Un séjour aux multiples facettes … par Francois_urophile

Un séjour aux multiples facettes … par Francois_urophile

Au moment de remonter dans le train qui me ramenait en France avec mes camarades de classe, je me remémorais tout ce qui s’était passé pendant ces trois semaines de séjour dans la famille de ma correspondante allemande et m’en étonnait moi-même. Cette pensée eut pour effet de me faire frissonner de la tête aux pieds, avec une onde de chaleur fort agréable au niveau du bas-ventre.

Je m’appelle Lola et suis actuellement en classe de 1ère. Agée de 17 ans, je me prépare à passer le bac de français. Je suis brune, cheveux courts, avec des yeux bleus et m’habille plutôt  » nature  » : teeshirt, jean la plupart du temps. Plutôt sportive, je suis assez grande et mince, mais j’ai la chance (ou la malchance, selon le point de vue…) d’avoir une poitrine assez développée pour mon âge. Je m’en étais rendu compte au moment des douches communes, après le sport, suscitant à la fois de l’envie mais aussi des moqueries, en me faisant parfois traiter de  » vache à lait « .

Tout avait commencé quelques mois plus tôt, avec la sélection des correspondants. Comme toujours dans cet exercice, la part de chance est non-négligeable. Les professeurs avaient essayé de faire des sélections sur la base des activités, des centres d’intérêt. Et par cette démarche, Kirsten avait été choisie pour être ma correspondante. Nous avons échangé plusieurs courriers et je compris qu’elle avait aussi 17 ans, plutôt sportive aussi, et dans une famille où elle était la dernière de 3 enfants, ses sœurs aînées de 19 ans étant jumelles. Ils vivaient à la campagne dans une maison, à une vingtaine de kilomètres de la ville où se trouvait le lycée.

Nous partîmes par le train courant mai, pour un séjour de 3 semaines environ. Après plusieurs heures de voyage, nous arrivâmes dans ville et un bus nous emmena directement là où l’on devait retrouver les familles. S’ensuivit une petite cohue durant laquelle chacun cherchait sa famille d’accueil les professeurs faisant l’appel à l’oral. Et enfin, je rencontrai Kirsten : blonde, grande, cheveux longs… l’image type de la jeune fille allemande. Dans un grand sourire, elle m’accueillit et vint me présenter à sa maman, son portrait craché. Toutes deux vêtues également de manière très nature : chemisier, jean, basket pour la mère et teeshirt, short jean et tongs pour la fille.

Nous roulâmes une vingtaine de minutes pour atteindre leur maison, un peu à l’écart d’un petit village. Ils étaient vraiment au calme : une maison assez grande, avec des arbres anciens et un grand jardin. Je remarquai immédiatement la piscine et ne regrettai pas d’avoir emmené mon maillot de bain. J’aurais pu plus mal tomber.

Le père et les deux sœurs jumelles nous attendaient et m’accueillirent. Les deux sœurs aînées, Carolyn et Sophia, se ressemblaient comme deux gouttes d’eau. Blondes aussi, cheveux courts, plus petites que Kirsten, elles avaient également l’air plutôt sportives. Je remarquai toutefois, sous leur haut assez moulant, des poitrines qui devaient être assez généreuses et je me sentis moins seule.

Nous entrâmes dans la maison et elle me fit visiter. Un ensemble bois et tissus, très agréables, avec de belles photos noir et blanc et grand format sur les murs. La plupart des photos étaient des nus pris dans la nature ou sur la plage, ce que je trouvais assez esthétique. Kirsten me guidait jusqu’à ma chambre. J’allais en fait partager sa chambre. Dans le couloir, je remarquais une photo représentant une belle femme nue, allongée sur le côté sur le sable. En me rapprochant, je reconnus la mère de Kirsten. Un peu étonnée, je demandai à Kirsten ce qu’il en était. Elle me répondit que son père aimait bien faire de la photo et que sa femme et ses filles étaient souvent ses modèles préférés. Je prenais acte. Elle me fit entrer dans sa chambre. Il y avait un grand lit : elle me demanda si j’étais gênée de dormir avec elle, car sinon, elle avait prévu un petit lit à côté. Je lui confirmai que cela ne me gênait pas du tout. Tout en déballant les affaires, je regardai la décoration tout à fait en phase avec une adolescente. Mais deux photos au mur me firent écarquiller les yeux : l’une représentait Kirsten de dos, debout devant les vagues de l’océan, les mains sur les hanches mais entièrement nue… et l’autre la représentait assise au bord de la piscine, les pieds dans l’eau et buvant un verre et là aussi entièrement nue. Mon œil fut immédiatement attiré par sa belle poitrine. Je lui demandai :

–  » Ça ne te gêne pas que l’on te voie toute nue ?

Elle sourit :

 » Non, pas du tout. C’est naturel après tout… « .

