Une soirée réussie 7 – Le cul entre deux… par Bibi_01

Une soirée réussie
7 – Le cul entre deux…
par Bibi_01

Patrick n’avait pas eu à insister longtemps au téléphone : ”J’ai vraiment envie que tu viennes demain, ça me ferait vraiment très plaisir de passer une bonne soirée. Bon, pas que tu me manques à ce point-là, mais… j’ai besoin de sexe, et ça, c’est ton rayon. Allez, tu sais que tu es mon antistress, tu t’occupes si bien de moi !” Comment refuser devant de telles paroles. Complices, c’est bien un faible mot. Une clef et sa serrure, c’est un peu comme cela que je vois notre “relation”. Nous pouvons passer largement une semaine sans nous voir (mon petit cul aussi), et puis ensuite deux jours ensemble, à baiser comme deux insatiables. Là, il a ‘‘besoin’’, j’irai donc demain. Je finis cette soirée en m’épilant soigneusement tout l’entre-jambe, de l’anus au pubis. J’aime ce côté lisse, lui aussi, c’est donc avec plaisir que je m’entretiens. Et demain, juste après le taff, un bon lavement bien tiède pour ne pas avoir de désagréments.

“Entre vite, on t’attend depuis un bon moment !” “On ?” Répondis-je étonné. En arrivant dans le salon, je constate qu’un jeune homme est assis dans le canapé. Alors que cette personne se lève pour me serrer la main, Patrick nous présente. Je m’assois en face de ce charmant jeune homme pendant que Pat me sert un Whisky. Tout naturellement, la conversation s’engage. Il s’agit de Franck, 30 ans, commercial dans la grande distribution. Plutôt musclé, il est vêtu d’un jean, de Converses, des manches courtes de sa chemise à carreaux s’échappent des bras assez noueux. Un regard franc, un barbe taillée style “4/5 jours” qui lui donne un air un peu plus dur. Son visage est un peu anguleux, à la Javier Bardem, cet acteur hispanique très viril, le rend… séduisant, le piège à fille parfait.

Et le plus surprenant est lorsque je demande s’ils se connaissent depuis longtemps. “Par téléphone, deux jours, sinon, un peu plus d’une demi-heure !” répond Franck sur un ton décontracté. Et c’est alors que Patrick, devant mon étonnement, m’explique comment il a procédé pour contacter ce jeune homme. Je lui ai à maintes reprises évoqué mon désir d’avoir un deuxième ‘’sexe viril’’ à disposition lors de nos ébats. Constatant notre évidente complicité, notre confiance et notre respect l’un envers l’autre, Il s’était mis en quête d’un éventuel partenaire pour combler cette… lacune. J’en suis sur le cul : j’en rêvais, il l’a fait !

Frank nous explique qu’il est bi, et que sa sexualité est à 90 % basée sur l’hétérosexualité, mais qu’il ne rechigne pas à s’autoriser un bon plan de temps en temps avec un homme, également dans le respect et l’hygiène. L’annonce qu’avait formulée Pat lui avait plu, et il était entré en contact, puis… ce soir, il est là.

En même temps que l’alcool et l’excitation, mes pensées arrivent au cerveau, et c’est un début d’érection qui me rappelle que je ne rêve pas. “Je sais de quoi tu es capable, je commence à te connaître !” lance alors Patrick. “Je lui ai expliqué que tu avais un cul… n’ayant d’égal que ta bouche gourmande. Tu n’en es pas fâché ?” Répondant que bien au contraire, je trouve cette initiative plutôt agréable, et que j’espère être à la hauteur de la situation. “Viens nous rejoindre, Franck. Tu ne vas pas rester seul dans ton coin !”

Notre invité surprise s’exécute avec une élégante décontraction, visiblement à son aise. Son verre déposé sur la table basse, sa main vient naturellement se poser sur l’intérieur de ma cuisse. Le ton est donné, c’est bien un plan à trois qui est prévu. “Patrick m’a vanté tes mérites, il m’a expliqué que tu étais… disons insatiable. Est-ce vrai ?” Par où commencer, je n’en ai aucune idée, la situation n’est tout de même pas banale. Mais puisque sa main remonte vers mes attributs, je décide de déposer les miennes sur chaque braguette à ma disposition: Franck à gauche, Pat à droite. Deux beaux paquets bien pleins, et si je suis sûr de ma main droite, la gauche n’a pas l’air décevante.

