Deux semaines plus tard, j’ai reçu une enveloppe cachetée à la cire. C’était
une invitation pour un dîner chez une personne que je ne pensais pas
connaître. Pourtant, son nom m’était familier mais je n’aurais su dire de
qui il s’agissait. L’invitation stipulait bien
« Monsieur et Madame »
J’en touchais un mot à mon épouse qui apparemment ne savait pas non plus.
Puis je m’aperçu que j’avais laissé un petit mot dans l’enveloppe. Ca venait
de ma patronne et ça disait :
« Une voiture passera vous chercher, toi et ton épouse vers 16h00. La soirée
est précédée par un petit cocktail de bienvenue. Ce n’est pas une soirée
chic, juste une réunion entre amies alors pas besoin de sortir votre tenue
des grandes occasions. Faites dans la simplicité. »
Mon sang n’a fait qu’un tour, heureusement que ma femme était retournée dans
la cuisine sinon elle m’aurait demandé ce que j’avais et je ne vois pas dans
quelles explications j’aurais pu me lancer sans qu’elle se rende compte que
je lui cachais quelque chose. J’avais une très bonne idée de ce que pouvait
vouloir signifier une soirée entre amies dans la bouche de ma patronne.
Alors mêler ma femme à tout cela me rendait très nerveux. Même si c’était
une soirée normale, la plupart des gens que nous allions croiser devaient
maintenant me connaître et la moindre allusion à mes activités cachées
risquait fort de semer le trouble dans mon ménage.
J’ai téléphoné à ma patronne qui s’est voulue rassurante :
– Ne te tracasses pas, tu ne risques rien et tout ce passera très bien. Tu
pourrais même être agréablement surpris !
Je n’étais rassuré qu’à moitié. D’un autre côté, mon vœu le plus cher était
que ma femme me comprenne et accepte cet aspect de ma personnalité. Si en
plus elle le partageait avec moi c’eut été le paradis. Je préférais qu’elle
l’apprenne de ma bouche plutôt que par une indiscrétion lâchée au cours
d’une conversation. Mais il était encore trop tôt pour cela, je venais à
peine de m’accepter moi même. Je décidais de lui mentir encore un peu et
d’attendre le moment propice.
J’avais passé un pantalon noir tout simple avec un polo blanc et une veste
assortie. Ma femme avait choisi une jupe légère, bleu foncée et un chemisier
en satin violet. Une paire d’escarpin noir et brillant complétait sa tenue.
Elle était très sexy sans faire vulgaire.
Le cocktail se déroulait dans le jardin d’une superbe villa. D’ailleurs, vu
la taille du jardin, on aurait même pu parler de parc. Comme je m’y
attendais, je connaissais déjà bon nombre d’invités. Il y avait même
plusieurs collègues du bureau accompagnés de leur tendre moitié.
L’organisation était telle que j’en avais oublié mes craintes et nous
profitions maintenant d’une soirée agréable.
