Une séance de massage révélatrice (partie 3) par Francois_urophile

 

Une séance de massage révélatrice (partie 3) par Francois_urophile

Léa passa machinalement la main entre les cuisses de Caroline.

– Mais tu es encore mouillée… ! Insatiable ! Alors, caresse toi et regarde cela…

Intriguée, Caroline regarda Léa se lever et aller vers les toilettes. Elle se positionna au-dessus de la cuvette, fesses tournées vers Caroline, comme elle avait l’habitude de le faire avec moi. Elle écarta les globes fessiers, pour bien rendre visible son petit trou.

– Regarde, tu as gouté ma salive, ma mouille et mon pipi. Il reste cela…

Elle poussa, tout en se masturbant et en gémissant et un bel étron sortit soudain de cette magnifique raie lisse. Il coulissa lentement puis tomba dans l’eau des toilettes, avec un floc familier. Là encore, Léa avait voulu montrer que notre perception des choses dépendait de la situation. En se retournant, elle vit Caroline en train de se masturber et de se donner un nouvel orgasme.

– C’est incroyable. J’étais à la fois écœurée, mais je ne pouvais détourner les yeux du spectacle. Et je me suis caressée sans même m’en rendre compte…
– Tu vois, toujours une question de contexte…
– Et tu fais cela avec Alain ? ensemble ?
– Oui, moins souvent que le pipi, mais c’est aussi assez intense ! Quand nous sommes très excités, cela peut venir très naturellement… et toujours plus facile du fait que nous vivons tout nu
– Je n’en reviens pas. J’ai fait plus de choses en deux heures que dans toute ma vie sexuelle…
– Il faut oser. Et si j’ai un conseil à te donner, il faut maintenir ces fantasmes et te masturber souvent. Tu le fais tous les combien ?
– Je ne sais pas trop, une ou deux fois par mois…
– Hein ? Mais c’est tous les jours qu’il faut le faire. Cela déstresse et entretient les fantasmes…
– Tu le fais tous les combien, toi ?
– Moi, tous les jours, généralement sous la douche en faisant pipi.
– Mais tu n’en as pas assez avec ton mari ?
– Cela n’a rien à voir, donc tu peux faire les deux. Quand tu te masturbes, tu es en connexion directe avec tes fantasmes, sans contraintes. Alors que dans le sexe, tu partages quelque chose avec quelqu’un. J’ai l’habitude de me caresser tous les jours depuis que je suis ado et cela te fait progresser dans la connaissance de ton corps. C’est comme cela que j’ai découvert le plaisir anal, en intégrant de plus en plus les caresses du petit trou dans ces séances intimes. Et lors de ma première sodomie avec un garçon, j’ai pu vraiment en profiter, à ma grande satisfaction et à la sienne, d’ailleurs. Imagine le garçon à qui sa copine dit que c’est sa première sodomie et qui en jouit naturellement dans plusieurs positions
– Et Alain, il fait pareil ?
– Au début, je savais qu’il se masturbait, mais me disait le contraire et se cachait. Moi pas, et j’ai eu un peu de mal à lui expliquer que lorsqu’il me surprenait en train de me branler, je voulais qu’il me laisse seule pour finir. Maintenant, tout cela est bien rôdé…. Et tu vois que je peux aussi prendre du plaisir avec une amie sans qu’il le sache, tu viens de t’en rendre compte

– Mais tu es toujours excitée alors ? comment fais-tu au travail ?
– Au travail, je reste très pro. Le seul petit plaisir qu’on s’autorise, c’est d’aller voir Alain, qui est médecin, et de simuler une consultation, mais orientée sexe. Dans ce cas, je viens en robe en étant nue dessous. Et l’examen s’enchaîne : de la bouche avec une fellation, du vagin avec un bonne pénétration et du rectum avec une sodomie, pour finir avec sperme et pipi dans ma bouche. J’adore car on fait tout cela en 15 minutes, sans quasiment se parler si ce n’est un vocabulaire très médical !
– Humm excitant… et en dehors du travail ?
– Là, je suis plus nature : jamais de sous-vêtements, ou alors juste un string ficelle pour bien avoir la sensation des fesses nues mais très souvent sans rien. Et pour compléter, je me suis mise à la mode barefoot venue des US
– C’est quoi, ça ?
– C’est le fait de marcher pieds nus en permanence, y compris en ville et pour toutes les activités
– Tu fais ça, toi ? mais c’est sale et pas confortable…
– Il y a 3 heures, tu m’aurais dit la même chose si tu avais vu quelqu’un faire caca devant toi, non ? et maintenant, tu es prête à te masturber en regardant une vidéo de sexe scatologique ! Tu n’es pas d’accord ?
– Oui, c’est vrai. Mais pieds nus, quand même…
– Oui, je le fais pour trois choses : la sensation de nudité, dans la continuité du naturisme – le fait d’avoir les pieds sales, mais je te rassure je les lave ! – et le regard des autres, comme une forme d’exhibition
– A ce point ?
– Oui, c’est une forme de rébellion, que beaucoup voudrait transgresser mais peu osent. Il m’est déjà arrivé, après avoir été observé pieds nus en train de faire des courses dans un magasin par plusieurs couples, d’aller aux toilettes pour me faire jouir !
– Humm tu m’excites aussi, là. Et Alain ?
– Il est moins convaincu, mais a adopté aussi la mode sans-culotte, ou string ficelle !
– Il porte des strings ? vraiment ? cela ne fait pas un peu gay ?
– Non, pas du tout. Et j’aime les choisir avec lui…
– Humm je vois
– Bon, je crois que nos hommes vont rentrer de la plage… on devrait prendre une douche !