Ce ne sont pas des gamins, tous deux ont de l’expérience, et ils savent ce qu’ils veulent. Très synchrones, ils se débarrassent rapidement de leur pantalon et caleçon avant de me dévêtir de leurs mains agiles en simultané en me pelotant un peu, tout en allant à l’essentiel. Je me retrouve à poil sans avoir eu quoi que ce soit à faire, et découvre Franck nu devant moi, un genou sur le canapé, révélant un très beau sexe circoncis à demi-bandé se terminant par un gros gland violacé jouant au pendule devant une bonne paire de couilles. “Le menu te convient-il ?” Ironise-t-il.

‘’Et comment qu’il me convient !’’ Ma main se saisit de ses belles burnes très fermes, et tout en avançant la tête, j’entoure son bout entre mes lèvres afin d’en découvrir la texture, et m’imprégner de son odeur de mâle. Il est propre, sa toison pubienne taillée. La chair de son beau gland est plus ferme que celle de Patrick, moins lisse, mais son méat beaucoup plus marqué. Sa circoncision me déroute quelque peu, jouer avec un prépuce est toujours agréable. Le diamètre de cette queue fait bien 5 cm, et ma bouche part à la conquête de cette longue hampe avant qu’elle ne soit trop dure.

Patrick, quant à lui, se laisse pétrir son paquet en silence entre mes doigts en malaxant la partie de mon fessier tournée vers lui. Sa demi molle gonfle régulièrement entre mes doigts, les siens ne tardent pas à trouver le petit trou tout lisse qui l’accueille si volontiers depuis plus d’un mois.
Sous ma caresse buccale, la verge de notre compagnon s’allonge et devient bien raide, quelques belles veines se dessinent à sa surface, le large champignon bien congestionné. Je la pompe bruyamment tant je salive, et son propriétaire n’hésite d’ailleurs pas à venir à ma rencontre lorsque je l’enfourne. Son diamètre “plus conventionnel” que celle de mon complice de jeu habituel donne à cette fellation une possibilité de jeu plus aguichante, et ma langue s’exprime ici pleinement. Bien qu’enchanté par cet organe, je le délaisse afin d’emboucher la grosse barre de Pat, mais cette fois je décide de bien exposer mon petit cul afin de voir ce que va faire cet inconnu en mon absence.

Puisque je reviens vers lui, Patrick s’allonge confortablement sur le sofa, plaçant une jambe au sol, l’autre sur le dossier, m’offrant un accès direct à ses lourdes burnes comme à sa bonne queue bandée. Voyant la barre de mon mec partiellement disparaître entre mes lèvres, Franck s’étonne : “On m’a toujours rassuré quant à la grosseur de ma queue, mais là, je dois reconnaître que tu es é-nor-me ! Et il arrive à te la pomper. Je n’en reviens pas.” Puis ses mains palpent mon fondement et glissent pour saisir mon sexe entre mes jambes, le tirent vers l’arrière, et alors que Pat coulisse régulièrement entre mes lèvres, mon gland sent une langue le titiller, puis une bouche faire de délicates succions de ma hampe jusqu’à ce que le nez de mon fouineur bute dans mon scrotum, puis aspire doucement mes testicules. “Un suceur !” Ne puis-je m’empêcher de penser. Patrick n’aime ni sucer, ni le foutre, se contentant de mon “anus étoilé”, comme il se plaît à l’appeler, et de temps en temps, de mes testicules. Mais bon, j’ai tant de compensation avec lui !!!!!

“Que c’est bon d’en avoir deux !” Ne puis-je m’empêcher de leur dire en reprenant un peu de souffle. C’est juste ce moment que mon partenaire invisible choisit pour parcourir ma raie de sa langue, avant de bien insister sur mon œillet palpitant. Nageant en plein rêve, Pat me tire gentiment de ma rêverie en posant sa main sur ma nuque, comme pour me rappeler à l’ordre. Ma main pelote ses boules en le pompant goulûment, tandis qu’une langue lape, lèche et pénètre mon petit trou avec application, et qu’une main branle mon sexe bandé. Toutes ces sensations se percutent dans mon esprit, générant un mélange d’excitation et de bien-être.