Des groupes de discussions se formaient et se déformaient au grès de la
soirée. La piste de danse était bondée. Bref, je qualifierais la soirée de
réussie. Vers 22h00, j’avais perdu la trace de ma femme lorsqu’on nous
annonça une petite démonstration sur la piste. La musique commença et je vis
arriver une femme toute de cuir vêtue. Des bottes jusqu’à mi-cuisses, un
short moulant, un body tout aussi moulant. Une cagoule sur le visage qui ne
laissait voir que sa bouche, son nez et ses yeux. Un trou à l’arrière de la
cagoule laissait sortir une longue queue de cheval acajou. Cette fille était
vachement sexy, mais pour l’heure ce qui me tracassait le plus c’était de
retrouver ma femme avant que tout cela ne dégénère. Malgré mon assiduité à
la chercher, je du me résigner à attendre que ça se termine car il y avait
trop de monde pour retrouver qui que ce soit. Sur la piste, la fille dansait
sur un rythme effréné, provoquant la foule en faisant sifflé dans l’air une
longue cravache noir terminée par une représentation d’une main en cuir. Je
m’étais faufilé au premier rang et mal m’en pris. L’alcool aidant, déjà mon
imagination vagabondait et j’étais perdu dans un rêve érotique mettant en
scène cette divine créature à la merci de laquelle je m’offrais sans
résistance. Je suis revenu sur terre au moment où quelqu’un m’a tiré par le
col sur la piste. C’était cette diablesse qui s’en prenait à moi devant tout
le monde. Mais j’étais déjà dans un état second, incapable de me contrôler
alors je l’ai laissé faire. Deux autres filles sont venues en renfort et en
moins deux j’étais à poil sur la piste. Je ne me sentais pas gêné du tout et
en regardant autour de moi, je voyais déjà par-ci, par-là des baisers
fougueux et des caresses qui se perdaient dans la foule. Au centre de la
piste, il y avait une chaise, dossier tourné vers la foule. Je du me mettre
à genoux sur la chaise, face au public, les bras ballants derrière le
dossier, les mains attachées aux pieds de la chaise par des menottes. La
fille tournoyait autour de moi, tantôt me caressant le corps, tantôt me
frappant de sa cravache. Je ne voyais plus les spectateurs, il n’y avait
plus qu’elle et moi. Je ressentais ses coups comme des caresses, puis elle
me retourna sur la chaise pour m’asseoir normalement. Je bandais comme un
taureau. Elle a fait glissé la tirette de son short pour mettre à nu son
entre jambe et elle m’a chevauché pour le plus grand plaisir de la foule en
délire. Elle a joui en hurlant sans que j’ai le temps de jouir moi même.
Ensuite elle m’a détaché et le public a applaudi. Elle m’a pris par le bras
et nous sommes rentrés dans la maison. Ma patronne nous attendais dans le
couloir avec la maîtresse des lieux et j’ai été emmené dans un petit salon.
Au centre se trouvait une petite estrade. On me demanda de mettre à genoux
sur l’estrade. Je faisais face à un divan en ska en forme de L pouvant
accueillir 6 à 7 personnes. Ma partenaire du show improvisé s’installa juste
devant moi. Une autre esclave est venue prendre place à ses pieds, la tête
baissée, je n’ai pas pu voir son visage tout de suite. Ma patronne a fait
les présentations :
– ‘Z’, je te présente Maîtresse Médusa. Elle porte ce nom car à l’instar de
la gorgone de la mythologie grecque dont le regard était mortel, un seul de
ses regards suffit à ensorceler sa victime. Mais ce n’est pas ce qui nous
intéresse ce soir. Tu as été invité ici spécialement car nous t’estimons à
présent digne de connaître la vérité. Médusa, je te laisse la parole !
Et Médusa commença son récit :
– ‘Z’, tu es devant nous aujourd’hui car une femme le désirait plus que
tout. Elle voulait depuis longtemps partager avec toi son savoir. Mais
avant, pour être sûre de ne pas se tromper au risque de gâcher à jamais une
relation qu’elle voulait à tout prix protéger, elle t’as mis à l’épreuve. Tu
t’es révélé au-delà de ses espérances et maintenant je peux sans craintes te
promettre des plaisirs et des souffrances aussi souvent que tu le désireras.
Enfin libre tous les deux, je peux enfin me dévoiler à toi mon amour !
Regarde moi !
Je ne comprenais pas ce qui se passait, mais lorsque j’ai levé les yeux, la
divine créature qui se trouvait devant moi n’était autre que ma propre femme
avec les cheveux teint pour la circonstance en acajou. J’étais stupéfié. Ma
femme, si empreinte de bourgeoisie ayant toujours l’air choquée lorsque la
conversation s’orientait vers le sexe. Elle était une maîtresse ! Comment
est-ce que j’étais passé à côté de cela sans rien voir. Mais les révélations
n’étaient pas terminées. L’esclave au pied de ma femme tournait maintenant
son visage vers moi avec un sourire béa. C’était la bourgeoise du dessus
avec laquelle ma femme partageait ses soi-disant après-midi thé. Ma femme me
dit :
– Tu connais Véronique, notre voisine du dessus. Une de mes meilleures
recrues ! Allons ne prend pas cet air déconfit. Tu croyais vraiment tromper
une femme en lui faisant mettre plusieurs jours d’affilés les mêmes
sous-vêtements ? Pauvre petit naïf. Mais je suis persuadée que la
perspective de la nouvelle vie qui nous attend t’enchante. N’est-ce pas mon
amour, ou devrais-je dire mon esclave adoré ?
