bon j’avais payé…

Un minuscule couloir… avec des vestiaires, je me déshabille donc, me rend compte que le type ne m’a pas donné de serviette, je vais pour réclamer, mais voici qu’un autre client rentre, il n’a pas non plus de serviette… je ne cherche plus à comprendre j’avance, et me voici dans une petite salle de projection. Il faut que mes yeux s’habituent à l’obscurité, je ne vois donc que l’écran, ou l’on projette un film uro… c’était donc ça, j’aurais du m’y attendre… mais quelle idée ce vestiaire, peut-être n’était-il pas obligatoire ?

Sur l’écran une belle femme entièrement nue est en train de pisser des litres d’urine sur une copine qui rigole comme une bossue en s’efforçant d’en avaler un maximum… J’essaie de m’asseoir sans bousculer personne et en attendant de pouvoir distinguer quelles sont les autres possibilités du lieu je m’intéresse donc au film, où comme souvent dans ce genre de vidéos, les scènes sont interminables et répétitives, heureusement que les modèles sont jolies, et d’ailleurs je me surprends à bander et comme je suis nu et dans un établissement de sexe, je commence à me tripoter…

Et voilà qu’une main arrive sur ma cuisse… je regarde sur ma gauche, j’y vois mieux à présent, un mec nu bien sur, c’est lui qui me tripote, ça ne me dérange pas, je me laisse tripoter, je regarde sa queue, un bel objet bien raide… j’y touche ou j’y touche pas… j’avoue m’être (assez rarement toutefois) laissé aller à ce genre de fantaisies dans quelques cinés parisiens assez spéciaux… Comme dit l’autre : »ça change ! » J’empoigne donc la bite du monsieur, et commence à la branler… Nous voici donc à nous branler mutuellement. Il me demande si je suis anglais ? Non ! Allemand ? Non, French !

– Ah ! Je suis suisse ! Me dit le type ! avec un accent caractéristique.

Je lui demande de quelle ville, histoire de dire quelque chose !

– Fribourg ! Tu veux me sucer ?

Oui, je veux bien le sucer ! Souvent les masturbations mutuelles dans ces endroits finissent en sucette, et il se trouve qu’à tout prendre je préfère sucer que de l’être…

Sa queue a un bon goût salée, je me régale, en la travaillant de la langue et des lèvres… mais pas longtemps, monsieur est au bord de la jouissance, me prévient et comme je ne veux pas de son sperme je me retire !

– On inverse ?

Bien obligé de rendre la politesse, je me laisse faire, ce con suce comme une pro, je suis aux anges, d’autant que deux mimines sont arrivées derrière moi et me pincent les tétons… Moment d’extase, mais je n’ai pas envie de jouir de suite, je dégage poliment le suisse. Je m’aperçois alors que les mains qui continuent de me caresser ont les ongles manucurés et vernis, des mains de femmes… je me retourne, la frimousse est agréable et souriante, les seins sont adorables. Elle me baragouine en anglais :

– Un petit plan uro ça te dit ?
– Bien sûr !
– On va faire ça gentiment c’est xxxx forints (monnaie locale)

Aïe, une racoleuse, mais là, je sens que je vais me laisser faire… J’hésite encore un peu

– Je n’ai pas d’argent sur moi
– Je sais, mais tu en as dans ton vestiaire, va le chercher, je t’attends, Humm, on va faire ça très bien, tu m’as excité, j’adore les mecs qui sucent des bites… T’aime ça sucer des bites, hein toi ?
– Ce n’est pas désagréable !

Je suppose qu’elle tient le même discours à tout le monde, mais ce n’est pas bien grave ! Je vais chercher les sous en faisant attention que personne ne me suive. La fille m’attend à la sortie du vestiaire. Je lui tends le fric, j’espère que je ne vais pas me faire arnaquer…

– Si tu as un peu plus, je peux te dominer si tu veux, je te tiens en laisse, je te pisse dessus, je te fais sucer des bites, je peux aussi te faire enculer, te fouetter et tout un tas de tucs très cochons…

Je lui demande combien, j’hésite :

– Non on va faire comme on a dit, et si ça me plait, je reviendrais te voir et on fera la totale ! Tentais-je
– Je te fais un prix…

J’ai la faiblesse d’accepter, j’ai bien conscience que je prends un risque… Elle ouvre alors son propre vestiaire et en sort un collier de chien qu’elle me passe autour du cou, une laisse y est accrochée. Elle me demande de me positionner à quatre pattes et d’avancer.

