Tant va le Temps…Tant va le Cul… 31 – Le final… par Verdon

Tant va le Temps…Tant va le Cul… 31 – Le final… par Verdon

Aujourd’hui c’est le grand jour.

C’est le retour de Charles.

Juliette n’est pas trop au courant, ça va être la surprise. On va faire une superbe fête pour accueillir son chéri qu’elle attend avec impatience, prête apparemment à lui accorder tous ses désirs, à s’ouvrir entièrement à lui, à se soumettre à tous ses vicieux plaisirs qu’elle lui refuse jusque-là et dont, avec Ernestine nous lui avons donné le goût.

Si elle est prête la Juliette, elle n’en est quand même pas moins inquiète. Elle a fait des essais avec Ernestine. L’intromission d’un godemichet dans son petit trou ne s’est pas fait sans mal. Mais avec beaucoup de doigté, Ernestine lui fait du bien. Sûr qu’au début ça brûle, mais peu à peu, elle apprend à détendre sa rondelle.

Quelques tapes sur le cul et de bons petits coups de langue sur la muqueuse déclenchent des ondes de plaisir et ‘hop’ c’est le trou mignon qui se défrise et le minou qui part en crue !

Aussi, vous savez bien : quand ça mouille, ces Dames, vous ne les retenez plus. Ça vous remue le cul et le gode qui frétille à l’entrée du paradis charnel, pénètre en douceur, laissant la receleuse épatée avec la bouche autant ouverte que le trou de balle.

Sacrée coquine, ça lui plaît, même que le soir elle se taquine la foufoune avant de se foutre gaillardement le petit chose, dans l’anus. Ça lui procure d’intenses jouissances. Elle jouit en tendant son derrière en espérant bientôt des pénétrations plus viriles. (toutes les mêmes, ces coquines…d’abord ça fait la moue et après ça vous tend le cul !…).

Finalement, un gode, c’est un bon compagnon. Ça fait tant de bien par devant, alors après une bonne éducation, pourquoi pas une bite, par derrière ! Aussi je lui dis :

– Eh bien te voilà bientôt prête à recevoir ton Chéri, ma cochonne…ça fait du bien par où ça passe… n’est-ce pas que tu vas lui offrir ton petit trou à ton Mari ?
– Oh oui ! je le veux, je l’attends, j’ai envie de lui !… Mais où est-il, j’ai besoin de lui, je veux le sentir s’introduire profondément dans moi !
– Ne t’impatiente pas, il n’est plus très loin, on va bien te préparer pour le recevoir. On va te faire toute belle. Il va te falloir être bien sage pour ne pas le décevoir. C‘est que lui aussi il t’attend. Ça fait trop longtemps que vous ne vous êtes pas aimés. Il doit être affamé d’amour ton pauvre chéri !

(Mon œil !…Vous pensez bien qu’il n’est pas homme à se priver de baise ne fusse qu’un seul jour, le salaud ! Alors en attendant il ne se passe pas un soir sans qu’il se saute un petit cul par ici ou par-là !…et d’ailleurs, vous l’avez remarqué, je suis là pour l’aider…il faut bien garder la forme !).

La soirée va être chaude. Rosette s’est chargée de préparer la fête. Elle s’y connaît en bonnes réunions de famille. Elle a invité son fils Adrien, Alias Cocotte, un bon petit pédé de vingt ans qu’elle a éduqué elle-même, et qui a un cul…Je ne vous dis pas !

Il y aura Violette, oui la pisseuse, dont vous avez eu déjà l’occasion de faire la rencontre au cours de mes bavardages précédents. Mariette aussi sera présente, la fameuse boniche qui frotte les tapis sur lesquels ses patrons se roulent comme des cochons. Elle est au service de tous les invités. Ainsi, de ces soirées très spéciales, aucun de ces Messieurs et Dames ne sort avec le cul malpropre. Elle fait cela si bien, qu’elle a droit elle aussi de la part de ces Messieurs, à de sérieuses gratitudes en monnaie sonnante et trébuchante… ( mais il n’y a pas que dans son porte-monnaie qu’elle trébuchent ces gratitudes…demandez à son cul !….Oups !).

J’allais oublier Harold, le vieil oncle de Juliette. Il a la biroute en drapeau depuis longtemps, mais c’est un suceur expérimenté, et avec ses grosses moustaches il plaît beaucoup aux nanas qui adorent se faire chatouiller la pacholle et le trou du cul (Humm ! J’aime moi aussi…et vous ?…).