Il fallait le temps que j’accuse le coup. Bien évidement que j’étais stupide
d’avoir pu penser tromper ma femme ainsi sur toute la ligne. Tout était
toujours si facile, ses départs tombaient toujours au bon moment. Une fois
mes esprits retrouvés, j’ai retourné ma femme sur mes genoux et tout lui
administrant un simulacre de fessée je lui ai dis :
– Tu mérites une grosse fessée pour t’être ainsi joué de moi. Bien sûr que
je veux être ta chose, ton jouet, ta petite salope. Mais à une condition, je
veux rester au service de Maîtresse Gwen et de temps en temps je voudrais
pouvoir distraire Maîtresse Zele. Le reste du temps tu pourras disposer de
mes restes car après ce que tu m’as fait, c’est tout ce que tu mérites.
Vilaine cachottière !
Nous sommes tous partis d’un grand éclat de rire et après avoir remis une
tenue décente, nous avons rejoins la foule des invités. Ma femme et moi ne
nous quittions plus du regard, une lueur s’était allumée de part et d’autre
et n’était pas prête de s’éteindre. Nous allions commencer une nouvelle vie.
C’était comme si nous étions amoureux pour la seconde fois.
Après cette nuit magique, nous nous sommes endormis dans les bras l’un de
l’autre comme au temps de nos premiers amours. Il devait être 11 heure le
lendemain lorsque ma femme me demanda :
– Et si nous allions prendre le thé chez Véronique cet après-midi ? J’ai
hâte de voir mon nouvel esclave à l’œuvre.
Je lui ai répondu avec un sourire complice :
– Oh oui Maîtresse Médusa. Il sera fait selon vôtre bon plaisir.
Elle m’expliqua alors ce quelle attendait de moi. Je devais
m’habiller complètement en femme. Elle avait acheté à mon intention toute la
panoplie nécessaire. Elle avait choisi des trucs très sexy. Une longue jupe
mis longue entièrement fendue sur les deux côtés. En dessous une paire de
bas, jarretelles et culotte de dentelle assortie. En haut, un soutien gorge
à balconnet, rempli pour l’occasion de faux sein en résine. Ils auraient pu
paraître vrai au touché tellement c’était bien fait. Par dessus, un
chemisier transparent qui ne cachait rien du soutien-gorge. Même une
perruque avec de longs cheveux blonds. Une paire de chaussures à talons.
C’est sûr, j’allais me casser la figure avec ces ustensiles. Après le dîner,
elle m’a habillé, puis maquillé. Du rouge à lèvre rouge vif qui mettait en
valeur mes lèvres charnues, du fard à paupière mauve. Et même un peu de fond
de teint sur les joues. Elle semblait très fière du résultat. Elle m’a
demandé d’attendre une demi heure dans le salon et puis de monter à l’étage
chez Véronique. La demi-heure passée, j’ai entrouvert la porte pour
m’assurer que personne ne montait ou descendait les escaliers. Et je suis
monté sonner à la porte de Véronique. J’étais déjà venu plus d’une fois et
ce n’était pas avec beaucoup d’enthousiasme. Je sais maintenant que
Véronique et ma femme faisaient tout pour me dégoutter de rester de sorte à
pouvoir s’adonner à leurs petits jeux. Mais aujourd’hui c’était différent,
j’étais excité comme un puceau et l’après-midi promettait d’être torride.
