Tant va le Temps…Tant va le Cul… 20 – L’escalier… par Verdon

Tant va le Temps…Tant va le Cul… 20 – L’escalier… par Verdon

Pour peu qu’on ait souvent les balloches en émoi
Il faut toujours avoir un petit cul chez soi.
Et si point de joufflu ne traîne à l’horizon
On ne peut se priver d’une bonne ‘occasion’.

Ça c’est l’avis éclairé de mon copain Nestor. Et certainement aussi celui de bien d’internautes de ce site qui fait son maximum pour éclairer ceux qui ne le seraient pas…’les pôvres !!!’ Connaissant mes goûts pour l’écriture, Nestor me raconte un jour, une de ses aventures.
(En italiques ce sont les remarques de l’auteur toujours à l’aguet de quelques lubricités).

– Ça pourrait te permettre, me dit-il, d’écrire un joli texte dont je serai l’acteur et toi la plume. (Oui, c’est comme ça ! lui il baise et moi j’écris…Non, mais il est gonflé celui-là !).
– Ok que je lui réponds. Mais tu sais moi j’ai besoin de toucher la matière pour faire travailler mes neurones…alors on fait moitié/moitié…Oups !
– D’accord alors moi c’est le cul…et toi ?
– Moi je prends tout…Hi ! Hi !…

Bon, je le connais Nestor. Entre nous on n’a rien à cacher. Nous avons tout partagé depuis longtemps.

D’abord comme tout le monde de ce temps-là, on a joué aux quilles…bien sûr. Plus tard on a complété nos expériences, entre adultes consentants, évidemment. Nos bites se sont dévergondées pour notre plus grand plaisir et celui de bien des Dames et d’autres flamberges aussi … Donc s’il a quelque chose à me proposer ça ne doit pas être des histoires de catéchisme…encore que !

Dix ans de moins que moi, mais aussi vicieux sinon plus (j’ai eu la faveur de l’éduquer), on a donc souvent fait ensemble de joyeuses foutreries. Aujourd’hui ce n’est plus la même chose, on a plu vingt ans et les mœurs ne sont plus comme avant, ou tout au moins une vilaine et fausse pudeur s’en est emparée. («Avant d’ouvrir les fesses de ta secrétaire, tourne sept fois ta pine dans sa bouche pour t’assurer qu’elle est bien consentante. » Ce n’est pas un gars comme Confucius, qui a dit ça!…Oups !).

Ecoutons donc l’histoire que Nestor va nous raconter, en gardant bien en mémoire que tout cela ne s’est pas passé hier. C’était le temps où l’on parlait de ‘gentlemen et de respectueuses’.

L’autre soir, me dit-il, alors que je rentre chez moi, fatigué, la tête encombrée des dernières péripéties concernant mon boulot, je me retrouve soudain, nez à culs (En voilà une belle expression…) derrière deux nouveaux postérieurs qui montent devant moi, l’escalier de l’immeuble où j’habite.

Si je te dis deux nouveaux, c’est parce que jusqu’ici je ne les avais pas remarqués. Sans doute appartiennent-ils à ces locataires récemment installés dans l’appart qui jouxte le mien. En tout cas, pour l’instant, ils ne font pas partie de ma collection… je veux dire de mes relations intimes. Non pas que je saute sur tout ce qui bouge dans l’immeuble, mais un peu de courtoisie c’est parfois le prélude à de sympathiques rencontres et voire plus.

En fait c’est un couple, comme un autre, qui me précède. Du moins ce que j’en vois, n’est en l’occurrence que le bas de leur dos. Et ces deux postérieurs étant justement à quelques centimètres de mon visage, tu penses bien que me ma curiosité naturelle m’entraîne tout bonnement à les détailler et à en faire l’inventaire vu qu’ils tressautent honnêtement devant mes yeux.

J’avoue qu’ayant l’esprit assez vicieux, ça m’intrigue sournoisement, de les voir se trimbaler devant moi. Je me sens taquiné peut-être par quelques phéromones qui s’échapperaient de leurs soubassements amoureux pressés de se rencontrer. (À moins que ce ne soit, comme souvent, quelques effluves de muqueuses plus ou moins mal léchées après leurs derniers ébats…hi, hi ! les cochons !).