Coulissant allègrement entre mes lèvres, déjà bien chaud, Patrick indique alors à Franck que je dois être impatient de me faire prendre et de ne pas me faire trop attendre. Il est vrai que mon cul bien léché et trempé de salive est fin prêt, et réclame d’être investi. Excité comme jamais, je me trémousse tout en aspirant Patrick avec euphorie.

Le moment tant attendu arrive enfin lorsque je sens le beau champignon pointer vers mon anus. Pour la première fois de ma vie, je vais sentir une queue fouiller mes reins tout en en savourant une deuxième en simultané ! Sucer, donner, prendre, recevoir, tout s’emballe, et je tente de m’en remettre à mes deux complices, incapable de trancher pour quelque priorité que ce soit. La seule chose que je peux faire est d’accompagner leurs mouvements pour “fluidifier les étreintes”. Je pousse pour ouvrir mon anus alors que Franck pénètre mon sphincter et se cale ainsi un petit moment, tenant mes fesses largement ouvertes. J’ai très souvent remarqué que les gens bien montés, voire très bien montés, marquent toujours un arrêt une fois le gland passé, sûrement pour laisser le temps aux muscles de se détendre, ce qui est logique, et… somme toute une délicate attention. Mais cette bonne queue, déjà très impressionnante, ne peut pas rivaliser avec celle que j’ai pris l’habitude d’engloutir ces derniers temps. La fonction crée l’organe, et comme à chaque rencontre, Pat me sodomise au moins une fois, je commence à être aguerri à cette pratique.

Ne résistant plus à cette attente, j’envoie quelques légers coups de bassin afin de bien lui faire comprendre mon désir “d’être sauté’’, il y répond immédiatement en glissant en moi par de douces poussées. J’arrête de sucer le temps de bien me sentir investi par cette longue barre, remerciant Patrick pour ce qu’il est en train de me faire vivre. “Tu vas avoir ce que tu désires depuis quelques temps, on va te remplir toute la soirée et essayer de te donner un maximum de plaisir !” me lance-t-il. Et tandis que ce long cylindre pénètre mon fondement, j’insinue un doigt au cul de mon ‘‘pompé’’, lui provoquant un petit grognement.

“Que c’est bon !”, savoure mon enculeur, ses couilles touchant les miennes. Si sa bite est bien moins large, elle est par contre un peu plus longue, mais trouve néanmoins terre d’asile ! Je suce une queue, gobe ce gland turgescent, et ressens cet autre membre me distendre l’ampoule, commençant à me limer doucement. “Oh oui, prenez-moi comme ça, j’aime bien vos queues de partout en moi. Remplissez-moi.”

Il m’est difficile d’exprimer ce que je ressens, mais là, je suis rassuré de connaître ceux qui me possèdent, et euphorique car tous deux montés comme des étalons, mais de plus concentrés sur mon plaisir… Ils prennent plaisir à m’en donner, ne cherchant pas à baiser pour vite décharger et s’enfuir ! Le ballet qu’effectue leur splendide organe en moi me procure une incroyable jouissance, mental pour l’instant, certes, mais quel plaisir ! Me livrant sans aucune retenue, je m’entends leur parler, leur exprimer ce que je vis, ce qu’ils me font vivre en s’emboîtant ainsi au plus profond de mon corps.

Ainsi stimulés, mes amants savent ce que j’attends. Pat joue à dominer ma bouche en tenant sa hampe à la base, donnant des coups de rein pour “baiser ma bouche”, s’empalant chaque fois sur mon doigt. Franck lui, coulisse librement, me remplissant jusqu’à la garde, puis ressortant pour tapoter sa lourde hampe sur mes fesses, puis replonge en grognant de plaisir. Nous sommes tous conscients que cela fait très “scène de film porno”, mais en même temps, l’amour à trois… Nous pratiquons du sexe plaisir, pas de l’amour passionnel à s’embrasser à pleine bouche ! Nous avons le même trip, et la magie, c’est que notre conception de l’amour entre hommes s’accorde, que nous nous complétons sans préjugé. Et justement, là, je suis aux anges, pénétré de toutes parts, donnant de bons coups de cul à chaque assaut, salivant et pompant un splendide gland, car cela correspond à mes désirs, et qu’eux m’offrent cette possibilité.