Enfin, bien sûr je serai là. J’arriverai avec Charles, qui fera la surprise.

La réunion va se passer dans une vieille grange perdue au fond d’une forêt et qui appartient justement à Harold très heureux de pouvoir recevoir tout ce beau monde :

Juliette, Ernestine, Rosette, Harold, Violette, Cocotte Adrien, Mariette, Charles, Moi.et deux palefreniers sylvain et Victor et Malborough le cheval…

On est au mois d’Août il fait chaud et dans la cour coule une fontaine avec un grand bassin d’eau claire et fraîche. Les invités vont pouvoir s’y détendre après leur dure journée de plaisirs et s’y rafraîchir les idées en y trempant leur cul.

Rosette, Violette et Mariette sont là de bon matin pour préparer le repas et aménager la grange. Elles ont dressé une grande table et des bancs pour recevoir une douzaine de convives. Autour de cette table elles ont déroulé de lourds tapis destinés sans doute à adoucir quelques bonnes pratiques très honorables dans le courant de l’après-midi et de la soirée. Au fond du hangar traînent un ou deux sofas destinés à épouser le corps de celle ou de celui qui s’y allongera dans une position favorable pour de joyeux ébats.

Harold veut donner à la fête une allure de mariage avec un cachet d’ancienne époque.

Il arrive en fin de matinée, dans une calèche tirée par un superbe étalon dont il tient les rênes.

Assise à sa droite, Juliette rayonnante mais intimidée, est donc habillée comme une jeune mariée (ça va de soi…). À côté d’elle, Ernestine fait figure de Reine-mère, et se frotte non sans convoitise contre Harold… on dirait la maman et le papa qui mène leur fille à l’église… et quelle ‘Eglise’ !

Debout à l’arrière de la calèche, se tiennent deux palefreniers chargés, à l’arrivée d’aider les passagers à mettre pieds à terre, puis de s’occuper du cheval. Ce sont deux gars costauds, assez rustres. Pas très dégauchis, mais apparemment bien éduqués, ils accomplissent leur service avec empressement. Mal rasés, paluches noueuses et langages châtié, ils n’ont rien de très engageant mais leur petite odeur de mâles en rut, ça en impose aux Dames qui, vous vous en doutez, ont la chatte qui s’affole lorsque ce genre de parfum leur taquine les narines ( les cochonnes !).
Tout ce petit monde se réunit dans la grange et Juliette est accueillie comme une reine.

Rosette a mis sa robe des grands jours. Poitrail opulent prêt à s’exhiber au moindre de ses mouvements et robe longue et bouffante par-dessus d’un cul imposant qui semble mal à l’aise dans ce tas de chiffon, et ne va pas tarder à prendre l’air.

Violette, sans culotte, sous sa robe fendue laisse apercevoir une chatte velue luisante de pisse (eh oui quand on est pisseuse !…), tandis que Mariette trépigne déjà en bougeant son petit cul dont sa jupe très courte ne cache en rien la superbe beauté.

Chacun se congratule, s’embrasse, se touche, se bécote et félicite la jeune ‘Mariée’.

C’est à ce moment-là que j’arrive avec Charles. Fiers et pimpants tous les deux, on est habillés en gentlemen. Derrière nous, dans une tenue mi-demoiselle, mi-arlequin, c’est Adrien (Cocotte) qui caracole, sautillant, guilleret comme un fou du Roi. Olé, olé, engoncé dans un collant très serré il laisse deviner une paire de fesses fermes et étroites. Je lui passe la main au postérieur, il cherche les mêmes amabilités avec Charles qui n’a d’yeux que pour Juliette. Il se rabrouer et se prend une claque retentissante sur le cul, ce qui le fait trébucher et valdinguer entre les jambes de nos deux palefreniers.

Ces deux derniers le saisissent à bras le corps

Ils le soulèvent en lui plantant une main dans la raie du cul, cherchant avec un doigt à lui pénétrer l’anus à travers le tissu.

L’étoffe craque, le falzar se déchire et la tantouze se retrouve à poil, bijoux de famille en perdition devant l’assemblée qui s’en fout car Charles a rejoint Juliette qui saute amoureusement dans ses bras.

