Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 11 – Adrien… par Verdon

Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 11 – Adrien… par Verdon

Par cette belle soirée d’été, il est heureux notre ami Adrien, bon sang ce qu’il est heureux ! Il fait des études pour devenir vétérinaire et après deux premières années qui ont bien fonctionnées, il profite du début de l’été pour prendre quelque repos et se divertir. Il a encore devant lui de nombreuses années d’étude à faire. Il s’oriente vers des études concernant en particulier les équidés. Ce qui devrait lui assurer de trouver un bon métier pour entrer plus tard dans la vie active.

Pour l’instant il n’a pas de soucis si ce n’est que de profiter de ses vacances qui vont être courtes et parfaire son bonheur en cherchant à satisfaire quelques bons plaisirs sensuels mérités dont il n’a pas beaucoup usé jusqu’à présent à cause de ses études, de son âge et de sa pudibonderie naturelle.

Mais aujourd’hui il n’est plus un gamin. C’est un adulte qui même s’il n’est pas majeur (car à l’époque il fallait avoir 21 ans) il n’en est pas moins un homme disposé à vivre en tant que tel et sans contrainte conformiste. Il est beau gosse, de bonne corpulence, plutôt timide, très aimable avec les dames.

Oh bien sûr à son âge il a déjà laissé traîner sa quéquette entre les jambes de quelques filles chaudes et faciles depuis qu’il s’est aperçu, comme tout le monde, que ça fait rudement du bien. Pourtant si les filles sont souvent charmantes et excitantes, elles ont cependant du mal à se mettre sur le dos et encore moins sur le ventre. Il n’y trouve pas son compte. En fait ce qui l’attire le plus, l’Adrien, ce sont des femmes plus âgées, plus mûres que ses copines et avec des postérieurs appétissants, des femmes gourmandes. Des grandes sœurs, des cousines et encore mieux, des mères de famille comme celles de ses copains ou bien comme ses tantes par exemple.

Il n’a pas encore soulevé les jupes d’aucune. Ce n’est pas l’envie qui lui manque, mais plutôt les occasions.

Dans certains kiosques il achète en catimini des revues qui racontent des aventures très coquines agrémentées de photos osées mais hélas floutées. Ça l’excite énormément et le soir il se masturbe sur ces photos de femmes grassouillettes, aux culs mirobolants

Mais pour ces grandes personnes il lui a fallu attendre, bien sûr. Car il est sage Adrien… trop sage peut-être. C’est un beau jeune homme. Bien bâti, costaud qui en impose et le regard des femmes qui se pose sur lui avec convoitise, l’interpelle. Attiré aussi par les putes qu’il croise dans certaines rues, mais timide et pas assez fortuné il n’a jamais essayé.

C’est pour cela qu’aujourd’hui, ayant un peu plus de liberté et de courage il se décide à prendre le taureau par les cornes, si j’ose dire. En vérité ce n’est pas des cornes d’un taureau dont il s’agit. C’est plutôt celles qu’il concède au digne propriétaire d’une aimable personne qui l’invite chez elle afin de compenser son manque à baiser vu que justement son régulier est parti sur un chantier de grands travaux, à l’étranger.

C’est ainsi qu’Adrien se retrouve un beau jour dans les bras de cette brave ménagère. Elle n’habite pas très loin. Ils se connaissent un peu.

Il faut dire que le père d’Adrien est toubib et qu’elle fait partie de ses fidèles patientes qu’il reçoit en son cabinet quand elle a de petits ennuis de santé. Parfois il lui arrive d’aller la visiter la brave dame, surtout quand elle a beaucoup de fièvre la malheureuse. (Bon je vous vois sourire en coin…vous avez l’esprit tordu tout de même ! hé attention c’est un docteur ce Monsieur …même que c’est un bon docteur qu’elle dit la dame !… quoique….).

C’est ainsi qu’Adrien a pu la croiser dans le vestibule du cabinet doctoral. Elle est tombée tout de suite sur le charme de sa virile beauté et vous pensez bien qu’elle a flashé toute suite sur son corps de jeune mâle. Elle s’est jurée de le mettre un jour dans son lit.

