Une jeune fille au pair… aux qualités insoupçonnées… par François_urophile

 

Une jeune fille au pair… aux qualités insoupçonnées… par François_urophile

 

Cela faisait quelques temps que nous cherchions une jeune fille au pair pour s’occuper des enfants, sachant que nos obligations professionnelles ne nous permettaient pas de garantir des horaires de présence compatibles avec leur éducation et le suivi de leur travail scolaire. Nous souhaitions consacrer nos week-ends à eux, mais il nous fallait quelqu’un pour la semaine.

En revanche, nous ne voulions pas revenir sur l’éducation naturiste que nous avions choisie, à savoir une pratique permanente et saine de la nudité pour toute la famille et pour toutes les activités, à la maison et en vacances. Nous souhaitions aussi que cette jeune fille au pair puisse nous accompagner en vacances, pour que nous puissions aussi être libre de nos activités… notamment coquines. Nous avons effectivement toujours besoin d’une activité sexuelle intense, sans tabous.

Aussi, notre recherche nous a orienté plutôt sur les pays du nord, généralement plus adeptes de la nudité naturelle et libre. En tout cas, c’est ce que nous avons toujours constaté dans nos séjours en centres naturistes.

Nous faisions donc nos recherches, au travers de différentes agences. Nous faisions cela généralement au petit déjeuner, avant de partir travailler. J’avoue que la perspective de recevoir une jeune fille naturiste m’émoustillait un peu, et nous nous racontions ce que nous pourrions faire avec elle, une fois les enfants couchés. En parlant de cela, Jean en profitait pour me caresser les seins et le minou tout lisse. En faisant mes tartines, j’en profitais pour me mettre de la confiture sur les seins pour qu’il vienne lécher. Je me demandais si elle aimerait nos jeux de nourriture et si nous arriverions à l’initier et jusqu’où. En me léchant les seins, il confirmait. J’en profitais pour tremper une madeleine dans ma chatte mouillée et pour la déguster. En venant me servir un café, Jean approcha son sexe tendu et décalotté devant mon visage, signe d’une invitation claire. Je versais du miel sur le gland et commençait une bonne fellation sucrée, tout en lui massant les couilles et les fesses. Je saisis un peu de beurre dans mes doigts et commençait une caresse anale qu’il adore : naturellement, il écarta ses fesses de ses deux mains pour me faciliter le passage. Je massais tout en suçant, puis rentrait un puis deux doigts dans son rectum maintenant détendu. Puis, je pris une bonne noisette de Nutella et lui en tartina l’anus en essayant d’en rentrer le plus possible. Après quelques instants de massage, il quitta ma bouche, se retourna et se pencha an avant sur la table. A genoux derrière lui, je lui écartai les fesses et vins tout lécher, sans en perdre une miette, autour et dans l’anus, tout en me caressant la chatte. J’avais soudain envie qu’il me prenne tout de suite : je pris moi-même le beurre pour me lubrifier l’anus, me penchait à mon tour sur la table et l’invitai à me sodomiser, ce qu’il fit sans attendre. Pendant qu’il me remplissait bien les fesses, je me massais les seins avec du lait… Je jouis assez rapidement et lui aussi avait envie de se vider : je lui tendis ma tasse de café et il y vida son sperme blanc et crémeux. Je dégustai ensuite en me caressant.

Tous les deux sous la douche, nous avons d’abord profité d’une  » douche dorée  » mutuelle. Après qu’il m’ait arrosé les seins, j’ai mis un point d’honneur à avaler le reste, gorgée par gorgée.

Nous étions prêts à emmener les enfants à l’école et à partir travailler…

Après quelques semaines de recherche, nous avons fini par trouver plusieurs adresses de famille qui avait chacune une fille étudiante en France, et qui pouvait être intéressé par ce poste. Nous avions beaucoup insisté sur les conditions d’hébergement (maison, piscine, …), sur les facilités que nous apportions (transports, salaire, …), mais aussi sur la pratique du naturisme à la maison et en vacances. Après plusieurs échanges par courrier, nous avons fini par retenir la proposition de Julia, étudiante en économie en 2ème année. Elle venait d’avoir 19 ans et était danoise.

Après des échanges par téléphone, où nous avions constaté qu’elle parlait bien français (nous avons appris plus tard que sa mère était d’origine française), nous avons convenu d’un rendez-vous en lui proposant de passer un week-end. Nous étions au début des vacances scolaires d’été et nous avions besoin d’elle pour nous accompagner en vacances, et il fallait un minimum de temps d’adaptation à la maison.

Elle se présenta un samedi matin : blonde, grande (ce qui n’était pas surprenant…), des yeux clairs, cheveux mi-longs. Elle portait un chemisier clair, une veste en jean, un jean corsaire et des tongs fines (je crus même un moment qu’elle était pieds nus, ce que j’aurais adoré…), avec un sac de voyage.

