The Gilded Grape Premiere fois avec travesti par Ralph C

The Gilded Grape
Premiere fois avec travesti
par Ralph C

“The Gilded Grape” aussi connue simplement comme « GG », était une discothèque très branchée à New York vers la fin des années 70. Située sur la 8ème avenue et la 45ème rue, près de Times Square, GG était en plein milieu du quartier chaud de New York de l’époque.

Les soirs d’été, la 8ème avenue était pleine de filles, noires, blanches et asiatiques, qui faisaient le trottoir, surveillées de près par leurs macs, les « pimps », en général des noirs baraqués, souvent féroces. Ils roulaient dans de grosses voitures décapotables, les « pimpmobiles » et faisaient constamment le tour des lieux pour assurer la protection à leurs filles et pour vérifier qu’elles étaient bien en train de travailler.

Parmi les filles, il y en avait de très grandes, souvent les plus court vêtues et les plus sexy qui préféraient les alentours de la 45ème rue. C’était des travestis. La discothèque Gilded Grape était leur boite préférée.

Avec quelques copains, nous allions de temps en temps nous amuser au GG. Le GG avait la meilleure ambiance du coin et la meilleure musique. Il y avait aussi pas mal de vraies filles qui fréquentaient le GG, donc nous pouvions nous donner une image «100% hétéro », chose importante à 20 ans.

Nous étions quand même assez timides et avions l’habitude de rester près du bar, à siroter une bière, à écouter la musique et regarder le spectacle. Les travelos, en général, restaient entre elles. Pendant les années 70, on gardait tout de même une certaine réserve.

Un soir de juillet, la boite était très chaude. Ils avaient organisé un spectacle de danse avec les plus belles travelos. Sur la scène, on voyait danser des créatures de rêve. Au fur et à mesure que la soirée avançait, le spectacle devenait plus osé – les travelos faisaient du strip-tease, montraient leurs jambes, leurs seins, leurs fesses mais gardaient quand même le g-string.

Je me sentais de plus en plus excité par leur sensualité. Enfin, une des travelos, plus défoncée ou plus courageuse que les autres que les autres, termina son strip-tease en enlevant son string…sur un rythme frénétique brésilien…Elle gardait son sexe bien caché entre les cuisses, on aurait vraiment dit une femme. Tout d’un coup, dans un mouvement brusque, elle desserra les cuisses et nous montra son sexe. Nous étions fascinés, le contraste entre un corps parfaitement féminin et un sexe de garçon était excitant et mystérieux.

Le spectacle terminé, la musique reprit et on commença à danser. Je vis une jolie fille métisse, couleur café au lait, et je l’invitai à danser. Comme elle était sympathique nous avons continué à danser un long moment sur des musiques de rock et salsa. Au bout d’un moment, le DJ changea de musique. Il mit un slow lascif. Je pris ma partenaire par la taille et nous continuâmes à danser. Elle était très souple, très fine et je me laissai tenter à la tenir de plus en plus près de moi.

La musique était sensuelle, lente. La fille se laissait faire, décidément elle promettait.

Je l’embrassai sur la bouche, elle me retourna le baiser et nos langues se roulèrent quelques patins. Je sentais son parfum envoutant.

Elle portait une robe décolletée, avec des « spaghetti straps ». J’apercevais ses petits seins, dont les pointes étaient très visibles à travers le tissu fin. Je commençai à lui caresser le dos nu et à caresser sa peau douce. Elle m’enlaça plus fort.

Il faisait assez noir et j’avais les mains baladeuses : je laissai glisser mes mains plus bas vers ses fesses. Elle avait les fesses rebondies, fermes. Elle se laissait faire, donc je continuai, et commençai à lui palper doucement le derrière…cela avait l’air de lui plaire. J’aurais même dit qu’elle m’encourageait à aller plus loin.

Elle m’excitait, je commençais à bander. Elle m’enlaçait de très près et j’eus l’impression qu’elle était heureuse de sentir la bosse dans mon pantalon. Je pris ses fesses franchement dans mes mains et nous continuâmes à danser. Mes mains tenaient ses fesses, elle bougeait au rythme de la musique. Tout d’un coup, ma main était au milieu et je sentis quelque chose d’étrange, une petite bosse…C’était ses couilles, très serrées dans sa petite culotte et ramenées en arrière, dans la raie du cul.

Ma partenaire, si féminine, était un travelo.

Au premier moment, je fus choqué. Mais sa sensualité et mon excitation furent plus forts. Nous continuâmes à danser. Elle avait compris que j’avais compris son secret. Elle esquissa un sourire timide et chuchota une question « cela te gêne ? »

Je répondis « En fait, pas du tout ». Je me rendais compte qu’elle m’excitait beaucoup.

Apres quelques danses de plus, nous passâmes au bar. Elle était charmante, plus gracieuse et féminine que beaucoup de vraies nanas.

Il se faisait tard. Elle me dit qu’elle rentrait à la maison. Je m’offris à la raccompagner et elle accepta avec plaisir. Elle habitait assez près. En marchant, il me sembla très naturel de la tenir par la main.

Nous sommes vite arrives chez elle, un « brownstone » dans la 44ème rue, vers la 9ème avenue. Elle m’embrassa. Elle avait une bouche très sensuelle et nous nous roulâmes des patins pendant une bonne dizaine de minutes.

Tout naturellement elle me demanda si je voulais monter prendre un verre. Bien sûr, je fus d’accord. Dans l’escalier elle montait devant moi, ses jambes étaient magnifiques.

Arrives chez elle, nous nous sommes servis des petits verres de liqueur à la lueur d’une petite lampe. Assis sur le canapé, nous avons siroté l’alcool tout en nous embrassant.

Je lui caressais le dos, les jambes, je ne pouvais plus me tenir. Elle se leva et tout naturellement, dégrafa sa robe et la laissa tomber par terre. Elle ne portait pas de soutien, car ses seins étaient petits. Elle était habillée uniquement d’une petite culotte noire très serrée et des sandales a très hauts talons, qui montraient ses jolis pieds, dont les orteils étaient vernis rouge vif. Elle avait un corps magnifique.

Je l’admirais et mon excitation était visible. Elle s’approcha et s’installa par terre devant moi. Elle m’ouvrit la braguette et mon sexe surgit, très dur. Elle me prit dans sa bouche, avec abandon et enthousiasme. Elle était la meilleure suceuse que j’avais rencontrée et ce fut la meilleure pipe de ma vie.

Elle ne me fit pas jouir tout de suite. Elle me demanda si j’avais envie de faire l’amour. J’en mourrais d’envie. Elle s’approcha, debout. Comme j’étais reste assis sur le canapé, son pubis était devant moi. Il était tout à fait féminin. Je commençai à lui retirer la culotte, j’étais très excité a l’idée de voir son sexe de garçon, emprisonne a l’arrière de ses jambes. Celui-ci était petit (je compris plus tard que c’était la conséquence des hormones), mignon.

Elle se mit en levrette sur le canapé et guida ma bite vers sa chatte anale. La pénétration fut assez facile, et je m’émerveillai à la volupté de baiser un trou étroit, bien serré.

Ce fut ma première fois avec une travelo…la première de beaucoup de rencontres.