Trans-formation 1 – la rencontre par alamour

Trans-formation
par alamour


« Quel bonheur ! Je suis aux anges ! Depuis le temps que j’attendais ce rendez-vous amoureux ! La seule condition avancée par Sandra : accepter tout ce qui me serait proposé, mais je suis prêt à repousser toutes les limites pour coucher avec elle. »

J’étais dans un état d’excitation extrême en quittant le bureau. Après des mois de patientes demandes, discrètes au début, beaucoup moins sur la fin, et les interminables refus de Sandra, je venais d’obtenir de ma chef de service l’acceptation de passer un week-end amoureux, sous certaines conditions que j’avais acceptées sans toutefois les connaître…

J’étais ponctuel à l’heure du rendez-vous, fixé le soir même chez elle. Au lieu de me souhaiter la bienvenue, elle m’a bizarrement regardé de la tête aux pieds, puis m’a lancé :

– Il va falloir te changer, Marie-France, ta tenue ne me plaît absolument pas.
– Oui, Sandra, répondis-je sans comprendre pourquoi elle m’avait appelé Marie-France au lieu de mon prénom qui ne montre d’habitude aucune ambiguïté sur ma masculinité.
– Voici la liste de l’équipement que tu devras mettre pour me rejoindre. Tout ce dont tu as besoin est dans la salle de bain. Tu as 45 minutes exactement pour te préparer.

Elle m’accompagna vers la salle de bain et attendit patiemment que je lui tende l’intégralité de mes vêtements, sans un regard pour mon sexe qui montrait toute l’attirance que Sandra soulevait chez moi.

– Trois quarts d’heure, en respectant scrupuleusement la liste, pas une minute de plus ou de moins, sinon tu repars à poil ! dit-elle en refermant la porte.

La lecture rapide que je fis de la liste en question me stupéfia. Une rapide inspection dans la malle qui trônait au milieu de la salle de bain me prouva qu’il n’y avait pas d’erreur : Sandra voulait me transformer en femme. Après une brève hésitation, ma décision fut prise : je ferai tout, absolument tout pour plaire à Sandra. Je la connaissais depuis six mois comme chef au bureau et elle m’attirait physiquement plus qu’aucune autre depuis toujours. En tout début de liste, étaient écrits de la belle écriture de Sandra les mots « Vernis à ongles ». Je trouvais dans la malle un vernis de couleur marron très foncé que je m’empressais de passer sur les ongles des mains. Le mot ne le précisait pas, alors j’ai préféré ne pas déplaire à Sandra en vernissant également mes orteils. Le temps du séchage, je détaillais la liste : peu de vêtements en vérité. Juste une paire de bas, une culotte et une nuisette. Je jetais avec appréhension un œil vers l’horloge. J’avais encore le temps.

Lorsque j’eus enfilé les bas résille noirs autofixants ainsi que la petite nuisette du même tissu, je me sentais un autre, une autre, devrais-je dire. Absolument pas gêné de me travestir ainsi, excité plutôt de changer mon apparence avec de tels apparats féminins. Le problème, avec le string, noir lui aussi, d’une matière aussi douce que la soie, fut que mon sexe ne trouvait pas sa place dans ce minuscule bout de tissu. La seule solution était de le laisser, bien dressé comme il se présentait depuis mon entrée dans l’appartement, à la verticale, dépassant largement de l’élastique du bord du string.

Les mules, qui laissaient apparaître mes orteils vernis, ce que je commençais à trouver du plus bel effet, étaient à ma taille. Ainsi chaussé des mules, j’étais plus grand de huit centimètres, ce qui allait me mettre pratiquement au même niveau que Sandra qui était bien plus grande que moi. Après avoir positionné une perruque aux cheveux blonds mi-longs, je m’aperçus qu’il ne restait que 15 minutes et deux lignes dans la liste : « bijoux » et « parfum ». Après m’être aspergé de Chanel N°5, j’ouvrais la boîte à bijoux bien garnie que Sandra m’avait laissée. Je choisis des bagues pour tous les doigts de la main gauche. Pour la main droite, une parure avec deux bagues reliées avec des chaînettes au bracelet assorti. De longs pendentifs d’oreilles en clip dorés, un collier et une chaîne de taille en maille traditionnelle, eux aussi dorés. Pour les jambes, je dus ôter un de mes bas provisoirement pour fixer un bracelet de cheville et glisser un anneau argenté à un orteil.

