Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 18 – Partouzes sur la terre ferme par Nicolas Solovionni

Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 18 – Partouzes sur la terre ferme par Nicolas Solovionni

Hofjom est venu me trouver en m’indiquant qu’un type qui possédait une petite boite de pièces détachées souhaitait la vendre, et que la chose l’intéressait. Je lui ai donc prêté quelques sous afin qu’il puisse reprendre l’affaire.

Gundula s’est installée chez moi, pour quelques temps, notre liaison durera ce qu’elle doit durer, nous en sommes bien conscients tous les deux, c’est pour cela qu’elle a voulu conserver son travail à la clinique, elle ne souhaite pas être à mes crochets, elle a bien raison.

Ce soir elle était invitée à une soirée entre filles organisé dans l’appartement de Dyane. Il y aurait aussi Nadget, Elvira, Valencia, Tallulah et quelques autres.

– Tu me raconteras ! Lui demandais-je.
– Ça dépend, toi tu vas faire quoi ?
– Ça fait un bout de temps que je n’ai pas été profiter de mon cabaret… J’avais pas trop envie ces dernier temps. Là ça me titille de nouveau.
– Cochon !
– Oui, mais j’assume !
– Tu me raconteras aussi ?
– Bien sûr !

Et le lendemain, nous nous sommes raconté nos frasques respectives.

Le récit de Gundula

On a pas mal bu, pas mal déconné, puis des couples et de petits groupes se sont formés. L’ambiance est devenue de plus en plus chaude et débraillée.

Je me suis retrouvée, je ne sais trop comment, avec Elvira et Dyane dans sa chambre.

On s’est amusé à se peloter les seins, et à se faire de petits bisous, Elvira jouant les divas, mais ça lui va si bien, elle est tellement belle !. On s’est vite retrouvé à moitié à poil, Dyane a donné ses jolis seins à téter à Elvira, et cette dernière ne voulant pas faire de jalouse s’est emparée des miens. Putain sa langue sur mes tétons, qu’est-ce que c’était bon ! D’autant qu’en même temps Dyane en profitait pour me rouler une gamelle

Ça été la fête à nos nichons pendant un long moment, chacune suçait, chacune était sucée. Un moment j’avais la langue d’Elvira sur un téton, et celle de Dyane sur l’autre. Une sensation inouïe !

On a fait une petite pause, Dyane a quitté un moment la chambre puis est revenue avec une bombe de crème Chantilly. Elle m’en a aspergé les seins, et les deux autres se sont amusées à déguster tout cela !

Nous sommes ensuite passées à des choses plus hards, on a fini de se déshabiller, Elvira s’est couchée sur le dos, je me suis accroupie au-dessus de son visage afin qu’elle puisse me lécher la chatte, tandis que Dyane lui écartait les cuisses pour lui butiner le minou.

Un moment Dyane a changé de position, elle s’est débrouillée pour que sa chatte soit en contact avec celle d’Elvira, et elles se sont mises à se faire du frotti-frotta. La position de Dyane lui permettait d’avoir accès à mes nichons, apparemment elle ne s’en lassait pas .

Un moment je me retournais afin que Dyane puisse profiter de mon gros cul. Mais cette salope au lieu de me le caresser, se mit à me donner des fessées. J’avoue que ce n’était pas désagréable. Puis elle m’a écarté mes fesses et ma léché le trou du cul comme elle sait si bien le faire. Elvira s’est mise à côté de moi réclamant elle aussi qu’on lui lèche l’anus. Dyane nous a alors doigté simultanément, Quand elle a ressorti ses doigts imprégnés du jus de nos culs, elle les a léchés avec gourmandise.

Dyane a ensuite sorti un gode de sa cachette, tout le monde le voulait dans son cul, on a tiré au sort. J’ai gagné et elle m’ont fait aller et venir la bite artificielle à un rythme infernal, je jouissais comme une folle et quand le gode est ressorti pollué de matière on s’est précipité dessus pour le nettoyer, moi la première.

Dyane et Elvira se sont fait jouir presque simultanément, moi pas encore, alors on a changé nos positions. A mon tour d’être sur le dos; Elvira venant entre mes cuisses.

Dyane s’est amusé à m’attacher les poignets, je l’ai laissé faire, puis tandis que la langue d’Elvira s’agitait de plus en plus, Dyane m’a redonné ses tâtons à téter avant d’attaquer les miens qu’elle mordillait légèrement.

J’ai enfin joui, j’étais bien, Dyane m’a détaché et embrassé, puis Elvira m’a pissé dans la bouche. Une bonne soirée, quoi !

Fin du récit de Gundula

Et maintenant à toi !

Pas mal de monde au Diable rose, ce soir, et la musique est assourdissante, quelques-unes des pensionnaires de l’établissement me saluent et je me dirige non pas vers mon bureau, n’ayant rien de particulier à y faire mais vers celui de Riquita, ma régisseuse transsexuelle.

– Oh ! Bonjour patron ! Me dit-elle avec un sourire désarmant.

Elle est là sur son canapé, en culote et soutien-gorge blanc sous un chemisier déboutonné de la même couleur.