C’est vrai. Et elle ajouta :

 » Tu verras, ici tout le monde est à l’aise… « .

Je ne relevai pas et continuai à défaire mes affaires. Nous descendions pour diner. J’avais mis un pantacourt et des tongs pour être plus à l’aise. Nous nous installions au salon avant le diner pour un petit apéritif d’accueil. Toute la famille était là et je remarquai qu’ils étaient tous pieds nus, ce qui m’amusa. La discussion tourna autour de mes loisirs, ce que j’aimais faire, et chacun se présenta à son tour. La ressemblance des sœurs jumelles continuait à m’impressionner.

Nous passâmes à table et continuâmes à discuter. Bien que mon niveau d’allemand fût assez bon, je devais quand même faire un effort pour suivre les conversations, mais eux aussi faisaient un effort. Le sujet vint sur leurs prochaines vacances. Ils prévoyaient d’aller dans un village de vacances au bord de l’Atlantique en France, en me demandant si je connaissais. La mère me dit que c’est là qu’ils avaient fait les photos qui étaient dans la maison. Elle m’expliqua que c’était un village et une plage naturiste où ils pouvaient vivre nus en permanence. Je n’avais pas bien compris et elle me confirma. Kirsten reprit et m’indiqua qu’ils avaient normalement l’habitude de vivre nus à la maison. Je compris qu’ils s’étaient habillés à cause de moi… et la question vint :

–  » Est-ce que cela te gênerait si nous étions nus ? Tu as le droit de dire oui… « .

Je réfléchis et leur répondit que je ne voulais pas changer leurs habitudes et j’avoue que j’étais un peu intriguée de voir cela. Ils me dirent que nous verrions le lendemain, début d’un week-end de trois jours. Et que nous irions passer le week-end dans un club au bord d’un lac…

Après le diner, nous allâmes nous coucher. Arrivées dans la chambre avec Kirsten, elle partit dans la salle de bain et revint dans la chambre… toute nue. J’avoue que cela me perturbait un peu. A mon tour, je passai à la douche et revint dans la chambre avec une serviette autour de moi. Kirsten ria et me dit de me mettre à l’aise. Elle vint vers moi et m’enleva ma serviette et à mon tour j’étais nue ! Elle rit et me dit que j’allais vite m’habituer. Ne sachant pas trop quoi faire, je me mis au lit en me recouvrant sous les draps. Kirsten s’installa à côté de moi et lut pendant environ quinze minutes. Très à l’aise, elle gardait ses seins à l’air et j’avoue que je ne pus en détacher mon regard. Puis, elle a éteint et me fis une bise pour me souhaiter bonne nuit.

Je pensais à ce qui m’attendait le lendemain, avec de nouvelles expériences. Je pensais alors à mon copain que j’avais en France, et surtout à la dernière fellation que je lui avais fait la veille du départ. Nous étions ensemble depuis six mois, et faisons régulièrement l’amour, profitant des déplacements professionnels de mes parents. J’aimais particulièrement le sucer et j’avalais son sperme depuis peu, ce qui m’excitait beaucoup. J’aimais aussi me faire lécher. Ces pensées me firent mouiller rapidement … et je glissai ma main entre mes cuisses pour une douce masturbation. J’arrêtai et je me rendis compte que Kirsten devait aussi se caresser. La pensée m’excita en tout cas.

Le lendemain, nous nous réveillâmes. Nues dans la chambre, Kirsten m’invita à la suivre pour descendre au salon. Elle me prit par la main, et me dit

 » Tu vas voir, on est tellement mieux sans vêtements ! « .

Je descendis l’escalier, un peu inquiète. Nous arrivâmes dans la cuisine et toute la famille était là … tous nus, très à l’aise en préparant le petit déjeuner. Je remarquai tout de suite que tout le monde était intégralement épilé, y compris le père, ce qui donnait l’impression que son sexe était plus long et plus gros. J’admirai le sexe très bien dessiné et les fesses de la mère. Du coup, je regrettai de ne pas être aussi toute lisse, mais tant pis. Nous prîmes le petit déjeuner, très à l’aise finalement.

Nous devions préparer nos affaires pour aller passer deux jours au bord d’un lac. Je compris qu’ils y avaient un chalet, et que c’était bien un club naturiste. Nous préparions le minimum de bagage. Kirsten mis juste un teeshirt et un short, et resta pieds nus. Je fis de même et nous montâmes en voiture.

Arrivé au club, nous allâmes directement au chalet. Première chose : se mettre nu, avant de ranger les affaires. Puis, nous allâmes nous baigner au lac. La traversée du club, nues, me fit bizarre mais le plaisir de la baignade nue rattrapa tout. Nous restâmes au bord du lac pour bronzer puis nous retournâmes au chalet.