Nous l’invitons à entrer : nous nous étions évidemment habillés (léger) pour la recevoir.

Autour d’un thé et d’un café, nous discutons sur ses études, ses horaires, ce que nous attendions par rapport aux enfants, tous les détails pratiques. Elle a tout noté, et était parfaitement en phase. Puis nous en sommes venus au naturisme. Nous lui avons expliqué que notre mode de vie était de vivre nu le plus possible, y compris en vacances, dans une approche naturelle et saine. Elle nous confia que cela ne lui posait aucun problème, sa famille étant elle-même naturiste.

Rassurés, nous l’avons présenté à nos enfants (2 filles de 12 et 10 ans) en leur expliquant que Julia allait maintenant vivre à la maison pour s’occuper d’eux. L’ainée demanda directement à Julia :

 » Toi aussi, tu aimes te baigner toute nue ?

Julia, amusée, acquiesça et lui sourit :

 » Oui, j’aime ça et vivre toute nue comme vos parents ! « .
 » Et justement, dis-je, si nous allions nous baigner ? « .
 » Bonne idée ! « , répondirent toute la famille et Julia.

Je montrai sa chambre à Julia, la salle de bain, les rangements. Elle me dit qu’elle allait encore ramener des affaires, ce qui ne posait pas de problème : nous avions de la place. Et là, très naturellement, elle commença à se déshabiller. D’abord son jean, sous lequel elle n’avait qu’un mini string ficelle blanc, qui se détachait sur sa peau bronzée. L’absence de marque confirmait la pratique régulière de la nudité et la fermeté des fesses, en tout cas en apparence, une pratique sportive. Je ressentis une petite chaleur dans le bas-ventre, moi qui suis toujours attirée par les filles. Elle fit descendre le string : je constatais qu’elle avait gardé un peu de poil sur son minou. Puis elle retira son chemisier. A ma surprise, elle ne portait pas de soutien-gorge : ses seins bronzés étaient libres, ronds, fermes et quand même assez gros (à vue de nez, 90 ou 95 C). Nue et très naturellement, elle rangea ses affaires. Cette attitude naturelle me rassura aussi sur sa pratique naturiste. Elle prit sa serviette et me suivi : en passant devant notre chambre, je m’arrêtai pour lui faire visiter et en profitais pour me mettre nue à mon tour.

Nous arrivâmes toutes les deux nues et pieds nus, Jean et les enfants étant déjà nus dans la piscine.

Nous avons profité de la piscine tout l’après-midi.

Julia s’installait et tout se passait bien avec les enfants et avec nous. Elle appréciait cette vie naturiste familiale. Mais elle ne nous laissait pas indifférents : quand nous faisions l’amour avec Jean, elle revenait dans nos conversations. Nous commentions sa plastique, Jean se demandait si elle était vierge, si elle suçait. De mon côté, je me demandais si elle se masturbait, quel goût avait son minou et son petit trou… Cela nous excitait encore plus : je demandais à Jean de ne me prendre que par le cul, ce que je demande quand j’ai envie de jouir très fort ! Ce qu’il fit exclusivement pendant une semaine, en se vidant ensuite dans ma bouche.

Nous devions partir en vacances en village naturiste deux semaines plus tard et nous commencions les préparatifs, pour un séjour de trois semaines. Nous étions de plus en plus à l’aise. Julia participait aussi à la préparation des repas, et notamment avec un talent pour la pâtisserie. Un matin, alors que je m’étais levée tôt pour aller aux toilettes, je vis par terre une serviette qui appartenait à Julia, elle avait dû l’oublier en revenant de la douche. Naturellement, je pousse la porte de sa chambre sans faire de bruit, et là, à ma grande surprise, Julia était allongée sur le ventre, jambes repliées et fesses relevées, et se caressait : une main sur le minou et un doigt sur l’anus. Elle faisait cela doucement en respirant assez fort… Je suis restée quelques secondes, ma main est allée directement entre mes cuisses, sur ma vulve déjà très humide… Je suis ressorti discrètement, suis allé faire pipi et j’ai rejoint Jean dans le lit : il fallait que je lui raconte. J’ai écarté le drap et l’ai réveillé par une fellation. Une fois réveillé, je me suis mis en 69 et lui ai tout raconté… il bandait encore plus fort et me léchait l’anus encore plus à fond. Il a joui dans ma bouche et j’ai tout avalé. De nouvelles perspectives s’ouvraient, Julia était aussi à l’aise avec son corps côté sexe.

Un après-midi, alors que les enfants et Jean étaient partis faire du vélo, nous avons décidé de préparé de la pâtisserie. Nues toutes les 2, nous commençons à préparer les ingrédients pour une tarte aux pommes et pour un gâteau au chocolat.

