L’odyssée de Zarouny (Vargala 3)
26 – Jeux de dames sur Simac3
par Nicolas Solovionni
Au domaine, la vie s’organisait, Artémise et Asseb cohabitaient désormais sans trop de problèmes avec Constantin et Pacheco. Les filles qui devaient reconstituer le harem n’étaient pas encore arrivées mais étaient annoncées, il n’en avait choisi que quatre, des canons. Pacheco le regrettait presque, ses compagnes et compagnons du moment lui donnant toute satisfaction, mais bon, il n’allait tout de même pas annuler les embauches.
« Bah, plus on est de fous, plus on s’amuse ! »
Asseb s’immobilisa devant Artémise. Et pris une posture théâtrale avant de lui déclarer :
– J’ai un aveu à te faire !
– C’est grave ?
– Non, mais ça va te surprendre !
– Je m’attends au pire ! Raconte !
– Là-bas, à Faratown, fallait bien que je vive !
– J’ai compris, tu t’es trouvé une femme qui t’as entretenue.
– Ah ben, non ce n’est pas ça du tout, mais alors pas du tout !
– Ce n’est quand même pas un homme ? Je n’y croirais pas !
– Non ce n’est UN homme !
– Attends ! Qu’est-ce que tu vas me raconter là ?
– J’ai fait la pute, j’ai sucé des bites, et j’ai fait des tas de galipettes. Je serais bien restée mais je n’avais pas trop de perspective, je n’arrivais pas à me lier avec les autres filles et puis j’avais envie de te revoir.
– T’as fait la pute ? Mais ça veut dire que tu dois avoir plein de choses à me raconter ?
– Ben…
Asseb fut surprise qu’Artémise prenne la chose avec autant de détachement.
– Si, si tu vas me raconter tout ça… Mais pas tout en même temps… Et puis dis donc, si tu n’as plus peur des hommes, on va pouvoir faire des bêtises ensemble alors ? Lui lança l’ancienne papesse.
– Si tu veux… Mais enfin… Si on m’avait dit ça un jour…
– Tu voudrais qu’on s’amuse, là tout de suite ?
– Je ne sais pas, c’est quoi l’idée ?
– Je peux par exemple appeler Pacheco. Suggéra-t-elle
– Et tu l’appelles, il vient ? Il est pour ainsi dire à ta disposition ?
– Ce n’est pas ça ! Mais ce type est un véritable obsédé, s’il sent un plan sexe, il accourt comme une bête en rut.
– Alors d’accord, appelle la bête !
Pacheco fut surpris en entrant dans la chambre de la présence d’Asseb, il lui avait pourtant semblé qu’Artémise en l’appelant avait des intentions coquines. Sans doute s’était-il abusé ?
– Ça vous dit, un plan à trois ? Lui demande d’emblée Artémise.
– Quel genre de plan ?
– Un plan coquin !
– A trois ?
– Oui !
– Avec…
– Avec Asseb, oui !
– Ça alors ! Je vois que l’air de la ville vous a fait du bien ! Et bien d’accord, allons-y !
Et sans plus attendre, il se déshabille. Asseb ne tarde pas à en faire autant, et Artémise suit le mouvement.
– T’es pas mal foutue dis, donc ! S’exclame Pacheco en découvrant la nudité d’Asseb
– Hi, hi ! J’aime bien votre bite, elle est jolie !
– Tu veux la sucer ?
– On pourrait le faire à deux ! Propose Asseb.
Et joignant le geste à la parole elle s’accroupit devant Pachéco de telle façon qu’Artémise puisse également avoir accès à son organe viril.
Le fait de voir Asseb complétement transformée excite terriblement Artémise qui ne voulant pas paraitre à la traine se lance dans l’action à corps perdu. L’ancienne papesse du régime de Novassa et celle qui fut sa suivante, se lancent alors dans un jeu de passe bite dans lequel chacune essaie de surpasser l’autre.
– Hé doucement les filles ! Vous allez me faire partir trop vite.