C’est Véronique qui est venue ouvrir. Elle m’a fait la bise comme si j’étais
une vieille copine en me disant :
– Entre Bérengère, notre Maîtresse nous attends !
Ca y est, le jeu commençait et j’allais être Bérengère la salope pour le
reste de la journée. Ma femme nous attendait dans le salon. Les meubles
avaient été poussés pour faire de la place. Un grand plastique recouvrait le
sol. Ma femme a mis la chaîne hi-fi en route et puis s’est adressée à nous :
– Mes chéries, vous allez me faire le plus beau show de danse érotique que
j’ai jamais vu ! Exécution !
Nous avons commencé à bouger au rythme de la musique en caressant nos corps
au travers de nos vêtements. Lorsque nos mains s’attardaient sur le sexe de
l’autre, on gémissait en simulant l’orgasme. Véronique s’était mise à quatre
pattes, croupe offerte et je simulais l’acte de pénétration. Comme je
bandais sec sous mes vêtements, mon sexe frottait malgré moi celui de
Véronique qui maintenant ne simulait plus du tout et commençait à gémir pour
de vrai. Ma femme, ayant repéré notre manège, arrêta la musique :
– Et bien mesdames, on n’est pas capable de se tenir en public ! Très bien,
je vais encore devoir sévir !
Nous avons répondu en cœur :
– Oui madame !
– Très bien. Bérengère, viens te mettre sur mes genoux !
Ma femme était assisse sur une chaise et je me suis mis à plat ventre sur
ses cuisses. Elle a relevé ma jupe sur ma tête pour découvrir mon
postérieur. J’ai pris la fessée de ma vie, même étant gamin je n’en avais
jamais reçu une pareille. Sa main claquait sur mes fesses, j’avais le cul en
feu mais j’aurais voulu que ça ne s’arrête jamais. Le fait de recevoir une
fessée par une femme est déjà un acte excitant en soi, mais lorsque c’est
votre propre femme qui le fait c’est le summum. Elle repris :
– Vas dans le coin et attends que je te rappelle. Véronique, à ton tour.
Du coin où j’étais, je ne voyais rien de la scène j’entendais juste les
coups résonner dans l’appartement et Véronique gémir comme un animal en rut
!
– Bérengère, reviens ! Mettez vous à quatre pattes devant moi.
Ma femme venait de passer des gants en latex qu’elle a enduit de margarine.
Elle s’est placée derrière nous et s’est servie de ses deux mains pour nous
introduire un doigt dans l’anus. Je regardais Véronique, elle avait les yeux
clos et un sourire de bien être accroché à son visage. Au fur et à mesure de
notre masturbation rectale, elle ajoutait un doigt. Ma femme a des petites
mains, si bien qu’au bout de plusieurs minutes j’ai senti que ça s’enfonçait
beaucoup plus loin dans mon cul. J’ai tourné la tête et j’ai vu que sa main
entière entrait dans l’anus de Véronique et j’en déduis que ça devait être
pareil pour moi. Ma femme m’a vu et :
– Regardes devant toi ou je m’arrête tout de suite !
J’ai répondu
– Non maîtresse, surtout pas. C’est divin !