J’obéis donc pendant qu’elle me fouette le cul !

– Allez viens, esclave, on va bien trouver quelqu’un qui va bien t’enculer…

Bon, je peux arrêter le jeu quand je veux. Une petite salle carrelée jouxte la salle de projection, ce devait sans doute être un hammam dans un concept antérieur, au milieu un mec se fait pisser dessus par une belle blonde, et autour sur les marches une dizaines de personnes, que des hommes, assistent au spectacle, certains se branlent, d’autres le font mutuellement, un autre se fait sucer… ambiance hot.

La fille attend que le couple ait finit ce qu’ils sont en train de faire, ça va d’ailleurs assez vite parce que le mec se masturbe comme un malade en avalant l’urine de sa partenaire et finit par jouir avec un grognement sourd. Nous prenons leurs places. Elle me fait tendre le cul et commence à me fouetter, d’abord doucement puis de plus en plus fort. Hé, c’est que ça commence à chauffer. Je le lui dis. Bonne fille, elle diminue la force de ses coups mais continue à taper, je dois avoir le cul tout rouge, au bout de cinq minutes de ce traitement elle arrête, et entreprend de me tripoter le cul, un doigt me pénètre le fondement, puis un second.

– Un volontaire pour l’enculer ? demande-t-elle à la cantonade, et ceci en plusieurs langues.


Situation assez surréaliste quand on y pense… Un grand blond finit par arriver, bite en avant, me revoilà avec une bite dans la bouche, pas très longtemps, car dès que le gaillard se sent assez dur, le voilà qui me contourne et me force l’anus. Un peu de mal à entrer, un peu douloureux mais ça va ! Me voilà en train de me faire sodomiser, l’affaire dure un peu trop longtemps, je me débrouille pour le faire savoir, la fille demande au mec de se retirer, puis me fais coucher sur le carrelage. Elle vient alors sur moi, et sans transition m’arrose la bite, je lui fais signe de monter vers mon visage, miracle elle comprend tout de suite, et les derniers jets de son pipi seront pour mon visage. Comment fait cette fille pour être tout le temps en train de pisser, mystère, mais pour l’instant elle lorgne vers mon sexe, constate qu’il est bien rigide, le sucotte un peu, mais je bloque un peu, ça doit être l’émotion.

Elle me propose un truc que je ne comprends pas bien, mais comme je suis super excité et que j’aime les surprises, j’accepte, elle se met à califourchon au-dessus de moi, m’offrant une vue imprenable sur son joli cul rebondi, son anus s’ouvre, une jolie petite crotte commence à sortir. Fasciné par ce spectacle je me se met à me branler vigoureusement, je finis par lâcher mon sperme, je suis à moitié dans les vapes…

Ça tambourine à la porte de ma cabine, je me réveille, j’ai le pantalon et le slip sur les chevilles, un kleenex autour du gland, j’ai du m’endormir

– Vous remettez du crédit ou vous sortez ! hurle le videur !
– Une seconde ! répondis-je, le temps de me reculotter…

Le mec m’attendait à la sortie !

– Ça va ? Me demande-il
– Oui, oui, je reviens juste de Budapest, j’étais bien là bas…

Le mec me regarde d’un drôle d’air… pourtant des fous il doit en voir tous les jours, sauf que moi, je ne suis pas fou, juste un peu rêveur… très rêveur…

FIN

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3 réponses à Uro in Budapest Par Enzo_Cagliari

  1. Grenouille dit :

    La porno c’est fait pour rêver et rêver ça fait du bien

  2. Thomas Tzerize dit :

    Joli fantasme

  3. Zimmer dit :

    Pas mal tout ça ! Très excitant ! Mais j’ai trouvé la conclusion un peu artificielle !

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