Tu es très belle !
par Pierre49
– Tu es très belle, lui ai-je dit en la prenant par la main. Suis-moi mon amour, ferme les yeux et laisse moi te conduire à l’étage. Mais que nous arrivait-il ?
Depuis une bonne heure, nous avions été rejoins à la même table de ce restaurant par deux couples. Suite aux échanges sur la température extérieure et la difficulté de rouler sous la neige, la conversation avait tourné rapidement au « badinage » et déjà, dès l’entrée, un des couples avait invité l’autre à les rejoindre dans la chambre qu’ils avaient réservée pour la nuit. L’autre couple n’avait pas semblé gêné par cette invitation et avait répondu par l’affirmative. Cet épisode de ce repas m’avait troublé au plus haut point et je le voyais dans ton regard, c’était également ton cas. C’est vrai que ces deux couples l’un un peu plus âgé que nous et l’autre sans doute plus jeune avaient l’air très « biens sous tous rapports » : bien habillés, pas trop choquant mais pas trop « vieux » jeu non plus, visiblement cultivés, tolérants, et intelligents.
Notre repas touchait à sa fin lorsqu’ils se levèrent de table, et décidèrent d’aller boire le verre de l’amitié dans la fameuse chambre déjà réservée.
En prenant l’escalier, une des deux femmes t’avait lancé :
– Venez nous rejoindre, nous allons bien nous amuser ! Et, s’approchant de ton oreille, elle chuchota suffisamment fort tout de même pour que j’entende : « vous verrez bien…et, vous n’êtes pas obligés de passer à l’action ! »
Cela dit, elle s’était engouffrée dans l’escalier en te laissant bouche bée… cela faisait déjà un certain temps que j’avais remarqué que tu aimais être « draguée », que quand je t’écrivais une lettre ou une histoire érotique (voire carrément hard), cela avait pour effet de te dynamiser dans ton comportement au lit.
J’avais donc saisi immédiatement l’occasion.
– Tu sais ma chérie, cela ne nous engagerais à rien, si ça te déplait on fait demi tour, et « basta »,
– Oui, c’est ce que tu dis mais une fois là-haut, tu vas vouloir rester jusqu’à la fin et tu le sais… je suis jalouse,
– Mais ma chérie, si je te propose de le faire c’est avant tout pour toi, pour ton plaisir, et bien sur c’est aussi pour « pimenter » notre vie de couple. Ce n’est pas la première fois qu’on en parle, mais c’est la première fois que l’occasion se présente.
– J’ai un peu honte de te le dire chéri mais j’en ai un peu envie et terriblement honte, que vont penser les autres gens qui dînent ici ce soir ?
– Tu sais ma belle, on peut s’en foutre royalement de ce que les gens pensent, et puis ils ne savent pas si nous avons réservé ou pas. Viens te dis-je, allons y ensemble, nous verrons bien si cela nous plait et rien ne nous engage à aller plus loin. Tu sais que tu peux compter sur moi si d’aventure il fallait te sortir d’un quelconque « mauvais pas ». Je suis bien dans ma tête et dans mon corps et puis tu sais cela me tente terriblement, de te voir caressée par d’autres mains d’hommes surtout….
Cette discussion avait duré un bon quart d’heure, et doucement tu avais accepté l’idée de rejoindre les deux couples au premier étage. J’étais dans un état « second » non pas « par faim sexuelle » mais surtout parce que tu avais accepté ce que je venais de te proposer et somme toute sans grandes difficultés. J’étais il faut bien le dire « abasourdi » d’avoir réussi à te convaincre aussi facilement, alors qu’en général, pour te convaincre il fallait me monter très persuasif et être très opiniâtre.
Nous commençâmes la montée de l’escalier, toi me suivant sans paraître « bizarre » ni gênée, tu avais ouvert les yeux en grand et tu écoutais attentivement si des bruits « éloquents » parvenaient jusqu’à nous. Il nous fut facile de trouver la chambre car nos compères du dîner avaient tout bonnement omis de la fermer… A moins que cela ne soit volontaire….
