Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 9 – En route pour Mabilla par Nicolas Solovionni

Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 9 – En route pour Mabilla par Nicolas Solovionni

Une nouvelle fois la duchesse me convoque et cette fois me laissa entendre que Dyane serait également la bienvenue.

Elle est magnifique, nous recevant simplement vêtue d’un bustier noir laissant dégarnie ses interminables jambes.

– Je me suis bien amusée, Fitoussi a été victime d’un fâcheux incident qui lui a coûté la vie, c’est Grunberg qui le remplace, il ne va pas durer longtemps, pas assez de couilles. Et je peux le neutraliser quand je veux

J’ai un peu de mal à suivre mais je n’en dis mot.

– Autrement dit, tu peux maintenant faire ton boulot tranquille, personne ne viendra t’emmerder .
– Je dois te remercier…
– Mais non, ça m’a distrait. Vous n’avez plus qu’à attendre le retour de leur vaisseau pourri. A ce moment-là, je ferais ce qu’il faut pour qu’on ne vous réponde pas n’importe quoi.
– Je vous en remercie.
– En attendant il faudra passer le temps, venez donc près de moi tous les deux, j’ai besoin d’un moment de tendresse.

Elle s’assoit dans un grand fauteuil et tend ses longues jambes.

– J’ai envie qu’on me lèche les pieds, vous n’avez rien contre ?

Ben non, je n’ai rien contre même si ce n’est pas vraiment ma tasse de thé, mais d’une part il faut bien admettre que ses pieds sont fort jolis, et d’autre par ce petit jeu me semble un prélude comme un autre à des choses plus torrides. Donc on s’apprête à le faire mais la duchesse nous stoppe.

Mais non mes chéris, vous allez vous déshabiller d’abord ce sera plus cool.

Alors d’accord, on se met à poil et on commence à lécher les jolis pieds de la madame.

Mais voilà que je reçois un coup de martinet sur les fesses. Qu’est-ce que c’est ? C’est Swan que je n’avais pas vu arriver, il est là, la bite à l’air et nous cravache au martinet (modérément) sans doute pour nous stimuler.

Je commence à prendre gout à ce léchage de pied suçant le gros orteil comme s’il s’agissait une bite trapue.

Derrière moi, Swan a stoppé ses coups de martinet et se met à me tripoter mon trou de balle un peu la langue, un peu les doigts. Qu’il continue, j’adore ça ! Et puis tout d’un coup, je sens quelque chose de plus consistant qui veut entrer. Il m’encule ou quoi ? Un coup d’œil sur ma gauche Dyane est en train de subir le même sort que moi, Swan avait un gode dans chaque main et maintenant nous avons tous les deux un gode dans le cul, il les fait aller et venir après avoir actionné le vibrateur intégré, ça me fait un bien fou évidemment. Pareil pour Dyane qui commence à pousser des petits cris de plaisir.

– T’aimes ça, hein ? Me nargue la Duchesse.
– Ouiiiii !
– Mais je suis sûre que tu préférerais une vrai bite ?
– Tant qu’à faire !
– Vas-y Swan, baise-le, puisqu’il aime tellement ça ! Et moi j’adore regarder deux hommes qui s’enculent, ça m’excite tellement ! Dyane tu vas venir me brouter la chatte pendant que je les regarde.

Swan me donne d’abord sa belle bite à sucer. C’est pour moi toujours un plaisir que d’avoir un beau membre bien raide dans ma bouche gourmande (mais de ça, les lecteurs le savent déjà !)

Je lèche consciencieusement agissant de la langue et des lèvres et je bande comme un cochon.

– Tu l’as assez sucé, donne-lui ton cul maintenant !

Je le fais, j’écarte les fesses et le laisse faire. Sa bite me pénètre tout entière puis entame une série de va et vient, je suis aux anges

Quant à la duchesse, elle est aux prises avec la langue experte de Dyane et jappe comme une minette en chaleur en se titillant ses jolis tétons.

Swan s’excite derrière moi me pilonnant mon trou du cul de plus en plus vite. Je présume qu’il est près de jouir.

Et ça y est, le pâtre grec décharge en rugissant, un peu rapide le mec ! Il décule et le donne sa bite visqueuse à nettoyer. Monsieur est trop bon !

Pendant ce temps-là Duchesse nous fait des orgasmes à répétition…

Je ne sais pas quoi faire de ma queue. Alors je me branle en regardant les deux nanas.

– Jute moi dessus ! Me demande la Duchesse

Voilà qui n’est pas un problème, je m’avance et me termine, notre hôtesse en reçoit partout, sur les seins et sur le visage. Dyane est invitée à nettoyer tout ça, tâche dont elle s’acquitte avec plaisir.

La duchesse a demandé à la capitainerie de la prévenir dès que le Kertgulm reviendrait..