Une des sœurs jumelles, Carolyn, discutait beaucoup avec moi. Alors que j’étais seule avec moi, elle me demanda si je n’aimerai pas être aussi intégralement épilée… Un peu étonnée, je m’entendis dire :

 » Oui, j’aimerai essayer au moins une fois… « .

En souriant, elle me dit :

 » Je m’en occuperai après le diner, si tu veux bien « .

Humm, j’avais hâte et en même temps un peu inquiète.

Le diner se déroula, en toute nudité. Kirsten alla dans sa chambre, et Carolyn me conduisit dans la salle de bain. Elle ferma la porte et tourna le verrou. Elle m’installa au bord de la baignoire et me demanda de bien écarter les jambes. Je trouvais cela impudique mais excitant à la fois. Elle prit du gel à raser et vient le déposer sur mon minou, puis massa et la mousse apparut. Je fermais les yeux. C’est la première fois qu’une fille me touchait à cet endroit. Puis je sentis la lame du rasoir qui passait et me coupait les poils petit à petit. Tout doucement, la mousse disparaissait et ma vulve nue apparaissait progressivement. Humm, elle passa une serviette pour bien essuyer. Elle passa un peu de crème apaisante dessus puis pris ma main et la posa sur mon sexe lisse. J’ai adoré cette sensation … avec une onde de chaleur dans le bas-ventre. Carolyn me dit :

 » Cela donnera à ton copain encore plus l’envie de te lécher… comme ça…  »

Elle s’approcha et me donna quelques coups de langue. A ce moment, j’aurais eu envie qu’elle continue, en lui plaquant la tête entre les cuisses. Carolyn me dit alors que pour être complète, je devais aussi m’occuper de mes fesses. Je ne comprenais pas : elle me demanda de me mettre à quatre pattes. Elle mit du gel entre les fesses, massa pour faire mousser et à nouveau joua du rasoir dans la raie. Elle mit aussi de la crème, passa un doigt puis sa langue sur l’anus. Ses doigts vinrent à nouveau sur mon minou, et je me sentis mouiller. Elle me releva, me fit un bisou sur la joue et m’annonça une surprise pour le soir.

Remise de cette petite séance, nous rejoignîmes la famille pour diner. La maman me félicita pour m’être épilée comme les autres.

Après le diner, nous restâmes lire dans le salon. Kirsten monta se coucher. Puis je montai à mon tour. Avant de rentrer dans la chambre, je vis Carolyn me faire signe de la rejoindre dans sa chambre. Elle ferma la porte, la lumière était douce. Elle se retourna, me prit dans ses bras, me poussa contre le mur et ses lèvres se posèrent sur les miennes. Elle me regarda en souriant et c’est moi qui avança le visage pour l’embrasser. Le baiser dura longtemps et nos mains s’égarèrent sur nos seins. Elle avait manifestement l’habitude car elle me caressa tout de suite aux bons endroits. Je me sentais fondre…. Elle me poussa sur le lit et me mis sur le dos, puis commença à me caresser et me masser les seins, puis les suça. Sa main vint entre mes cuisses et commença à me masturber, je mouillais beaucoup. Puis elle se positionna à genoux pour me lécher en écartant bien mes lèvres. Je mouillais de plus en plus, en me caressant les seins. J’adorais, sa langue sur mon clitoris me faisant fondre et j’eus un premier orgasme. Elle vint m’embrasser puis vint se mettre en 69. Je vis son sexe juste au-dessus de mon visage et je n’eus qu’une envie : le lécher, y rentrer ma langue à fond. Je découvrais le cunni et m’appliquai à la faire comme j’aurai aimé qu’on me le fasse. Je lui caressais les fesses également, et finalement ma langue tenta une incursion sur son anus. Cela l’a fit gémir et me dit

 » Oui, là… encore s’il te plait ! « .

Je continuai et la léchai de plus en plus fort, finalement très excitée par cet endroit particulier. Je sentis aussi son doigt se placer sur mon propre anus, en même temps que sa langue titillait mon clitoris. Puis, son doigt entra vraiment dans mes fesses. Elle le ressortit, le lécha et le remis. Cela me fit fondre. Je n’en pouvais plus, c’était trop bon. Puis soudain, la porte s’ouvrit et sa sœur jumelle – Sophia – entra. Elle sourit à sa sœur et vint directement vers moi, me caressa le visage puis vint doucement m’embrasser sur la bouche, en me caressant les seins, puis les léchant. Le spectacle étant totalement nouveau pour moi : faire l’amour avec deux femmes et en plus deux sœurs jumelles naturistes ! Nous avons continué, un peu dans toutes les positions. J’ai adoré quand, à quatre pattes, je léchai le minou de l’une, tandis que l’autre, derrière moi, l’autre me caressait les fesses et me léchait la chatte et la raie, en insistant sur l’anus.