La rencontre en est ainsi facilitée. (Elle a envie de se bouffer du jeune, la gonzesse…).

Alors si je dis qu’en cette soirée il est terriblement heureux notre Adrien, c’est que justement il est en train de batifoler entre les cuisses de cette agréable personne qui se fait chatouiller le calisson, couchée en 69 sur le corps vigoureux de ce gentilhomme tout neuf. Elle s’appelle Louise. Son mari est loin, elle s’ennuie à la maison et, ma foi se dit-elle, elle ne fait que s’entretenir pendant que lui certainement doit se maintenir en forme auprès de quelques bonnes et charmantes hôtesses (ça va de soi…).

– Tel que je connais son père (Ah bon ?), ce petit il doit avoir de la ressource, il faut que je m’en occupe ! (elle travaillerait sur référence que ça ne m’étonnerait pas !).

Avec des réflexions de ce genre, vous pensez bien que dès qu’il est libre, si elle l’invite ce n’est sûrement pas pour lui raconter des sornettes à ce jeune.

Il entre chez elle, inquiet certes mais avec surtout beaucoup d’émotion et de fébriles intentions.

Bêtement honteux, mais impatient et heureux, il ne sait pas trop comment se comporter devant cette femme deux fois plus âgé que lui et qui pourrait être sa mère. Il serre son bonnet entre les mains, la regarde en baissant les yeux et ne sait pas trop quoi dire. Il a le cœur qui bat la chamade et déjà dans son froc un bien gros encombrement.

Souriante la bonne dame va vers lui, l’aide à quitter sa veste, l’amène dans la cuisine pour lui faire grignoter quelques friandises, lui tend un petit remontant et d’un ton enjoué, elle l’attaque directement après s’être amusée à lui tâter l’entre jambes :

– Alors mon chéri, comme cela tu viens faire la cour à une dame ? Tu es bien beau sais-tu ! Mets-toi à l’aise, on va jouer ensemble, tu veux bien ? As-tu déjà fait joujou avec une dame ?

Ce faisant elle s’assoit devant lui, sur une chaise. Sa robe longue complétement dégrafée laisse apparaître ses jambes dénudées et lisses et ses cuisses blanches qu’elle écarte ostensiblement.

Alors là le chéri, il a vite fait de reluquer le beau décor. Il devient tout rouge et un grand sourire illumine son visage. De son côté elle dégrafe entièrement sa robe et son chemisier, laissant apparaître son balcon à lolos, couronné de dentelle.

– Viens mon chou, viens toucher la douceur du tissu.

Et tandis qu’il s’approche elle se débarrasse de ses vêtements pour quitter son soutien-gorge et libérer ses gros seins qui roulent entre les mains du jeune homme.

Il n’en revient pas ce dernier. De bons gros nichons, des vrais, des moelleux et doux et qui ont cette bonne odeur féminine qu’il a souvent ressentie quand sa tantine Finette l’embrasse en le serrant sur sa poitrine. Une odeur de femelle en chaleur certainement ! Cette odeur caractéristique qu’il perçoit certains dimanches matin quand il croise sa maman en petite chemisette, après une nuit où il avait trouvé que ses parents faisaient beaucoup de bruit dans leur chambre. (C’est étrange ?).

Emu il tripote les bonnes chairs de Louise. Il soulève, il caresse il se précipite sur les mamelons avec beaucoup d’empressement et malgré ses brusqueries elle semble en tirer du plaisir et s’offre à ses fantaisies.

– Ils te plaisent mon chéri, ils sont beaux !
– Ils sont gros !
– Tu n’en a jamais vu d’aussi gros ? Va s’y caresse-les, ils sont à toi. C’est doux, n’est-ce pas ? As-tu déjà touché les nénés de tes copines ?
– Oui mais elles les cachent et disent toujours que je leur fais mal !
– Les garces ! mais ne t’en fais pas, dans quelques temps elles vont bien aimer se les faire peloter leurs mamelles…Tu pourras y retourner !

Eh bien il les caresse ces beaux seins, il les palpe, les écrase, putain que c’est bon ! Il les pétrit et la dame coquine tout en se laissant bousculer ne se plaint pas et en profite pour retirer sa guêpière qui tombe au sol.