Les deux femmes se relèvent et si Artémise se demande quelle attitude adopter, Asseb se met à caresser convulsivement Pacheco, lui tortillant les tétons au passage, et se permettant un doigt inquisiteur dans l’anus.
– Tu aimes ça, hein ?
– Je n’y crois pas ! Tu as pris des cours de formation accélérée ? S’amuse Pacheco. Mais continue, j’aime bien.
Artémise se sent de plus en plus larguée par Pacheco qui maintenant a entrepris de sucer les tétons d’Asseb avec une exaltation de collégien.
– Viens me sauter, tu prendras Asseb après.
– Attends, je suis occupé. Répond ce dernier.
– Viens, je suis ta chose, je suis ta chienne, je suis ta salope !
– Oui, on a compris mais chacune son tour, d’accord ?
Pacheco se demande à ce moment-là si les deux femmes ne vont pas finir par s’étriper à cause de lui. Il décide alors de prendre le contrôle des opérations.
– Stop ! Les filles, on se calme ! Je vais m’allonger sur le dos, Asseb, tu vas t’empaler sur ma bite et pendant ce temps je vais me régaler en léchant la chatte d’Artémise, ça vous va ?
– Non, c’est moi qui m’empale d’abord ! Répondit l’ancienne papesse.
– O.K. on commence comme ça !
Asseb ne protesta pas préférant faire profil bas devant son ancienne supérieure hiérarchique et s’agenouilla au-dessus de la bouche de Pacheco lui offrant son minou à déguster.
Artémise après s’être empalé la chatte, ne tarda pas à changer de trou et à se faire coulisser la bite du vieux briscard dans son conduit anal en proférant en boucle les quelques jurons à caractères sexuels qu’elle avait retenus.
Mouillée par la transpiration et l’excitation, le corps luisant, les cheveux défaits, les yeux exorbités, les lèvres écumantes, elle clame sa jouissance comme si elle voulait que toute la maisonnée l’entende. Calmée mais lessivée, elle s’en va s’assoir un peu plus loin laissant Asseb s’empaler à sa place.
Pacheco n’est pourtant pas un as du broute minou, mais l’insolite de la situation aidant, il a fait un effort et mis le feu au sexe d’Asseb. Celle-ci, déjà au bord de la jouissance, n’eut pas besoin de chevaucher bien longtemps son partenaire pour se mettre à jouir, précédant ce dernier dans l’orgasme de quelques courtes secondes.
Ils s’affalèrent l’un sur l’autre, Pacheco crut qu’elle cherchait sa bouche, elle ne voulut pas le décevoir et les deux amants s’embrassèrent longuement.
« Et en plus elle embrasse, cette trainée ! » Maugréa Artémise.
– On est devenues des vraies salopes ! Constata Asseb, une fois que Pacheco eut quitté les lieux.
– C’est pas bien grave, viens dans mes bras ! Répondit Artémise.
Les deux femmes se câlinèrent pendant plusieurs minutes sans prononcer aucune parole. Puis Artémise lui posa la question qui lui brulait les lèvres :
– Tu aimes mieux avec les hommes ou avec moi ?
– Mais, voyons, ça n’a rien à voir !
– Ça ne répond pas à la question !
– Une femme, c’est doux, ça n’a pas le visage qui pique, ça n’a pas des polis partout, et puis c’est beau !
– Ben alors qu’est-ce que tu leur trouves aux hommes ?
– Leurs bites !
Les deux femmes s’esclaffèrent, puis s’embrassèrent goulument.
– Et puis en plus, repris Asseb, il y en qui sont gentils.
– Alors tout va bien.
– Dis moi, Artémise, pourquoi tu as ton doigt dans mon cul ?
– Parce que j’aime bien, pas toi ?
– Mais si, ma cochonne !
Les aveux de Gertrud.