Farine, œufs, beurre, chocolat, lait, fruits, sucre, miel, cannelle, … tout cela commence à se répartir sur la table. Nous commençons à mélanger tout cela et en avons plein les mains. J’ai soudain une envie en voyant les seins de Julia, qui me font très envie : sous prétexte d’un faux mouvement, je jette de la farine sur ses seins qui deviennent tout blanc. Nous nous mettons à rire. Je prends une serviette et vient pour lui essuyer les seins : elle se laisse faire. J’y vais tout doucement, puis n’y tenant plus, je reprends une poignée de farine et lui répands sur les seins en les massant doucement. Je guette son regard, elle ferme les yeux et apprécie la caresse à ma grande satisfaction. Je l’embrasse dans le cou, pendant que tout lui caressant les seins avec de la farine, mon autre main descend sur ses fesses (très fermes…), puis passe devant vers son minou. Et là, mes doigts sont carrément engloutis dans sa mouille, ce qui me fait mouiller instantanément. Ma bouche remonte sur son cou et atteint sa bouche : nos langues se mêlent. Je prends sa main et la guide vers mes seins puis vers mon entrejambe toute lisse et trempée. Nous continuons ainsi quelques minutes, les yeux fermés. Puis en ouvrant les yeux, nous nous sourions, signe que nous avons vraiment envie de continuer. Je prends du chocolat liquide et le fait couler sur mes seins : puis je prends sa tête, et l’approche doucement, l’invitant à lécher, ce qu’elle fait avec gourmandise. Je veux m’occuper complètement d’elle. Il y a sur la table un mélange de farine, de beurre, d’œufs pour préparer une pâte à tarte. Je prends Julia dans mes bras, la soulève et lui pose les fesses dans ce mélange, en riant. Je lui dis de s’allonger : elle se penche en arrière, appuyée sur les coudes. Je lui relève les cuisses en les écartant, et commence à lui étaler le mélange sur les cuisses, la vulve, l’entrefesses et également sur les seins… Puis je me mets à lécher, avec l’envie de la faire jouir. Ma langue et mes doigts jouent avec ses cuisses, son sexe, ses seins… Elle ferme les yeux et gémis de plus en plus. Ma langue se dirige vers son anus, je ne sais pas si elle aime, même si je l’ai vu se le caresser. Quand ma langue arrive dessous, elle s’est écartée naturellement les fesses. Hum, elle aime l’anal… tant mieux. Je versais du miel sur son sexe pour lécher encore. Mon doigt plein de beurre entra dans son anus avec facilité… et après quelques va et vient, elle se tendit et jouit. Humm, encore mieux, elle jouit de l’anus comme moi, pensais-je. Je ressortis mon doigt de son anus et lui donnait à lécher, ce qu’elle fit sans rechigner … aimerait-elle aussi les pratiques anales, même un peu  » sales  » ? Décidément, toutes les qualités…

Nous allâmes ensuite prendre une douche …nues, en nous savonnant mutuellement, elle m’avoua qu’elle était bisexuelle et qu’elle aimait beaucoup le sexe, et qu’elle n’avait pas de copains ou copines en ce moment. Je lui confiai que j’aimerais bien recommencer, mais avec Jean… si elle était d’accord. Ce qu’elle confirma, à ma grande joie.

Le soir même, je racontais tout cela à Jean, en le suçant longuement. Il me mettait les doigts dans la chatte et dans le cul en même temps… Il me souffla dans l’oreille  » Je voudrais que tu te vides devant moi… « . C’est notre code quand nous sommes hyper excités. Nous allons dans la salle de bain, je me mets au-dessus des toilettes, face à la chasse d’eau, fesses tournées vers Jean qui se masturbe. Je me penche, écarte mes fesses et me vide sans retenue : pipi … et caca. Quand j’ai fini, Jean arrive et me sodomise directement. Régulièrement, il sort de mes fesses et me donne son sexe à sucer et cela jusqu’à ce qu’il soit propre… et il jouit ensuite dans ma bouche. C’est notre petit secret  » hard « .

Les vacances approchaient… Jean ayant plusieurs déplacements avant, nous ne pourrions pratiquer à trois que pendant les vacances, nous serions ainsi plus disponibles.

Julia et moi devenions très complices. Nous allions régulièrement en ville faire les courses ensemble. Nous l’avions initié à la pratique des pieds nus en permanence, même en ville, pratique que les enfants adorent comme moi, et je l’avais particulièrement incité à ne plus mettre de sous-vêtements, comme moi. Nous étions plutôt regardées quand nous marchions, pieds nus dans le centre commercial.

Je lui avais demandé pourquoi elle ne s’épilait pas entièrement et je lui proposais de venir avec moi dans l’institut de massage et d’esthétique que j’ai l’habitude de fréquenter. Nous sommes arrivés, toutes les deux en teeshirt, short jean, rien dessous et pieds nus. A l’accueil, Nadia nous a souhaité la bienvenue

 » Hum, je vois que vous avez trouvé une amie pied-nudiste comme vous !  » me dit-elle en riant, ayant l’habitude de me voir très rarement chaussée !
 » Oui, répondis-je, Julia est notre jeune fille au pair. Je voudrais que Virginie s’occupe de nous ce matin. C’est possible ? « .