Il y a un escalier en bois, Charles l’emprunte, la future mariée est à son cou, il grimpe sur la table. Debout, ils se serrent et s’embrassent dans un langoureux et très long baiser. Tout le monde applaudit.

Le baiser n’en finit pas. Leurs ventres se frottent.

Les deux mains sur les fesses de son amoureuse retrouvée, Charles remonte doucement le tissu et dévoile à l’assemblée, les jambes de la jeune femme gainées d’un collant blanc.

– Plus haut !…Plus haut !… s’écrient les amis qui commencent à s’exciter et veulent en voir davantage.

Tout en lui relevant complétement la robe, il lui fait faire un tour sur elle-même, afin de la faire admirer par les invités.

Le cul nu de la Belle apparaît dans toute sa magnificence, sans culotte mais encadré d’une jolie jarretière. Elle a la fesse frissonnante et la raie du cul souriante.

– Ooooh !… tout le monde clame… Encore… à poil !

Je m’avance derrière Juliette, je dégrafe dans son dos les boutons de son bustier et laisse le soin à son promis de détacher brusquement et entièrement le vêtement nuptial qui n’a rien dessous. L’ensemble glisse au sol en libérant le corps fabuleux de la jeune femme. Elle reste accrochée à son cou, les seins écrasés contre sa poitrine.

Tout en ignorant les autres, ils continuent leur très long baiser. Elle relève ses jambes l’une après l’autre en soulevant ses fesses, pour les mettre en valeur en ouvrant sa raie du cul et dévoiler insolemment aux amis, le carrefour de ses amours.

– Regardez, mes salauds, le cul qu’elle se paie ! s’écrie le brave Harold…

Passant derrière Charlot, je détache son froc qui tombe sur ses chevilles. Il a le cul nu lui aussi et une putain de pine à faire défaillir tous ses invités.

Je défais les cheveux de Juliette. Ils tombent en désordre sur ses épaules et ses seins. Elle s’agenouille aux pieds de son époux. Soumise, la bouche ouverte, elle contemple le joli cadeau et prend ses roustons entre ses mains. Quelles sont lourdes ses couilles !

Figée devant ce superbe sexe bandé comme un bambou, on peut lire sur son visage une grande émotion, de l’envie de l’hésitation et le désir d’aller plus loin, de faire plaisir à son amoureux et d’en profiter.

Alors je les incite à se rapprocher.

Saisissant le joli membre je le présente dans la bouche de l’amoureuse (il faut tout leur apprendre à ces jeunots !…).

Une main sous les couilles de Charlot et l’autre derrière la nuque de Juliette, j’oblige la jeune femme à absorber tout entier le bel engin…(le geste est solennel !…). Elle l’avale, tout en roulant les yeux blancs d’une affamée.

Je relâche ma pression. La bite s’échappe, baveuse et noueuse. Elle la rattrape aussitôt, et elle la reprend en bouche. Elle suce la Chérie…Bon sang ce qu’elle suce bien ! Elle a le rose aux joues, du bonheur aux yeux, de la mouille au minou et contourne le gland avec sa langue.

De la façon dont elle s’y prend, on sent qu’elle aime ça. Elle tripote les couilles de son amoureux, enfile ses lèvres sur la tige, à fond, la ressort, lui grignote le gland, puis remet ça.

Lui, de plus en plus excité, passe ses mains derrière la tête de sa suceuse et avec de puissants va-et-vient, il enfourne sa bite au fond du gosier féminin.

Elle est surprise, s’étouffe à moitié. Elle lui jette un regard à la fois de colère et d’abandon, mais elle comprend que l’excitation de son amant est à son comble et que rien ne l’arrêtera maintenant, sauf la jouissance.

Ça l’excite elle aussi et elle serre davantage ses lèvres sur le gros membre, ce qui déclenche une violente éjaculation et l’inondation de son gosier.

C’est chaud, c’est une crue qui envahit son palais. Elle en avale une partie, il s’en échappe aux commissures de ses lèvres et par ses trous du nez…elle s’étouffe !

Il la baise en bouche comme on baise en vagin, à grands coups de nœud et à fond jusqu’aux couilles et en lui serrant la tête, comme une brute, le salaud ! (on est tous pareils, plus rien ne nous retient dans ce cas-là !).