Pas très sur de moi, je me suis avancé dans l’entrebâillement de la porte, et une des femmes m’a regardé intensément avec une interrogation évidente dans le regard : la femme est-elle avec lui ? Je compris qu’il fallait que je me pousse car elle ne te voyait pas derrière moi. Ce que je fis immédiatement et son regard s’illumina aussitôt, en même temps elle prononça :
– Regardez qui arrive, vous voyez bien que j’ai eu raison de les inviter à nous rejoindre !
Notre regard fit le tour de la pièce, et, soulagés nous vîmes que nos hôtes étaient vêtus et tout simplement assis devant un verre.
– Que prendrez vous nous demanda l’homme du couple le plus jeune.
Je lui rétorquai que toi tu prendrais bien un peu de ce champagne et que pour moi ce sera un « Perrier ». Ils nous firent deux places sur le bord du lit pour toi et sur un canapé pour moi. Puis nous sommes passés aux présentations tout en trinquant : le couple le plus âgé était composé de Christine et de Bertrand, quant à Sophie et Paul qui avaient à peine quarante ans chacun ils composaient la seconde paire. Tu nous présentas également, ce qui me surpris c’est que tu semblais très détendue et à l’aise pour le faire car tu allas même jusqu’à dire des choses très intimes sur moi et sur nous deux.
Bref tu étais là à « étaler » notre sexualité dans ce qu’elle a de plus intime et présence d’inconnus…
La conversation pris alors un ton très intime et rapidement, les uns après les autres nous pûmes dire ce que l’on attendait de cette soirée. Sophie et Paul nous dirent avoir de temps en temps ce genre d’aventure avec d’autres couples, leur recherche était très simple tout faire à partir du moment que l’on est consentant. Quand à Christine et Bertrand, ils avouèrent n’avoir jamais été jusqu‘au bout, c’est à dire qu’ils s’arrêtaient aux caresses avec les autres couples et qu’ensuite ils faisaient l’amour devant les autres… Christine dit que elle aimerait aller plus loin, se faire prendre devant Bertrand par plusieurs hommes à la suite. Elle ne l’avait jamais encore fait et cela la démangeait de plus en plus…Bertrand lui rétorqua qu’elle pouvait le faire ce soir si elle le désirait que sa recherche à lui c’était le plaisir de Christine et… celui de regarder les autres faire l’amour comme lui aimait le faire devant d’autres couple et surtout devant d’autres hommes.
Je me lançais le premier, je dis que c’était la première expérience pour nous deux et que par conséquent nous avions besoin de compréhension et de tolérance. J’expliquais que c’était moi qui y pensais le plus depuis déjà de nombreuses années mais que parce que je t’aimais comme un fou, je n’avais jamais osé te le dire vraiment ni pensé une seule seconde à te forcer la main ! Pour moi tout était simple, je ne voulais que ton bonheur et que tu prennes du plaisir peu importe la façon d’y arriver, pourvu qu’il y ait de l’amour. J’expliquais également que j’avais le fantasme, très masculin de te voir « possédée » par d’autres hommes ! Cela, je te l’avais déjà dit une fois ou deux mais ça n’avait pas eu l’air de rencontrer un avis très favorable aussi en étai-je resté la.
Quant vint ton tour, tu n’en menais pas large, je voyais dans ton regard une interrogation : que me permet tu ? Cela va-t-il « entacher » ton amour pour moi ? J’essayais de te rassurer avec mes yeux, mais je dois le dire, je souhaitais que tu prennes « ta décision à toi » que tu te prennes enfin totalement en mains sur tes fantasme et envies.
Ce furent Christine et Sophie qui, constatant ton embarras vinrent à ton secours et cela fit tomber toutes les inquiétudes que je nourrissais depuis quelques instants.
Elles te rassurèrent, d’ailleurs elles n’avaient pas les mêmes désirs, tu avais donc le droit d’avoir les tiens toi aussi. Bertrand et Paul te rassurèrent également en te disant combien tu était désirable et belle mais en insistant sur le fait qu’a ta première demande d’arrêter ils s’y plieraient volontiers car leur but était d’avoir, et de donner du plaisir rien que du plaisir. Paul dit même que s’il pouvait nous donner un conseil c’était de ne pas tenter d’aller trop loin dès la première fois. Et chacun chacune de nous affirmer qu’il avait raison, qu’il ne nous fallait pas griller les étapes, qu’au contraire il nous fallait y aller progressivement dans cette découverte d’une nouvelle façon de « vous aimer encore plus » selon les propres mots de Sophie.