Il reste agrippé à ses seins qu’il torture sans ménagement. Elle a de tétins long et brun, il en saisit un qu’il pince violemment.

– Aye ! Petit voyou, tu connais déjà les bonnes manières…Ils te plaisent mes tétons !

Mais elle lui saisit sa main pour la faire descendre sur les rondeurs soyeuses de son bas ventre et l’entraîner vers de nouvelles caresses.

Cette main qui descend sur son abdomen, provoque tant de frissons à la chaude ménagère, qu’elle enserre le fripon entre ses bras et colle ses lèvres contre les siennes dans un baiser digne de ses fameux acteurs qu’on voit le dimanche après-midi au cinéma du quartier.

Quand elle le relâche, il est tout flapi le diable ! Hébété il ne comprend pas sur le coup ce qu’il lui arrive. Sa main enfoncée dans la chaleur de sa culotte lui fait réaliser soudain qu’il touche là au centre de gravité de ses désirs les plus secrets et les plus intenses.

Fébrile il pousse délibérément ses doigts dans le tissu soyeux, au risque de déchirer la culotte et cherche à investir cet endroit sublime et mystérieux qu’a cette femme, entre les jambes.

– Oh doucement mon chéri, te voilà bien pressé, attends je vais t’aider, laisse-moi retirer ma culotte ! Mais… attend petit impatient !
– Humm ! humm… Il grogne de bonheur l’Adrien.

Elle plie ses jambes et sous les yeux enfiévrés du jeune homme, elle retire sa culotte. Oh que c’est beau ! Il se régale Adrien de voir le chiffon dégringoler sur les chevilles de Louise en dévoilant son bas ventre. Quel joli geste ! Elle le fait valdinguer jusqu’au fond de la pièce, en le lançant du bout du pied dans un mouvement décontracté et élégant, non sans une certaine jubilation.

Bon dieu qu’elle est belle cette femme ! Planté, agenouillé devant elle, ses mains accrochées à ses cuisses, il l’admire, la dévore des yeux, s’extasie, savoure son bonheur, sa découverte ! La belle échancrure ! Avec ses doigts il écarte un peu les poils pubiens pour entrouvrir un peu plus la vulve chaude et humide. Ce foisonnement de chairs roses qu’il découvre lui fait penser à ces délicieuses papillotes de jambon cru et bien beurré que lui sert quelques fois leur bonne cuisinière les jours de fête ! Il en a l’eau à la bouche… mais cette odeur de pisse …Quand même ! Surpris il enfonce son nez dans la toison frisée au circonspect mais chatoyant parfum.

– Humm ! ça pue… (Oh ! L’indélicat…il ne dira plus cela, bientôt.).
– Allons mon chéri, lève-toi, viens avec moi, on n’est pas bien ici. Là-haut tu vas pouvoir la visiter ma foufounette. Viens vite dans la chambre je vais m’occuper de toi.

Alors il la suit. Elle le prend par la main, se dirige vers l’escalier et commence à monter en passant devant lui.

– Bon sang ce qu’elle est belle ! Les jolies jambes !

Dès qu’il la voit grimper les escaliers devant lui, Adrien a sous les yeux le plus beau des spectacles qu’il n’ait jamais vus. C’est comme un festival, un cabaret, une folie bergère pour lui tout seul !

La cheville légère,
La jambe altière,
Le galbe de ses cuisses potelées, épaisses,
Et le cul… Oh ce putain de cul ! Oh oui, les jolies fesses !

Adrien n’en revient pas. Il reste figé, tétanisé, ébloui. Il bande à s’en faire péter tous les boutons de sa braguette !

Dans cette posture impudique sous le regard ému du garçon, elle sait ce qu’elle provoque la salope. Elle l’aguiche en bougeant son cul… et je te plie la fesse… et je t’écarte les cuisses… et je te soulève la jambe pour laisser entrevoir des profondeurs qui vont te brouiller les yeux mon chéri… c’est qu’elle maîtrise la salope, oui elle maîtrise et même elle en rajoute encore en lui larguant dessous le nez un de ces pets tonitruant qui laisse pantois mais détendu son poursuivant ! S’il avait été moins novice et plus perspicace, il aurait pu s’apercevoir le bonhomme qu’elle avait l’entre cuisses vachement humide la cochonne.

