Trop gros, le gode par Rebecca_1


Bonjour, je suis Rebecca, j’ai 24 ans aujourd’hui (c’est mon anniversaire), très brune, assez grande et on dit que j’ai des beaux yeux.

Nous étions samedi. David mon copain était allé faire des courses à Paris et ne rentrerait que le soir. Je suppose que quand il rentrera, il m’emmènera au restaurant, à moins qu’il me concocte un petit repas surprise à la maison. On verra bien.

Après avoir tout rangé dans la maison et fait le ménage à fond, je me posai dans le fauteuil du salon pour souffler un peu. Rien à la télé ! Je pris un DVD au hasard dans le « coin érotique » de notre filmothèque. C’était un film gay : deux jeunes hommes assez fins se retrouvaient assez rapidement complétement nus et commençaient à se sucer la bite. Je ne sais pas pourquoi David achète ces trucs là car il ne fantasme pas sur les hommes ! Soit disant pour me faire plaisir.

Le gars sur l’écran a une jolie bite et celui qui le suce est un pro de la sucette. J’adore voir une belle bite se faire sucer par un mec, mais bien sûr j’attends le moment fatidique où l’un des deux va introduire sa queue dans le cul de l’autre et l’enculer en cadence.

Je décidai donc de m’offrir un petit plaisir (après tout, n’était-ce point mon anniversaire ?) Je me déshabillai complètement et je pinçai le bout de mes seins en les étirant, les faisant tourner. Je les empoignai à pleine main, les massai fermement, sensuellement. Tout en continuant de me triturer les tétons je descendis une main vers ma chatte et je commençai à la frotter avec toute ma main, seulement en surface. Puis je rentrai un doigt, frottant les parois de mon intimité, puis j’en rentrai un deuxième. Je continuai ce mouvement pendant au moins vingt minutes. Et puis trouvant que deux doigts n’étaient pas assez gros, je pris la bouteille de bière à côté de moi et je commençai à la faire pénétrer doucement, de plus en plus profondément. Je commençai un mouvement de va-et-vient vraiment enivrant, je me tordis de plaisir, des cris commençèrent à sortir, l’orgasme arriva accompagné d’un cri de malade…

Et c’est à ce moment que je me suis rendu compte de l’heure : David allait bientôt revenir. Et comme je commençai à me rhabiller, j’entendis la clé tourner dans la serrure, il vint vers moi, m’embrassa tendrement. Il remarqua la télé allumée avec le film gay qui continuait à défiler.

– Pourquoi tu regardes ça ?
– Pourquoi tu l’as acheté ? Rétorquai-je
– C’était dans un lot !
– Tu parles !
– Bon, j’ai des choses à t’offrir, assieds-toi dans le fauteuil et ferme les yeux.

Je le fis sans attendre et me retrouvai avec un emballage cadeau que je m’empressai d’ouvrir. Je déballai le paquet et ce que je découvris me surprit… c’était un énorme gode, beaucoup plus gros que la bouteille de bière. Il me dit :

– J’aimerais que tu l’utilises ce soir, mais ce n’est pas tout, je t’ai aussi acheté une robe.

Il la sortit, elle était en latex vert forêt.

– Je vais t’habiller pour sortir ce soir. On va aller au restaurant. Bon essaie ton nouveau jouet, maintenant !
– Mais on sort ou on ne sort pas ? J’ai du mal à suivre…
– Si, si on sort, mais essaie le truc !

Alors je commençai à le faire entrer, mais il était si gros que j’avais du mal à le faire mais j’y parvins néanmoins. C’est à ce moment-là que David actionna la télécommande. Le machin se mit à vibrer. Je lançai un cri très puissant de surprise, n’étant pas habituée à avoir si gros en moi. Il me tendit un string.

– C’est pour être sûr qu’il reste où il est.

Je l’enfilai mais il était trop petit. David m’aida mais la corde rentra complètement entre entre mes fesses.

– Bon maintenant, essaie ta robe. J’entrai mes jambes dans la jupe mais je fus incapable de la remonter jusqu’à la bonne hauteur. Davida m’aida mais je protestai du fait qu’elle était trop serrée.