– Tu m’as l’air débordé à ce que je vois ! Lui fais-je remarquer.
– J’ai bien le droit de souffler un peu, non ? Il y a eu une bagarre hier soir, un cinglé qu’on a été obligé de sortir, mais il a cassé du matériel, il faut qu’on remplace tout ça, qu’on voit avec l’assurance, tout ça.
– Vous ne vous êtes pas débrouillées pour faire payer le mec ?
– Bien sûr que si, mais l’assurance n’est pas obligée de la savoir.

Elle se lève, s’avance vers moi, se fait chatte, caresse mon torse à travers mon tee-shirt.

– J’ai un peu squatté ton bureau, j’ai auditionné une nouvelle, elle devrait te plaire…
– Une trans ?
– Oui, une belle blonde ! Elle attend dans ton bureau. Elle s’appelle Mimi.
– Quelle originalité ! Et qu’est-ce qu’elle fout dans mon bureau ?
– J’attendais Joanna pour la tester, mais elle n’a pas l’air pressée de venir. Viens je vais te la présenter.

On change de pièce, effectivement mon canapé personnel est occupé par une magnifique créature en sous-vêtements noir et rose.

– Je te présente le patron ! Lui dit Riquita.
– Bonjour Patron !

Riquita, collée dernière moi me masse la braguette et quand elle sent la chose convenablement bandée la fait sortir de sa cachette.

Je me branlotte un peu pour en affiner la rigidité. Je m’approche du canapé, Mimi est maintenant très proche de moi, elle ouvre une large bouche et me gobe ma queue avec gourmandise, tandis que Riquita me pelote les fesses

Je décide d’opter pour une position plus confortable et rapidement nous nous retrouvons couchés tous les trois, et tandis que Mimi continue de me sucer la bite, j’ai dégagé la magnifique queue noire de Riquita afin de m’en régaler comme il se doit de ma bouche gourmande..

Je prends mes aises et m’allonge de tout mon long, résolu à me laisser faire par ces deux magnifiques créatures. Riquita vient alors me sucer la bite tandis que Mimi m’embrasse à pleine bouche de sa langue diabolique

Mimi veut ensuite gouter à la queue de Riquita Je passe derrière elle, lui écarte ses jolies fesses, approche ma langue de son petit trou du cul et me met à le lui lécher avec gourmandise L’endroit devient vite bien lubrifié et d’un seul coup de rein je l’encule.

Riquita se dégage de la bouche de sa collègue et vient derrière moi, je sais ce qu’elle va faire et accueille volontiers sa bonne bite dans mon cul, Nous voilà trous les trois en train de faire le petit train, je suis à la meilleure place, j’encule et me fait enculer !

On finit par se désemboiter et je reprends ma position passive, couché peinard sur le dos Mais voici Mimi décidemment insatiable qui ne trouve rien de mieux à faire que de venir s’empaler sur ma bite. Riquita qui ne veut pas être en reste m’encule de nouveau. A ce rythme-là, mon cœur ne va jamais tenir !

Allez, j’ai envie de jouir, j’encule Riquita pendant qu’elle suce Mimi

Je souffle un peu, nous nous embrassons tous les trois dans un grand moment de tendresse, puis je prends la bite de Mimi dans ma bouche Je n’y avais pas encore gouté !

– T’aime ça, sucer des bites ! Me lance Riquita qui connait évidement la réponse

– Humm, elle est trop bonne sa bite !
– Régale toi, pendant ce temps-là, je vais t’enculer !

Encore ! C’est décidemment la fête à mon cul ! Mais je ne vais pas m’en plaindre ! Riquita ne se contrôle plus et me pilonne à un rythme infernal me provoquant des frissons de plaisir inimaginables

Elle jouit et décule m’offrant sa bite pleine de sperme à nettoyer, tandis que Mimi finit de me pomper jusqu’à ce qu’à mon tour je libère mon foutre dans un râle

Et tandis que je reprends mes esprits, Mimi se branle comme une malade m’envoyant toute sa purée sur le ventre

– Faut que je pisse ! Dit-elle

Riquita a alors suggéré à sa collègue de m’asperger de son urine. Quoi de mieux pour terminer ce moment de folie que se désaltérer de cette délicieuse pluie dorée !

Ces piquants récits nous ont bien émoustillés, Gundula et moi. Nous avons fait l’amour comme des sauvages puis nous nous sommes endormis blottis l’un contre l’autre en se remémorant nos galipettes et en rêvant à de nouvelles aventures.

Je l’aime bien Gundula, mais l’image de Mamie Marcia me hante ! Un jour les femmes me perdront !

FIN

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5 réponses à Stoffer 3 – La bâtisse rouge – 18 – Partouzes sur la terre ferme par Nicolas Solovionni

  1. Bertrane_TV dit :

    Oh ! Quelle ambiance mes chéries !

  2. Sochaux dit :

    Une fois dans une boite, j’ai dragué un super canon,, elle m’a annoncé qu’elle était transsexuelle, ça m’a un peu dérouté, mais devant tant de beauté, je suis resté avec elle, et à force de baisers et de caresses, je me suis retrouvé avec sa bite dans la bouche, Mon dieu que c’était bon !

  3. Transmonique dit :

    Une bonne fin et ces transsexuelles ont toute ma sympathie

  4. Conrad dit :

    Un dernier chapitre qui fait un peu rajouti, puisqu’il ne participe pas au déroulé de l’histoires

  5. Forestier dit :

    Si les aventures d’Astérix finissent autour d’une table, celle-ci se se termine en orgie où le sexe est roi !

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