Elle savoure le moment, fait durer la montée de l’escalier…elle mouille de sentir sur son cul les yeux exacerbés du jeune homme.

A chaque marche en se plissant, la fesse, provoque chez Adrien de violentes pulsions. La raie du cul s’égaye en laissant entrevoir des trésors insoupçonnés et voluptueux. Une touffe brune apparaît sous la commissure des cuisses découvrant un peu plus le divin trésor caché entre les jambes.

Quand elle soulève une jambe puis l’autre lentement, il peut même apercevoir furtivement le trou du cul de la Belle…

– Oh ! oui le trou du cul !… Elle a un trou du cul !

(Ben oui ce trou du cul qu’elles ont les Dames, comme tout le monde c’est sûr, mais un trou secret qu’il n’a jamais vu lui, Adrien).

C’est qu’il est toujours caché ce trou sur les photos des revues fantoches qu’il regarde. Quant aux filles qu’il a rencontrées, elles en ont aussi un trou du cul, pardi ! Mais un trou tout petit, inquiet, qu’elles ne montrent jamais. C’est défendu. C’est leur secret et puis c’est sale, c’est le trou du caca ! (Boff ! si on s’arrête au détail !).

– Oh elles verront bien plus tard ! Qu’elle dit la Louise.

Trou du cul tant vanté dans les écrits de fameux poètes. Ecrits qu’on ne trouve pas bien sûr dans les manuels scolaires, mais trous du cul si bien décrits et appréciés par ces bons auteurs qu’il a lus dans ces livres qu’il a dénichés dans le bureau de son père, Adrien.

Trou du cul qu’il va découvrir dans un instant si elle veut bien la dame…

– Oh bien sûr qu’elle voudra !

Elle continue à monter, lentement, elle s’excite en même temps. Elle jouit de se sentir observée, désirée. Son trou du cul se resserre automatiquement, ça lui donne des frissons.

(Eh oui ça fait tant de bien un trou du cul quand ça se resserre ! n’est-ce pas les amis ?).

Il continue à savourer sa beauté, ses provocations, son insolence.

– Ah la jolie croupe, se dit-il non sans faire un rapprochement certes un peu cru mais très excitant, avec ses études au cours desquelles il a pris plaisir à flatter ladite croupe de quelques jolies pouliches. (Ah ces femelles, bon dieu !).

A chaque marche elle fait glisser ses fesses l’une contre l’autre… que c’est splendide, une vraie machine à broyer des bites… c’est envoûtant ! Ce n’est pas possible… elle a le cul aguichant et souriant… il est fait pour recevoir des faveurs !

Perché derrière elle sur l’escalier, il n’en revient toujours pas Adrien. Il est un peu comme un fauve devant sa proie. Un gros chat qui guette une souris.

Il va s’amuser, la tirer par les pieds. La faire tomber dans ses bras. Lui tapoter les fesses, la tournebouler comme une crêpe, la faire sauter en l’air, la baiser, l’enculer… oh oui l’enculer ce doit être fantastique… tu vas voir ma souris !

En levant les yeux il aperçoit le long défilé de ses jambes qui montent, qui montent jusqu’à la grande ouverture de sa pachole luisante et rouge qui semble le narguer !.

Aussi, arrivé en haut de l’escalier il se précipite pour la saisir par la croupe…

Mais gêné par son pénis, engoncé dans son froc, il trébuche et se rattrape sur le bord de la marche, le nez coincé entre les chevilles de la coquine, honteux et vexé comme un soumis sous sa maîtresse…

– Eh bien jeune cupidon, du calme, il faut se retenir voyons…

Elle lui pose un pied sur le crâne.

– Allons, viens vers moi, viens quitter tes vêtements… quelle mauvaise idée de rester habillé devant une dame toute nue !

Il se relève devant elle qui assise sur le grand lit, commence à lui ôter ses vêtements. L’un après l’autre, doucement… elle se rit de son inexpérience et de son impatience.