Elle regarda son agenda, et confirma. Elle nous fit signe d’entrer et j’invitais Julia à me suivre.

 » Tu vas voir, c’est un institut de massage et d’épilation. Je connais bien Virginie, et elle nous propose toujours ses petits suppléments. Nous devons commencer par une douche et voilà un peignoir à enfiler ensuite, et nous nous retrouvons dans le salon n°1 « .

Après une douche chaude, nous nous retrouvons dans le salon, chacune vêtu d’un peignoir court s’arrêtant juste sous les fesses et jambes et pieds nus. Virginie fait son entrée, brune 1,75 m, cheveux courts, portant une grande blouse.

 » Bonjour, dis-je, je te présente Julia qui vit chez nous et qui a adopté 100% de notre style de vie, si tu vois ce que je veux dire. « .

Elle sourit.

 » Puisque que vous êtes deux, je vais faire venir ma stagiaire que j’ai commencé à former. « .

Une jeune fille qui devait avoir 18 ou 19 ans entra. Blonde, plutôt jolie, un peu timide. Virginie annonça le programme :

 » Bien, il s’agit de massage naturiste, donc la masseuse et la massée sont nues. Enlevez vos peignoirs et allongez-vous sur le ventre « .

Nous nous exécutons avec Julia, tandis que Virginie et la stagiaire se mettent nues également. La stagiaire s’occupait de moi et Virginie de Julia. Après un massage très agréable dos / jambes / fesses avec beaucoup d’huile, nous nous retournons pour la suite. Massage des épaules, du ventre, des cuisses… en remontant ensuite doucement vers les seins. Virginie vient montrer à la stagiaire la manière de faire, et j’ai déjà les seins qui pointent. Elle me fait un clin d’œil, puis descends entre mes jambes que j’écartent encore plus. Et là, elle commence une véritable masturbation en enfonçant ses doigts dans mon minou trempé, sous l’œil de la stagiaire. Celle-ci prend le relais, tandis que Virginie s’occupe de Julia de la même manière qui apprécie visiblement. Puis petit à petit, sa bouche descend vers le minou de Julia et commence un cunnilingus, tout en continuant d’enfoncer ses doigts. Elle invite la stagiaire à faire de même : étant un peu débutante, je la guide en lui indiquant où lécher. Julia a fermé les yeux de plaisir.

 » Virginie, dis-je, peux-tu nous faire une épilation intégrale ? et nous continuerons ensuite… ! « .

Elle approuva et prépara le matériel. D’abord sur la vulve et le pubis, puis ensuite à quatre pattes, pour bien épiler la raie des fesses et être vraiment lisse de partout. Ensuite, elle a versé du miel sur nos minous et anus, pour ensuite bien lécher à nouveau et recommencer à nous masturber… Julia se caressait les seins en même temps et la stagiaire s’activait sur ma chatte gluante. Nous étions aux anges, avec plusieurs orgasmes pour Julia. La stagiaire manquait encore d’expérience mais cela promettait. Virginie ma demanda si je voulais finir comme d’habitude. Je répondis :

 » Bien sûr ! « .

Devant les regards interrogateurs de Julia et de la stagiaire, Virginie sortit d’un petit réfrigérateur une bombe de chantilly, la secoua, mouilla l’embout avec la mouille de son sexe, et me l’introduit dans le sexe. Elle appuya et je sentis le liquide froid me remplir le vagin. Virginie renouvela l’opération cette fois en enfonçant la canule dans mon anus. Ella approcha son visage et me lécha, anus et chatte. Je poussais doucement et me vidais progressivement dans sa bouche, elle avalait au fur et à mesure, avec beaucoup de gourmandise. Julia se masturbait en regardant, médusée. Une fois nettoyée, Virginie me dit, en passant sa langue sur ses lèvres :

 » Humm, très bon. J’ai une petite soif maintenant … « .

Je ferme les yeux, me détends et commence à faire pipi dans la bouche ouverte de Virginie, qui avale au fur et à mesure. Elle me demande de me retenir et demande à la stagiaire de se mettre à sa place : elle hésite, ouvre grand la bouche et je finis de me vider…. Elle avale en grande partie.

Nous ressortons de l’institut, très détendues. Nous décidons d’aller dans un salon de thé, pour prendre un petit quelque chose. Après deux salons qui nous refusent l’entrée à cause de nos pieds nus, nous nous installons dans un troisième et nous commandons thé et petits gâteaux. Julia me dit avoir beaucoup apprécié la séance, en m’embrassant dans le cou. Elle s’éclipse aux toilettes et revient : elle me tend un petit gâteau qui brille.