Frank accélère, me sodomisant sans retenue tout en me demandant si j’aime, si je suis bien pris, s’il n’y va pas trop fort. Ivre du plaisir distillé par mes puissants amants, je les encourage à me donner le meilleur d’eux-mêmes, que mon cul et ma bouche sont à eux, qu’ils me nourrissent de leur queue. Je veux qu’ils jouissent, qu’ils se vident en moi. “Donnez-moi tout votre foutre, je vais vous boire tous les deux !” Dis-je en sentant que Pat est juste au bord de la jouissance. Franck me baise depuis un grand moment, et je pense que pour lui aussi, jouir ne devrait plus être trop long. Il se retire, j’en profite pour m’asseoir entre eux alors qu’ils se placent de part et d’autre, chacun un genou contre moi, leur énorme dard contre ma bouche. Mes mains se saisissent fermement de leurs belles couilles en leur intimant l’ordre de me remplir la bouche de leur semence, j’exige leur sperme. Deux grosses queues qui se branlent rien que pour moi, là, constituent un tableau d’une rare intensité !

Patrick pousse un énorme cri en plaçant son bout distendu contre ma bouche ouverte, et commence à décharger d’interminables jets de sirop, n’en finissant plus de se déverser. Véritable cadeau, je m’empresse de déglutir son nectar, conscient qu’une certaine logistique s’impose. Tandis que Franck se branle de plus en plus fort, je prends tendrement la queue de Pat entre mes lèvres, alors qu’encore quelques spasmes la font tressauter, déversant les dernières gouttes sur ma langue.

“Ohhhhhh oui, je vais jouir !” crie-t-il soudain. Le temps de prendre son gros gland violacé entre mes lèvres, la belle pompe de notre invité se met en mode vidange, déversant plusieurs giclées de foutre contre mon palais. Ses jets sont moins abondants et légèrement plus épais, de même qu’un goût un peu plus âcre et salé le différencie également, sans pour autant être gênant. Je me repais de cette deuxième superbe éjaculation avec beaucoup de plaisir, gardant sa belle queue en moi quelques instants encore avant d’alterner, les nettoyant amoureusement toutes les deux, les accompagnant dans leur repli. J’aime le sexe, j’aime les belles queues, et n’ai jamais assez de sperme à avaler. Ce sont deux gros donneurs, avec de bonnes réserves !

Je les garde contre moi, jouant de mes mains avec leurs bites pendantes, les comparant, les confrontant avec tendresse, les félicitant pour le bonheur qu’ils venaient de m’offrir… jusque là.

Nous sommes bien tous les trois, aucune gêne, aucun tabou. Je me lève alors qu’eux se laissent choir lourdement l’un à côté de l’autre, éprouvés après ce premier acte. Je leur sers un verre, histoire de reprendre un peu nos esprits, et m’assieds en face d’eux. Je suis fasciné par leurs queues reposant à même le cuir entre leurs jambes écartées, et ne peux en détacher mon regard. “Vous êtes tous deux monstrueux, mais que c’est bon de vous avoir en moi ! Vous me faîtes vraiment jouir.” Leur dis-je encore une fois. Franck réplique que le diamètre de celle de Pat est incroyablement impressionnant, tout en la saisissant dans sa main pour mieux en apprécier le volume. Décidément, ce jeune homme est très ‘‘nature’’, son côté décontracté nous convient très bien, intégrant très bien notre évidente complicité sexuelle.