Aussi dans un premier temps, commençons par faire l’inventaire de ces deux nouveaux arrière-trains qui en soi sont peut-être une promesse de divertissement en devenir.

– Il y a-t-il quelques choses à en tirer… (…’à en tirer’ !…tout de suite chez Nestor, des mots érotiquement percutants !).

Elle, vu la légèreté de ses fesses, je lui donnerais une trentaine d’années. Lui, empâté dans son froc, je lui en flanque… cinquante. De taille moyenne il est engoncé dans une large veste qui rebique sur le haut de ses fesses apparemment assez charnues. Son jean lui sied bien et renforce les formes rebondies de son postérieur, un gros cul du genre qui te plairait, il me semble… (non mais qu’est-ce que c’est que cette allusion ! j’aime bien quand il y a du monde à la gâchée, mais les p’tits culs je ne les laisse pas à côté de la bétonnière… tout de même!… j’ai compris, il vise déjà le petit cul et il me colle le gros cul pour se réserver l’autre… on ne peut pas compter sur les amis !… surtout dans les affaires de cul !).

L’épouse, au contraire est plus flatteuse… Blonde, fine, elle porte une robe noire courte avec un chemisier blanc qui recouvre apparemment de petits seins et de frêles épaules. Chaussée d’escarpins noir, elle grimpe avec quelques difficultés les marches de l’escalier non sans laisser virevolter les volants de sa robe, ce qui m’offre une vue assez profonde sur ses cuisses gainées d’une résille affriolante. Voilà qui ne manque pas d’attirer mon regard toujours à l’affût de quelques paysages romantiques.

Sous sa robe légère elle cache effectivement un petit cul qui ne doit pas être vilain et vu l’aisance avec laquelle elle le soulève, je ne désespère pas d’en voir un peu plus, (ben voilà, Nestor c’est les petits culs … allez savoir pourquoi ?… sans doute sont-ils un peu plus serrés… j’imagine).

– Ben oui chacun son truc évidemment, mais entre nous, rien ne m’empêche de faire du tourisme sur des espaces beaucoup plus larges. (il ne se prive de rien le copain !).

Bon on n’en est pas encore là…. Nous arrivons sur le palier. On se fait de grands sourires et sans s’en faire, mes nouveaux voisins se dirigent vers leur appartement. Serrés l’un contre l’autre, le mari galant flatte la croupe de son amoureuse. (Elle doit avoir des démangeaisons de ce côté-là sa greluche… et lui certainement les couillons pleins…)<./i>

Arrivés devant nos portes, on se présente. Je leur souhaite la bienvenue et une bonne soirée, sans plus, car je sens qu’ils sont pressés d’être chez eux. Chacun entre bien sagement chez soi. Elle me sourit gentiment en tournant sa tête dans ma direction pour me jeter un petit clin d’œil espiègle… Mais poussée au cul, fermement par la main de son mec impatient, elle disparaît, derrière la porte, non sans faire un petit mouvement du cul, pour ses libérer de ce doigt qui (soi-disant) la gêne. Ce qui dégage une fesse mignonne et me donne l’impression qu’elle ne porte pas de culotte. Elle ne doit pas avoir froid en cet endroit-là… (Eh bien pourquoi pas, les femmes ont bien le droit et la facilité d’avoir les idées à l’air !…).

Comme tu le sais, J’ai dans des moments pareils, aucune difficulté à débrancher mon cerveau des servitudes routinières, pour m’intéresser à des occupations plus flatteuses envers mon esprit et mes sens. Surtout quand je rencontre des personnes qui savent faire bon usage de leur main ou bien lancer des œillades bien sympathiques.
(C’est toujours Nestor qui raconte…ne perdez pas la fille…euh ! pardon…le fil… décidément…ce doigt !)

Je suis assez surpris par la démarche incertaine de la petite dame et par sa voix un peu roque quand elle me dit bonsoir. Mais obnubilé par la main de son époux posée sur son cul, je me sens un peu frustré… je perçois comme une certaine jalousie.

– Quand même ce gros lard va se taper cette gonzesse qui m’a l’air d’en avoir bien envie et moi je vais me branler tout seul dans mon plumard !