Tu leur demandas de préciser ce que les uns ou les autres pensaient de cette proposition, ils se mirent donc en devoir de le faire :
– Contentez vous de nous regarder, nous conseilla Christine,
– Vous pouvez tout de même vous caresser mutuellement dit Paul,
Sophie elle pensa qu’il fallait que, au bout d’un moment, je te pénètre tout en douceur pendant qu’eux en feraient autant de leur côté, Bertrand, lui nous dit :
– Laissez vous aller, venez nous caresser si cela vous chante, ce qui importe c’est que vous laissiez en dehors tout sentiment de jalousie et d’appartenance, détendez vous et laissez vous aller complètement, vous verrez, dans quelques jours quant vous en reparlerez, cela vous excitera au plus haut point.
Voila, j’étais au pied du mur, il me fallait prendre une décision, et toi tu paraissais tellement sereine et détendue que je ne te reconnaissais pas là. Qu’était devenue ma chérie si réservée pendant tant d’années ? Cela ne faisait que quelques mois que tu t’ouvrais, que tu te laissais aller à des confidences de plus en plus intimes avec nos amis. Cela ne m’avait bien sur pas échappé, mais tu changeais à une telle vitesse que souvent j’en restais les bras ballant ! Ta sexualité, malgré que tu aies toujours été ardente et passionnée, tu semblais la vivre de plus en plus sereinement et tu assumais de mieux en mieux tes fantasmes, ce qui pour moi me permettait également de m’épanouir encore plus à ton contact. Ces changements, m’avaient rendus plus confiant en moi et par la même occasion, je m’ouvrais à toi sur mes idées pour le moins « fantasques » pour pimenter notre relation.
A plusieurs reprises, j’avais constaté que au lieu d’un grand discours sur tel ou tel fantasme afin de te convaincre de passer à l’action, il fallait mieux te « forcer la main en douceur ». Ce fut le cas lorsque l’été précédent, nous avions fait l’amour dehors en pleine nature. Quel souvenir de te voir dans la pénombre, les jambes écartées, la chatte béante, et ce regard qui me disais : « … viens prends moi…. Baise-moi… j’en ai tellement envie ! » C’est ce que je fis aussitôt et sans attendre ta jouissance arriva, subitement et tellement forte que tu te retenais de crier en te tordant de bonheur sous mes poussées énergiques et de plus en plus rapides et de plus en plus profondes : comme toi, j’ai joui en moins de 3 minutes…. . c’est court, mais quelle intensité ! Cette fois la encore, après que nous nous soyons, l’un comme l’autre remis de nos émotions tu m’assuras que cela avait été divin ! Décidément, moi qui culpabilisait de n’avoir pas su résister plus longtemps afin que toi tu puisses jouir encore plus, toi tu m’annonçais tout de go que tu n’avais pas réussi à compter le nombre de contractions orgasmiques…. Car il y en avait eu plus de 10 !
Je le sentais bien, il me fallait prendre une décision, d’ailleurs, tu me regardais d’un drôle d’air : détaché, coquin, espiègle. Ceci tout en semblant me dire : alors, tu vas oser ou non ?
Pendant tout ce laps de temps, Sophie s’était approchée de Christine et doucement elle avait commencé de lui caresser la cuisse juste en dessous de la jupette de celle-ci. Paul et Bertrand eux regardaient cette scène tranquillement tout en « sirotant » leur coupe de champagne et en s’approchant des deux femmes afin de mieux voir la jupe remonter un peu plus à chaque aller retour de la main entre le genou et le haut des cuisses de la belle. Le silence était total hormis le souffle des uns et des autres qui se faisait plus fort et cadencé. Ce fut Paul qui le rompit :
– Laisse toi aller ma chérie, montres nous que cela te fait du bien ! Hein Chris qu’elle aime ça ma douce chatte ?