Puis, Carolyn ouvrit un tiroir et sortit plusieurs accessoires : sex-toys, avec des formes diverses, donc certains ressemblaient à des sexes masculins de manière très réaliste. Je n’en avais pas encore vu d’aussi près. Elles me dirent :

–  » Regarde-nous et tu nous diras si tu veux la même chose  »

Carolyn prit un petit objet métallique, se pencha en avant et se le mit directement dans les fesses. J’appris plus tard que c’était un plug anal. Celui faisait comme un bijou entre les fesses. Sa sœur s’équipa d’un gode réaliste avec une ceinture. Elle donna le sexe à sucer par Carolyn qui avait du mal à tout mettre dans sa bouche : ce pénis était beaucoup plus gros que celui de mon copain. Puis elle vint se placer derrière et la pénétra vaginalement, d’un coup. Carolyn se tendit et gémit, puis les va-et-vient commencèrent, bien profonds. C’était la première fois que je voyais deux personnes faire l’amour devant moi. Sans retenue, je me masturbais en les regardant.

Carolyn, qui était pénétrée, me demanda de venir devant elle pour qu’elle me lèche, ce que je fis. Elle avait une langue magique et savait vraiment y faire : je mouillais encore plus. Il faudra que je donne des conseils à mon copain. J’alternais sa langue et mes doigts et je me surpris à me caresser aussi l’anus. Puis, Sophie m’appela :

 » Viens m’aider… « .

Je me positionnais derrière Carolyn. Elle sortit de sa chatte puis lui enleva son gadget anal. Elle me tendit un flacon de gel et me demanda d’en verser entre les fesses :

 » Oui, vas-y étale bien, oui comme ça. Maintenant, mets-en dans ses fesses. Oui, il faut lui assouplir l’anus. Entre un doigt, remets du gel, et mets deux doigts « .

Je m’étonnais de la facilité pour faire pénétrer les doigts, par rapport à mon propre anus très serré.

Sophia m’avoua que sa sœur adorait la sodomie. Tout ça était nouveau pour moi. Mon copain avait émis l’idée d’essayer mais là j’étais aux premières loges. Carolyn dit qu’elle était prête et alors, Sophie introduit d’un coup le faux pénis dans les fesses ouvertes de sa sœur. Elle en demandait encore, et Sophie accélérait les va-et-vient. Carolyn gémissait de plus en plus et finit par jouir des fesses, sans même se masturber ! impressionnant !

Sophia me dit

 » Tu as aimé le spectacle ? « .

J’approuvais. Sophia vint vers moi, me mis la main entre les cuisses et la ressortit toute mouillée.

–  » Hum, je crois que tu es bonne pour essayer…  »

Elle me coucha sur le dos sur le lit, et me releva les cuisses. Carolyn vint à côté de moi et me léchai les seins. La langue de Sophia se promenait sur mon sexe humide et je sentis un doigt humide de gel se poser sur mon anus, le masser puis le pénétrer. Cela dura plusieurs minutes, puis un objet remplaça les doigts. Il entra doucement. Il s’agissait d’une succession de petites boules. J’étais bien remplie et Sophia me léchait encore. Je sentais les petites boules dans les fesses. Puis, elle ressortit les boules une à une et chaque passage du sphincter anal me donnait un frisson. Je finis par jouir.

Je me dis  » J’ai joui du cul… « , ravie.

Nous restâmes enlacées, nues, sur le lit, puis j’allai me coucher. J’eu du mal à m’endormir, beaucoup de choses dans ma tête… !!

Le lendemain, nous nous sommes promenées dans le club. J’appréciais de plus en plus ce mode de vie naturel : aller au restaurant, faire du sport, faire ses courses – même si pousser son caddie nue était un peu surprenant au début -, recevoir des amis, etc… Comme Kirsten, je restais pieds nus pour être la plus nue possible. Moi qui avait l’habitude de me tortiller sous ma serviette pour mettre mon maillot à la plage et qui ne prenait pas de douche commune au sport. Quel changement !

De retour au chalet, le père et ses trois filles sortirent pour aller chercher à diner. Sortant en ville, ils avaient dû se rhabiller un minimum, mais Kirsten était toujours pieds nus ce que je trouvais adorable. Je restais donc au chalet avec la maman – qui s’appelait Ann.

J’étais en train de lire sur la terrasse, puis, pressée par une envie de pipi, je montais à la salle de bain et entrait dans la pièce. Là, je vis Ann dans la baignoire, prenant un bain de mousse. J’eus un mouvement de recul  » Excusez-moi  » et je me préparais à ressortir. Elle me rappela :

 » Non Lola, reste, tu ne me déranges pas. Viens discuter un peu… « .

Elle m’invita à m’assoir sur le bord de la baignoire.

