Un train en été par Guy01

Je suis assis dans le compartiment d’un train en été, près de la fenêtre. Il
n’y a personne avec moi jusqu’à ce que le porte s’ouvre sur une belle femme,
grande et brune. Ses cheveux sont courts et noirs. Elle a la quarantaine.
Elle porte une jupe noire à mi-jambe, des sandales noires, un chemisier
blanc assez léger.

Elle s’assied devant moi sans me regarder, l’air sévère, croise les jambes
et laisse son regard se perdre dans le paysage.

J’ai poussé mes jambes pour lui laisser de la place. Je me cale dans la
banquette pour continuer ma sieste.

Mais je jette un coup d’oeil sur elle avant de me rendormir. Ses genoux
blancs brillent juste au bord de sa jupe. Ses cheveux sont agités par l’air
qui passe par la fenêtre entrouverte. Son chemisier aussi frissonne. C’est
un tissu léger, un peu transparent. Je crois voir au travers la pointe de
ses seins qui se dessine. J’ai l’impression qu’elle n’a pas de soutien
gorge. Elle ne me regarde toujours pas, m’ignore et je ferme les yeux.

Pour être bien assis, j’ai les mains dans les poches de mon jean noir. Dans
un demi-sommeil, des images me passent par la tête, et j’imagine son visage
en face de moi, ses lèvres épaisses, ses grands yeux noirs. Je revois la
marque de ses seins sous sa chemise. Mes doigts sous le pantalon sentent mon
sexe qui durcit doucement à cette image. Je le touche doucement à travers le
tissu de ma poche. Je sens le gland qui devient gros et je le caresse
doucement. J’allonge les jambes pour permettre à mes doigts d’aller plus
loin, de couvrir mon sexe qui grossit jusqu’au milieu de sa longueur. Au fur
et à mesure qu’il s’allonge, je reprends conscience, et je prends conscience
aussi de sa présence. J’arrête de bouger mais je laisse mes doigts contre
mon sexe.

J’ouvre les yeux et je m’aperçois alors qu’elle est en train de me regarder.
Elle a mis ses mains contre sa poitrine. Elle s’aperçoit que je suis
réveillé, mais elle continue de regarder le haut de mon pantalon. Elle me
regarde dans les yeux et bouge un peu ses doigts sur sa poitrine.

Je me sens tout à coup très excité et, moi aussi je pose mes doigts sur mes
tétons qui sont tout durs. Je déboutonne deux boutons de ma chemise et je
passe ma main à l’intérieur. Mon index atteint mon téton gauche et
l’effleure doucement. C’est un geste que je fais souvent quand je suis seul
devant ma glace qui m’excite beaucoup.

Elle continue à me regarder fixement et appuie un peu sur ses seins du bout
de ses index. Alors je m’enhardis et ouvre ma chemise. De chaque main je me
caresse les pointes de mes tétons qui sont très durs. Je la vois elle aussi
qui se pince ses tétons à travers le tissu. Elle me regarde encore en
léchant ses lèvres de sa langue. Je vois ses jambes qui sont décroisées et
qui se frottent doucement l’une contre l’autre.

Je me dis alors qu’elle a envie que je continue et je pose ma main sur mon
sexe au travers de mon pantalon. Je frotte un peu et je le sens qui est très
dur. Je déboutonne tout doucement mon jean pour pouvoir glisser ma main sur
mon slip. Je sens le tissu qui est tout mouillé. J’ai envie de libérer mon
sexe de le voir à l’air libre. Je la regarde devant moi qui continue à
frotter ses jambes. Alors je baisse mon slip et je sors mon sexe. Je
l’entends qui gémit. Je la vois qui ouvre elle aussi sa chemise et me montre
ses petits seins tout ronds. Ils ont des tétons très longs et très noirs
qu’elle caresse du bout des doigts. Elle prend ses seins en entier dans sa
main en se léchant les lèvres.

Moi je n’en peux plus de voir ça. Je prends mon sexe entre les
deux doigts de la main droite et je tire sur la peau pour bien sortir mon
gland qui est tout gonflé et tout rouge. Il y a du jus qui en sort. J’en
prends un peu sur le bout des doigts et je le mets sur mes tétons qui sont
tout doux à caresser. Elle se frotte les jambes en gémissant et elle pince
ses seins très fort. Moi je continue à me caresser le sexe. C’est mon rêve
de me masturber devant une femme. Elle a l’air d’aimer cela. Elle me regarde
droit dans les yeux pendant que que j’ai ma bite bien serrée dans ma main.
Je caresse le gland avec de la salive que j’ai mise dessus pour que cela
glisse bien. J’aime qu’elle me voie faire cela. Elle avance sa main entre
ses cuisses et la plonge à l’intérieur en gémissant. Je vois qu’elle
continue à regarder ma bite en train d’être masturbée par moi. Elle écarte
ses jambes et soulève sa jupe au moment où je suis sur le point de jouir.
Elle s’en aperçoit, et au moment où elle va montrer son sexe elle me dit

 » Vas-y ! Jouis! »

Et elle lève sa jupe. Elle n’a pas de culotte. Je vois son sexe bien écarté
avec ses poils au-dessus. Il y a de l’humidité qui coule sur la banquette.
Elle pose son doigt sur son clitoris et moi je n’en peux plus. Je gémis et
je la vois qui me regarde. Je laisse mes yeux dans les siens et je tire
fort, fort sur mon sexe qui explose. Elle me fixe toujours pendant que tout
mon sperme jaillit sur mon ventre.

Alors elle se penche vers moi, prend mon sperme sur mon ventre et caresse
ses seins avec lui. Sa peau brille. Elle en reprend et enfonce encore ses
doigts entre son sexe et frotte elle aussi en écartant complètement les
jambes; Je la vois tout à coup qui tremble, qui ferme fort ses cuisses et
qui garde sa main serrée entre ses jambes en fermant les yeux et en
gémissant. Elle tremble longtemps comme cela de plaisir, puis elle ouvre les
yeux et me regarde encore longtemps avec un beau sourire, qui luit de toutes
ses dents.

Guy

bergotte_2000@yahoo.fr

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3 réponses à Un train en été par Guy01

  1. De Candé dit :

    Quel beau texte, ‘en suis tout chaviré !

  2. Pascalou dit :

    Moi j’aime bien les femmes qui n’ont pas de culotte !

  3. cadichet dit :

    C’est mignon, ça change, j’aime bien

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