La voix de Bertrand s’éleva rauque, forte et presque saccadée :
– Elle à vraiment l’air d’aimer ça je crois ma chérie que tu devrais l’aider à enlever cette jupe et ce chemisier… elle doit être très belle et je vois que son sous-tif et son string sont minuscules… va y enlève les et fais nous voir comme tu es belle !
Ca commençait à m’intéresser au plus haut point, ma queue se dressait dans mon boxer, je te regardais et dis :
– Et toi ma chérie qu’en penses tu ? On les laisse s’amuser entre eux ou on participe ?
Ta réponse fut immédiate, à croire que tu n’attendais que mon invitation : j’ai bien envie d’essayer, mais promettez moi de ne pas vous moquer… car j’ai terriblement honte….
Christine te coupa la parole :
– Tu sais ma belle, moi aussi j’ai encore un peu honte parfois… mais c’est aussi cela qui me fait recommencer à chaque fois : braver l’interdit…. avec mon mec qui me regardes ou qui en fait autant avec une autre.
Pendant ce temps la jupe de Sophie avait disparu, son chemisier était ouvert et glissait sur ses épaules…
Je décidais de venir près de toi sur le bord du lit, je mis ma main sous ta jupe, remontais le long de la cuisse gauche… stupeur, tu avais déjà enlevé ton string ! J’étais sur que en partant au restaurant tu portais un string car comme souvent j’y étais allé voir en furetant sous ta jupe pendant que nous roulions.
Tu me dis tout bas :
– A force de les écouter, j’avais la culotte toute trempée à table, et quant je suis allée aux toilettes, je l’ai enlevée, pour me sentir plus à l’aise.
Décidément j’allais de surprise en surprise ce soir là, mais je n’allais tout de même pas m’en plaindre ! C’est d’une voix mal assurée que cette fois j’annonçais…
– Hé bien ton string, il est ou ?
Aussitôt, nos quatre compères s’approchèrent, Sophie me dis :
– Vas y relève lui sa jupe, que je voie si je me suis trompée sur elle, j’ai tellement envie de lui voir le sexe…sa chatte que jusqu’à maintenant, aucun autre homme que toi n’a vraiment vu toute trempée d’excitation.
Tu t’es levée, tu as remonté toi-même ta jupe, tu as posé un pied sur le bord du lit et tu à dis :
– C’est vrai aucun homme à par toi mon chéri n’a vu ma chatte toute mouillée, regardez bien…hooo… ça m’excite…. je doit être toute rouge non ?
Tous les cinq, nous étions là à te contempler pendant que toi, les yeux fermés, tu commençais à te caresser les seins au travers de ton tee-shirt, n’y tenant plus Paul, Bertrand et moi-même avons presque d’un seul geste commencé à nous déshabiller. Imagine ma chérie dans quel état j’étais, surpris, n’en croyant pas mes yeux, excité, bandé au maximum, ébahi de te voir ainsi presque à l’aise et presque nue, offerte aux regards de parfaits inconnus.
C’est Christine qui a donné le top départ :
– Allez tous à poils…vous me faites tellement envie que je veux vous voir nus, d’abord les hommes, Clara déshabilles ton mec, moi je vais m’occuper de Paul ! Sophie tu fais ce que tu veux, et toi Bertrand aussi !
La séance de décarpillage commença sous des grognements de contentement et les commentaires de Sophie :
– Dis donc Bertrand, Christine l’a bien dit à table, t’est superbement équipé dis donc… ; Ça mesure bien 15 cm ça madame…
Toi tu à rajouté :
– Je crois bien que tu es battu car regardez, celle de mon Peter ! 17 et demi qu’elle mesure… et il sait s’en servir le bougre… Allez messieurs, en rang, côte à côte, montez chacun sur une chaise…. Qu’en pensez-vous les filles ? Ils ne sont pas mignons comme ça ? Si vous êtes d’accord jusqu’au bout mes chéries, je crois qu’on va en prendre plein nos minous ! Tu permets Clara, que je touche à cet engin ?
Un petit signe de tête de ta part et Sophie me tenait la queue à pleine main devant toi si jalouse il y avait encore si peu de temps !