Alors il se vidange, entièrement, en poussant des cris…

– Tiens prend ça, ma salope chérie… mon amour… ma p’tite gueule d’amour !… ma suceuse adorée !… ma videuse de couilles…

Puis c’est la fin. C’est le calme. Il se retire légèrement. Vide ses dernières gouttes. Instinctivement elle serre encore ses lèvres pour bien essorer le bon tuyau.

Elle revient doucement sur terre. Elle déglutit, souffle et sourit… finalement elle s’en sort bien ! Elle a bien passé la première épreuve… elle en est même très fière, son homme s’est bien contenté !… elle lui a bien vidé les couilles !

D’ailleurs, il est tout heureux. Certes un peu fâché de l’avoir tant bousculée la pauvre, mais satisfait de son exploit, il la prend dans ses bras, l’embrasse à pleine bouche. Elle ne se rétracte pas. Au contraire, elle ouvre ses lèvres, laisse entrer la langue de son fougueux amoureux. Ils partagent la bonne semence. Ils se consomment. Il la câline, la flatte, lèche ses joues, ses yeux, descend jusque sur ses tétons où perle le nectar.

– Oui mon Chéri, je t’aime… tu es très fort !…Tu es bon !

Pendant qu’ils terminent leurs délicieuses ablutions, les autres, excités comme des puces, se tripotent à qui mieux mieux au tour de la table.

Ils sont tous à poil et l’on ne peut compter les doigts dedans les culs, les bites qui se font sucer, les Dames qui se gouinent…

Alors je joue au Grand Prêtre :

– Elle est à toi, je dis à Charles, à toi pour le meilleur et pour le pire. Vous avez partagé ta liqueur d’homme. Elle va t’aimer, te servir et s’offrir à toutes tes jouissances. Tu lui rendras son amour sans compter…Tu honoreras ses creux d’amour jusqu’à l’épuisement.
– Tu lui feras connaître l’amour universel, les joies dans le partage, les mâles jouissances et le vice entre femmes…Le bonheur en somme !
– A toi, je dis à Juliette, tu seras Femme avec lui, amoureuse docile, soumise et quelque fois, maîtresse pour l’ombre d’un plaisir. Tu aimeras ses vices, ses amis, ses maîtresses, tu n’auras de refus qui puisse le contrarier de te faire plaisir.

Maintenant on se livre à la cérémonie du mariage proprement dit. Ça consiste à les faire se baiser devant tout le monde.

Accrochée à son cou elle plante ses chevilles dans le dos de son chéri, elle gémit, elle se colle contre lui et soudain elle pousse un grand cri… arcboutée sur le ventre de Charlot, le buste cabré en arrière, la tête renversée… les seins au plafond et les tétons bandés comme des glands de chêne, transpercée par le glaive d’amour, elle jouit…

Elle jouit bruyamment, dans le silence impressionnant de toute l’assemblée qui assiste figée à la sublime cérémonie de l’accouplement.

Les hanches soutenues par les mains de Charles, clouée par son énorme sexe qui la baise…. cheveux et bras ballants… elle se meure la jeune femme, elle se meure d’amour, de jouissance, d’encombrement charnel.

Courbé sur elle, il achève maintenant sa copulation. Entre ses jambes, vues d’arrière, on peut voir les grosses burnes de ce mâle tout puissant. Entre ses grosses fesses musclées, apparaît en toute beauté son trou du cul d’airain, apparemment peu frileux et joliment forgé, sans doute par quelques autres mâles bien disposés pour si belle ouverture. (bon mais ce n’est pas le moment de palabrer sur les foutreries de ce brave, juste au moment de la concrétisation de son mariage avec Juliette… chaque chose en son temps !… après tout les bonnes affaires pourront reprendre par la suite…).

Quand il la libère, elle s’effondre la bienheureuse… elle échappe au solide vireton et s’affaisse lentement, écartelée sur un sofa douillet disposé là par quelques mains bienveillantes…

Son minou ruisselant, les bras ballants et les seins raplapla, elle sourit. Et comme si elle en doutait, elle passe une main dans sa chatte gluante et la porte à sa bouche…

– Qu’il a bon goût, mon homme, se dit-elle en se suçant les doigts.

Charles, encore debout, la pine ramollie et gluante, balance ses dernières et abondantes giclées de sperme sur les seins et le ventre de la mariée en extase…

Soudain, dans ce silence assourdissant…

Un cri… un petit cri qui monte, prend de l’ampleur, explose en plainte ou peut-être en jouissance….