Fédora appréciait la compagnie charnelle de Gertrud, mais aussi sa compagnie tout court… Celle-ci possédait tout comme la comtesse un bon fond de conversation sur les sujets culturels, les voyages, les loisirs, la cuisine et bien d’autres choses encore. Une chose étonnait cependant Fédora qui lorsqu’elle essayait de la brancher sur sa vie restait bizarrement mystérieuse et stoppait net toute tentative d’aller plus loin.
– Je n’aime pas parler de moi, je ne le fais jamais.
A ce point que Fédora se mit à avoir de gros doutes.
« Ou bien cette fille cache un secret et je peux peut-être l’aider, ou bien elle joue un double jeu, et j’ai peut-être intérêt à la démasquer. »
Elle voulut en parler à Pacheco, mais y renonça, craignant une réaction imprévisible de sa part. Alors un jour au détour d’une conversation elle lança à brule pourpoint :
– Tu sais à qui tu me fais penser ?
– Non !
– A Dalina !
– Qui c’est Dalina ? Demanda Gertrud.
– Ben Dalina, la sœur de Dietrich.
– Ah ? Tu trouves ?
– Au fait qu’est-ce qu’elle devient ?
– Rien de spécial !
– Je veux dire, elle voulait quitter la secte, elle l’a fait ou pas ?
– Je ne suis pas au courant.
– C’est vrai que tu es une recrue récente, ils t’ont fait suivre un stage intensif alors ?
Gertrud vient de comprendre le jeu de Fédora et elle sait qu’elle ne pourra pas le gagner, mais s’attendant à ce genre de situation depuis sa libération, elle avait préparé sa réponse. Aussi mit-elle fin au jeu de poker menteur de la comtesse, mais sans pour autant dévoiler la vérité.
– Je te dois une explication. Je ne fais pas partie de la secte de Saint-Pétersbourg. Je suis détective privée. Comme Dietrich n’avait pas de nouvelle de toi, il a pensé qu’une professionnelle réussirait mieux.
– Je comprends mieux, donc tu n’as jamais baisé avec Dietrich ?
– Je ne l’ai jamais rencontré, mon contrat a été négocié par un intermédiaire.
– Et donc ta mission, tu ne l’as pas commencé ?
– Pour quoi faire ? Tu as essayé de faire parler Pacheco, il n’a rien dévoilé de particulier. Je ne vois pas bien comment je pourrais réussir là où tu as échoué ! Logique non ?
– Tu parleras de moi dans ton rapport ?
– Bien obligée !
– Et tu vas dire quoi ?
– Faut que j’y réfléchisse, c’est pas facile…
« Il faut qu’elle y réfléchisse ? Parce qu’elle n’a pas encore eu le temps d’y réfléchir, C’est quoi ce cirque ? Et pourquoi n’a-t-elle pas essayer de faire parler Pacheco ?
– T’as quand même une petite idée ? reprit Fédora ?
– Oui, je dirais que Mark m’ayant fait faux bond, j’ai considéré que je n’avais plus les moyens de continuer cette mission en toute sécurité.
– Il sort d’où ce Mark ?
– C’est un agent de sécurité, il est employé par l’agence de détective privé, je ne le connaissais pas plus que ça avant qu’on nous fasse travailler ensemble
Fédora regarda Gertrud.
– Tu fais une drôle de tête, quelque chose ne va pas ?
– Si, si tout va bien, simplement je n’aime pas mentir.
– Ben justement, pourquoi ce mensonge, fallait nous dire ça dès le début !
– On m’avait demandé de ne pas dévoiler ma profession.
– Donc tu devais te faire passer pour une nana, membre de la secte ?
Eh oui, ça n’allait pas, et Gertrud s’en rendit compte en rougissant comme une tomate et en se trouvant incapable de répondre.
– Et on ne t’a même pas briefé un tout petit peu, pour que tu puisses évoquer la secte sans raconter de conneries. Je te signale au passage que la Dalina que j’évoquais tout à l’heure n’existe même pas ! Elle me paraît bien peu professionnelle ton agence de détectives privés… à moins que ce ne soit pas une agence de détectives privés…
Et soudain, ce sont les grandes eaux. Gertrud craque et pleure comme une madeleine.