“C’est du massif, ta vie n’a pas dû être simple tous les jours !” Rit-il en masturbant lentement ce bel organe. Vues d’en face, les choses prennent une tournure excitante, surtout lorsque Franck approche sa bouche pour sucer cet objet de fascination. Pat glisse alors son bassin en avant du sofa afin de lui faciliter la prise en bouche, plaçant directement sa main gauche sur la croupe musclée de son nouveau pompeur. Pas facile à enfourner, il vaut mieux essayer de l’engloutir entière avant qu’elle ne gonfle trop. L’ayant compris, il parvient à en prendre un bon bout, effectuant un langoureux pompage. Visiblement, Il aime sucer, et à l’air d’y prendre plaisir. Devant l’invasion de la main de Pat entre ses fesses, il replie sa jambe afin de se rendre plus accessible. Sa queue s’allonge ostensiblement, ce qu’il vit lui est donc agréable… et comme je le comprends. Spectateur, je me branle lentement en admirant la scène d’un érotisme terrible, croisant le regard de Pat. Ce dernier me fait un clin d’œil allié.

Je n’y résiste plus, je m’agenouille et reprends le long sexe de Frank en bouche et le suce en faisant de grands mouvements de tête pour bien en apprécier la longueur. Patrick, le gland toujours entrepris, lui a enfoncé deux doigts dans l’anus, et le pistonne bon train tandis que je plante cette lance le plus loin possible dans ma gorge. Mais je n’ai pas encore joui, et ma queue raide est en manque. Me faire jouir en me branlant un soir comme celui-ci… serait un péché !

Patrick nous demande si nous ne serions finalement pas mieux sur un lit, et nous invite à continuer dans sa chambre, ce que nous faisons bien sûr. En lâchant la queue qu’il s’évertue à sucer depuis quelques minutes, Franck me demande comment je fais pour l’honorer aussi longtemps. “Je m’entraîne intensivement ! Le plus difficile, c’est de se faire prendre.’’ Lui dis-je, en l’attrapant par la queue pour l’emmener suivre notre hôte. “Ca, je veux le voir.” répond-il. “On va te le montrer tout de suite. J’aimerais que tu me prépares avec ta langue comme tout à l’heure.”

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Couché sur le dos en travers du lit, je me mets à genoux au-dessus de son visage et lui donne ma rondelle à sucer, tout en saisissant sa longue queue pour le branler. Patrick monte alors debout sur le lit et se présente entre les lèvres. Il aime être bien dur pour me mettre, et j’aime le mouiller de salive juste avant qu’il ne me pénètre. Franck, en dessous, s’active sur mon anus déjà bien ouvert par sa précédente sodomie, et je me trémousse de plaisir lorsqu’il cherche à y enfoncer sa langue profondément. Rapidement, il me faut être sailli : “Viens, encule-moi, j’en peux plus ! Je veux que tu me la mettes bien au fond pendant qu’il me suce.’’

Alors que Patrick se place derrière moi, je reprends la belle queue de Franck bien au fond de ma gorge en même temps que la mienne se plante dans sa bouche, mes couilles pleines sur son nez. Ses yeux sont à quelques centimètres de mon anus ouvert et lubrifié à souhait, il ne devrait pas manquer de s’en mettre plein la vue. Puis Pat pose son lourd gland contre mon “anus étoilé”, bien décidé à le dérider. “Vas-y, ne me fais plus attendre, encule-moi, s’il te plaît, fais-moi jouir, je veux que tu me la mettes comme l’autre soir, quand tu m’as baisé contre la voiture. Prends-moi vite !” Et alors qu’il commence à forcer pour s’enfoncer entre mes chairs, saisissant la longue queue de Franck à deux mains, je me mets à le pomper avec frénésie.

Bien chauffé par mon voisin du dessous tout à l’heure, Pat sait qu’il peut y aller, et ne serait-ce que pour satisfaire notre invité, il m’encule du coup jusqu’aux couilles d’un seul coup, m’arrachant un cri presque bestial, franchement plus d’étonnement que de douleur ! Comme s’il s’était agi d’un ballon gonflé d’un coup de compresseur, je me sens plein jusqu’aux amygdales, rempli à ras-bord, distendu, ouvert du bas du dos jusqu’aux couilles. Le souffle coupé, ma main saisit le beau paquet de couilles de Franck, les serrant probablement à lui faire mal tant la sensation d’éclatement est à son paroxysme.