 » Goûte, je l’ai trempé dans mon minou ! « .

Je goûte et j’apprécie, et cela m’excite. A mon tour, je fais un passage aux toilettes. Je lui tends un autre gâteau.

 » Celui-ci, je l’ai trempé dans mon cul ! « .

Humm elle goûte et je vois sa main qui remonte sur sa cuisse… mais difficile d’aller plus loin ici !

De retour à la maison, nous pouvons à nouveau nous remettre nues, et apprécier nos épilations parfaites. Jusqu’à présent, Julia n’avait jamais vu Jean en érection, seulement nu autour de la piscine avec les enfants. Et il partait trop tôt le matin pour avoir un moment à trois. Sauf une fois : devant partir plus tard, il nous rejoignit au petit déjeuner, en tenue d’Adam. J’ai eu une envie : montrer à Julia une gourmandise à la confiture et au Nutella. Tout en discutant, je commence à prendre son sexe et à le masturber doucement. Le pénis grossit très vite, avec le gland décalotté d’un beau brun foncé. Je le prends en bouche pour une bonne fellation. Julia met immédiatement sa main entre ses cuisses. Je verse ensuite de la confiture et du Nutella sur le sexe tendu, puis le reprends en bouche pour bien déguster et invite Julia à déguster après avoir remis de la confiture. Elle s’approche, hésite un peu. Je lui pousse la tête vers la verge en érection et elle finit par tout prendre en bouche. Elle lui nettoie consciencieusement tout le sexe. Pendant ce temps, j’ai pris une banane et l’ai rentré dans les fesses de Jean pour ensuite la déguster. Je continue à masturber Jean et je demande à Julia comment elle veut déguster. Je lui propose : dans la bouche, sur un toast, dans son café, ou sur mes seins au miel. Elle choisit la dernière option : j’étale du miel sur mes seins, masturbe Jean. Il jouit et je guide les jets sur mes seins…et le miel. Julia arrive et lèche tout avec délectation, tout en se masturbant.

Nous préparons nos vacances et Julia nous fait une demande :

 » J’ai ma petite sœur de 18 ans qui voudrait venir me voir, et je voulais savoir si elle pourrait nous accompagner en vacances et ce sera d’ailleurs son anniversaire. Bien sûr, nos parents paieront le séjour. Et pas d’inquiétude : Karen est encore plus naturiste que moi ! Elle passe sa vie toute nue… « .

Nous acceptons avec joie. Nous irons la récupérer à l’aéroport avant d’aller au village.

En petit comité, je demande à Julia des détails sur Karen : elle est sportive aussi, très nature, à l’aise avec la nudité. Mais a priori, encore peu expérimentée sexuellement : Julia lui a appris à se masturber mais n’est pas sûre qu’elle ait déjà eu des relations sexuelles complètes…

 » Hum, me dis-je, voilà de bonnes perspectives, si elle est volontaire !  »

Nos bagages se préparent, même s’ils sont réduits pour un séjour en village naturiste ! Nous chargeons la voiture, et tout le monde embarque (nous, Julia, les enfants), tous pieds nus. Nous passons par l’aéroport pour accueillir Karen qui arrive. Julia nous la présente. Blonde également, 1,65 m environ, des yeux très clairs, cheveux courts : chemise en jean, jean blanc et basket. Devant le regard de Karen, Julia la prévient qu’elle est devenue adepte des pieds nus en toutes circonstances.

Nous reprenons la voiture et arrivons au village, devant l’accueil. Impatients, les enfants se sont déjà mis tout nu dans la voiture ! Nous récupérons les clés de notre bungalow. Nous nous installons et, sans faire attention, nous mettons nus naturellement. Nous découvrons le corps de Karen, avec des seins moyens très jolis et de belles fesses, le tout avec un bronzage intégral sans faille.

Le soir même, Julia me dit qu’elle va parler à sa sœur, pour la préparer et nous permettre de nous amuser à quatre au maximum. Je raconte cela à Jean le soir en le suçant et nous nous faisons quelques films : pourra-t-on l’initier à la sodomie ? aimera-t-elle le pipi chaud sur ces seins ? avale-t-elle le sperme ? aime-t-elle mélanger le sexe et la nourriture ? aime-t-elle sucer ou lécher ? aime-t-elle les gadgets et le sexe entre filles ?… En imaginant tout cela, je me mis à quatre pattes et Jean vient poser son gland sur mon petit trou avant de me sodomiser bien à fond et longtemps. Je lui demandai de jouir dans mes fesses puis d’y rester pour me faire un lavement doré. Après quelques instants, je sentis le liquide chaud me remplir les intestins, déclenchant un orgasme intense. Une fois pleine, je me libérais du pénis enculeur et me dirigeais vers les toilettes pour me vider. Je m’assieds sur les toilettes et vide mes fesses : je mets ma main dessous pour sentir le liquide chaud et me caresse un peu avec… En revenant, je passe devant la chambre de Julia et Karen. Je les entends discuter et entrouvre la porte : Karen est allongé nue et Julia, nue également, est à genoux à côté d’elle sur le lit. Julia lui caresse les seins et l’entrejambe : en fait, elle la masturbe vraiment, en lui parlant en danois. Je ne sais pas ce qu’elle lui dit, mais cela a l’air d’être convaincant ! Karen finit par se mettre à quatre pattes, les fesses en l’air. Julia engouffre son visage entre les fesses, tout en continuant à lui caresser le minou et les seins. Elle accélère le rythme et Karen finit par tendre le dos en fermant les yeux : manifestement, elle a joui et a apprécié les coups de langue de sa sœur. Je retournais me coucher, dans les bras de Jean.