D’ailleurs, pour ne pas me démentir, Il n’y a pas dix minutes que je suis chez moi, quand j’entends à travers la cloison de ma salle de séjour, les bruits, on ne peut pas plus explicites, d’un charivari amoureux. Je sens même les vibrations d’un meuble qu’on bouscule (sans doute un canapé…) agrémentées de cris qui ne laissent aucun doute sur les raisons d’un aussi doux tapage.

J’avais donc bien compris les impatiences de ces braves gens, confirmées par la main baladeuse de son homme et le sourire de la gourmande. Ce devait être urgent !

L’oreille contre le mur, j’essaie de saisir au maximum l’intensité avec laquelle ils s’envoient en l’air. Je l’entends qui crie fort. Je la reconnais grâce à sa grosse voix. Et d’après les claquements secs qui vibrent à travers la cloison, j’ai bien l’impression qu’elle est en train de se recevoir une sacrée fessée. (a-t-on jamais vu une amoureuse faire des sourires à son voisin alors qu’elle a déjà au cul la main de son impatient bienfaiteur !… ah je vous jure il y a des déculottées qui se méritent !).

N’empêche qu’ils m’excitent ces deux-là. J’imagine le gros con en train de s’essouffler sur le petit cul que j’avais sous les yeux tout à l’heure.

Soudain elle pousse un grand cri.

– Ça y est, il lui a mis dans le cul le salaud !… que je me dis.

J’entends ensuite des ‘han !… han’…. et je crois entendre aussi des ‘oui !… oui !

Du coup, pour les accompagner, le pantalon sur les chevilles, je me branle et je jouis vigoureusement contre le mur.

Tandis que je dessine des cartes de France sur la tapisserie, tous les deux s’extasient en poussant des feulements de bêtes sauvages qui me laissent comprendre que la bonne branlée a dû se terminer en un superbe festival de jouissance finale. (encore une qui ne demande qu’à être bien échauffée pour donner tout ce qu’elle a… sans doute !).

Mes gonades soulagées, je débranche ma libido, m’occupe de mon souper pour refaire le plein. Je vais pisser un bon coup dans la cuvette des WC, en tenant à pleine main ma pine bien grasse, plus très dure mais fière bien que pas entièrement satisfaite. Elle aime bien que je la branle, la coquine. Et tant pis si mon cerveau est débranché, je vais me pieuter sagement, les cuisses écartées, les couilles étalées qui tourneboulent sous ma bite en dissolution… j’ai l’index sous le gland… (Humm ! Là où ça fait du bien…) ne me dérangez pas, c’est trop bon… je dors.

Ils n’en font pas autant car j’entends encore pendant un bon moment leur canapé, grincer.

Le lendemain en fin de matinée, j’ai la visite de Madame. Elle est en robe de chambre et en chaussons, la mine un peu vaseuse, mais souriante. Avant même que je ne dise un mot, elle se confond en excuses et paraît désolée de m’avoir dérangé en faisant du bruit, hier soir.

Belle façon de chercher à connaître mes appréciations sans me le demander directement!… tout en faisant l’aveu de leurs joyeuses excentricités… mais si c’est une façon de me provoquer, elle va vite savoir la curieuse, si j’ai du mordant entre les cuisses.

– Oh oui, chère Madame, vous m’avez beaucoup perturbé hier soir. Mais hélas à travers la cloison, je n’ai pas pu venir vous le dire et je le regrette vivement ! Vous étiez sans doute dans le besoin et j’aurais bien aimé vous secourir! J’ai toujours ce qu’il faut sous la main pour aider les gens en peine !

Hé bien elle ne se dégonfle pas la garce…avec sa voix roque elle ajoute de plus belle :

– Mais, Monsieur, chez nous la porte d’entrée est toujours ouverte pour des gens sympathiques et bien disposés à nous porter secours ! Je vous attendais !

Ben voilà, mon Cher, tout est dit ! Il ne me reste plus qu’à concrétiser… qu’en penses-tu,… d’autant que très prévoyante, la bonne dame a oublié de serrer sa ceinture et qu’est-ce que j’aperçois entre les pans de sa robe de chambre qui s’ouvre en grand ? …Tu veux le savoir ?

– De la chair mon Ami… de la chair à revendre mon pote, et pas des broutilles !… Ah si tu savais !

Eh oui si tu savais, ce que je vois entre les jambes de la chipie… je vois une superbe bite, une bite un peu flasque certes, mais avec de gros couillons… oh putain qu’ils sont beaux !

