Une soirée de folie… par Lechat82

Une soirée de folie…
par Lechat82

Monique, la patronne du club, belle femme de 52 ans, bien en chair, des seins à damner un saint, une chatte lisse avec un anneau sur chaque lèvre, un délice, une bouche gourmande, bref, le rêve… Donc Monique, avait appelé deux couples dont un jeune couple Luc et Laurence (25 ans maxi) bi (les 2) pour moi, et ce fut un festival, l’autre couple d’une cinquantaine d’année (Pierre et Evelyne) elle, avocate très connue à Lyon et lui notaire ayant pignon sur rue, très « classe », étaient de « vieilles » connaissances… 10 ans que je ne les avais pas vu ! Mais toujours aussi cochons !

Après quelques verres de champagne, les esprits s’échauffant, je fus « contraint » de sucer ces dames assises sur les tabourets. Pendant ce temps, elles se caressaient mutuellement, s’embrassaient à pleines bouches. Mes mains étant libres, j’entrepris de branler le jeune : belle queue que notre cochonne de Marie-Lise aurait aimée, pas énorme, mais belle. Luc, puisque il s’agit de lui, pendant ce temps, avait entrepris de caresser Monique, quand les autres clients lui en laissaient le temps. Alain, son mari était pendant ce temps en train de se faire sucer par une minette que je n’avais pas vu rentrer, belle fille d’une vingtaine d’année. Laurence, la femme de Luc, s’est assise sur le bar afin que je puisse mieux la sucer, du coup, Evelyne, s’est accroupie pour me sucer, et dans tout ça, Pierre se faisait caresser par Laurence. (Cela faisait une demi-heure que nous étions là !).

Ayant abandonné la queue de Luc, il s’est lui aussi accroupi et a « aidé » Evelyne à me sucer. Un homme et une femme qui me sucent ! Le bonheur !

Notre petite « sauterie » sur le bar ayant attiré les clients autour de nous, il commença à y avoir des mains baladeuses de partout, une autre femme vint s’asseoir sur le bar, (la trentaine, rousse, bronzée, et un peu maigre à mon goût. mais pas mal du tout quand même !), elle se fit sucer par Monique (qui adore ça), et embrassa Evelyne à pleine bouche. Evelyne mouillait beaucoup, (j’adore !) et de temps en temps j’embrassai Monique à côté de moi, lui donnant la mouille d’Evelyne.

Sous les caresses buccales de Luc et d’Evelyne, je finis par jouir très fort, arrosant le visage d’Evelyne de ma semence, alors Monique vint lui lécher le visage. Laurence en profita pour jouir elle aussi, entraînant la rousse dans son extase, car les doigts de Pierre s’étaient faufilés dans la fente toute lisse de Sylvie (c’était son nom, apprit-on plus tard). Enfin Pierre sous les caresses d’Evelyne et de Monique lâcha lui aussi sa semence sur les corps devant lui, et pour finir, Luc jouit dans la bouche de sa petite femme.

Après cette entrée en matière particulièrement chaude, nous sommes allés prendre une douche (ensemble !), à l’étage, les hommes commençaient à rebander car ces coquines de femmes nous excitaient en se caressant, et en se suçant les seins les unes des autres. A côté de la douche, il y a un grand coin câlin avec des canapés, et une table de gynéco. Nous nous fîmes servir de nouveau du champagne et pendant que nous discutions, Pierre, Evelyne et moi, la rousse s’installa sur la table, les pieds dans les étriers, offerte, elle se caressa, ondulant comme une vague. Alors, Laurence, s’est agenouillée pour la sucer.