Le lendemain, nous nous promenons tous dans le village, entièrement nus (et pieds nus) parmi les autres résidents, pour faire quelques courses. Nous nous installons à la piscine (Karen est resté au bungalow, pour une grasse matinée). En nageant avec Julia, je lui demande ce qu’elle a dit à sa sœur… en la masturbant : elle lui a raconté ses expériences avec moi et Jean, et la nature de nos plaisirs : anal, pipi, nourriture, sexe entre femmes, … et elle l’a convaincu d’être docile si on lui proposait ! Bien qu’étant dans l’eau, cela m’a fait mouiller pour de vrai !

Nous avons fini la journée avec les enfants, tous nus à la plage où Karen nous a rejoint. Je lui ai proposé de lui passer de la crème solaire. Je me suis arrangé pour bien insister aux bons endroits, tout en restant discrète sur une plage familiale, mais j’ai bien vu que cela la faisait mouiller.

Nous retournons au bungalow, dinons et envoyons les enfants à la douche et se coucher. Nous prenons un café au salon, en discutant de la journée, de tout et de rien. Tout en discutant, ma main s’égare vers le pénis de Jean, et le caresse doucement sous l’œil interrogateur de Karen. Le sexe grossit vite entre mes mains et je finis par commencer une bonne fellation. Julia est passée derrière sa sœur et commence à lui caresser les seins, tout en se masturbant elle-même. Après quelques minutes, le pénis ayant atteint sa taille maximum, je fais signe à Julia qui demande à Karen de s’approcher : Julia lui approche doucement la bouche du gland pour qu’elle le lèche, puis le prenne complétement en bouche. Elle commence à le sucer, et manifestement ce n’est pas une débutante. Nous demandons à Karen de se mettre à genoux sur le canapé, tout en continuant à sucer. Julia lui prend la main et la pose sur les couilles, ainsi que sur la zone autour de l’anus. Pendant ce temps, je prends une bouteille d’huile d’olive avec Julia et nous la versons sur le dos de Karen, et nous commençons à la masser partout, pour la rendre luisante. Nous ne négligeons aucun recoin : cuisses, jambes, pieds, épaules, seins, fesses et bien sûr le minou et la raie des fesses. Les doigts pleins d’huile, je la masturbe doucement et elle apprécie. De mon autre main, ma caresse se précise autour de son anus très joliment dessiné. Puis j’insiste et mon doigt finit par rentrer, elle a un mouvement de recul mais Julia lui remet le sexe turgescent de Jean dans la bouche pour qu’elle continue sa fellation. Je continue ma caresse anale à l’huile d’olive tout en la masturbant. Julia se met à prendre l’initiative. Elle libère la bouche de Karen et vient s’empaler vaginalement sur le sexe tendu, dos au visage de Jean, face à Karen. Elles s’embrassent puis Julia la guide vers ses seins pour qu’elle lèche. Je continue toujours la masturbation anale, avec un anus de plus en plus accueillant.

Julia remue ses fesses pour bien s’empaler sur le pénis de Jean et prendre du plaisir. Elle prend le visage de Karen et l’amène entre ses cuisses pour qu’elle lui lèche le clitoris. Pour lui laisser de la place, Julia retire le pénis de son vagin et vient s’empaler analement, pour le plus grand bonheur de Jean et du mien. Karen vient lui lécher le minou, alors que le pénis va et vient dans l’anus, tout luisant. Julia a pris une bouteille de lait et la verse sur ses seins : Karen doit boire le lait qui s’écoule sur le minou de Julia.

Une fois l’anus de Karen bien assoupli, je lui demande de venir profiter de l’anus de Jean : celui-ci se met à quatre pattes, je prends une banane et l’écrase entre les fesses, sur son anus. Julia demande à Karen de venir lécher toute cette banane, ce qu’elle fait sans réticence…Humm, décidément l’élève apprend vite.