 » Au moins l’avantage de vivre nu, c’est de pouvoir entrer dans la salle de bain sans gêner !  » dit-elle en riant.

Son sourire me détendit, mais mes yeux étaient rivés sur ses seins énormes qui débordaient de la mousse. Elle continua :

 » Tu t’entends bien avec Kirsten ? « .

Je confirmai que oui.

 » Et avec les deux jumelles ? « .

Je confirmai également, me remémorant la soirée de la veille, ce qui fit trembler ma voix. Elle reprit :

 » Humm, je crois que vous vous êtes vues hier soir, non ? « .

Je rougis.

 » Ne t’inquiète pas : Un : je vous ai entendues et deux : elles me l’ont raconté ! Est-ce que tu as aimé ?  »

Toujours rougissante, j’avouai que oui….

 » Hum, j’imagine que tu as aimé les voir se prendre les fesses (s’enculer) ?  » (J’améliorais petit à petit mon vocabulaire sexuel…)

Je fis oui de la tête.

 » Je sais qu’elles adorent cela. Et toi, tu aimes de ce côté ? « .

Je répondis timidement, jamais je n’avais eu ce type de discussion. Et là, je parlais sodomie le plus naturellement du monde avec une femme qui pouvait être ma mère, toutes les deux nues dans une salle de bain ! Elle me dit :

 » C’est important ! Un, c’est une vraie jouissance pour la femme quand on le maîtrise, deux : tu tiens les hommes dans ta main avec cela ! tu as un petit copain en France ? « .

Je confirmai.

 » Et tu fais quoi avec lui ? « .
 » Sexe oral et sexe vaginal  » dis-je pour faire simple.  » Je poursuivis :  » Mais il me demande souvent par derrière et je n’ai pas accepté pour l’instant… « .
 » Humm tu as raison, il faut que tu apprécies seule ou avec une femme, avant d’accepter un sexe masculin dans tes fesses ! J’encourage toutes les filles, et même les adultes, à explorer leur anus dès qu’elle commence à se masturber, pour être à l’aise ensuite « .

Plus la discussion avançait, plus je me sentais mouiller.

 » Tu verras, quand tu vas rentrer et que tu proposeras toi à ton copain de t’enculer … il va être fou ! Quand j’ai connu mon mari, j’étais déjà très à l’aise avec la sodomie, et il en a bien profité. Même maintenant, je ne fais l’amour pratiquement que par là… « .

Là j’étais en ébullition. Elle en profita :

 » Dis-moi, tu as déjà léché les seins d’une femme de 40 ans ? Non ? alors viens me rejoindre…  »

Je me glissai dans la mousse et dans l’eau chaude Elle souleva ses seins et me le présenta.

 » Viens… « .

Je n’hésitai pas et vins le lécher, les masser, les prendre à pleines mains. Elle appréciait. Puis elle s’assit sur le bord de la baignoire :

 » Et un minou de 40 ans ? « .

Elle prit ma tête, me caressa le visage et l’approcha de son abricot mouillé, et pas que par l’eau ! Je léchai partout, je voulais la faire jouir… même si je manquais d’expérience. Elle gémissait sous mes coups de langue. Cela dura plusieurs minutes, ma main s’activait en même temps entre mes cuisses sous l’eau. Puis vint ce que j’attendais : elle se retourna, me montrant ses fesses. Elle écarta les globes bien bronzés sans marques, et m’invita à poursuivre ma dégustation. Ce que je fis, en mélangeant doigt et langue. Tout rentrait facilement…. Et elle semblait vraiment apprécier. Elle me tendit une bouteille de shampoing et me dit très calmement

 » Je voudrais que tu me la mettes dans le cul, s’il te plait ! « .

Devant mon hésitation, elle continua

 » Vas-y tu vas voir, je suis entraînée ! « .

Je poussai un peu et je vis l’anus s’ouvrir et engloutir la bouteille. Elle poussa un râle

 » C’est trop bon ! « .

Elle prit la bouteille et littéralement se ramona les fesses avec les va-et-vient profonds, puis le ressortit.

 » Tu veux que je m’occupe de ton derrière ? dit-elle en souriant.  » Mais rassure-toi pas avec cette bouteille … ! « .

Je me mis à quatre pattes dans la baignoire, fesses vers elles. Elle s’assit derrière et commença un léchage anal. Je sentais ses doigts dans mon minou en même temps. Elle me masturbait des deux côtés – chatte et anus – en cadence. Elle vint même me caresser l’anus avec son téton bien dur. Je finis par jouir. Elle me dit :

 » Il faut vraiment que tu prennes l’habitude de bien te caresser l’anus quand tu te masturbes ! Ce sera encore meilleur !  »

Je n’en revenais pas. Je me remettais doucement puis lui dit que j’étais venu au départ pour faire pipi. Je m’apprêtais à sortir de la baignoire mais elle me retint et me dit :

 » Pourquoi ne le fais-tu pas ici ? « .