Ça pend, oui ça pend, mais que veux-tu… je reste médusé devant ce spectacle… Je ne sais plus qui j’ai devant moi !… une femme, un homme… un travelo, un pédé, un je ne sais quoi, mais en tout cas une paire de roustons et une belle pine, plantés là, sous mes yeux et sur un corps de femme !

Je ne sais plus trop quoi faire ! Et toi, qu’aurais-tu fait ?

Mais, tu me connais, devant ces jolis bijoux de famille je ne perds pas mon sang froid… au contraire, ça m’échauffe. Je m’accroupis devant elle et lui saisissant son diable de morceau je tire dessus, cherchant à le décrocher pour vérifier si ce n’est pas du toc…

Et ce n’en est pas, je te le jure. C’est du solide, du souple, du résistant, même qu’elle crie que je lui fais mal.

Je lui fais mal !… C’est que c’est du bon, du vrai, de la bite en chair et en os !… (Euh non pas en os ! j’en ai connu en os dans mon cul… putain ce n’était pas tendre !), non, de la bonne bite de tapette, (de ‘female’ on dit aujourd’hui), de la bite à bouffer comme un chamallow… Quoi !

D’abord, bêtement désemparé, je m’excuse, ne sachant plus quoi faire, tellement surpris d’avoir tiré sur cet objet inattendu dans les mains.

Mais mon désarroi est plus factice que réel, j’en ai que faire des excuses et elle encore moins. Je te le prends en bouche, je te le goûte, je te le suce comme c’est de droit et je le sens qu’il s’émeut le mollasson…

– Putain qu’elle est bonne cette bite. Elle est épaisse, grasse, douce… je me régale.

Elle ne bande pas pour autant. Mais comme je suis un gentleman, je me relève et je l’embrasse la Belle, à pleine bouche, cherchant avec ma pine qui est dure comme l’acier, à lui trouer le ventre.

Et oui, je fais ce que tout homme honnête fait quand une Dame désemparée ne sait pas reboutonner son peignoir… je lui arrache ses chiffons, Je veux la baiser, … Je me colle à elle, je frotte ma pine effervescente contre la sienne molle et chaude comme une bouillotte, nom de Dieu ! Et bon sang elle aime ça, elle se dandine, elle se livre debout, jambes écartées.

Ventre à ventre, je cherche un trou, mais c’est contre sa flamberge que je me frotte. Je sens mes couilles contre les siennes et nos bites s’accolent.

C’est si bon que je fini par éjaculer sur son nombril, tandis qu’à bouche que veux-tu on se fout un patin à se bouffer la glotte.

Ensuite elle se baisse, lape le bon nectar qui suinte sur mon bide et enfourne ma pine comme un sucre d’orge, et elle pompe, bon Dieu jusqu’à la dernière goutte, en faisant tourner sa langue autour de mon gland qu’elle a l’air d’apprécier, la goulue.

Pas même encore remis de cette fantaisie, j’entends qu’on frappe à la porte et qu’on crie :

– Jackie ! Es-tu là ? (eh bien oui, Jackie c’est son nom. Jo est celui de son homme).
– Putain ! Faut-il qu’il existe toujours des emmerdeurs pour venir nous déranger dans un moment pareil !…

C’est son mec… Elle va lui ouvrir et il se jette contre elle… je crois qu’il va la démolir… mais non au contraire, il l’enserre de ses bras, se frotte à son tour contre son ventre et lui fout un patin à réveiller un mort ! (décidément elle a un sacré coffre à bites !).

J’en reste un peu baba, je ne comprends rien, c’est un vrai traquenard !, ne sachant plus quoi faire je cherche à m’éclipser en remettant mon froc. Mais c’est ignorer l’engouement du cocu qui s’est précipité sur moi.

Alors il m’enserre à mon tour, comme si j’étais sa femelle, le salaud…Putain, ça me fait drôle !…Je ne suis pas sa tantouze, que je sache !

– Eh ! on n’est pas marié ? Que je crois…

Il s’en fout et se baisse pour me sucer la pine à son tour. C’est qu’il ne veut rien perdre des bonnes gratitudes qui tapissent ma bite fraîchement épanchée sur le ventre de sa soi-disante épouse !