Julia lui indique qu’elle va maintenant pouvoir expérimenter la sodomie (cela confirme qu’elle est bien vierge des fesses), mais au vu de la souplesse de l’anus, elle devrait apprécier ! Humm, je mouille d’avance. Nous l’installons sur le dos, jambes bien relevées : Jean vient placer son gland sur l’anus. Je continue à lui stimuler le clitoris. Julia s’est mise derrière elle et lui caresse les seins et le visage. Elle lui dit de se détendre, de pousser comme pour aller aux toilettes. Doucement, le pénis rentre et Jean pousse pour l’enfoncer en entier. Il reste ainsi jusqu’à ce qu’elle soit vraiment détendue, puis ensuite commence ses va-et-vient, lents d’abord puis plus rapides… Karen se détend petit à petit, et commence à gémir et à apprécier cette pénétration rectale. Après quelques minutes, Jean a sorti son pénis des fesses et l’a présenté à Karen pour qu’elle suce à nouveau. Elle a eu un mouvement de recul : j’ai mis de la chantilly dessus et elle a fini par sucer, bien que le pénis n’ait pas été très propre. Le reste de la soirée n’a été que fellation, cunnilingus, doigtage vaginal et anal, pénétrations diverses, avec beaucoup d’orgasmes à la clé.

Pour finir, le clou a été une cascade dorée qui a complétement scotché Karen : Julia allongée sur le dos, moi accroupie au-dessus de ses seins et son visage, Jean debout qui m’arrose le visage et les seins de sa pisse, puis vise ma bouche. Pendant ce temps, je me vide sur Julia avec un long pipi. Au milieu, je m’arrête et lui demande si elle veut goûter. En réponse, elle ouvre la bouche en grand : je verse d’abord du lait sur mes seins, puis je continue avec ma pisse en visant bien la bouche. J’y vais par petites giclées pour qu’elle ait le temps de bien avaler. Karen est subjuguée par le spectacle et se masturbe comme une folle : ses doigts luisent de mouille en entrant et sortant de son minou.

Pour finir, Jean est prêt à jouir : d’un commun accord, nous décidons que le sperme sera pour Karen. Celle-ci se met à genoux devant le pénis tendu et Julia lui maintient la bouche grande ouverte. Si Karen a déjà sucé, elle n’a jamais eu de sperme en bouche. Après une petite masturbation, le sperme jailli et rempli la bouche de Karen. Je viens l’embrasser sur la bouche pour avoir un peu de sperme aussi et laisse Karen avaler.

Après cette apothéose, nous allons prendre une douche et nous coucher. De retour dans le lit, je suis tellement excitée que je dois me masturber avec un doigt dans l’anus jusqu’à l’orgasme, alors que Jean est déjà endormi.

Les jours suivants se passent très agréablement : toute la journée nus en famille, à la plage, au restaurant… et soirée coquine : fellation, cunnilingus, anulingus, jeux de godes, … Jean a ainsi pu être enculé par Julia au gode ceinture, en laissant Karen sucer le gode sortant des fesses.

Julia nous indique que c’est l’anniversaire de Karen dans deux jours. Nous décidons de faire une soirée mémorable. Je vais commander deux gros gâteaux framboisier (avec beaucoup de crème) chez le pâtissier. Nous avions décidé d’aller pique-niquer sur une autre plage, en dehors du village, les enfants restant au club de sport du Village. Nous avions emporté des maillots de bain, au cas où nous ne pourrions pas être nus. Arrivés sur la plage, nous constatons qu’elle n’est pas naturiste. J’opte pour la tenue minimum : seins nus et string ficelle de bain. Jean fait de même (string ficelle), et après hésitation, Julia et Karen adopte la même tenue. Nous traversons la plage sous les regards (rare de voir 4 personnes en string ficelle…). Nous allons nous baigner et revenons nous installer à l’écart pour pique-niquer. Etant un peu isolés nous en profitons pour retirer nos strings pour être à l’aise. A la fin du repas, nous ouvrons un gros pot de fromage blanc et un pot de miel. Je prends le pot, réfléchit puis verse plusieurs cuillères sur mes seins, sur mon sexe et sur le sexe de Jean. Puis verse une bonne dose de miel… et cuisses écartées, nous invitons Julia et Karen à goûter. Cette fois, Karen vient vers moi et commence à me lécher partout. En même temps, Julia vient sucer Jean en dégustant. Je finis par jouir sous les coups de langue de Karen, et Jean est prêt à lâcher son sperme, d’autant plus qu’elle lui a mis un doigt entier dans l’anus. A ce moment, nous remarquons un jeune couple qui nous observe à quelques mètres : nus, elle est à genoux devant lui et le suce avec gourmandise. En voyant cela, je suis hyper excitée et je demande à Karen si elle a envie de pipi… elle avoue que oui, et je lui demande de faire sur mes seins et dans ma bouche. Je vois le jeune couple nous regarder : elle a arrêté de sucer, tout le temps du pipi. Pendant ce temps, Jean, très excité aussi, demande à Julia si elle veut bien  » se vider complétement « . Elle ne comprend pas tout de suite et je vais lui expliquer … je lui masse l’anus en lui demandant de pousser – je lui ordonne de  » chier sur sa bite « . Le côté vulgaire l’excite et elle finit par déféquer : Jean se masturbe avec la matière et finis par lâcher de bonnes giclées de sperme. Le jeune coupla a joui aussi, avec du sperme avalé…

Nous allons rapidement nous rincer dans la mer, après avoir remis nos strings.