Surprise, je la regardai :

 » Ici ? devant vous ? « .

Elle répondit :

 » Oui, c’est excitant de voir quelqu’un pisser – c’est comme une longue éjaculation ! « , dit-elle en riant.

Assise sur le bord, elle ouvrit les jambes et commença à faire pipi. J’étais tétanisée… mais excitée. Elle mettait ses mains dans le jet, puis se massait les seins et léchait ses doigts.

 » Tu veux bien faire devant moi ? « .

Je me mis assise, j’écartai les jambes et poussai pour que cela vienne…Après un certain temps de concentration, je commençais à faire pipi. Elle s’approcha et me demanda de faire sur ses seins, ce que je fis. Puis, c’est sa bouche qu’elle approcha.

 » Je veux te goûter.  »

Et elle ouvrit grand la bouche en tirant la langue. Elle avalait très vite de petites gorgées. Elle prit un verre au bord de la baignoire et le remplit à ma source. Puis elle en versa un peu sur mes seins, puis sur mes cheveux … puis me demanda d’ouvrir la bouche. Au comble de l’excitation, j’ouvris et elle versa quelques gouttes pour m’habituer…puis me le versa en me demandant d’avaler. Ce que je fis. Elle me masturbait en même temps, divinement.

 » Maintenant, tu dois goûter ma source… « .

Elle se remit en position, j’approchai ma bouche grande ouvert et le jet apparût à nouveau, puissant. J’avalai tout ce que je pouvais. Elle vient ensuite m’embrasser sur la bouche, en me masturbant le minou et en profitant pour me glisser des doigts dans l’anus qui rentraient maintenant tous seuls. Mon entrejambe était un volcan en ébullition. Mais elle voulait encore continuer son initiation. Elle sortit de la baignoire, me prit par la main pour me faire sortir, nos deux corps pleins de mousse. Elle me demanda de me mettre à genoux devant les toilettes. Elle vint s’assoir, mais dos à moi, ses fesses tournées vers moi. Je redoutais ce qui allais se passer mais je ne pouvais pas bouger tant l’excitation était forte. Elle poussa et je vis l’anus s’ouvrir pour un caca. Elle avait mis sa main dessous pour le récupérer puis elle se retourna. Elle se caressait les seins avec son caca tout en se masturbant….

 » Il n’y a pas de choses sales, il faut juste le faire dans de bonnes conditions… « .

J’étais à la fois dégoutée et fascinée, et ma chatte n’arrêta pas de dégouliner. Elle se caressait tranquillement les seins, puis se lécha les doigts sans même prêter attention à la matière. J’avais déjà joui plusieurs fois. Elle savait que pour une première fois, il ne fallait pas précipiter les choses, et rester dans l’excitation de la vue. Mais décidément, elle devait être aussi excitée car elle poursuivit. Elle sortit de la salle de bain, alla dans la cuisine et revint avec une bouteille de lait pleine. Elle ouvrit un tiroir et saisit un objet, composée d’une poire et d’un embout fin. Je ne compris pas tout de suite ce dont il s’agissait. Elle détacha l’embout et remplit la poire avec le contenu de la bouteille de lait. Elle refixa l’embout, se mit à quatre pattes et s’enfonça directement la fine extrémité dans l’anus. Elle gémit, puis appuya sur la poire pour vider le contenu dans son rectum. La poire vidée, elle retira l’objet de ses fesses et le remplit à nouveau. Au moment de le réintroduire à nouveau, elle me regarda et me sourit :

 » Viens, j’aimerais que tu le fasses toi-même. « .

En même temps, elle me tendit la poire pleine et se remit en position, en écartant ses fesses avec ses mains. L’anus était bien dessiné et apparaissait dans sa splendeur, entouré de quelques gouttes de lait. Je ne pus m’empêcher de m’approcher, de poser ma langue dessus et de lécher, par de petites rotations et ensuite en appuyant plus fortement, pour essayer de le pénétrer. Elle gémit :

 » Oui… encore… tu lèches bien… « .

Je continuais quelques minutes, puis je remis l’embout et appuyait sur la poire pour vider le liquide. Je refis l’opération jusqu’à ce que le litre de lait soit complétement passé dans ses fesses. Je n’en revenais pas. Je me remémorais les quelques lavements que j’avais pu recevoir pour raisons médicales, et il me semblait que l’on avait du mal à supporter beaucoup de liquide sans avoir envie de se vider. Accroupie, elle fermait les yeux et se masturbait. Cela devait faire comme une sodomie avec un gros sexe, sans les va-et-vient…

Elle entra dans la baignoire et posa une jambe sur le rebord. Elle poussa et le liquide blanc surgit de son anus dans un long jet. Elle se caressait les seins, toujours couverts de son caca. Puis, elle se tourna vers moi :

 » Tu veux en profiter ? Viens t’allonger dans la baignoire… « .

