Travesti à Toulouse par Marc31

Super ton site, bravo. Suis de la région de Toulouse, fana de travesti
(pas plus loin pour le moment). J’adore les femmes et les bites pas encore
les mecs. Seul une partouze entre mecs pourrait me faire fantasmer. Je
t’envoie un petit récit vécu et toujours à l’ordre du jour. Tu peux donner
mon mail si certains de la région de Toulouse partagent les mêmes goûts.
encore super ton site
A+ pour peut être d’autres histoires

En ballade sur le net, présent sur un chat intitulé  » trans31 « , j’ai obtenu
le n° de téléphone d’un travesti recevant en studio et dont les prestations
étaient nettement au-dessus de la moyenne.
Très attiré par ce fantasme, je décidais donc de me renseigner
Je téléphonais donc au numéro indiqué.
– Allô, je désirerais des renseignements sur vos prestations.
– Il s’agit de massages très érotiques avec la finition que vous désireriez.
– Oui d’accord, mais puis-je profiter de vous ? M’occuper de votre corps ?
– Bien sûr, je ne suis pas la dernière à refuser des caresses.
Elle me donna l’adresse, en précisant que je n’avais pas besoin de
rendez-vous, qu’elle était présente de midi à 19h30 environ. J’étais très
excité, il était 14h30, je pris donc mon véhicule et me rendit dans la rue
indiquée. Je me garais à quelques pas de là et remontait la rue jusqu’à son
adresse. Je sonnais à l’interphone.
– oui
– je vous ai appelé tout à l’heure …
– oui j’ouvre, à gauche, porte du fond à gauche.
La clenche électrique vibra, je franchis le seuil et me rendis devant la
porte.
Elle m’attendait déjà, la porte entrebâillée.
Je rentrais donc dans un studio luxueux, très attiré par ce nouveau contact.
Je n’avais prêté attention à elle. Je la vis devant moi, grande, brune aux
cheveux courts, maquillée sans outrance, petits seins nus remontés par des
balconnets, longues jambes gainées par des bas
noirs. Mon regard se dirigeât sur sa culotte, charmante, blanche à
dentelles.
Elle comprit de suite.
– déjà petit cochon tu veux voir ma queue ? Déshabille-toi, met tes affaires
là et allonge-toi.
Me tournant le dos, elle retira sa culotte, et mit en marche un magnétoscope
qui commença à diffuser sur une télé grand écran un film porno ou quatre
transsexuels jouaient à touche pipi sans retenue. Les gros plans de ces
sexes, de ces culs et ces seins me firent bander. Je commençais à me
caresser la queue et les couilles.
– Hé doucement chéri, ça c’est mon boulot, met-toi sur le ventre.
Elle se mit à genoux sur moi et commença à me caresser le dos, les reins.
Ses mains étaient douces et je ressentais un plaisir réel. Elle s’écarta un
peu et continua ses massages sur mes fesses et mes cuisses. Elle m’écarta
légèrement les jambes. Ses doigts glissèrent entre mes fesses, me caressant
l’anus et la base des couilles. J’étais aux anges. Elle s’enduit les mains
d’une huile odorante et continua son massage en introduisant dans mon cul un
puis deux doigts, tout en douceur.
– Tu aimes qu’on s’occupe de ton petit cul… On y reviendra, mets-toi sur le
dos.
Je m’exécutais, le film porno qui passait à la télé, ne m’intéressais plus
du tout, je la regardais, elle. Son sexe était de belle taille mais il ne
bandait pas. Le mien par contre de taille modeste était dur et pourpre, le
gland entièrement découvert. Elle le prit dans sa bouche, me frôlant les
couilles avec ses doigts. Elle suçait divinement, en fait, elle ne me suçait
pas, elle me léchait la queue, le gland puis les couilles.
– J’ai envie de te sucer aussi.
– Bien sur, tu veux être dessus ou dessous ?
– Egal, on tournera après.
Elle se mit dessus, j’avais maintenant à portée de ma bouche ce sexe que
j’allais engloutir entre mes lèvres, je pouvais voir aussi ses deux belles
fesses ouvertes et son petit trou noir à dix centimètres de mes yeux. Je
pris son sexe dans ma bouche le décalottant complètement et commença à téter
son gland, lui caressant les couilles et l’anus avec ma main. Son sexe
durcit mais ne prit pas du volume. Maintenant elle bandait dans ma bouche.
Je la suçai avec application, elle gémissait. Elle continuait à me sucer
aussi, me massant l’anus avec ses doigts.
– Tu veux baiser ? Où je te suce à fond ?
– Donne-moi ton cul
– Tu préfères quelle position ?
– Encule-toi sur moi
Elle me mit une capote qu’elle enduit de gel, se mit sur moi mais pas à
genoux, accroupie seulement et commença à se caresser le trou avec mon
gland. Elle rentra ma queue. Son étui était chaud et humide. Elle me demanda
de ne pas bouger, elle allait tout faire.
– Tu me finiras en levrette j’adore ça, mais laisse moi commencer à me faire
du bien à ma cadence. Elle commença les va-et-vient, je la branlai
doucement. Sa queue était raide J’avais envie de jouir de suite mais je me
retenais en pensant que j’allais la sodomiser en levrette.
– viens baises-moi fort en levrette.
Elle descendit du lit, se mit à quatre pattes face à la glace qui ornait un
placard :
– Encule-moi, baise-moi à fond, jusqu’aux couilles mais prend ton temps,
j’aime que ça dure
Le trou était bien ouvert, je rentrais et sortais complètement, lui écartant
les fesses pour mieux voir ma queue la prendre. Le spectacle était
magnifique, j’allais pas pouvoir tenir longtemps ; Je jouis bien à fond en
essayant de rentrer au maximum.
– vas-y met moi tout, continue, baise-moi plus fort, explose mon cul
Je sortis en continuant à écarter ses fesses, son trou restait bien ouvert,
je regardais ma queue et tout ce jus retenu par la capote.
– Tu baises bien, j’ai envie de jouir aussi.
– Tu veux m’enculer aussi ? (J’étais un peu vidé, et n’avais pas trop envie,
mais….)
– Non, je n’arrive pas à jouir comme ça, gode-moi en me suçant.

Elle sortit un gode d’un placard et me le tendit, se recoucha sur le dos,
jambes écartées
– Vite viens
J’introduisis le gode dans son cul. Il n’avait rien de phénoménal mais de
bonne taille quand même, je pris sa queue dans ma bouche et la suçais
– Plus vite dans le cul.
J’accélérais. Elle se cambra soudainement, donna un coup de rein pour
rentrer le gode à fond et sa queue déchargea tout son jus dans ma bouche.
Elle gémit longuement. Je buvais tout, pressant le bout pour ne pas perdre
une goutte.
– Embrasse-moi
Je montais à sa hauteur et l’embrassa, nos langues se partageant la semence.
– Tu peux venir quand tu veux, mais viens plutôt le soir vers 19h, à la
fermeture. Les prochains clients de l’après-midi ne vont pas avoir grand
chose à se mettrent sous la dent. Tant pis, c’était trop bon. Je la quittais
ravi, en pensant à mes prochaines visites.
Je vais la voir souvent, et chaque visite est différente (on oublie un peu
les massages). Bien sur, rien n’est gratuit, mais malgré l’argent ça reste
le meilleur coup que j’ai connu avec un trav. (Vers 19h évidemment).

Marc31 marc31@amusetoi.zzn.com

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Une réponse à Travesti à Toulouse par Marc31

  1. TransMonique dit :

    Un simple compte rendu

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