Humm ! Il fait ça bien ! La bouche en cul de poule il taquine mon gland, il avale ma biroute ! Il suce en montant et en redescendant ses lèvres serrées autour de mon gland… Oh que c’est bon !… Un connaisseur !

Sa gonzesse, toujours dégoulinante lui masse le crâne tout en l’aidant à me bouffer le dard ! Putain à tous les deux, ce sont de sacrés butineurs !

– Suce le bien, mon chou ! Il a une belle bite le Monsieur !

Je me régale de voir ma pine complétement enfoncée dans sa bouche. Mes deux mains derrière sa tête, je l’oblige à m’avaler raz mes couilles… (merde ! S’il fait aussi bien avec son cul ce qu’il te fait avec sa bouche…il commence à m’intéresser ton gros porc ! Hic !).

Après m’avoir écopé le rossignol, c’est au tour de l’épouse, de se faire lécher la panse… il la déguste puis ramasse le bon jus que j’ai répandu sur son ventre pour en laquer sa pine. Ensuite il lui fait faire un ‘volte-cul’, la penche vers moi qui suis tombé assis sur le canapé et il se l’encule bonté divine en levrette, comme un étalon sur une pouliche !

– Salope ! Tu en veux encore ! ça ne t’a pas suffi hier soir… eh bien tiens prend ça, c’est du bonus ! Dis-moi que c’est bon, poufiasse ! tantouze ! trou d’évent !

Et il te lui fout des claques au cul, il se défoule le mec !

– Oh oui c’est bon, qu’elle s’écrie ! Va s’y continue, c’est bon ! je suis ta salope !

Penchée sur moi pendant qu’il lui pilonne le cul, j’ai ouvert mes cuisses pour qu’elle puisse me sucer. Je tends mes bras pour lui écarter les fesses avec mes deux mains, ce qui me permet de bien voir le travail qu’il lui fait au cul son chéri. Du beau travail d’artiste ! Sais-tu…. J’aurais bien pris sa place au mec. Il la plante raz ses couilles et en se léchant les babines il me regarde avec un air de bête féroce qui a sauté sur la femelle de son rival.

– Elle est bonne, hein ! mais elle n’est pas pour toi !

Sais-tu mon cher Ami c’est vachement jouissif de tenir dans ses bras une personne qui se fait ainsi sodomiser ! (ça doit te rappeler de cuisants souvenirs mon salaud…Hi, hi !). Je la tiens par les hanches, je lui bloque le visage entre mes cuisses et tout en lui ouvrant bien le cul je dis au brave mari :

– Vas-y, bourre-la ta tantouze ! Mets-lui la dose, tu as raison, elle aime ça…regarde elle jouit ta salope !

Elle ne dit pas non la bourrique !… si tu avais vu cette pine avec laquelle il lui taraude la rondelle !… et il te lui secoue ses roupettes… putain à les décrocher, nom de dieu !

Ah oui vraiment du beau travail… il en baillait son trou de balle !

Alors il jute le mec, il lui déballe tout son jus, même qu’en sortant de son trou du cul il en envoie des giclées sur son dos et jusques sur mon visage, le salaud !

Et la cochonne, sais-tu ce qu’elle fait…pendant qu’elle a le cul ouvert… eh bien de son insolent et si joli postérieur elle en profite pour libérer un sacré colombin qui va s’écraser entre les panards de son fouteur… Ce sont des choses que l’on ne fait pas ! Sauf les petites cochonnes… (Hi ! hi !…j’aime bien le trou du cul des petites cochonnes ! et vous ?). Aussi je ne te dis pas, la bonne déculottée qu’elle se reçoit la vilaine. C’est mérité. ! C’est du classique ! Même qu’elle en perd sa perruque…

Et il te lui remet ça le gros, il te l’engrosse de nouveau raz les couilles, c’est pour la route !… (ben oui, maintenant qu’elle a fait de la place, c’est encore plus facile!…), et à la sortie c’est une vraie petite ménagère qui fait le ménage… (il l’a bien dressée sa babillarde…)
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– Oups ! c’est donc bien un mâle. Un vrai sans doute, avec des couilles, mais pas de cheveux sur le crâne, pas un poil sur le menton, ni sur le pubis, ni ailleurs, mais avec des seins de poupée et une chatte entre les fesses… fendue comme un calisson…

Voilà, c’est comme ça que ça s’est passé. Ensuite ils s’embrassent comme de bons amoureux mes voisins ! C’était beau…si tu savais !