Je n’avais jamais rien ressenti de la sorte, le bout de ses doigts frôlait
ma prostate et cela générait en moi des nouvelles ondes d’un plaisir
jusqu’alors inconnu. Au bout d’un moment, Je ne sentais plus cette main qui
me sondait, juste mon plaisir qui montait en intensité. Par contre la
margarine ça chauffe vachement et les bords de ma rosette étaient à présent
douloureux. Ca aussi ce n’était pas un choix dû au hasard. Elle nous a fait
jouir une première fois comme cela en n’oubliant pas de nous engueuler pour
la forme parce qu’elle ne nous en avait pas donné l’autorisation. Après
avoir jeté les gants dans un sac, elle nous a fait mettre à genoux les bras
derrière le dos et attachés aux mollets par des menottes à quatre bracelets,
face à face, distant de quelques 25 centimètres. Elle a sorti des pinces à
vis équipées d’anneaux pour accrocher des poids. Elle a mordillé mes tétons
pour les faire durcir puis elle m’a placé une paire de pinces. Elles étaient
équipées d’une vis sans fin pour resserrer l’emprise. Elle a serré la vis en
tirant sur la pince de temps à autres pour s’assurer que ça ne se
détacherait pas facilement. Ca me pinçait, j’en avais le souffle coupé et je
ressentais comme des petites décharges électriques. Elle a suspendu un poids
de chaque côté. Ce n’était pas des poids habituels, Ils avaient le fond plat
et noir. Elle a fait pareil chez Véronique. Elle avait en main un objet
métallique terminé par un manche avec un bouton. Elle a tendu cet objet
juste au milieu de nous deux et a appuyé sur le bouton. Les poids se sont
levés à l’horizontale, irrémédiablement attiré par le manche de métal. Dès
qu’elle relâchait le bouton, les poids retombaient en balançant. Ca faisait
mal, mais j’aimais beaucoup cela. Ce supplice était ingénieux, les poids
étaient en fait équipés de gros aimants et lorsque le bouton du manche
métallique était activé, le manche devenait un électro-aimant. Elle mis le
feu à nos seins encore pendant un petit moment, se délectant de notre
surprise. Je n’avais jamais rien vu de pareil. Elle m’expliqua que c’était
un prototype venant de Norvège et qu’on pourrait bientôt en trouver dans
tous les bonnes sex-shops. Elle avait d’ailleurs l’intention d’en offrir un
à Gwen pour qu’elle s’amuse avec moi.
Au bout d’un moment elle se lassa de ce petit jeu. Elle nous a détachés,
mais pour moi cette liberté de mouvement n’était que très provisoire. Elle
m’a mis une cagoule en latex, et à la place de ma bouche, il y avait un
gode. Là où le gode se rattachait à la cagoule, il y avait des trous pour
pouvoir respirer. Seul le nez était à l’air libre, un orifice était prévu à
cet effet dans la cagoule. Elle m’attacha à nouveau les mains dans le dos
avec des menottes. Elle passa ensuite une cordelette autour de la base de
mon sexe qu’elle serra fortement et ensuite autour de mes testicules. Elle
attacha une corde autour de mes chevilles pour les bloquer l’une contre
l’autre. Elle la passa ensuite autour de la chaîne des menottes et tira pour
amener mes mains contre mes mollets. Une dernière corde servit à
m’emprisonner complètement les bras comme dans un cocon. Je ne pouvais plus
bouger, j’étais de nouveau à sa merci. Elle ordonna à Véronique de se mettre
à quatre pattes devant moi, les jambes écartées, les fesses dans ma
direction. Puis elle devait marcher à reculons pour venir empaler son petit
cul sur mon sexe tendu. Véronique s’exécuta et commença des mouvements de va
et vient. Ma femme à sucer goulûment le gode de ma cagoule comme s’il
s’agissait d’un vrai. Elle a craché plusieurs fois dessus et puis elle s’est
caressée l’abricot pour qu’il se lubrifie un peu. Elle est venue se placer
au dessus de Véronique en prenant appui de ses bras tendus sur les épaules
de son esclave, jambes écartées de par et d’autres du fessier qui me
martelais le bas ventre. Elle a saisit le gode et en tirant dessus, la
dirigé droit sur sa vulve :
– Baises moi !
J’ai entamé des mouvements rythmés d’avant en arrière avec ma tête. A chaque
pénétration, mon nez butait sur son anus, le pénétrant légèrement.
– Véronique, retournes toi et suce cette salope maintenant !
Véronique ne s’était pas privée pour se pénétrer en profondeur et devait
maintenant le regretter car elle devait prendre en bouche ce sexe qui
sortait droit de son tréfonds. Mais apparemment, mon sexe était resté
propre.
– Détaches la corde et pompes le jusqu’à ce qu’il jouisse !