C’est le cri de Cocotte (oui, Adrien !) qui se prend dans le cul, la bite d’un des deux palefreniers ( laissez-moi vous dire que ce n’est pas coton, une bite pareille !)… elle souffre la tantouze… ça ne rentre pas tout seul, mais un grand coup de rein et la voilà enfilée comme agneau sur barbecue ! (ben elle l’a cherchée…non ! !).

Bon, ce n’est pas ces quelques trémolos de tapette en chaleur qui vont pour autant couper l’appétit de tous ces braves gens attablés maintenant, pour partager un bon repas préparé par Rosette qui se vante, bien sûr, d’avoir pissé dans la marmite et laqué les saucisses dedans son trou de balle !…mais, passons…

Bien sûr avant de commencer il faut arroser le bel événement. Charles et Juliette prennent bien soin de pisser dans un broc en cristal. Il faut les voir tous deux uriner bruyamment et sans toucher les bords du goulot évasé. Le joli vase se remplit d’un philtre doré et parfumé et dans lequel on peut voir surnager encore quelques larmes d’amour.

Après en avoir rempli toutes les coupes, Charles lève la sienne et tout en enserrant sa compagne, il s’écrie :

– Vive la Mariée et levons notre verre, à nos Amours et à nos foutreries.
– Vive les Mariés, s’écrie l’assemblée, avant de déguster goulûment le délicieux breuvage.

(Cocotte accoure, les fesses ruisselantes, et il ne lui faut pas moins de deux coupes pour reprendre des forces !).

En fait de forces, le bon repas de pisse et de saucisses a tant encombré le giron de nos hôtes que les voilà tous affalés et entassés sur les tapis, à moitié endormis, baillant, pétant, dormant et cherchant vainement à se ragaillardir en se tripotant, comme des poulpes dans la cuvette du poissonnier.

Ensuite les uns et les autres s’en vont pisser dehors ou chier des étrons qui fusent joyeusement de leurs ronds fondements, sous les regards cupides de cochons patentés.

Mais s’il y en a un qui ne dort pas, c’est bien notre ami Charles qui debout se branle le paquet de mariage. Il bande le Monsieur. Il bande comme un pendu, la verge verticale, le gland fanfaronnant et les couilles aussi dures qu’un avocat pas mûr.

Il est fier le Charlot. Avec sa main droite, il se branle lentement. Il tire son prépuce, dégage le gland, violacé comme une prune. Il fait glisser ses doigts le long de la tige turgescente. Sous ses jambes écartées, de l’autre main, il tâte ses roustons lourds et bouillonnants. Il est fier de ses couilles le Monsieur.

– Putain ! Quel bonheur, quelle fierté, quelle forme ! Ah mais où es-tu ma chérie ?
– Je suis là mon amour…je t’attends !

Et oui elle l’attend, là, accroupie sur un large boudoir placé tout exprès sur la table par des mains charitables. Elle l’attend dans une position on ne peut plus provoquante. Courbée, le cul relevé et la tête enfoncée dans un oreiller moelleux.

Guidée par Violette et Mariette qui lui écartent les fesses, Ernestine enduit de crème le trou mignon de Juliette qui pousse un petit cri !… ( et oui, on connaît tous cela… ce petit cri divin, mi- douleur, mi- plaisir que poussent ainsi nos Dames faussement effrayées de prendre en cet endroit un doigt si insolent mais tellement fripon !).

Elle relève la tête en gémissant et là, autre surprise elle se trouve face à Charlot, agenouillé devant elle et qui lui présente un engin monstrueux !

– Oh mon Chéri ! Que tu es beau !
– Oh oui ma Belle, je suis à toi… veux-tu de moi ?
– Oui je te veux ! Mais que c’est gros !
– Si peu, voyons !…et bien moins que mon amour !…Et tu me veux comment ?
– Oh comme tu le désires…. Sur le dos, je t’en prie !
– Mais par où sur le dos ?
– Par… en bas…. par l’anus, mon choux…
– C’est-à-dire… dis le moi… par où !.. .on n’est pas chez le docteur, ma chérie…
– Par le cul mon amour ?
– Dis-le-moi autrement de façon poétique… peut-être !
– Oh oui, je veux que tu m’encules !… ( ben oui…n’est-ce pas là une expression très poétique mes amis ?).
– Que je t’encule Chérie !… Comme une salope !
– Oui je veux être salope, ta bonne Salope mon amour !