– Bon ! J’ai dit quelque chose qu’il ne fallait pas ? Ironise la comtesse.
– Sniff !
– Faudrait mieux que tu me répondes ! Je ne sais pas ce que tu vas me sortir, mais éventuellement je peux, moi, peut-être arranger les choses. Pacheco n’aura peut-être pas la même réaction s’il l’apprend… Si tu veux te retrouver toute seule enfermée au Petit Mont, c’est toi qui vois !
– Tu me promets que tu ne diras rien à Pacheco ?
– Je ne te promets rien du tout ! Tout dépend de ce que tu vas me raconter ! C’est à toi de prendre le risque.
– Putain, dans quel merdier je me suis foutue !
– Ce sont des choses qui arrivent ! Si tu ne me dis rien, nos rapports vont devenir très compliqués.
– Je suppose que je ne peux pas faire autrement ?
– Tu supposes bien, et raconte-moi tout ça tout de suite. Faut toujours se débarrasser des corvées.
Gertrud prit une longue inspiration.
– Tu es au courant pour le piratage du Siegfried 7 ?
– J’ai cru comprendre qu’il avait eu un problème, mais je ne connais pas les détails.
– Il a été piraté, on ne sait pas trop comment, il devait y avoir des complices à l’intérieur. La carcasse du vaisseau a été retrouvée sur une planète pourrie, On ne sait pas ce que sont devenu ni les passagers, ni l’équipage. La police fédérale avait quelques pistes qui apparemment n’ont pas abouties, mais ils ont laissé tomber l’affaire faute de moyens. Le dossier de l’enquête a été repris en privé par l’association des parents de victimes. On m’a nommé responsable de cette association et je suis venue avec un privé explorer la seule piste intéressante.
– C’est moi la piste ?
– En partie. Tu as quitté le Siegfried 7 sur Mabilla. Je suppose que tu avais une raison ?
– Oui, mais on verra ça plus tard, tu n’es pas vraiment en situation pour pouvoir m’interroger.
– Je le conçois !
– Finis ton histoire
– L’autre piste c’est Constantin. On sait que le Siegfried s’est posé sur Mabilla pour faire des réparations internes. Cela veut dire que des pirates ont pu en profiter pour s’infiltrer dans le vaisseau en se mélangeant avec les ouvriers venus réparer. Pour que ce genre de chose fonctionne, il faut la complicité d’un officier ou du moins d’un élève officier.
– Sauf que c’est faux…
– Tu es donc bien renseignée !
Fédora n’apprécia pas cette réplique
– Range tes sarcasmes, on ça mal se terminer ! D’accord ?
– Excuse-moi.
– Constantin s’est fait bannir du vaisseau, c’était son premier vol, il n’a pas supporté d’être bizuté et il a pété les plombs. Ils ont profité de l’escale technique pour le débarquer (voir le tome précédent).
– Personne ne le sait ?
– Si, moi ! Et ça peut se prouver, on lui a remis un papelard avant de le virer. Elle est finie ton histoire ?
– J’ignore pourquoi la police n’est pas venue ici, mais bon, ces informations lui sont parvenues après que le foin médiatique soit un peu retombé. Il n’y avait plus qu’une seule équipe sur l’enquête et elle suivait une mauvaise piste. Et puis la résidence de Pacheco ne fait pas partie de la Fédération.
– Ça les aurait vraiment arrêtés ?
– Je ne pense pas, c’est juste une raison diplomatique. Une nouvelle piste aurait entrainé les médias à faire pression sur la police qui aurait dû pour continuer mettre en œuvre des moyens considérables, qu’elle n’a pas.
– Autrement dit, tu es venue pour me rencontrer, moi et Constantin ?