– Tu as un joli buste mon chéri. Tu es beau ! et tous ces poils ça fait de toi un superbe étalon… un vrai bourrin ma parole ! (Putain ces jeunes mâles !).
– Oh vous vous moquez Madame !
– Voilà qu’il me vouvoie le bandit, ce n’est pas croyable ! Mais voyons ce qu’il cache dans sa gibecière !

Oh il ne va pas la vouvoyer pendant longtemps le garçon. Elle lui descend le pantalon et déjà jaillit du caleçon un de ces braquemarts qui, sans l’étonner, car elle en a déjà vu d’autres, ne la laisse pas indifférente et peut s’en faut qu’elle ne s’enfourche dessus.

C’est que finies les politesses. Il ne fait pas de courbettes le braquemart ! C’est du direct, de l’insolence, du branle-le bat de combat… haut le cul… c’est un hold-up !

– Ah mon Monsieur que tu es beau ! Que tu es fort ! Qu’elle lui dit tout en saisissant son sexe et en lui caressant les couilles. Oh putain qu’il est gros !

Il est ravi le ‘Monsieur’. Il bande et elle lui retrousse le prépuce encore bien serré.

– Oh le crado ! Mais il ne se rince pas la bistouquette tous les jours le voyou ! Regardez-moi ça… c’est la cave à fromage… ta maman ne t’a jamais appris à te décalotter la baguette mon cochon… ce n’est pas du pain beurré ton pilon !

Il est un peu honteux l’Adrien, il rougit et veut s’essuyer…

Mais non, elle n’est pas fâchée Louise. Au contraire elle aime ça. Elle lui prend la bite à pleine main, la renifle, elle hume le sauvage parfum !

– Humm ça sent le jeune bouc… Elle aime ça. Oh oui elle adore…

« Et ouvrant une large bouche elle engloutit le gros engin ». Elle se pâme.

(Une belle histoire de fromage à en faire un poème…N’est-ce pas Monsieur Jean de La Fontaine ? d’autant que cette pine vaut bien un fromage, n’est-ce pas !Oh mes amis !).

– Oh que c’est bon !

Oh que c’est beau !

Les mains posées sur la tête de sa divine suceuse, Adrien se régale de cette nouvelle gâterie qu’il n’a pas eue jusque-là l’occasion de connaître. Rien que la vue de cette bouche gourmande qui avale si goulûment son sexe, ça lui donne de violents frissons qui lui parcourent la colonne vertébrale et lui stimulent la libido au point que comme un habitué il empoigne la gloutonne par les cheveux pour lui faire faire des allers retours méthodiques et profonds sur sa tige vigoureuse.

– Humm c’est bon ! Oui comme ça…j’aime ! Putain c’est bon ! Aller suce-moi’ salope’, qu’il s’écrie soudain !

Surprise et ravie par ce qu’elle vient d’entendre, elle ouvre des yeux tous blancs. Elle aime se faire traiter de salope surtout par ce jeune. Alléchée elle titille le bout du gland avec sa langue, l’entoure avec ses lèvres, lui mordille la hampe, caresse ses bourses…il n’en peut plus le gars il est au bord de l’extase.

– Oui je suis ta salope, dis-le-moi que je suis ta salope, que tu vas m’aimer, me baiser.

Elle le sent bien Louise aussi s’arrête-t-elle de le sucer pour s’étendre sur le lit. Lui veut la retourner, cherche à la dominer, à la prendre par derrière en se précipitant sur elle. Mais elle se refuse…

– Mon salaud tu es bien un mec Toi, un vrai mâle…c’est le cul qui t’intéresse !

(Sûr ! Quand on a un bon manche… ).

Elle finit par s’allonger sur le dos et l’attire entre ses jambes.

Elle ouvre ses cuisses…

Il est sur elle, mais emberlificoté entre ses guibolles, ses bras et ses efforts pour aller de l’autre côté, il ne sait pas comment se mettre… Il sent qu’il va jouir et… Catastrophe !

Il n’a pas pu se retenir le malheureux… il jute le maladroit… il jute de partout sans avoir pu ni l’enculer, ni l’enconner la garce !

Il crache sur son ventre, sur ses seins, elle en prend plein le menton…

Oh putain le gaspillage, la débâcle, le déluge… et ce jet qui n’en finit pas !