Ce qui fut fait rapidement, pour que les deux amies puissent se libérer des différents fluides et arômes corporels !

Avant de quitter la salle de bains, Léa fit une promesse à Caroline :

– Je te promets que nous ferons en sorte que tu puisses partager tout cela avec Théo…

Et lui donna un baiser sur la bouche…

La fin d’après-midi approchait et il fallait encore faire quelques courses pour la soirée. Léa et Caroline allèrent s’habiller. Léa mit un short en jean ainsi qu’une chemise également en jean, d’un bleu plus clair. Caroline, elle, avait choisi une jupe courte, et un top assez décolleté. Aux pieds, Léa avait chaussé des tongs fines et Caroline des sandales type tropéziennes. Léa la complimenta :

– Humm, joli. Mais dis-moi, tu te souviens de notre conversation de tout à l’heure ? tu ne voudrais pas faire comme moi ?

En disant cela, Léa releva son chemisier, révélant sa poitrine nue et libre, et continuant sa démonstration, défit le bouton de son short, et le baissa jusqu’à mi-fesses, rendant explicite l’absence de culotte. Sans lui demander son avis, elle s’approcha de Caroline, s’accroupit et, remontant sous la jupe, lui retira son sous-vêtement, et la mit dans son sac. Elle fit de même avec le soutien-gorge, et défit l’agrafe arrière. Caroline fit coulisser les bretelles et tendit le soutif à Léa. Les tétons pointaient sous le top moulant, rendant l’ensemble très excitant. Elles sortirent et montèrent dans la voiture. Arrivées au centre commercial, elles se garèrent dans le parking souterrain. Au moment de sortir de la voiture, Léa regarda Caroline en souriant :

– Et tu veux encore faire comme moi ? Alors donne-moi tes chaussures…

Caroline hésita, mais elle vit Léa mettre ses tongs dans son sac. Elle voulait essayer toutes les expériences, décidées finalement à apprendre le plus possible de Léa. Elle s’inquiétait même un peu de l’emprise que sa nouvelle amie pouvait avoir sur elle, mais elle abandonna vite cette pensée, devant l’envie de connaître de nouvelles expériences. Le fait de sortir pieds nus lui paraissait une pratique anodine à côté de ce qu’elle venait de découvrir avec Léa, mais l’idée d’affronter tout un centre commercial lui semblait une véritable épreuve. Machinalement, elle défit ses sandales et les tendit à Léa qui les mit à son tour dans son sac, en précisant :

– J’emporte toujours une paire avec moi, au cas où il y aurait des interdictions…mais c’est très rare au final

Elles descendirent de voiture et Caroline sentit tout de suite le sol froid du parking. Elles se dirigèrent vers les ascenseurs, en même temps que d’autres clients. Pendant toute la montée, Caroline eût l’impression que tout le monde ne regardait que ses pieds nus. Elle en éprouva à la fois une gêne et un frisson d’excitation. Arrivées au bon étage, elles sortirent et se retrouvèrent au milieu d’un grand hall et des clients nombreux. Caroline appréciait le contact de la pierre lisse sous ses pieds, contact rafraichissant. Mais elle se sentait aussi gênée que si elle avait été entièrement nue au milieu du hall. En fait, peu de personnes y faisaient vraiment attention. Léa vit la gêne de Caroline :

– Ne fais pas attention, ne pense qu’au plaisir que tu y prends. Mais j’aime voir quand les gens le remarquent et en discutent en se retournant sur moi… cela m’excite au final

Elles firent le tour des magasins pour faire toutes leurs courses et décidèrent de finir en prenant un verre à une terrasse située dans l’enceinte du centre commercial. Nos jambes nues et nos pieds nus attiraient les regards, de couples ou d’hommes. Léa remarqua :

– Tu sais, ils ne nous regardent pas que pour nos pieds ! Je pense qu’ils ont bien vu que tu ne portais pas de soutif… tu as vu comme tes tétons pointent ?