Mais ce n’était qu’un avant-goût… Nous revenons au village et profitons de la fin d’après-midi en toute nudité.

Nous préparons le repas du soir, un apéritif enrichi puis les gâteaux. Bien évidemment, nous restons nus, les corps bien parfumés après la douche. Nous grignotons et buvons, l’excitation monte car nous ne savons pas comment cela va évoluer (sauf Jean et moi !). Nous arrivons au moment des gâteaux. Nous les mettons bien en évidence sur la table, avec les bougies sur l’un d’eux. Karen vient souffler ses 17 bougies et en même temps, je commence à masturber Jean dont le pénis grossit très vite… C’est le signe que cela commence. Julia et Karen s’approche, on s’embrasse sur la bouche, on se caresse seins, chatte, fesses … et les filles commencent à mouiller.

Et là, je prends Karen dans mes bras, la soulève en l’embrassant sur la bouche, et vient l’assoir les fesses nues dans un des gâteaux. Jean fait de même avec Julia. Nous prenons de la crème à pleine main et leur étalons sur les seins, les fesses, le visage, …. Puis, elles bougent leurs fesses, pour bien se remplir la chatte de crème, puis nous leur demandons de se mettre en 69 pour se lécher. Je vais chercher une bouteille de lait et une poire à lavement. Je la remplis de lait, m’enfonce la canule dans le rectum et me remplis de lait tiède. J’adore sentir le liquide monter. J’en mets un bon litre. Pendant ce temps, Jean s’est approché et alternativement, se fait sucer, pénètre les minous… Je demande qui veut une rasade de lait. Karen dit :

 » C’est mon anniversaire ! à moi en premier ! « .

Hum, je viens m’accroupir au-dessus de son visage et je viens me vider doucement sur son visage et sa bouche ouverte. Pendant ce temps, Jean est venu derrière Julia et la sodomise en profondeur : elle apprécie et devient même vulgaire ( » oui, encule-moi, bourre moi le cul…  » – même une danoise peut apprendre du vocabulaire sexuel). Jean ressort son sexe souillé de matières : je me précipite pour nettoyer sous l’œil à la fois choqué et excité de Julia et il lui remet dans les fesses.

Jean finit par jouir sur les seins de Karen, et nous léchons le tout avec Julia. Ayant rempli la poire à nouveau, je remplis le rectum de Karen et elle vient se vider dans la bouche de Julia. Cette scène suffit à faire rebander Jean, qui en profite pour à nouveau sodomiser Karen dont l’anus a bien été lubrifié par le lait. Cette fois Karen apprécie vraiment cette pénétration anale… et Jean vient y jouir. Dès qu’il se retire, je viens lécher et avaler le sperme qui s’écoule…

Nous nous écroulons … épuisés. Nous finissons par une douche complète, en nous savonnant partout, y compris dans les endroits les plus intimes.

Nous avons fini les vacances, avec les activités naturistes la journée, et les activités coquines le soir, avec une vraie complicité. Karen est restée encore une semaine, avant de retourner chez ses parents. Julia est toujours au pair et elle nous donne des nouvelles, mêmes très intimes, de Karen. Karen est installée avec une fille, elle est toujours naturiste, ne met plus de sous-vêtements, vit pieds nus et préfère les pratiques anales. Julia est définitivement bisexuelle, adore les pratiques sexe et nourriture, vit nue le plus possible, a abandonné les chaussures également et ne fait plus pipi aux toilettes mais sous la douche ou avec un / une partenaire.

fin

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3 réponses à Une jeune fille au pair… aux qualités insoupçonnées… par François_urophile

  1. Armitage dit :

    Peu de récits abordent le lavement érotique de cette façon. J’avoue avoir relu plusieurs fois ces passages fabuleux, le sexe raide.

  2. Claire dit :

    Une belle plume décidément ! Et des fantasmes qui me parlent. Dommage que les personnages ne soient pas plus fouillés. Je suppose que ça viendra u fil des prochaines publications. En tout les cas, ce récit ne m’a pas laissé indifférent ! 😉

    • Francois_urophile dit :

      Merci pour ces encouragements toujours agreables…
      Heureux que le recit n ait pas laisse indifferent !
      J espere que les suivants resteront au niveau, j y travaille en tout cas…
      Merci

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