Au bout d’une trentaine de secondes, ma bouche reprend son emploi de pompeuse, ma main relâche son étreinte, et mon enculeur, sentant la contracture disparaître, commence son investigation rectale par un long va-et-vient régulier. Ma queue agréablement sucée s’enfonce à chaque fois que Pat me pourfend de son pieu massif, et, loi du mouvement oblige, ma bouche s’empale sur la très longue hampe de Franck que je m’efforce d’avaler le plus loin possible.

“Oh oui, vas-y Patrick, encule-moi fort, je ne vais pas tenir longtemps. Bourre mon cul, j’ai besoin que tu me baises fort !” Agrippé à mes hanches, il me plante son dard de plus en plus intensément, son gros gland raclant mon rectum comme les segments d’un moteur. Endiablée, Dieu que cette sodomie est bonne, ma bite dans une bouche aussi chaude qu’experte, un énorme bout tapant mon palais de plus en plus vite. Mon cœur bat la chamade, ma tête tourne, mon ventre, secoué de spasmes, je sens la chaleur envahir mes reins, annonce de l’imminence de l’orgasme. “Oh oui, oui, ouiiii, défonce-moi, je vais jouir, encule-moi ! Remplis-moi, inonde-moi le cul !”

Ce besoin compulsif de mettre des termes forts dans ces moments est étrangement fédérateur. Soufflant comme une locomotive, il laboure mes reins avec une célérité que je ne lui connaissais pas, complètement désinhibé, et surtout, comme nous tous, surexcité par l’intensité de la scène. Puis il se raidit d’un coup, planté en moi, hurlant sa jouissance tandis que des contractions ceinturent mes entrailles. Il explose et décharge, je reçois le foutre de mon enculeur adoré en de longs coups de reins brutaux, ses lourdes bourses frappant les miennes avec violence. Réaction en chaîne, son éjaculation déclenche aussitôt la mienne, et ma hampe se déverse dans la bouche de Franck d’un flux quasi continu, sa queue toujours plantée dans ma bouche. Je jouis, voyageant aux limites de la perte de conscience, le corps traversé d’ondes de bonheur. Franck a résisté à cet orgasme, et n’a pas éjaculé, malgré l’intensité de ma fellation. Je m’allonge lourdement sur lui, épuisé, ma bite mollissante toujours entre ses lèvres.

Pat, lui, reste immobile, planté jusqu’aux couilles dans mon anus distendu, probablement à la limite de la défaillance. Je suis étrangement bien, là, la tête sur la cuisse de Frank, ses testicules contre mes lèvres, reprenant mon souffle et mes esprits. L’énorme barreau planté dans mon cul perd de sa superbe graduellement, puis Patrick finit par sortir, laissant un énorme vide derrière lui. C’est ce moment que choisit Franck pour se dégager de mon sexe, sentant que je reprends vie. Il joue de la langue sur mes longues et très pendantes burnes, cherchant de la pointe mon trou béant. C’est vrai qu’il n’a pas encore joui, et reste très excité. Je me redresse un peu et viens poser mon anus distendu sur sa bouche pour répondre à son appel. Quelle exquise sensation que cette langue qui vient lécher l’intérieur de mon cul, générant des tas de petits frissons agréables. Il me suce, m’aspire, me lèche avec de plus en plus d’intensité. Comprenant ce qu’il convoite, je contracte mes muscles anaux afin d’expulser l’importante dose de foutre brûlant que mon amant vient de m’inséminer. Je le sens couler de mon ventre vers sa bouche avide. L’effet est immédiat : son ventre se tord, il se trémousse, son excitation est à son comble. Sachant qu’il va partir, je le branle avec frénésie pendant que sa langue me fouille et sa bouche m’aspire bruyamment. Ses couilles se calent de chaque côté de sa longue et dure hampe, son gland gonfle, gorgé de plaisir, presque menaçant. Je me penche et l’aspire en le branlant encore plus vite, réclament mon dû : je lui donne le sperme de mon amant, lui me doit alors le sien.

Il râle soudain, déchargeant plusieurs longs jets de sperme crémeux, le bassin partant à ma rencontre. J’avale cette semence avec un plaisir indicible, suçant délicatement sa verge un long moment encore après qu’il est joui, avant de me laisser tomber sur le côté, anéanti.
Patrick m’a fait un très beau cadeau, ce soir. Je lui en serai reconnaissant.

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