Et cela allait de plus en plus fort : c’est les yeux écarquillés que je t’ai vue prendre le mandrin de Paul dans la main, te baisser et l’engloutir dans ta bouche, tu lui massais les couilles d’une main et de l’autre tu faisais un lent va et vient sur toute la longueur de la hampe. Tu l’a désenfourné au bout d’un moment, tu as tourné la tête vers moi et tu m’as dit :
– J’ai vraiment envie, maintenant d’aller jusqu’au bout ! Le veut tu mon chéri ?
J’ai répondu, sans hésiter :
– Oui vas y, laisse toi aller complètement, je te promets que cette fois-ci moi je ne ferais pas l’amour avec Christine ni avec Sophie, pour la première fois, je veux te regarder, j’ai envie de te voir prise par d’autres hommes… je t’aime, t’inquiète pas je suis la et je t’aime !
Tu as repris ton doux « suçage », Paul devenait de plus en rouge, son sexe se congestionnait et grossissais à vue d’œil, je t’ai dis :
– Allonge le sur le lit, met lui une capote et viens t’asseoir sur sa queue, si tu le veux, je la guiderais dans ton petit con.
Tu as pris Paul par la main, tu as regardé Bertrand dans les yeux et tu lui à dit :
– Toi aussi ta queue me fait envie ! Mais j’ai envie que tu te branles doucement comme mon chéri avant de venir me glisser ton engin dans la chatte !
Ebahi, j’étais ébahi… Sophie et Brigitte se regardaient, c’est Brigitte qui à dit :
– Je crois bien que pour le moment ma chérie il va falloir que l’on fasse l’amour toutes les deux car Clara à une faim gigantesque et il ne faut pas la priver c’est la première fois et il faut que ce soit une réussite… n’est ce pas les gars !
Joignant le geste à la parole elles se sont mises sur le divan Sophie allongée et Christine à genoux entre ses jambes déjà largement écartées, le doux langage de l’amour à alors commencé entre les deux belles femmes :
– Oui comme ça montre moi ton sexe, doucement…oui… comme ça…encore… hum… ouvre plus… Encore…. plus fort…. f ais moi voir ton bouton…
Je les ai laissées là, je me suis approché du lit, Paul s’est allongé, Je lui ai tendu une capote que je venais d’attraper sur la table basse, d’extirper de son emballage, il l’a mise, je t’ai dis :
– Maintenant Chérie viens au dessus de lui, tiens tes seins… la comme ça… baisse toi en douceur… la tu le sens le bout de sa queue ? … c’est moi qui la dirige vers ton sexe… sens ma main qui tiens cette belle bite bien dure et bien droite. Dis lui Paul, Dis lui que tu as envie de sentir sa chatte chaude et humide autour de ton pieu…
Paul : ho oui, j’en ai envie, dis moi Peter elle aime se faire limer comment ?
Moi : en douceur, tu la ramones sur toute la longueur doucement…. 20 à 30 fois… Puis tout en le lui disant, tu lui mets 9 ou 10 coups très rapides et de plus en plus profond… en général elle aime ça et elle jouit très vite, très fort et longtemps.
Clara : oui…oui…ça fait déjà du bien de t’entendre lui dire ce qu’il doit me faire, s’il te plait mon chéri… viens au près de moi et masse moi les seins…humm ! Tu peux te branler à fond si tu veux…ho oui la… fais le devant moi….
Moi : et voila, la, doucement, descends, oui comme ça, remontes…. Puis, constatant que tu commence à t’emballer, je te freine en disant à celui qui se tiens la queue raide et immobile : à toi Paul, lime la en douceur…. la comme ça …encore…encore…ralentis… tu aimes chérie…. la maintenant il va te prendre vite et de plus en plus en plus loin… la vas y …. hooooooo ! Moi j’y tiens plus… j’ai envie de juter mon sperme sur toi…
Toi : les filles regardez… regardez le il va éjaculer… va y branle-toi…. hoooo…. oui…oui…. ça fait du bien…. Je jouis… encore… Là, ça y est je sens ton jus de couilles sur mon dos. ;…que c’est bon…HAAAAAAAAAA !