Luc se mit de côté, profitant ainsi du spectacle tout en se faisant sucer par Sylvie (la rousse), .alors nous trois, nous avons commencé à être très excités de les voir, Evelyne s’est penchée vers Pierre et a commencé à le sucer en me regardant. Avec un sourire malicieux, elle m’a dit que je pouvais : soit rester à les regarder ou alors l’aider. Nu sur le canapé, je me branlais en la regardant sucer Pierre qui prenait visiblement son pied. Je me suis rapproché d’eux et me suis couché à côté d’Evelyne. La voir avec cette queue dans la bouche m’excitait vraiment. Soudain elle prit la bite de son mari d’une main, me la présenta et je l’ai prise en bouche. C’était vraiment délicieux et j’ai commencé à le sucer aussi. La bite de Pierre passait d’une bouche à l’autre, ma langue et la langue d’Evelyne se mélangeaient pour lécher ce membre bien dur. Pierre sentait qu’il allait jouir et nous le fit savoir. Evelyne m’a alors repoussé sur le dos, m’a rapidement mis une capote et est venu s’empaler sur mon sexe tendu au maximum. Elle avait la foufoune détrempée d’excitation et je sentis son jus couler sur mon ventre. Evelyne se tenait les seins et me disait :

–  » Mmmmmh oui, baise-moi bien, je suis une cochonne.  »

Pierre est venu me présenter encore sa queue et je l’ai sucé tout en baisant sa femme. J’étais au comble de l’excitation. Puis Evelyne s’est retirée et s’est mise à quatre pattes, de ses deux mains elle écartait ses fesses et m’a dit :

–  » Viens, j’ai envie que tu m’encules !  »

Je ne me suis pas fait prier, et après lui avoir introduit un doigt, puis deux dans son petit trou, je l’ai pénétré d’un coup. Je n’ai senti aucune résistance. Je me suis mis à la limer de plus belle pendant qu’elle balbutiait toutes sortes d’obscénités. Au bout d’un moment, elle s’est mise sur le dos et je l’ai de nouveau sodomisé alors qu’elle se caressait le clito d’une main. Pendant que je la pénétrais, j’ai senti Pierre se poster derrière moi en me caressant les couilles. Que j’aime ça ! Puis il glissât un doigt dans la chatte d’Evelyne et vint ensuite le glisser dans mon cul. J’étais au comble de l’excitation et j’ai dit à Pierre que j’avais envie de sa bite dans mon ventre. Quand il m’a appuyé son sexe gainé de caoutchouc sur mon anus et que je l’ai senti s’enfoncer en moi, j’ai ressenti un plaisir géant. Mes deux amis ne bougeaient pratiquement plus et je faisais des « aller et venues » en avant en arrière. Ma queue s’enfonçait dans le cul d’Evelyne qui se branlait comme une folle et lorsque je ressortais, celle de Pierre s’enfonçait en moi. Après dix minutes de ce traitement nous avons jouis tous les trois en même temps.

Nous avons fini la bouteille de champagne et ils sont descendus voir en bas si des amis à eux étaient arrivés

Pendant ce temps nos trois coquins s’en donnaient à cœur joie eux aussi, et je me réjouis de voir Sylvie se faire défoncer par un gode ceinture porté par Laurence, tandis que Luc semblait être en train d’enculer sa cochonne de femme. Je vins alors près du corps de Sylvie, la caressait et embrassait à pleine bouche Laurence pour étouffer sa jouissance. Sylvie entreprit de me sucer, mais après la partie de folie que je venais de vivre, il me fallait un peu de temps pour reprendre de la vigueur. Luc et elle jouirent en même temps. Ce fût beau à voir, ce gode ceinture allait encore servir dans la soirée, mais pas de suite.

Marc

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3 réponses à Une soirée de folie… par Lechat82

  1. Rofeen dit :

    C’est pire qu’au rugby, on est de suite dans la mêlée, je sais bien qu’en club ça se passe parfois comme ça, mais quand on raconte ne vaut-il pas mieux décrire des instants plus chaleureux ?

  2. Muller dit :

    Il y avait du potentiel, mais le style encombré de parenthèses est décidément trop fouillis. Dommage !

  3. Werber dit :

    En fait ce texte est un rewriting de celui-ci (du même auteur)

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