Ainsi équipé, je profitais des deux minutes qui restaient pour m’admirer sous toutes les coutures devant un grand miroir à trois faces. L’effet était saisissant, j’étais devenue une femme et ça me plaisait. A la seconde prévue, la porte s’ouvrit, alors que je tentais de réajuster mon engin qui refusait de tenir derrière un si frêle élastique.

– Alors, je vois que tu te plais habillée comme ça, Marie-France. Il restera quelques détails à rectifier, mais tu deviens acceptable. J’accepte une bise.

Alors que je m’approchais d’elle pour l’embrasser timidement sur la joue, elle m’enlaça, me plaqua à elle. Nos deux bouches ne firent plus qu’une. Nos langues s’enlacèrent. Ses mains se plaquèrent vigoureusement sur mes fesses. Alors que je tentais le même geste, Sandra siffla :

– Ce soir, tu ne me touches pas. Tu es ma chose, ma poupée d’amour. Pour le reste, on verra demain.

Qu’il était difficile de ne pas caresser ce corps magnifique habillé comme moi, mais en blanc. Les bas, la nuisette, le string et les mules étaient blanches. Seuls ses ongles étaient laqués en rouge carmin. J’osais un timide :

– Sandra, je t’aime…
– Tais-toi, ce soir, tu te laisses faire, je m’occupe de tout. D’abord, allons dans la chambre, nous serons mieux.

Les murs et le plafond étaient recouverts de miroirs. Il était impossible, quelque soit la direction du regard, de ne pas nous apercevoir à moins de fermer les yeux, ce qui ne risquerait pas de m’arriver, sinon de bonheur. Après m’avoir allongé sur le bord du lit, Sandra me débarrassa de ma culotte et couvrit de baisers le dard qui devenait de plus en plus congestionné. Elle le saisit d’une main ferme et commença un lent va-et-vient. Elle approcha sa bouche charnue et de ses lèvres assorties au vernis à ongles aspira délicatement l’objet de ses désirs.

Je dus faire de grands efforts pour ne pas éjaculer immédiatement. Elle le sentit et abandonna le pénis pour s’occuper des testicules qu’elle caressa tendrement avant de laisser sa main droite se glisser plus en arrière. Sa main gauche, qui alternait ses caresses entre les deux globes de mes fesses, vint se glisser dans la raie, rejoignant la main droite dans une recherche, un tâtonnement qui finit par trouver son but : mon petit oeillet. Un doigt joua à tapoter cet endroit sensible qui finit par s’entrouvrir. Du coup, le doigt en profita pour pénétrer cet endroit encore vierge. La sensation était nouvelle, étonnante, et extrêmement agréable car empreinte de douceur. Son doigt avait sûrement été préalablement enduit de salive ou d’un gel lubrifiant puisqu’il effectuait sans contrainte des va-et-vient qui amplifiaient ma stimulation.

– Je vais te faire un cadeau, annonça fièrement Sandra. Tu devras le garder aussi longtemps que je te le dirai.

Je ne pouvais répondre que par un grognement affirmatif tant mon désir était fort. C’est alors que je vis le cadeau : un anus picket de bonne taille, préalablement lubrifié qui luisait à la lueur des savants éclairages de la pièce. L’introduction d’un tel engin ne se fit pas sans causer quelques étirements et une douleur qui occasionna une légère perte de rigidité au niveau de mon sexe. Après l’étirement maximal, mes sphincters se relâchèrent autour de la partie plus étroite du picket, emprisonnant ainsi dans mon intimité une masse qui dépassait largement celle d’une verge moyenne.

L’effet d’être ainsi rempli était transcendant. J’étais au paradis. Chaque fois que je faisais un geste, je sentais le picket qui bougeait en moi. Sandra décida de me changer de position, faisant passer mes jambes par dessus ma tête. J’ai eu peur que la pression oblige le picket à sortir, mais il était bien maintenu. Sandra s’est saisi de mon sexe qui reprit vite vigueur. Elle me masturba très vite et très fort pendant quelques minutes jusqu’à ce que je sente l’orgasme monter. Elle serra alors très fort à la base du gland alors que j’éjaculais très fortement. Sandra me dit d’avaler le sperme. J’ouvrais la bouche et tentais de saisir les giclées qu’elle dirigeait vers mon visage. Alors que les spasmes s’arrêtaient, je vis Sandra lécher chaque goutte de sperme que je n’avais pas avalée. Par un baiser profond, elle me les rendit ensuite car, dit-elle, j’en aurai besoin très bientôt.

Nous nous endormîmes dans les bras l’une de l’autre après un « je t’aime » mutuel. Je me félicitais de cet amour partagé qui promettait de futures découvertes érotiques agréables.

A suivre…

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