Paul : j’en peux plus… moi aussi je viens… Oui …. C’est bon… attends…
Il s’est retiré, tu lui à enlevé sa capote et tu l’as repris en bouche …. Inouï, je venais d’éjaculer et ma queue restait droite comme un I en regardant un tel spectacle…. Derrière les cris des deux femmes suivaient… vas y met moi tes doigts comme moi….
Tu as retirée la hampe de Paul de ta bouche, ta main s’est mise à le branler de plus en plus vite et c’est par longues saccades qu’il s’est répandu sur son torse, son visage et l’oreiller…
Bertrand t’a dit :
– J’ai envie de te « monter » en levrette veux tu ?
Tu n’as pas demandé ton reste, tu t’es agenouillée par terre abandonnant celui qui venait de te donner bien du plaisir et avec une telle intensité.
Il est venu se mettre juste derrière, lui avait déjà enfilé la protection obligatoire…il à pointé le bout de son vît entre tes lèvres béantes, et humides, et d’une seule poussée lente mais irrésistible j’ai vu son mandrin entrer en toi… le bonheur… enfin je voyais encore un autre homme te prendre, et cela se voyait sur ton visage… ça te faisait rayonner de plaisir… Lui ne s’est pas posé de question il à entamé une série de petits coups juste à l’entrée de ton puits de bonheur entrecoupés de longues fortes et amples poussées jusqu’au plus profond de toi… . Là ma chérie tu ne parlais plus, tu criais des choses incompréhensibles, tu « feulais » tu remuais les fesses et… . le seul mot intelligible qui sortait de ta bouche était. . Encore… encore… Je me suis remis à me masturber, je me suis approché de Sophie et de Christine qui continuaient à se lécher, se mettre les doigts dans la chatte et ailleurs… et rapidement j’ai senti la sève monter… monter dans mon engin dur, droit presque douloureux… Elles m’on vu, on cessé leurs jeux et Sophie à tendu la main vers ma queue, Christine elle s’est contentée de me caresser le torse… là pour la deuxième fois en moins de 30 minutes…j’ai éjaculé en longs spasmes mon sperme s’est répandu sur les seins de Christine… Et toi, oui toi qui n’avait vraisemblablement rien raté de cette scène, malgré le « limage expert » de Bertrand, toi tu m’à dis :
– Vas y chéri éjacule leur dessus…ça me fait jouir…. Si tu savais comme je jouis… Viens auprès de moi, caresse moi, embrasse moi … et toi Bertrand vas y : met moi ta queue plus fort…… plus vite…… encore…. haaaaaaaaje jouis c’est bon…… c’est bon…… hooooooo que c’est bon !
Quelques instants, et le silence est revenu….
C’est Sophie la première à parlé, elle à dit :
– Hé bien pour une première c’est une première…. Ou je n’y connais plus rien de rien…et son rire cristallin à rempli la pièce suivi de près par les notre.
Un bonne douche ensemble, la porte de la grande cabine ouverte, nous nous sommes savonnés les uns les autres, palpés, touchés, comparés (du style tes nichons sont plus petits que les miens, ou, dis donc ton mec il est sacrément bien monté est ce que il baise à proportion ?) Bref des propos, des gestes simples, sans équivoques, avec beaucoup de respect et d’amour.
Puis nous nous sommes rhabillés les uns et les autres, nous avons siroté un verre assis dans le canapé, serrés les uns contre les autres, avant de nous dire au revoir tout en prenant date pour la prochaine fois !
Ce récit à eu l’honneur d’être prix « Spécial Partouze vassilienne » pour 2008
Ce récit a reçu un prix ? Le jury devait avoir abusé sur la vodka, car enfin pour ce qui est du contenu on se croirait chez Marc Dorcel, tellement c’est classique, une partouze, certes avec quelques attouchements chez les dames, mais on chercherait en vain quelques pratiques anales, ou quelque fantaisie comme on les aime sur ce site. Bref ça n’a rien de vassilien, à mon sens Quant au style c’est une catastrophe.
Effectivement ! On a du le lire trop vite à l’époque 😉