– C’est vrai, tu as raison, avoua Caroline

Et effectivement, ses seins magnifiques étaient enfermés dans un top un peu trop court, et l’absence de sous-vêtement était flagrante. Léa promena son pied nu sur la jambe nue de son amie, en remontant jusqu’au genou. Ce qui eut pour effet de renforcer l’excitation de Caroline. Léa lui souffla à l’oreille :

– Quand je suis en jupe, je fais en sorte que mes fesses soient en contact avec le siège. Tu devrais essayer…

Caroline jeta un œil autour et remontant l’arrière de sa jupe, s’arrangea pour avoir les fesses au contact. Elle avait l’impression que tout le monde l’avait vu. Elle fantasmait tout en buvant son verre.

– J’ai l’impression que je suis en train de mouiller le siège… avoua-t-elle timidement
– Profites en… tu es excitée ?
– Oui, je l’avoue
– Alors, viens avec moi, je ne vais pas te laisser dans cet état !

Léa paya les consommations en laissant la monnaie sur la table et entraîna Caroline vers un des couloirs. Celle-ci ne faisait plus attention au fait qu’elle marchait pieds nus, et que ceux-ci étaient maintenant noircis par le contact répété avec les différents types de sol. Caroline découvrit qu’elles se dirigeaient vers les toilettes et imaginaient avec excitation ce qu’elles allaient pouvoir faire. Elles entrèrent dans les toilettes pour dames, et profitant de l’absence de personnes, elles entrèrent tous les deux dans la même cabine. Dans la seconde qui suivit, Caroline était plaquée contre le mur, le top relevé libérant la poitrine généreuse et les bouches et langues mélangées. La main de Léa était déjà sous la jupe, les doigts s’activant dans la chaleur humide de l’entrejambe. Elles n’avaient pas beaucoup de temps, il fallait aller vite. Léa se mit à genoux, remontant la jupe et vint directement lécher le minou lisse et dégoulinant de mouille. La langue et les doigts précis eurent vitre raison de l’excitation de Caroline qui dut se pincer les lèvres pour ne pas crier au moment de l’orgasme. Léa voulait maintenant aussi en profiter. Ayant baissé son short, elle se pencha au-dessus des toilettes en se caressant, tournant le dos à Caroline et l’invita à venir :

– Viens me lécher le cul, stp

Caroline s’approcha et commença directement à lécher l’orifice anal.

– Plus vite, entre ta langue, encule moi… murmura Léa qui se retenait de ne pas crier

Caroline s’exécutai en caressant Léa partout. Elle passait la main sous le chemise pour atteindre la poitrine dénudée.

– Mets ton doigt maintenant… fais-moi jouir du cul !
– Oui, je vais t’enculer avec mon doigt…

Caroline se surpris elle-même à utiliser spontanément un vocabulaire cru. Son doigt entrait et sortait de l’anus assoupli, de plus en plus profondément. Avec beaucoup de maîtrise, Léa savait se contrôler pour jouir. Et en effet, il ne fallut pas longtemps pour atteindre cet orgasme anal. Elle se redressa, embrassa Caroline et attrapa la main dont le doigt lui avait masturbé le rectum. Elle fit mine de l’attirer à la bouche pour le nettoyer. Puis, se ravisant, elle le présenta à Caroline :

– Tu veux le sucer ?

Prise dans l’excitation, Léa savait que c’était encore une étape pour Caroline. Et sans hésiter, Caroline se lécha le doigt. Même si le doigt n’était pas vraiment souillé, le geste était significatif.

Elles ressortirent de la cabine, sans prêter attention aux personnes présentes, autant surprises par leur sortie de la même cabine que par leurs pieds nus.

Elles retournèrent vers la voiture, montèrent et s’embrassèrent sur la bouche.

– Si tu fais toujours les courses comme cela …, je veux bien venir tout le temps avec toi !

Elles roulèrent un moment pour arriver à la maison et commencèrent à préparer l’apéritif. Elles prirent une douche, notamment pour nettoyer leurs pieds noircis et restèrent nues, bien évidemment.

Lorsque nous entrâmes dans la maison avec Théo, nous découvrîmes nos compagnes nues, dans les chaises longues, avec un apéritif appétissant servi sur la table de jardin. Nous leur racontâmes notre après-midi sur la plage, sans parler évidemment de l’épisode de la cabine de plage, mais en décrivant l’épisode de la plage textile en string ficelle.