– En fait il y a deux autres personnes qui ont séjournées ici, je connais les noms par cœur : Rachel Bernstein, une aspirante et Florentine MacSteven, une enseigne de vaisseau.
– Elles se sont évadées de l’enclave.
– Oui, c’est ce que m’a dit le gars de l’astroport. Mais on ignore si elles ont quitté la planète ou si elles y sont plaquées quelque part…
Et soudain le déclic !
Fédora vient de comprendre :
« Rachel était complice des pirates, elle était donc bien placée pour me prévenir du danger, sans elle je serais en ce moment dans je ne sais quel bordel sur une planète pourrie. Je lui dois donc une fière chandelle ! Mais elle est aussi responsable du sort de tous ces gens innocents. Bizarre quand même… »
Et puis l’explication simple et rassurante lui apparut :
« Elle n’était qu’une complice sous contrainte, sinon elle n’aurait pas été vendue à Pacheco, elle a dû se rebeller ou quelque chose dans le genre. »
– Tu ne m’écoutes plus ? Intervint Gertrud, interrompant ses pensées.
– Je réfléchissais ! Tu n’avais pas fini ?
– Non ! Je suis coincée. Il me faudrait vérifier l’alibi de Constantin, voir s’il n’a pas des faux documents…
– Dans l’état où je l’ai récupéré, il n’avait vraiment pas une tête à se balader avec des faux documents…
– Et puis j’ignore comment retrouver la trace des deux nanas qui se sont enfuies d’ici. Et puis, j’ignore aussi, excuse-moi de te le rappeler, pourquoi tu es descendue du Siegfried pendant l’escale technique de Mabilla.
– Je te le dirais un jour…
– Ce n’est pas la peine, je m’en fous.
– Pardon ?
– Ce salaud de Mark m’a laissé tomber. Toute seule je n’y arriverais pas. Tu peux tout raconter à Pacheco, j’en n’ai plus rien à foutre.
– Je ne dirais rien à Pacheco, allez on se calme, t’es ma copine, je ne t’en veux pas, après tout tu ne faisais que ton boulot. Viens m’embrasser.
Evidemment le baiser fut baveux, et les mains de Fédora ne tardèrent pas à devenir baladeuses
– Salope ! Tu veux me baiser ? Dans l’état où je suis ? Lui susurra Gertrud.
– Oui, j’ai comme une envie !
– Si ça t’amuse ! Vas-y fais-moi ce que tu veux, je suis ta chienne !
– C’est vrai, ça ! Et si je te prenais au mot ? Et si je te punissais pour m’avoir menti ?
– Tu peux y aller, ça me fera du bien, j’ai besoin de déstresser.
– Alors, à poil ! Attends-moi ici je vais chercher un truc pour te rougir le cul.
Dans les accessoires que les « pensionnaires » de Pacheco avaient laissés sur place on trouvait de tout, elle s’empara d’un martinet dont le manche épousait la forme d’une bite en érection, elle emprunta également des pinces à seins et un très joli gode-ceinture.
– C’est quoi tout ce bazar ! Demanda Gertrud.
– C’est pour dominer ma petite esclave, mon enfant.
– J’ai peur ! Plaisanta-telle.
– Tu rigoleras moins tout à l’heure. Reste debout comme ça face à moi…
– Tu ne te déshabilles pas ?
– Ce sera quand je voudrais ! Maintenant tu te tais, une esclave, ça ne bronche pas.
Sauf que quand Gertrud réalisa que Fédora allait lui accrocher des pinces aux bout de ses tétons elle protesta.
– Tu ne vas pas me mettre ces trucs-là ?
– Fais-moi confiance, je ne vais pas te tuer !
– Pas ça !
– On essaie ! On essaie, d’accord ?
Fédora accroche la première pince sur le téton gauche de Gertrud. Elle pousse un petit cri de douleur mais semble supporter la chose.
– Ça va ?
– Oui !
Après avoir fixé la seconde pince, la comtesse se mit jouer avec, provoquant des petits braillements de la part de sa soumise.