Je m’exécutai. J’avais une bonne vue sur son derrière. Puis, elle se vida le rectum sur me seins qui devinrent tout blanc. Je les massais avec le lait tout en me masturbant. Ma chatte dégoulinait et j’en vins même à me mettre naturellement un doigt dans les fesses.

Je finis par jouir au moment où la dernière goutte sortait de son anus. Je vins lécher les dernières gouttes sur sa rosette. Elle se retourna, me serra contre elle et m’embrassa sur la bouche. Nos poitrines se touchèrent, et je me retrouvais avec ses matières. A cet instant, j’aurais tout partagé avec elle.

 » Viens, on va finir ensemble « .

Assises l’une à côté de l’autre devant le miroir, nous nous sommes masturbées chacune à notre rythme pour jouir à fond. Après ce dernier orgasme, nous nous sommes allongés pour nous détendre. Nous avons ensuite fini ensemble sous la douche en nous savonnant mutuellement… et je quittais la salle de bain. J’eus droit à un autre petit bisou sur la bouche.

Je m’installai sur la terrasse pour me reposer un moment. Le reste de la famille rentra. Les deux filles, à peine descendues de voiture, se déshabillèrent. Je notais qu’elles avaient mis leur robe sans rien dessous.

Le diner se passa sans histoire et nous allâmes tous faire une promenade au bord du lac, nus comme d’habitude.

Le lendemain, le petit copain de Sophia nous rejoint au chalet. Il était manifestement au courant, puisqu’il se mit nu à son tour sans se poser de question. Chacun était à ses occupations l’après-midi. Sophia m’invita à les accompagner avec son copain pour un tour à vélo. Je découvris la pratique de la bicyclette nue : le contact de la selle sur le minou créait des sensations des plus agréables. Nous fîmes quelques kilomètres, et nous nous arrêtâmes dans un petit bosquet au bord du lac. Nous étions étendus sur nos serviettes. Sophia discutait avec son copain et je ne faisais pas attention. Ne les entendant plus depuis quelques minutes, je tournai la tête et je vis Sophie en train de sucer son copain, dont le sexe décalotté avait pris de belles proportions. Elle me regardait en souriant, et lui m’invita à approcher. Ce que je fis. Elle m’invita à sucer à mon tour. Je pensai à mon copain, mais je me dis que l’occasion était trop belle, et qu’il s’agissait d’une initiation. Je suçais du mieux possible. Sophia me dit :

 » Il aime voir deux filles ensemble  » et elle m’invita à me mettre en 69, moi au-dessus. J’adorais tout ce qu’elle me faisait : massage des seins, pincement des tétons, massage des fesses, langue sur le minou et surtout sur l’anus. Je devenais adepte de cette pratique. Sa langue me travaillait le sphincter qui se détendait. Je voulais sentir sa langue au plus profond. Je me détendais. Soudain, je sentis une deuxième langue dans ma raie des fesses, ce qui me fit frémir… Je sentis un liquide me couler sur l’anus, puis quelque chose se posa sur mon petit trou. Il allait me sodomiser.

Je respirais un grand coup et Sophia me dit de me détendre et de pousser, comme pour faire caca. Je le fis et je sentis le gland forcer pour franchir le sphincter, puis le sexe tendu progresser jusqu’à sentir les couilles contre mes fesses. J’étais pleine et dilatée du cul. Sophia alternait en me léchant le minou et en lui léchant l’anus. Puis il commença les va-et-vient en me tenant par les hanches. Je gémissais, sentant la jouissance venir. Après dix minutes de massage rectal, un orgasme intense arriva. J’arrivai à jouir du cul …

Elle encourageait son copain et je sentis les contractions de son pénis. Ce petit coquin éjaculait dans mes fesses, ce qui me fit mouiller et jouir à nouveau. Mais il restait enfoncé dans mes fesses. Sophia me caressait les seins, la chatte, les fesses, les cheveux… Puis, soudain, je sentis un liquide chaud dans mes intestins : il était en train de me pisser dans les fesses. Le liquide chaud m’emplissait et cela m’excitait encore.

Une fois fini, Sophia me dit :

 » Tu as le sperme et le pipi de mon copain dans tes fesses …. Donne-les-moi ! « .

Elle s’allongea sur le dos et je vins m’accroupir au-dessus de sa bouche : je me vidai par petites touches et elle avalait tout. Je lui dis :

 » Je ne me suis pas lavé les fesses… il y aura peut-être autre chose que du pipi et du sperme… « .

Sophia sourit :

 » Cela ne me gêne pas … « .

Elle se mit un doigt dans les fesses, le ressortit souillé et le lécha en souriant. Je me vidai et elle avala tout ce qui sortit de mes fesses. Je les remerciai tous les deux, pour cette initiation….