– Non, ça se porte comme ça !

Alors on attaqua le haut du corps. Les bras passèrent difficilement dans les manches mais le pire ce fut lorsqu’il referma la glissière du dos… Cela lui prit plus de vingt minutes. J’avais du mal à bouger, étant tellement serrée et surtout parce que j’avais aussi le gode en moi depuis plus d’une demi-heure.

– Tu es vraiment superbe ! s’exclama David

La robe serrait mes seins, mon postérieur était littéralement écrasé et rebondi. Cette robe était tellement étroite qu’on pouvait penser qu’il s’agissait d’une seconde peau. Nous sortîmes donc toute la soirée avec en moi l’énorme gode. Au restaurant, il désactionna la télécommande mais la réactiva en boîte. Je lachai des cris de temps en temps car j’eus plus de cinq orgasmes durant toute la soirée. Nous rentrâmes cinq heures plus tard.

Alors que je commençais à enlever le string pour pouvoir retirer le gode, il m’arrêta :

– Ne l’enlève pas tout de suite car je veux te faire plaisir.

Il releva le bas de ma jupe sur le dessus et me dit :

– Je vais t’enculer pendant que le gode continue à vibrer

Il entra alors tout lentement sa queue en moi, de plus en plus profond. Et il commença à me ramoner le cul avec force et intensité, de plus en plus rapidement. Je commençai à jouir comme une folle mais lui il continua quand même en augmentant encore la cadence. Je criai comme une damnée, je ne pus arrêter. Alors il me cracha sa semence dans mon cul tout rouge de plaisir. Je me retournai et je vis sa bite ramollie.

– Suce moi on va remettre ça !

Je le pris donc en ma bouche et commençai à sucer sa bite qui déjà grossissait, je me servis de ma main et le branlai lentement, lui laissant le temps de grossir puis de plus en plus vite. Il commença à aimer cela même un peu trop et lorsqu’il me dit qu’il allait venir je lui pinçai le prépuce pour qu’il garde encore plus longtemps sa semence. Je repris alors sa bite en bouche, avec un mouvement de va-et-vient de plus en plus intense et je serrai les lèvres du mieux que je pus, augmentant sa sensation. Il me vint en plein visage. J’avalai tout sans en laisser une goutte.

– Tu peux enlever le gode maintenant !

Ce que je fis. Mon trou était maintenant étiré au maximum. Il le prit et commença à y lécher tout le jus qui s’y était déposé. Il me demanda alors si je voulais qu’il me le rentre le gode dans le cul.

– Tu es fou, ça ne rentrera jamais !
– Si, on va essayer !
– Bon, j’ai dit non !
– Ça ne coûte rien d’essayer ! Insista-t-il lourdement.
– J’ai dit non, et c’est non !
– C’est dommage !
– C’est peut-être dommage mais c’est comme ça, j’ai encore le droit de dire « non », à ce que je sache !

Il ne me répondit pas. Je m’inquiétai un peu quand je le vis enduire le gode de lubrifiant. Je n’étais pas du tout décidée à me laisser faire. David posa le gode verticalement sur le sol et commenca à s’empaler dessus !

– Et bien dis-moi, qui c’est qui t’a préparé le cul pour que cette grosse chose te pénètre aussi bien ?
– J’ai eu ma chérie, quelques aventures homosexuelles avant de te connaître.
– Et tu ne m’en avais jamais parlé !
– Je n’en avais pas eu l’occasion.
– Hummm ! Tu sais ce qu’on va faire ? Dans deux mois ce sera ton anniversaire à toi, je vais louer les services d’un jeune homme qui t’enculera avec sa grosse bite devant moi. Tu es d’accord ?
– Mais bien sûr, ma chérie.

Rébecca

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3 réponses à Trop gros, le gode par Rebecca_1

  1. François26 dit :

    Faudrait pas penser que plus c’est gros plus c’est mieux ! Cela dit ce texte n’et pas si mal

  2. Orlando dit :

    Pas mal mais ça mériterait une suite, celle annoncée par l’auteur.

  3. darrigade dit :

    Original et finalement assez excitant surtout la fin

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