– Alors ça te plait ?
– Ça ne me déplait pas !
– Même quand je tire comme ça ?
– Pas trop fort ! Aïe !
– Je continue ?
– Si tu veux, mais pas trop fort ! Aïe, Ouille !
– Ouvre ta bouche !
Gertrud obéît, mais quand elle comprit que Fédora allait lui cracher dedans, elle la referma par réflexe.
– On ne ferme pas la bouche ! Réagit Fédora en giflant son esclave.
Oh ! Une gifle plus symbolique qu’autre chose, mais la comtesse comprit que Gertrud était sur le point de quitter le jeu.
– Je ne t’ai pas fait mal, Gertrud ?
– Non, mais tu ne me craches pas dessus.
– Il est où le problème, tout à l’heure quand on s’est embrassé, tu as avalé ma salive, j’en n’ai pas changé depuis, c’est toujours la même.
Gertrud ne sait pas quoi répondre, mais quand Fédora lui redemande de nouveau d’ouvrir la bouche, elle refuse de le faire.
– Bon d’accord, mais tout à l’heure c’est toi qui me le demandera.
– Ça m’étonnerait !
– On verra !
La comtesse recommence à tirer sur les pinces provoquant à nouveau des petits cris de la part de sa victime qui se tortille de douleur.
– Ça te fait du bien ?
– Je ne sais pas, j’aime bien être ton esclave.
– Hum, alors tourne-toi, je vais te rougir le cul !
– Pas trop fort !
– Mais tu vas te taire un peu, on entend que toi !
Un premier coup arrive sur ses fesses, les lanières laissent des trainées rougeâtres, Gertrud a juste légèrement sursautée. Fédora lance un deuxième coup un peu plus appuyé.
– Aïe !
– Tu peux gueuler tant que tu veux, je n’arrêterai que quand tu auras le cul tout rouge, et après je t’enculerai avec le gode ceinture.
– Méchante !
Elle dit ça par jeu, elle n’en pense pas un mot.
– Tu vas voir ce qu’elle va te faire, la méchante !
Le coup est encore plus fort, cette fois Gertrud a vraiment eu mal, elle crie et s’apprête à protester.
– Je t’ai fait un peu mal ma bibiche ! On va faire moins fort.
Effectivement le nouveau coup est plus faible, et les suivants également. Au bout de quelques minutes de ce traitement la comtesse augmente une nouvelle fois l’intensité des coups mais dans une mesure acceptable pour sa victime consentante.
Le cul de Gertrud est devenu cramoisi. Fédora repose son martinet laissant la soumise souffler quelques instants pendant qu’elle s’harnache avec le gode ceinture.
– Ne bouge pas je reviens !
La comtesse jette un regard amusé sur les fesses de la pauvre Gertrud.
– Et bien dis donc, je ne t’ai pas raté, tu vas avoir du mal à t’assoir pendant quelques jours. Oh mais dis-moi tu es toute mouillée, ça t’a excité ma petite séance de martinet, t’es vraiment une salope !
– Puisque tu le dis !
– Mets-toi en levrette, je vais t’enculer avec le gode.
– Oui vas-y encule moi !
– Je le fais pas parce que tu me le demandes, je le fais parce que j’ai envie de le faire. Allez, on y va, mouillée comme tu es, il n’y a même pas besoin de lubrifiant, ça va rentrer comme dans du beurre, et en attendant suce le manche du martinet, regarde comme il est beau, on dirait vraiment une bite !
– Humpg, humpf
Effectivement, une légère poussée, ça entre, une seconde poussée et la fausse bite est déjà au fond. Fédora se met à pilonner le cul de Gertrud en cadence. Cette dernière ne tarde pas à pousser des petits cris qui assez rapidement montent en intensité. Elle n’en peut plus Gertrud, elle jouit du cul, elle transpire, elle mouille, elle hurle et finit par s’affaler comme une chiffe molle sur le sol.
– Retourne-toi, tu dois avoir soif, ouvre bien la bouche !