( ça y est, il va l’avoir sa Salope…et elle le veut bien…il est heureux le brave homme !).

Alors dans sa bouche grande ouverte, il enfonce sa pine le Charlot, elle le suce grassement.

– Oui suce-moi bien, ton cul te remerciera ! (c’est ce qu’il pense, mais il ne le dit pas…).

Et il se relève pour se placer derrière elle….

Courbée, par déférence elle glisse sa tête entre les cuisses d’Ernestine qui s’est calée devant elle afin de l’aider à soutenir le choc qui va bientôt venir. (en effet, vous toutes ou tous qui êtes passés par là, dos courbé, cul offert, vous savez quelle émotion ça fait !…humm !).

C’est que maintenant son petit cul sans défense fait face aux prétentions vigoureuses de son amant qui bande derrière elle. C’est évident elle va y passer !…Elle ne voit rien mais elle va le sentir !

L’instant est pathétique. Le sexe énorme se présente devant le sublime petit orifice rose, qui balbutie de crainte ou d’impatience (allez donc savoir…) et de nouveau un immense silence entoure les amoureux, quand…

– Ouille… Ouille !… Ouah !… Humm !…

Mais qu’est-ce encore ces cris qui viennent du fond de la grange, comme tout à l’heure…

Des cris plus tendres apparemment, plus jouissif, plus longs et gouleyants… des cris glissants… des cris de jouissance…

Mais, c’est encore cette putain d’Adrien, la Cocotte de ces messieurs, qui se prend une nouvelle dose avec l’autre palefrenier…Nom d’un chien !… (C’est plus doux, ça passe mieux, c’est normal au deuxième rappel !).

Il (ou elle) prend son pied la tapette !

– Encore… encore ! Putain c’est bon !

Il est gonflé l’Adrien de se faire emmancher juste au meilleur moment où Charles va gentiment flatter la rondelle de sa Chère compagne !

Quoique ce dernier n’en a rien à foutre. D’ailleurs ça l’excite plutôt. Les mains crispées sur les fesses de Juliette, il les écarte et pose ses lèvres sur le médaillon rose pour lui barboter du bout de sa langue son anus mignon.

Puis il dépose son gland sur la rondelle humide, prêt à pénétrer ce petit trou tant désiré. Il sait bien qu’à part quelques doigts et de bons godemichets, le petit opercule n’a jamais été visité par un sexe. Il sera le premier. Mais bon sang qu’elle est fine cette rondelle! Elle va jouir la Belle. Il va bien falloir qu’elle l’ouvre son cul… c’est pour la bonne cause… nom de dieu ! Elle frémit.

Alors il pousse le salaud. Elle se rétracte… bloquée aux épaules par la bonne Ernestine, elle serre les fesses… il la tapote… il pousse de nouveau… elle se tend…

Penchée sur elle, Ernestine lui flatte encore les fesses, puis lui ouvre la raie du cul pour aider le bienfaiteur à entrer là où il faut… (elle est comme ça Ernestine… toujours prête à rendre service… rentrer une pine dans un trou de balle, ça l’excite…elle sait y faire… et j’en sais quelque chose !… Hi !, hi !).

Saisissant la bite à pleine main, elle la retire, crache sur le gland et hop, la remet au boulot.

Alors Charles pousse un peu plus et … Flop !… Elle accepte. La rondelle s’ouvre et le gland s’y faufile, comme un doigt dans une motte de beurre !

(c’est un moment pathétique !… Vous le savez tous. Voir votre pine enfiler la rosette de votre épouse, de votre copine ou de votre copain… bouhh !… ce n’est pas là que vous allez faire marche arrière !…).

L’anus, superbement dilaté se referme avec empressement (c’est si bon quand ça se resserre !). La hampe têtue, glisse, lentement, fermement et sûrement dans le conduit vorace, jusque ras les roustons !

– Ouah ! … Aye !… Ooouuh !

Elle crie la Belle… paniquée elle pousse un grand cri d’effroi, suivi pourtant aussitôt d’un calme étrange, étonnant, une impression de soulagement ! Elle pense :

– Ouf !…Bon dieu, il me l’a mise… ce n’est pas possible ? Mais que c’est gros… il me défonce le salaud… il pousse encore !… Oh doucement… comme ça… c’est meilleur… ça va mieux.
– Ah ! Bon… ce n’est que ça !…°°°

Et oui, il lui a bien mis… à fond bien entendu, mais doucement… (il fait ça si bien le Charlot !).