Et c’est donc ce qui se passa quelques semaines plus tard.

La duchesse entre alors en contact avec le capitaine Bhaduri commandant du Kertgulm.

– Bonjour Capitaine, je tenais à vous informer qu’il y a eu quelques changements ici. Benito Fitoussi a succombé à une mauvaise fièvre et j’ai récupéré une partie de ses activités.
– Ah ? Vous savez les affaires internes de la planète…
– Vous vous en fichez ?
– Un peu, oui, je ne suis qu’un transporteur, et un transporteur ça transporte, alors que ce soit Fitoussi ou un autre.
– Eh bien, passez donc me voir avec votre subrécargue dès votre arrivée, nous ferons mieux connaissance.

La duchesse m’avait également convoqué, j’allais donc enfin savoir où était passée Sierra.

Les deux cosmonautes sont invités à s’assoir, on leur sert un café.

– Je n’irais pas par quatre chemin, commence la duchesse, vous avez embarqué contre son gré une personne transsexuelle, qu’en avait vous fait ?
– On nous a dit qu’elle était légèrement souffrante et qu’elle était sous la protection de monsieur Grunberg. Répond le subrécargue.
– Vous ne répondez pas à la question !
– Monsieur Fitoussi nous avait demandé de la présenter à un monsieur Guillodon sur Mabilla.
– Et ensuite?
– Ben on a fait la transaction, c’est tout .
– Il en a fait quoi ce Guillodon ?
– Mais je n’en sais rien.
– Je suppose qu’il y a un bordel sur Mabilla ?
– Oui.
– Et ce Guillodon en est le propriétaire ?
– Non, pas du tout, la proprio, je la connais
– Mais il travaille pour elle ?
– Disons qu’ils se connaissent.
– Donc Sierra pourrait avoir atterri dans ce bordel.
– Ça paraît possible !
– Bon, capitaine vous avez d’autres questions ?

J’ai simplement demandé aux deux types quelques précisions sur cette planète Mabilla que je ne connaissais pas…

La duchesse me passe un petit papier.

« Tu vas aller là-bas, je suppose ? »

J’opine du chef.

– Bien, messieurs, reprit la comtesse, nous avons appris ce que nous voulions savoir. Il vous est interdit de reprendre l’espace avant 15 jours. Rompez !
– Mais !
– Taisez-vous, vous vous en tirez très bien, le trafic d’êtres humains constitue un délit plutôt sévèrement puni, savez-vous?

Pourquoi ces 15 jours de quarantaine ? C’est tout simple, ils ne faudrait pas que Bhaduri atterrisse avant moi sur Mabilla et fasse en sorte de faire dissimuler Sierra !

Nous avons débarqué Romani qui ne nous sert plus à rien et nous revoilà partis, direction Mabilla donc, heureusement que j’ai du fric parce que ça commence à couter cher en carburant toutes ces petites balades !

L’arrivé sur Mabilla après 15 jours de navigation est plutôt cool, un robot (je suppose) nous indique une aire d’atterrissage. On descend. Pas de formalités, pas de contrôle, il y a bien un hall de sortie mais il pue la crasse, c’est donc « entrée libre » sur cette planète ! Je l’ignorais !

La configuration du lieu est un peu la même que dans beaucoup de ces petites colonies, quelques bâtiments à la sortie du cosmodrome (en fait je ne vois qu’un hôtel), la ville étant un kilomètre plus loin.

On entre dans cet hôtel afin d’y boire un coup, une accorte soubrette au décolleté de compétition nous fait le service en nous gratifiant d’un sourire format commercial. J’y vais au culot,

– On cherche à s’amuser un peu, il y a quoi dans le coin ?
– Pas grand-chose, une salle de jeu, un salon de massage .
– Un bordel ?
– Oui, L’aquarium, il est surtout fréquenté par les pêcheurs de perles…
– Les pêcheurs de perles ?
– Ben oui, les Sphères de Mabilla ! Vous n’allez pas le dire que vous ne connaissez pas ?
– Si, si bien sûr.

Il s’agit de grosses perles nacrées très dangereuses à pêcher et qui se monnayent à prix d’or (voir l’Odyssée de Zarouny du même auteur) mais nous ne sommes pas venues pour ça.

– Ici ce n’est pas un bordel, mais si je vous plais je peux toujours faire un extra !
– Pas aujourd’hui mais c’est promis je repasserais vous faire un bisou
– Vous ne je regretterez pas !

A suivre

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2 réponses à Stoffer 5 – Le collier de Marcia – 9 – En route pour Mabilla par Nicolas Solovionni

  1. Jean-seb dit :

    Une domina dans le cosmos pourquoi pas ?

  2. Baruchel dit :

    Mais elle est diabolique cette Duchesse

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