– Attends un peu ! Oui je veux bien que tu me pisses dessus, mais attend que je récupère.
– Oui, mais moi j’ai envie…
– Trente secondes !
– D’accord, je m’installe !
Fédora attend quelques instants, se positionne au-dessus de sa partenaire, s’accroupit afin que sa chatte ne soit qu’à environ cinquante centimètres de la bouche. Puis elle lâche les vannes, en essayant de saccader son débit permettant à Gertrud d’en avaler un maximum.
La miction de la comtesse étant terminée, Gertrud s’attendait à ce que celle-ci lui pose la chatte sur sa bouche afin de la nettoyer des dernières gouttes d’urine, puis de la faire jouir.
Mais Fédora avait de la suite dans les idées. Gertrud comprit ce qui allait se passer quand elle vit la belle brune faire de curieux mouvements de bouche.
– Tu peux le faire ! Vas-y lui dit elle !
– Brave fille ! Répondit alors Fédora en lui crachant vicieusement dans la bouche.
Dans la foulée les deux femmes s’embrassèrent fougueusement, passionnément.
– Je n’ai pas joui ! Lui confia Fédora au terme de cet élan affectif.
– Je sais, je vais m’occuper de toi !
– Et t’as intérêt à t’appliquer !
C’est après avoir pris une douche bien méritée que Fédora questionna Gertrud.
– C’est quoi tes projets maintenant ?
– J’en sais rien, j’ai failli à ma mission, de toute façon, je n’étais pas faite pour ce boulot, l’homme d’action c’était Mark, sans lui je ne peux pas continuer. Je serais licenciée, ce n’est pas trop grave, mais on va me traiter d’incapable, les gens ont engagé de l’argent, je risque un procès que je perdrais. Dans ce cas je serais dans l’impossibilité de rembourser les frais que j’ai engagé. Alors je vais peut-être me mettre en stand bye sur une planète où je pourrais poser mon cul…
– T’as de la famille ?
– Non, je suis divorcée et je n’ai jamais pu avoir de gosses. J’avais un amant, mais je ne me fais pas de soucis pour lui, il en trouvera une autre. C’est con je l’aimais bien.
– Si tu retrouvais Rachel, cela te permettrait peut-être d’avoir des informations et tu pourrais rentrer sur Terre.
– Non je t’ai dit, je laisse tomber !
– Pour ma part j’aimerais bien la retrouver, la Rachel, elle m’a rendu un fier service, et si elle est en difficulté, j’aimerais bien pouvoir l’aider.
– Tu ne veux toujours pas me dire ?
– Tu m’as dit que tu t’en foutais !
– C’est juste de la curiosité !
– Ben voyons !
– Et si on la cherchait ensemble, la Rachel ?
– Ça demande réflexion…
– Menteuse, je vois bien que t’es d’accord !
Un mois plus tard un message du cosmodrome les prévint qu’un vaisseau en partance pour Vargala acceptait de prendre des passagers.
Ce fut donc le moment des adieux. Tout ce petit monde s’embrassa et Constantin qui avait choisi de rester auprès de Pacheco ne put retenir ses larmes.
– Revenez quand vous voulez ! Leur dit Artémise en jouant la grande dame qu’elle avait été il n’y avait pas si longtemps.
Quand la barge fut partie, Artémise remarqua la mine déconfite d’Asseb.
– Ben qu’est-ce qu’il t’arrive ?
– J’aurais peut-être dû avouer à Gertrud que son collègue était resté sur la planète.
– Pourquoi faire ? Ce ne sont pas nos oignons !
– Peut-être mais, je n’ai pas été réglo sur ce coup-là !
– Personne n’est parfait !
A suivre
Lu par hasard, je ne l’ai pas regretté, c’est très émousitllant
Je me suis bien branlé en lisant tout ça, merci à l’auteur
Ces jeux de dames sont fort subtils et m’ont fournis un très agréable moment de lecture érotique.