Il ne bouge plus le bon gars… il admire son travail… il savoure la douceur de ce trou du cul tant désiré… il est surpris de voir sa pine à l’aise dans le cul de sa Belle.

Bon sang qu’il est serré son trou du cul. Chaud, humide, moelleux à l’intérieur. Il recule lentement puis pousse de nouveau… Oh que c’est beau ces petits va-et-vient dans la rondelle rose… oh la belle entrée en matières…. Oups !

Elle ne bouge pas. Elle prend conscience qu’elle est bien enculée… C’est gros, c’est encombrant… ça ne fait plus mal, c’est même un peu doux… c’est comme un gros caca.

Elle ne parle pas… elle geint doucement, béatement… Oui après la douleur passagère c’est même bon… Elle serre un peu son cul pour sentir davantage l’intrus.

Maintenant Charles bouge un peu plus… il va, il vient …

– C’est plutôt drôle d’avoir ce machin-là dans son cul ! Hi !… Hi !.. .si ma mère me voyait !…(ne t’en fait pas ma belle… elle y est passée avant toi…).

Humm !…Il lui écrase les fesses…elle miaule…

Elle sent le gland qui roule dans son colon… c’est doux… un coup en avant… un coup en arrière.

– Oh non ! ne ressort pas… ça fait mal… la petite porte est trop étroite pour ce gros gland qui est prisonnier maintenant !… (la tête du nœud s’est épanouie à l’intérieur comme un harpon qui ne peut plus ressortir.).

Alors il pousse l’enculeur et elle va à sa rencontre l’enculée pour le sentir davantage et l’empêcher de ‘déculer’…… Ah ça devient encore meilleur ! … putain c’est bon un mec !

Il fait durer le plaisir Charlot. Et du coup ça l’excite et il te la bourre de plus en plus vite et fort.

Et il te la cogne au cul sa sauterelle. La tête entre les cuisses d’Ernestine, elle pousse des cris, elle tape des mains sur le matelas.

– Oui !, oui ! non ! …

Elle te l’avale le vireton, il lui taloche les fesses elle fait des bonds de jument débridée…

Parfois il sort, sans crier garde, il ‘décule’ à l’arrachée, en lui laissant l’anus ébahi !… Aye !

– Putain de trou !…

Il est surpris lui-même par la taille de son gland qu’il replonge aussitôt dans l’antre grand ouvert.

– Ouille ! Salaud !… Oui… Continue…

Autour d’elle, les femmes en chaleur la caressent, lui pelotent les seins, lui flattent aussi le dos et lui arrosent le visage de leurs mouilles pisseuses… elles sont déchaînées les salopes.

Il jouit Charlot en lui bourrant le bas du dos, comme un sac de patates.

– Han !…han !…

Coincée entre lui et les autres femelles, elle jouit en criant, abasourdie, écartelée, échevelée et trempée de la pisse que ces dames n’ont pas su retenir !

– Oh ! Oui c’est bon !… Elle hurle sa jouissance.

Et vlan sur son charnu !…

Elle a plusieurs orgasmes violents et délirants.

– Dis-moi que c’est bon, salope ! Dis-le-moi que c’est bon.
– Oh oui ! continue… Aye … c’est fort… putain que c’est fort !… arrête !
– Comment arrête !… Voyons, tu en veux encore !… Regarde comme il est souple ton cul… comme il s’ouvre le salaud !…Tu aimes, n’est-ce pas !… Tiens prend ça encore !… Ma petite salope ! Oh que tu es bonne !
– Oui !… C’est bon !… Encore !

Il se vide Charlot, jusqu’à la dernière goutte… planté dans elle.

Les femmes, autour se gouinent, sans se soucier des amants qui maintenant se calment lentement en se faisant des mamours.

Ernestine fait un très long pipi de soulagement sur les cuisses de Rosette, son amoureuse, sur laquelle elle s’est assise pour mieux la bécoter.

Pendant que nos amoureux se font de si bonnes choses, Cocotte qui s’est bien fait aléser le trou de balle par les deux serviteurs, fait le ménage de leurs superbes outils passablement laqués par ses propres (si j’ose dire !…) séquelles anales. Ils ne se sont pas lavés depuis longtemps les conards… ils puent comme des renards… mais Cocotte elle aime ça !