Ma femme avait maintenant dirigé le gode vers son oeil de plomb. Et c’est
tout en l’enculant que j’ai jouis sans retenue dans la bouche de Véronique.
Après m’avoir à nouveau libéré, ma femme décida qu’il était l’heure de se
rafraîchir un peu. Elle demanda :
– Qui à soif ?
Véronique fût plus rapide que moi :
– Moi, Maîtresse !
Elle ordonna à Véronique de se mettre à genoux et à moi de me coucher sur le
dos la tête entre les jambes de Véronique. Véronique s’était relevée
légèrement et son sexe n’était qu’à quelques centimètres de ma bouche. Son
sexe était trempé et le parfum qu’il dégageait était un délice pour les
sens. Ensuite elle se plaça au dessus du visage de Véronique. D’une main,
elle écarta ses lèvres vaginales et de l’autre elle appuyait sur son bas
ventre. Je compris de suite ce qu’allait être se rafraîchissement et je me
maudis de ne pas avoir répondu le premier. Je commençais à apprécier le
champagne doré et boire à la source de ma femme m’excitait énormément. Un
premier jet à éclaboussé le visage de Véronique puis le précieux liquide a
coulé à flot dans sa bouche grande ouverte qui avalait par petite gorgée
comme pour mieux apprécier ce divin nectar. Si bien que le liquide débordait
de sa bouche pour glisser sur son corps nu en suivant la vallée naturelle de
ses seins et poursuivant son chemin par delà son mont de venus terminant sa
course sur les lèvres de son sexe. Comme j’étais juste sous son sexe, le
liquide terminait sa course folle sur mon visage. Finalement, j’étais mieux
placé que je ne le pensais et j’ouvris moi aussi la bouche pour récolter ce
breuvage délicat. Une fois le torrent calmé, ma femme invita Véronique à la
lécher jusqu’à la dernière goutte. Elle m’autorisa à faire de même avec le
sexe de Véronique. Véronique sondait les moindres plis du vagin de ma femme
à la recherche d’une goutte égarée. Une fois certaine qu’il ne restait plus
rien à boire, elle s’attaqua au clitoris de mon épouse. Véronique avait posé
son sexe sur mon visage et se frottait sur ma bouche à la recherche de ma
langue. J’avais par moment du mal à respirer, mais je ne voulais surtout pas
que ça s’arrête. L’idée que ma femme était en train de se faire lécher par
une autre et trouvait ça bon m’excitait au plus haut point. Le sexe de
Véronique était gluant et elle me bavait sa cyprine sur tout le visage. Le
goût et l’odeur me rendaient fou. Mais personne ne se préoccupa plus de moi,
j’étais redevenu un simple objet, juste bon à donner du plaisir au autre sur
commande.
Ce premier après-midi sous l’autorité nouvellement reconnue de mon épouse
fût un régal pour nous tous. J’avais en plus gagné une nouvelle amie dans
l’aventure car Véronique se révélait être très charmante lorsqu’on la
connaissait. Comme quoi il ne faut jamais se fier aux apparences et juger
les gens sans les connaître vraiment. Je commençais une nouvelle vie, c’est
comme si mon couple redémarrait à zéro. Pourquoi avoir attendu si longtemps
avant de nous révéler l’un à l’autre ? Personne ne pourrait répondre à cette
question. Ce qui est sûr c’est qu’il existe encore de nombreux couple qui
traverse la vie classiquement parce qu’ils ignorent la part de mystère qui
sommeille dans leur compagnon. Ces gens auront peut-être ma chance et
finiront par se révéler ou au contraire, ils passeront à côté de ces
plaisirs toute leur vie.
Ainsi s’achève cette folle épopée. Je ne manquerais pas de vous donner très
bientôt des nouvelles de Z et de ses nouveaux partenaires de jeux. J’espère
que ce conte vous a plu, mais qui saurait dire où commence la réalité et où
s’arrête le conte ? Quel part de vérité contient cette histoire ? Fiction ou
confidences déguisées ? Un jour peut-être vous le saurez.
À plus
Pascal G