Habille connaisseuse elle a vite fait de rattraper la biroute qui tournicote entre ses cuisses et de la clisser dans l’ouverture béante de sa foufoune, mais c’est trop tard la source est épuisée.

Heureusement le fouteur a encore la bite bien raide et au prix d’un violent effort il pénètre en triomphe à l’intérieur du divin réceptacle que lui ouvre Louise.

Enfoncé dans le con de la Belle il est subjugué Adrien. Il sent qu’il lui a tout mis le garnement. Tout, ras ses couillons, ras sa cramouille bordée d’un gazon crépu qui lui chatouille les couilles, tout mis pubis contre pubis…

– Oh que c’est bon ! oh que c’est bon une femme !

(Ben oui mon coco, c’est bon une nana, qui dirait le contraire… mais un homme tu n’as pas essayé avec un mec ? Ah bon ce n’est pas le jour, tu as raison…).

C’est bon en effet avec Louise d’autant qu’elle est vachement serrée la bobonne ! Il a dû forcer l’Adrien, forcer à se faire mal au zizi. Qu’importe le plaisir est venu et la fierté aussi : il l’a baisée, c’est sûr ! Il est un homme !

Louise de son côté a apprécié cette forte pénétration. Ça fait longtemps qu’un aussi vigoureux gland ne lui a pas fait autant de bien. Elle l’a bien senti celui-là ! Elle s’est sentie écartelée, bien fendue. Ça fait du bien une bonne queue comme celle-là ! Et même s’il n’a pas déversé ses humeurs dans son ventre, elle en a, oh combien, apprécié les déversements sur son corps, sur ses seins, elle s’en lèche encore les babines. C’est de la bonne semence, elle se sent honorée.

Cependant elle reste sur sa faim la Louise. Elle est chaude, humide. Elle n’a pas été satisfaite, elle n’en peut plus. Il lui faut se faire bousculer davantage. Elle s’agite, c’est elle maintenant qui s’impatiente.

– Voyons baise-moi ! bouge-toi un peu, remue-les tes couillons, mon chéri. Fais-moi jouir nom de dieu…et se disant elle lui claque les fesses pour l’encourager à la bourrer sa pouliche.

Et bientôt la voilà qui crie, qui le traite de tous les noms d’oiseau pour l’exciter et l’entraîner dans une cavalcade infernale. Les bras sous ses genoux il la soulève, lui fend les cuisses, il la bourre à grands coups de reins. Pénètre, ressort et s’enfonce de nouveau jusqu’à la faire hurler de plaisir et à s’ébattre comme une démente. Elle lui claque encore les fesses, lui tambourine le dos et lui griffe les fesses jusqu’au sang, pour finir par un suçon dans le cou.

Essoufflé il s’abat sur elle, l’écrase. Sous son poids elle a du mal à respirer, elle resserre ses jambes, Enfin elle capitule, enconnée raz les couilles du bon garçon, enfilée sur la grosse tige comme une poularde sur un barbecue !

Affaissée sous lui, les bras en croix elle reprend doucement son souffle. Jouit encore du bonheur de sentir son sexe dans son ventre, contracte son vagin sur le gros encombrement dont elle savoure encore la présence, puis saisissant sa chevelure elle embrasse Adrien, à pleine bouche…qu’il est bon son nouvel amant ! il n’a pas démérité.

Le calme est doucement revenu. Il n’a pas encore débandé le jeune amant, mais sa pine s’est échappée du divin tabernacle et Louise en se redressant légèrement se rapproche du bel outil pour le saisir et le caresser mollement.

– Ouah ! il est tout rouge ton pierrot, mon chéri ! qu’est-ce que tu me fais- là ? c’est du massacre… oh le ‘pôvre’ ! Ben voilà ce qui arrive quand on se fait dépuceler si drument, jeune homme ! On veut faire le mac et on a la cheville qui dérouille…
– Bon, on va remédier à cela, donne-le-moi ton boutefeu, avec ma bouche je vais faire des miracles.

Alors par-dessus lui elle lui a pris en bouche son pénis et le suçote bien entendu avec beaucoup de salive.