– Ah ! C’est beau l’Amour…

Puis il s’allonge tout nu sur le tapis, le gros lard, jambes écartées et bras en croix. Elle minaude autour de lui… lui tripote son gros bide, et ses roustons en déliquescence. Elle lui titille les seins, lui fait des bisous de partout… il se laisse faire, elle masse, il ronronne, jouissant des bonnes caresses de sa servante à couilles qu’elle s’amuse à lui faire rouler sur le bout du nez. (c’est normal, après grosse flatterie, gros câlins exigés).

Il est aux anges le pépère, elle fait bien son service. Qu’elle est marrante, à quatre pattes autour de lui avec son cul en l’air qui dégorge lentement les dernières larmes des bontés de son Chéri ! Il l’a vraiment bien dressée !

– Voilà mon ami, tu sais tout ! Ma voisine est une Tantouze, une vraie, avec une bite, une gueule d’amour et un trou mignon en guise de chatte !… Je ne te dis pas … Elle est venue chez moi pour se faire troncher la salope, mais son mec est passé avant moi… putain comme il se l’est emballé sa tapette !

Mais moi après tout ça, vois-tu, je n’en ressors pas tout à fait satisfait de cette soirée. J’ai bien joui sur le ventre de la tapette. Oui mais le petit cul… il m’est passé sous le nez.

Ensuite on retrouve le calme et la raison. On se met devant un petit apéro pour faire plus connaissance et réfléchir à la suite à donner à cet événement.

Elle est toute mignonne. Elle s’assoit sur ses genoux. Il lui caresse son gros clito, le doigt dans son utérus (Hi !, hi ! faut bien appeler les choses par leur nom !).Ils sont heureux. Même qu’elle pète de bonheur quand il retire son doigt…

C’est maintenant le moment de bien faire connaissance.

J’apprends que mes nouveaux voisins se sont rencontrés il y a plusieurs années. Jackie, celui qui tient le rôle de l’épouse, s’est fait dépuceler du cul par Jo, un gars compréhensif et entreprenant qui lui a fait ce cadeau un soir d’été qu’ils étaient pompettes.

– Le salaud il m’a défoncé sans ménagement ! Mais comme je n’ai pas trop rechigné (ben, voyons !) il a remis cela le lendemain… ce fut meilleur !
– N’empêche qu’ensuite tu en redemandais petite vicieuse !

Le vieux comprend vite que le jeune homme a le cul tendre, il va, avec de bonnes manières cette fois-ci, lui apprendre à apprécier la chose.

– C’était bon de me faire sodomiser… il faisait ça si bien ! Au début j’étais un peu gêné mais ensuite ça me plaisait de faire la femelle !…je l’aguichais le Jo… je me faisais ‘chienne’… je recherchais sa protection, il était mon Maître !

Ayant vite compris combien il appréciait la chose. Jo l’amène tout doucement à se travestir et à se soumettre comme une vraie petite salope. Il l’appelle ‘Jackie’ et ils se mettent en couple. Ce n’est pas facile en ces temps-là, ils vivent cela en cachette, mais ils sont heureux. Ils font des rencontres surtout homosexuelles, mais Jo aime bien la diversité. Il aime quand même les femmes. Ils en reçoivent une de temps à autre. Ça met un peu de sel dans leur existence. Il aime bien aussi la voir se défouler avec des dames. Elles sont curieuses ces dernières et vicieuses en plus, contentes d’assouvir leur revanche envers les hommes sur le dos d’une tantouze… et parfois baiser ou se faire enculer par une tapette, ça leur donne un certain orgueil … allez savoir pourquoi !

– Des salopes, je te dis…mais c’est super !

En fait, Nestor, la quarantaine, marié, lui se dit hétéro, mais serait plutôt bi. Il s’est accoquiné, une fois avec son tonton qui aimait bien se faire sodomiser. Il a pris goût à la manœuvre en découvrant qu’après tout, le trou du tonton était bien plus indolent que celui de sa Finette souvent sujette à des maux de tête, juste au moment où il aimerait bien lui taquiner la rosette. Alors elle lui dit :

– Eh bien va voir le tonton, il aime ça, c’est un vicieux !