– Toi, tu as porté un string ficelle ? s’étonna Caroline en regardant Théo
– Oui, et il a trouvé cela très agréable ! ajoutai-je, presqu’autant que d’être nu à la plage !
– Oui, je dois avouer. Je pense que je vais changer ma vision des sous-vêtements, je trouvais que les strings faisaient gay ! ajouta Théo, mais ce n’est pas du tout le cas ! Et Alain m’a dit qu’il en mettait souvent
– Moi aussi, j’ai changé ma vision des sous-vêtements…, dit Caroline en riant, en faisant un clin d’œil à Léa, mais je ne compris pas l’allusion.
– En attendant, je vais prendre ma douche. Théo, tu peux utiliser l’autre salle de bain si tu veux, dis-je
– D’accord, nous avons encore plein de sable à enlever…, ajouta Théo en se dirigeant vers sa chambre.

Je montai à l’étage et entra dans la salle de bain. J’ôtai mes tongs, mon short et mon tee-shirt pour me diriger nu dans la douche. A cet instant, Léa entra dans la salle de bains et alla sur les toilettes pour faire pipi. Puis, elle s’approcha de moi tandis que je me savonnai.

– Alors, vous vous êtes éclatés ? me demanda-t-elle
– Oui, il a bien aimé de s’exhiber en string et c’est lui qui a demandé à ce que je le suce. Il bandait comme un fou, et j’ai eu du mal à avaler tout son sperme ! et toi, comment se passe l’éducation de Caroline ?

Léa me raconta tout. Même sans entrer dans les détails, cela suffit à déclencher une érection sans même me toucher la verge. Ce fut elle qui commença à me masturber, puis à genoux, à commencer une fellation profonde. Elle me massait les couilles, puis, après avoir mouillé son doigt, me l’introduisit dans l’anus. Elle continuait à raconter, tout en poursuivant l’agréable stimulation rectale. Elle me stimulait maintenant la prostate, en donnant des coups de langue sur le gland décalotté. La sensation de cette caresse, si particulière et insoupçonnée pour les hommes qui ne l’ont jamais expérimentée, m’amenait au sommet de l’excitation. Le doigt dans l’anus et ce que me racontait ma femme sur son après-midi avec Caroline, me rapprochaient chaque seconde plus de l’orgasme. Et quand la jouissance arriva, un flot de sperme s’écoula du gland, sans jet saccadés mais en un flot unique. Léa ouvrit grand la bouche pour ne pas en perdre une goutte, puis vint partager la semence tiède avec moi en un baiser fougueux, en mélangeant nos langues. J’avalai ce que je pouvais et elle aussi. Léa me sourit :

– Je pense que l’on va bien s’amuser à quatre. Si on faisait un tour en bateau demain, on serait tranquilles ?
– Oui, bonne idée. Je vais réserver…

En même temps, je commençai à faire pipi dans la douche. Naturellement, Léa prit mon pénis et dirigea le jet vers ma poitrine, comme avec un jet d’eau, en riant. Puis, elle se pencha. J’arrêtai le jet en attendant qu’elle soit en position, bouche devant le gland, puis me vidai dans sa bouche. Elle remplit complètement sa bouche et avala le tout.

Hum, sucré aujourd’hui !

Elle s’essuya et sortit de la salle de bain.

Après m’être essuyé, je descendis dans le salon, toujours nu. Théo arriva juste après. Il avait gardé sa serviette autour des hanches. Caroline se leva, alla l’embrasser et en profita pour lui enlever sa serviette.

– Ici, on vit tout nu ! lui dit-elle en riant
– Je sais, mais je n’ai pas encore l’habitude… Répondit Théo
– Et tu voulais nous cacher cette belle érection ! ajouta Caroline

Tout le monde ria et la soirée se poursuivit en toute détente. Théo rit aussi et progressivement son sexe reprit sa forme de repos.

Léa prit la parole :

– Pour demain, nous vous proposons de faire une balade en bateau. Nous avons quelques coins très agréables, quelques criques où nous pourrons nous détendre et nous baigner. Nous pourrons même débarquer sur une petite plage s’il n’y a personne… et attention, maillot interdit !
– Tu veux dire que l’on va passer toute la journée, nus sur le bateau ? demanda Caroline
– Bien sûr, on devra juste s’habiller pour aller prendre le bateau au port ! répondit Léa
– Hum cela s’annonce bien…ajouta Caroline.

La soirée se poursuivit en toute détente. J’avais appelé pour réserver le bateau que nous prenions habituellement pour nous promener en mer.

Tout le monde alla se coucher, en attendant la bonne journée du lendemain, pleine de promesses.

A suivre

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Une réponse à Une séance de massage révélatrice (partie 3) par Francois_urophile

  1. Pascalou dit :

    Heureusement que l’illustration est bandante parce que sinon c’est un peu plat tout ça

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