– Humm c’est bon, mais ça pique encore un peu…
– Mais bien sûr tu t’ai déchiré le prépuce mon grand fou…Tu y a été à la manœuvre mon salaud… pour un dépucelage ça été un sacré dépucelage… envolée ton innocence, tu t’en souviendras !
– Mais c’est fini, le prochain coup ça va passer comme une lettre à la poste… Tu es bel et bien un homme maintenant !

Sur ce elle va continuer à lui cajoler la biroute notre infirmière tout en s’étendant en 69 sur le corps de sa victime afin de lui offrir en compensation la profondeur de ses intimités à consommer sans modération.

C’est donc là que nous nous retrouvons au début de cette histoire où notre cher Adrien est en train de s’épanouir entre les cuisses vertigineuses de la Louise ravie de se faire tarabiscoter par un jeune gars de fort belle espèce.

Et il s’en donne à cœur-joie le bel homme.

Il n’a jamais vu d’aussi près ni le cul, ni le con d’une femme.

C’est merveilleux. Il s’embrouille un peu le nez dans le gazon odorant et gluant qui encombre les rivages nacrés de l’ouverture femelle et après se l’avoir trempé dans les séquelles de ses épanchements, il se tourne résolument du côté de son postérieur afin d’en écarter les fesses et découvrir lumineux son fameux petit trou du cul…

– Oh qu’il est beau ! Oh le joli bijou ! Oh la belle indécence !

Qu’il est mignon l’indolent, et pas craintif pour un sou, ouvert, détendu, prêt à être courtisé, pénétré sans doute, voire même à chier par plaisir le cochon… (Car quand on est trou du cul on reste trou du cul)… mais pour l’instant il se plaît simplement à recevoir l’index d’Adrien qui n’a pas mis longtemps à savoir qu’en l’endroit son doigt provoquerait tant à sa patronne qu’à lui-même d’innombrables et violents frissons de jouissance.

D’ailleurs elle jouit la Louise ! Oh quelle jouit bien tout en remuant son cul et en aspergeant de sa mouille le visage de son copulateur qui épanche la vague visqueuse en lapant comme un chiot le délicieux breuvage.

Il jouit lui aussi en même temps le garçon. Il crache pour la seconde fois son miellat dans le gosier de la Belle qui s’en délecte sans en perdre une goutte en suçant délicatement le gland tuméfié du jeune homme.

– Comme ça a été bon, avoue la bonne dame. Tu es un bon amant ! Et ton doigt… ah voyou que c’était bon ! décidément tu apprends bien vite les bonnes manières mon coquin !

Alors ils passent un doux moment à se congratuler tous les deux, se caresser, se faire des mamours, des bisous dans le cou, se regarder, s’admirer.

Toujours bandé Adrien tripote Louise, essaie de la tourner, veut s’adresser à son cul. Il voudrait l’enculer maintenant, c’est sûr il en a trop envie et elle aussi d’ailleurs, mais quand elle regarde sa bite…

– Oh non mon chéri, tu ne peux pas. Tu vas le casser ton biniou, il est trop abîmé, il va prendre feu, malheureux !

Aussi pour le consoler elle lui prend son bel oiseau dans les mains, elle lui branle lentement la hampe entre les couilles et le gland pour ne pas lui faire mal. Elle lui fait des bisous sur le crâne chauve de son gland.

– Oui, c’est bon comme ça qu’il lui dit. Continue c’est bon !

Elle poursuit. Il bande davantage…

– Tu as une belle queue, oh le joli nœud !

La bite qui se tend de plus en plus est prête à exploser. Elle n’arrête pas ses va et vient, glisse une main devant le gland et l’autre sous son cul qu’elle cambriole vigoureusement …

Oh que c’est bon, il jouit le brave, il jute dans le doux réceptacle, déversant encore ses humeurs dans le creux de la main de Louise qui radieuse s’en barbouille la poitrine et le visage et saute au cou du garçon pour l’embrasser longuement.

– Oh Diable que c’est bon !
– Mon chéri il faudra revenir me voir. Ton joli vireton va vite se remettre et maintenant que ton prépuce s’est élargi tu vas m’en faire des bonnes choses, petit coquin !