De retour au chalet, et après diner, nous allâmes nous coucher avec Kirsten. Après avoir éteint la lampe, je repensais à la journée folle et j’eus envie de me masturber à nouveau. J’entendais des petits gémissements : c’était sûr, Kirsten était aussi en train de se masturber. J’osai :

 » Kirsten, tu fais quoi ? j’imagine comme moi… « .

Timidement, elle répondit  » Oui… « .

 » Alors, pourquoi ne pas le faire ensemble ? « .

J’allumai la lumière et repoussai le drap. Je lui proposai que l’on s’assoie face à face, juste pour se regarder en train de jouir. Je m’étais mise sur le côté, pour pouvoir facilement me caresser le minou et l’anus. Je constatai qu’elle négligeait cette partie. Je l’invitai à essayer et petit à petit, elle essaya. Elle fut impressionnée quand j’eus un orgasme uniquement avec les doigts dans les fesses. Nous avons joui encore une fois, avant de dormi profondément.

Le séjour arrivait à sa fin. Nous nous dîmes au revoir, avec la promesse – discrète – de nous échanger des expériences, même coquines par mail !

Nous prîmes le train pour rentrer. De retour en France, mes parents m’accueillirent avec ma sœur. Je leur racontai tout mon séjour, et la découverte du naturisme… et surtout de mon attention de pratiquer ici. Mes parents étant très tolérants, ils acceptèrent et je pris l’habitude de vivre nue à la maison.

J’attendais avec impatience le week-end suivant, pour que mon copain puisse me rejoindre à la maison. Il arriva en fin d’après-midi. Je portais une veste de kimono courte, rien dessous (mais il ne le savait pas …) et pieds nus.

Surpris par cette tenue, il ne me quittait pas des yeux. Puis je lui ai expliqué ma découverte du naturisme et j’enlevai ma veste et l’invitait à faire de même. Il hésita puis le fit, mais il afficha une énorme érection… pas vraiment du naturisme  » familial  » ! mais de bonnes dispositions. Je le poussai sur le canapé et m’agenouillant devant lui, je commençais une fellation profonde. Je mouillais en attendant le moment où j’allais lui demande de me sodomiser… (je m’étais lubrifié l’anus avant son arrivée…). Puis, une fois très tendu, je me plaçai à quatre pattes, l’invitant à me prendre. Il présenta son gland devant ma vulve humide… je l’arrêtais, avec un regard coquin :

 » Non, cette fois je la veux dans le cul ! encule-moi !  »

Je sais que les mots crus l’excitent beaucoup. Il hésita, je pris son sexe et en combla mon propre anus. Il commença les va-et-vient et je le sentais très dur. Pris par l’excitation, il ne put se retenir de jouir. Il s’excusa… je lui souris : accroupie, je récupérais le sperme dans ma main et le léchait sans hésiter.

 » Humm, dis-je, et maintenant, viens avec moi « .

Nous sortîmes dans le jardin. Je me mis à genoux devant lui, seins en avant.

 » Humm, dis-je sur un ton coquin, je voudrais que tu fasses pipi sur moi…. Arrose-moi les seins !  »

Je savais qu’il regardait des vidéos de pipi. Il commença et j’appréciai le liquide chaud sur mes seins. Je m’approchai, pris son sexe pour le diriger vers ma bouche et j’avalai. Mon copain était aux anges.

Nous restâmes nus tout le week-end, facilitant toute initiative sexuelle. J’avais les fesses un peu endolories, après toutes ces sodomies ! Mais je découvrais de nouvelles sensations.

Nous avons échangé quelques temps avec ma correspondante et ses sœurs, et nous nous sommes perdus de vue. Mais je n’oublierai jamais ce qu’elles m’ont appris.

fin

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3 réponses à Un séjour aux multiples facettes … par Francois_urophile

  1. Paillasson dit :

    C’est vraiment magnifique une scène pleine de matières excitante

  2. Claire dit :

    Je n’avais pas commenté le récit n°5 de cet auteur, parce que je ne l’avais pas trouvé bon, et que je n’aime pas démolir les textes des auteurs que j’aime bien. J’appréhendais donc la lecture de ce numéro 6 craignant qu’il ne soit de la même veine que le précédent. Heureuse surprise, il n’en est rien, ce récit est tout simplement excellent, on ne retrouve ni la surenchère, ni la facilité, ni la démesure de l’épisode précèdent, c’est bien écrit, les personnages existent, le fantasme fonctionne ! Que demande le peuple. Du coup je me sens désormais libre d’ajouter un méchant commentaire au n°5 mais rien ne presse 🙂

    • francois_urophile dit :

      Merci pour cette critique…
      et effectivement rien ne presse pour le texte precedent dont je concede l exces de facilite…

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