Du coup c’est ce qu’il fait le Nestor et il prend un plaisir fou à le sodomiser même des fois avec l’aide de Finette qui se dit :

– Autant de moins pour mon trou de balle !

Il n’aurait jamais imaginé qu’un jour il enculerait un mec ! Pourtant il y a pris goût, surpris de voir finalement que le trou du tonton ou celui de Finette c’est du lard ou du cochon avec en plus (cerise sur le gâteau) cette paire de couilles qui flatte l’esprit un peu macho de celui qui encule ! (…ouf elle n’est pas tirée des vers celle-là…).

Cependant à l’usure, il trouve qu’il a le trou un peu large, le tonton. Aussi va-t-il voir des hommes plus jeunes. Ils ouvrent facilement leur cul et ils ont l’anus étroit. Et de plus ceux-là, ils n’ont jamais mal au crâne ! Du moins, il ne leur pose pas la question… (… entre mecs, bavarder devant un trou du cul, c’est perdre son temps…n’est-ce pas ?…).

L’ennui c’est qu’il a une très grosse bite le Nestor… alors ça coince un peu la première fois…mais tout le monde sait que la première fois… c’est la meilleure… Hi, hi… (Bon mais quand on est adulte et consentant, on serre les dents et la rose s’épanouit… Alors on passe à la suivante… n’est-ce pas mes zozos !).

Avec une Nana c’est agréable. Elles aiment ça… Oups !… enfin pas toutes, il y a celles qui vous foutent deux paires de claques… et les autres, moins nombreuses mais plus pernicieuses, qui vous tendent leur gagne-pain tout en faisant les mijaurées. Pour peu qu’elles aient le cul un peu gras et volontaire, ça lui fait de bons amortisseurs au Nestor, aussi peut-il se permettre de bien les bousculer. (il aime ça…).

Le Nestor il est donc plutôt, chevalier de la rosette.

Car avec les hommes ce n’est pas pareil. C’est plus rude, mais quand ça y va, ça y va et tant pis pour la délicatesse… tant qu’ils ouvrent la fesse ! Enfiler un petit cul aguiché avec des roupettes, il trouve ça marrant et les dames souvent sont du même avis… elles aiment, (on l’a déjà dit). C’est l’avis de Finette. (Elles sont salopes ces dames qui prennent plaisir à voir leur macho de mari dérouiller sous les coups de boutoir de leur amant… ils ne sont pas fiers avec la bite en déroute et le visage qui grimace !).

Aussi quand ils reçoivent un petit ami qui est venu pour cela mais qui ‘veut et qui ne veut pas’ en mettant la main devant son cul… la Finette elle lui saisit les poignets pour le distraire :

– Que vous avez de jolies menottes mon cher ami, qu’elle lui dit avec tendresse en lui faisant une bise sur le crâne.

Et hop ! Nestor il lui fait son petit outrage…ça passe comme une grosse lettre à la poste
(Je vous l’ai dit…elle est si gentille la Finette !), C’est que Nestor quand il va au charbon, il y va au marteau-piqueur. Alors la faille…i l faut l’ouvrir, nom de dieu !

Bof ! Elle est quand même salope la garce. Elle aime bien martyriser les mecs. Elle dit qu’un mec qui ne s’est jamais fait enculer… ce n’est pas un mec ! Il ne sait pas s’y prendre avec une Nana.

– En voilà un de plus qui est vacciné, qu’elle dit la salope.

Donc Finette est plutôt branchée côté femmes. Elle est gouine et elle le revendique.

– Les hommes, ils sont chiants qu’elle dit. Il n’y a que le cul qui les intéresse et ce sont des brutes. Ça vous défonce la boîte à ouvrage et le trou de balle et puis c’est à vous de faire le ménage. Ensuite ça s’endort sur l’oreiller sans même s’occuper de remettre de l’ordre dans le chantier qu’ils ont visité.

Aussi elle ne va pas souvent avec des mecs. Juste un peu quand ça lui démange quelque part et quand c’est Nestor qui l’exige (non mais qui c’est qui porte des couilles dans le ménage !…) elle l’ouvre le petit opercule…

Quand il lui fait l’amour, il ne la voit pas Finette, il ferme les yeux et puis ça se passe en bas, il n’a pas les yeux au cul…. tandis que quand elle est dans les mains d’un autre elle se révèle dans toute sa splendeur et démontre ses qualités de bonne baiseuse. C’est du spectacle. Elle est superbe, il prend son temps pour admirer un gros gland qui lui débride la rosette.

De plus avec un étranger elle n’a pas droit à la parole, elle se soumet. Il y en a qui sont vaches quand elle n’ouvre pas la fesse. Ce n’est pas le moment de déclamer des insanités sur un vit qui serait ou trop gros ou trop raide ou trop sec sait-on jamais !… (a-t-on jamais vu une hôtesse se prêter à tant d’impolitesses de langage vis-à-vis d’un visiteur dévoué et plein d’amabilités). Il faut laisser le bienfaiteur prendre son pied et ensuite elle l’achève en remuant son gagne-pain comme une gourgandine…
(On ne déplace pas un bon Monsieur doté d’un joli service trois pièces pour faire chou blanc devant un petit cul qui ne veut pas s’ouvrir, nom de nom !).

– Ouvre ton cul ma Belle, ce n’est pas le moment de dire des balivernes… qu’il ajoute Nestor…

Mais elle n’est pas de ce genre la Finette. Elle est polie et sait bien se tenir dans le monde. Mais ça l’excite vachement de faire des choses devant son mari. Couchée sur le dos comme une courtisane bien éduquée, elle écarte ses cuisses pour recevoir l’aimable fouteur tandis que son Nestor posé sur elle en 69 se réjouit de voir une bonne bite lui limer son trou d’enfer. Ça lui plaît à la coquine car en même temps elle lui bouffe les couilles à Nestor et le trou de balle !

– Oh que c’est bon mon amour ! Il a une grosse bite ton pote. C’est bon dans mon cul pendant que je suce la tienne !

Alors il s’amuse à s’asseoir sur son visage. Il lui frotte l’anus sur le nez… c’est un peu cochon mais c’est si intime ces bonnes caresses nasales !

A la fin il fait le mac jaloux. Pour l’avoir cocufié, elle se reçoit une bonne gratinée.

Mais elle ne lui en veut pas car il va vite lui pardonner, son bon mari en la baisant comme on baise une grande Dame, aidé en cela par l’invité qui va le booster côté tuyau d’échappement. (il faut dire que la bite bien laquée qui sort direct du cul de la Finette, n’a aucun mal à pénétrer dans celui de son Chéri…).

C’est sûr qu’après tout ça elle va avoir beaucoup de ménage à faire la Finette !…mais elle l’aime tellement son Nestor !

Vous voyez donc, chers lecteurs, (là c’est votre serviteur qui a repris la plume …une dans chaque main…) vous voyez donc que nos amis ont de saines occupations et savent se gratifier quand le besoin s’en fait sentir. Nestor et Finette sont de bonne nature et n’hésitent pas à profiter de la vie. Certes ils ne partagent pas toujours les mêmes jeux, mais qu’importe puisqu’ils se connaissent, s’aiment et sont d’accord.

Il m’a vachement excité Nestor avec sa belle histoire à la con. Cependant il me fait peine à user son vireton sur la tapisserie ou sur le ventre de la tantouze, alors que l’autre aiguise le sien dans le petit trou serré de son hommasse.

Je sens que c’est au tour de Nestor d’être secouru et je vais lui concocter une saga à lui décrocher les roubignolles. Ça devrait lui permettre d’amadouer le pépère et de graisser le trou de balle tant convoité de sa voisine de tapette.

Il va me falloir dégotter une ou deux autres paires de fesses, des nichons et de la pacholle bien grasse pour la douceur, et sans doute de bonnes pisseuses pour les assoiffés. On va mettre la Jackie au boulot… on va lui demander de faire ses preuves. Et pourquoi ne pas rajouter le fameux tonton vicieux, accompagné de sa jeune maîtresse qui a le cul chaud mais le cerveau diabolique….

Tout un programme !………….
16/07/23

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Une réponse à Tant va le Temps…Tant va le Cul… 20 – L’escalier… par Verdon

  1. Harivel dit :

    Enfin le retour de notre François Rabelais du XXIème siècle !

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