La journée tire à sa fin. Il va être temps qu’Adrien rentre chez lui.

– Viens on va prendre une bonne douche, tu ne vas pas rentrer chez toi parfumé de toutes ses bonnes et sauvages odeurs dont nous sommes enveloppées, viens je vais te frotter le dos…mais pas que !
– J’ai envie de pisser. Tiens, as-tu déjà vu une femme pisser ?
– Non jamais, montre-moi !

Alors dans la douche elle se met à pisser la cochonne. Un gros pipi bien jaune et bruyant et odorant avec cela ! c’est comme ça, après l’amour elle a toujours une grosse envie de pisser. Cuisses écartées, ventre tendu elle pisse comme une pouliche la bonne salope.

Les yeux ébahis il observe Adrien. Que c’est drôle ! Que c’est beau. Elle écarte bien sa vulve pour lui montrer son petit trou à pisse. C’est une immense surprise pour lui. C’est donc par ce tout petit trou qu’elles pissent les dames… si fort et si bruyamment ! il est tout content de sa découverte, il touche un peu du bout du doigt la douce muqueuse et du coup ça lui donne envie d’en faire autant. Et comme il déverse un gros jet à travers la baignoire, elle se glisse dessous et se fait arroser les lolos avec un plaisir évident qui stimule encore plus Adrien.

Pour la taquiner il relève sa bite et lui éclabousse le visage. Elle n’a pas l’air contrariée, bien au contraire, elle sourit, ferme les yeux et ouvre la bouche pour déguster l’âcre breuvage qui lui remplit le gosier. Elle avale mais elle suffoque et se redresse en se retournant pour échapper à la noyade. Mais courbée, comme elle lui présente son dos, il en profite pour lui pisser au cul un dernier petit jet qui la fait mourir de rire tant ça la chatouille.

– Putain c’est terriblement excitant, elle écarte exprès ses fesses mais dommage la source est tarie, faudra recommencer !

Décidément il en aura fait de sacrées découvertes cet après-midi. Elle est vraiment chouette cette Nana, il se promet de répondre au plus tôt à ses invitations dès que son zizi sera bien remis…

Maintenant l’Adrien, il est un mâle accompli, alors sûr que le petit trou du cul de la Louise ne va pas y réchapper la prochaine fois. On va voir qui va craindre le plus pour son médaillon ou bien pour son pucelage ! Putain il va lui élargir son trou de balle !

Ce soir de retour chez lui il est fier Adrien.

Fier il se branle encore dans son lit, oh que c’est bon !

Il bande, décalotté il bande comme un Turc, nom de dieu !

Et il jute, oh putain ! Il jute plein les draps et tant pis s’il en fout partout, même que la petite bonne, ‘Anita’, elle va se prendre une grosse émotion demain matin quand elle va sortir les draps pour les laver !… Oups !

Alors il s’endort Adrien, il est aux anges et il rêve le bienheureux… et savez-vous à quoi il rêve le bon gars ?

Eh bien au cul de Louise, pardi !…

…et vous alors ?
06/01/2023

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2 réponses à Tant va le Temps… Tant va le Cul… – 11 – Adrien… par Verdon

  1. Verdon dit :

    Je sens ton nombril contr’ le mien
    Et la chaleur de tes deux couilles;
    Ton doigt n’était pas si mouillé
    Et ta main ne battait pas la cadence,
    Mait’nant c’est bien plus régulier,
    Ah nom de dieu, Ah nom de dieu!
    Quelle jouissance!
    Ah nom de dieu, Ah nom de dieu!
    Qu’on recommence!
    C’est la version américaine…Je préfère la version française que tu as présentée. il ne faut pas laisser aux amerloques (ce sont des sauvages), une jolie fille en chemisette, qui de son cul cache l’orée pour faire grimper nos émotions et coucouner nos gros roustons.

  2. Harivel dit :

    Le titre m’a fait penser à cette chanson paillarde que tu connais peut-être
    Cette fois Adrien, tu m’l’a mise
    Ce n’est plus ton p’tit doigt qui m’chatouille,
    Je sens à travers ma chemise
    La chaleur de tes grosses couilles

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