Harold qui adore sucer les pines, a du travail en perspective. Il commence par celle de Cocotte (c’est si bon une pine de travelo…) il suce ensuite les pines un peu délavées, des palefreniers (de la bonne chair, dure et joliment veinée…). Et le trou de balle du jeune homme ! Il peut y rentrer sa langue, tant il se l’ai fait agrandir par les deux bons gars ! Et la sauce est bonne… Double ration pour Harold, pigmentée des vilenies du petit gars malpropre.

– Oh que ça sent bon un cul de tapette ! Qu’il s’écrie le vieil homme très connaisseur en la matière! (Oups), tout en fouinant dans le fondement du jeune homme. !

Sur le tapis Mariette et Violette en 69, se bouffent la pachole.
………………………………………
Mais la journée n’est pas encore terminée, la soirée ne fait que commencer et tous ces braves gens qui s’emboîtent les uns les autres, sont partis dans une orgie diabolique.

Soudain encore un grand cri dans la grange ! (décidément ça crie beaucoup dans cette grange !…).

C’est le cheval qui s’ennuyait dehors et ayant entendu quelque bruit à l’intérieur (sûrement guidé par quelques phéromones, aussi,), il pénètre dans la grange et se dirige directement vers Rosette toujours arcboutée sur sa copine Ernestine.

Certainement qu’un cul pareil n’a pas dû échapper au flair de l’animal qui se trimbale avec un de ces mastodonte d’agrément naturel à faire pâlir une papesse. Il se dirige, tout bonnement vers le charnu de la bonne Dame.

Oh là le drame en prévision… Putain de Manon !

Nom de dieu ! Mais qu’est-ce qu’il fout là, l’animal ?

Plus fier que tous les hommes réunis, il hennit, il piaffe, il se dresse et présente une de ces prétentions qui fait honte à nos mecs… et donne la frousse à nos bonnes femmes… (encore queue ??…Oups !).

Justement…Rosette !

Ah non, pas la Rosette…Quand même ! (gros cul mais petit trou…).

Pourtant….

Bon, les gars, moi j’éteins la lumière. Je ne sais rien, je ne veux pas voir (oh !, en tous cas que d’un œil… !) et vous ne verrez rien, bande de saligauds, ce n’est pas pour vous !… Je censure.

….Tiens ! Dans le noir on entend de drôles de bruits…

Splash !… Ouiiillle !… Ouah !… Oh ! Ma mère !… Hi !… Hi !…

Encore un splash et un long hennissement… Hiiiiii…. et vite fait… ’tagada… tagada’… par la porte grande ouverte on voit au clair de lune, l’étalon qui détale comme un fou, en faisant des ruades… (de joie, se pourrait-il !) tandis que sous son ventre ça bringuebale en tous les sens…

Certains ont même vu Rosette sortir derrière lui… elle ne tenait plus sur ses jambes, paraît-il, mais qu’est-ce qu’elle pissait… nom d’un chien !
Et la Cocotte, le cul encore trempé des flatteries précédentes… mais pourquoi donc coure-t-elle ainsi après l’étalon !… (reviens, reviens lui dit-elle !…j’ai….).
………………………………………………………
La soirée se termine dans cette chaude ambiance et les heureux invités repartent chacun de leur côté, couilles, culs, cons et bouches épuisés, mais prêts à recommencer.

Alors Moi, allez-vous dire…

Moi dans cette affaire qu’est-ce que je fous-là ?…

Ben je ne vous le dirai pas… c’est mon secret !…

Sachez seulement que pour sa nuit de noces la Chérie… elle se paie en même temps deux Maris !.. Bon sang, deux Maris… un à bâbord, l’autre à tribord (Hi !…Hi !…comme dans la marine !…)

– ?…Ah le bourrin…

Mais non ! Pas le cheval !… mais…

Bon ! Vous n’avez rien compris !…

Alors, branlez-vous, s’il vous plaît et laissez-moi à mes affaires.

Adieu….bande de petits vicieux !

20/01/2024

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

2 réponses à Tant va le Temps…Tant va le Cul… 31 – Le final… par Verdon

  1. Lichtenstein dit :

    Quel festival ! De quoi attraper le tournis !

  2. Harivel dit :

    En espérant que ce final soit un faux final, car je suis sûr que l’ami Verdon a encore dans sa besace un tas de croustilleries à nous narrer !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *