Stéphanie aux sports d’hiver 6 – Séance de photos par Stephanie01


Résumé des épisodes précédents : Stéphanie, une soubrette mâle accompagne Maîtresse Clara aux sports d’hivers. Après avoir satisfait sa Maîtresse dès son arrivée à la station, elle subit les assauts d’un moniteur de ski et sert de bonniche à tout faire à une bande de jeunes filles dont la monitrice a été victime d’un accident de ski. Le lendemain, une autre activité est programmée…

-Stéphanie, habilles toi, on va faire des photos au GHOST. Et Maîtresse Clara m’explique très succinctement qu’elle a été contactée par le rédacteur en chef d’une revue pour réaliser des clichés dans la boîte de nuit de la station. Elle ne m’en dit pas plus sur la nature des photos mais je devine qu’il ne s’agira pas d’illustrer un manuel de jardinage, ni la revue paroissiale …

-Tu ne dois rien préparer, ils ont prévus tous les accessoires. Précise-t-elle ensuite, en ajoutant : « -Ne mets pas de slip, t’en auras pas besoin.

Je retire prestement mes effets de soubrette pour revêtir la petite jupe à carreaux, un chemisier fort sage à col rond, des petites chaussures en cuir brun et des bas blancs suspendus à un porte-jarretelles tout simple. Je bénis silencieusement le ciel que la météo soit clémente en cette saison et me dis qu’il doit exister un dieu (ou une déesse, c’est encore plus beau !) pour les soubrettes forts peu vêtues… Dans le taxi qui nous mène au club, je prend place à l’avant tandis que Maîtresse Clara s’installe fort logiquement sur la banquette arrière. Le chauffeur est selon toute évidence fort intrigué par ces deux passagères et, alors qu’il ferait mieux de regarder la route enneigée, il mate mes jambes de façon fort insistante. Par pudeur (sic !), je tire subtilement ma robe vers le bas mais il est inutile de préciser que les capacités d’extension d’une petite jupe à carreaux reste malgré tout fort limitées… Je suppose que les taximens disposent d’un code de déontologie qui leur interdit d’ennuyer les dames, même si elles portent des habits à la limite de la provocation. Le trajet se déroule finalement sans anicroches. Il n’y a pas âme qui vive devant le night club et je dois sonner à plusieurs reprises avant que quelqu’un ne daigne nous ouvrir. Une pointe d’agacement pointe sur le visage de Maîtresse Clara tandis qu’un vent froid s’engouffre sous ma jupe et refroidit mon sexe non recouvert ! Enfin, la lourde porte en bois s’ouvre et un blondinet d’une trentaine d’années nous fait pénétrer dans l’antre. Il se présente :

– Je suis Joe, l’assistant de la photographe, Véro. ; Vous devez être Clara ? Dit-il en se tournant vers Maîtresse ( !) Clara.

Ma première impression concernant l’assistant est qu’il paraît très suffisant et même un tantinet snob ! Mon attention est néanmoins rapidement détournée de ce pédant et se porte sur l’extraordinaire décoration du lieu. On se croirait dans un riche décors hollywoodien destiné à un film d’épouvante : les murs, le plafond et la moquette sont uniformément noirs tandis que des spots rouges de faible intensité donnent un peu de relief et de contraste à cet ensemble pas rassurant. Je comprends mieux alors pourquoi cela s’appelle le GHOST !!

– Suivez moi. Nous demande le dénommé Joe.

Nous débouchons dans la salle principale de la boîte où Joe nous présente Véro, la (fameuse !) photographe et Myriam, la maquilleuse. Derrière le bar, je distingue vaguement un bonhomme dont je devine qu’il doit être un employé de la boîte. Après un échange banal de banalités ( !), c’est Véro qui dicte la suite du programme.

– Bon, ne perdons pas trop de temps, il faut avoir fini avant l’ouverture de la boîte! Myriam, tu vas maquiller Clara et toi Joe, tu commences à préparer Stéphanie.

Préparer Stéphanie, préparer Stéphanie, ça veut dire quoi ça ? Du coup, je n’ai plus froid du tout et même si j’ai l’habitude de recevoir les coups les plus tordus, je suis un minimum inquiète. Tandis que Maîtresse Clara prend place sur la chaise de la maquilleuse, Joe m’emmène un peu plus loin, dans un coin de la salle où se trouvent une série de divans en velours rouge et de tables basses en acier.

– A poil ! Me dit-il simplement.

Je ne sais combien de fois j’ai entendu ces deux mots dans ma vie d’esclave : à poils ! C’est en pratique un authentique incontournable du soumis ou de la soumise! Je retire les quelques habits, fait une courte pose (sensuelle !) au moment où il ne me reste que les bas et le porte-jarretelles, les dépose finalement sur le dossier d’un fauteuil et fait face, nue, jambes légèrement croisées, devant mon préparateur ! Il s’avance, manifestement interloqué par cet individu qui a des longs cheveux, une poitrine menue mais aussi une petite bite et une paire des testicules. Sa curiosité est telle qu’il ne peut s’empêcher de prendre mes couilles en main, de les soupeser, de les manipuler maladroitement avant d’immobiliser ma queue dans la paume de sa main. Je reste immobile, voir impassible et le laisse tout entier à sa découverte. Mais son sens du travail à accomplir (ou bien une certaine honte, c’est possible….) reprend vite le dessus et il m’ordonne, en lâchant mes organes génitaux :

– Mets toi à genoux sur ce divan et penche-toi vers l’avant.

J’enjambe le fauteuil et attend la suite qui ne se fait pas attendre. Après un court instant, c’est une canule en plastique, reliée à une poche en plastique remplie de liquide, qui franchit sans résistance mon sphincter anal. Un liquide non identifié se répand insidieusement entre les villosités de mon colon.

La préparation, c’était donc cela : un lavement ! En quelques minutes, le liquide est entièrement transvasé et commence son action intérieure !

– Retournes toi maintenant.

Très prévoyant, Joe a prévu un linge sur lequel je pose mon postérieur. Il ne s’agirait pas de salir le velours brillant des sièges du GHOST ! Il s’empare alors d’un rasoir bic et s’attaque d’emblée au petit carré de poils qui orne mon pubis. Pour mémoire, Maîtresse Clara autorise son personnel masculin et féminin à conserver un tout petit espace de poils pubiens ; ce « privilège » est plus de l’ordre du symbolique qu’autre chose…

– Faut pas de poils pour les photos.

Il écarte ma queue d’une main et élimine consciencieusement toute trace de pilosité pubienne avant de soulever mon scrotum à la recherche d’autres follicules pileux cachés. A ce régime, ma bite est en train de tenir debout toute seule et il n’est plus guère nécessaire de l’écarter du champ d’action !

– Mais tu bandes, espèce de petite salope ?

Que répondre face à une telle évidence ! Sans prévenir, il engouffre alors ma tige rigide dans sa bouche et commence à pomper le gland comme un fou. Je suis un peu (non, pas un peu, totalement surprise !!) surprise et ne sais comment réagir. Je jette un regard anxieux du côté de Maîtresse Clara qui se trouve toujours sous les pinceaux et le blush de Myriam. Joe se déchaîne de plus belle en me suçant avec une vigueur de dingue ; j’ai l’impression qu’il va décoller la muqueuse de mon gland avec un aspirateur ! C’est à la limite de la gêne ou même de la douleur et je serre les précieux accoudoirs des deux mains pour ne pas crier ! D’autre part, le liquide qui baigne mon rectum se rappelle aussi à mon bon souvenir sous forme de crampes intestinales dans le bas de mon abdomen ! Mon suceur s’y prend tellement mal que j’en arrive à me demander s’il a déjà sucé un mec dans le passé et si je ne devrais pas lui montrer comment il faut procéder !!

– Joe, pas si fort, s’il vous plait ! J’ose !
-Ta gueule salope ! Lâche-t-il en abandonnant très transitoirement ma queue.

Pour toute réponse, c’est sans appel ! Heureusement qu’il ne me met pas un doigt dans le cul, en plus ; ce serait une véritable catastrophe…

– Joe rapplique toi, j’ai besoin de toi pour les éclairages. Crie Véro.

Sauvé, je suis sauvé par quelques spots, lumières et autres projecteurs !! Le dénommé Joe délaisse ma bite et se dirige sans attendre vers la photographe qui ne s’est aperçu de rien, me semble-t-il. C’est le soulagement du côté de mon zizi, en tous les cas, mais il me faut impérativement trouver les toilettes dans un délai court, très très court même ! Je me précipite vers le bar et demande au garçon où se trouvent les toilettes. Il doit me prendre pour une demi folle, avec ma bite encore semi rigide, un corps androgyne dépourvu de la moindre pilosité et ma demande insistante concernant le petit endroit. La seule chose qu’il ne peut voir, c’est que je serre activement les fesses…

– Pour les hommes ou pour les femmes ?

Remarque pour le moins judicieuse, mais je n’ai pas le temps, ni l’envie de rire ou philosopher sur ce sujet pour le moment.

– C’est là bas, sur votre gauche. Ajoute-t-il en poursuivant l’essorage d’un verre de bière.
– Mais il faut que je vous accompagne parce que c’est fermé à clef. C’était trop beau ou trop simple ou les deux à la fois !
– Allons-y s’il vous plait, ça presse !

Je dois avoir été persuasive car il m’ouvre la porte des toilettes. Je me précipite, m’assois sur la cuvette et me laisse aller sans retenue, le reste du monde n’ayant strictement plus aucune importance… Même le barman qui est resté devant la porte et qui m’observe attentivement me laisse parfaitement indifférente ! Qu’il ait envie de se branler en me matant me laisse tout aussi équidistante… Et c’est d’ailleurs ce qu’il fait, le bougre ! Il a sorti son pénis gonflé de sang qui semble émerger d’une forêt de poils touffue et lui imprime des mouvements réguliers de va et vient. En toute sincérité, je ne vois pas ce qui peut l’exciter à ce point : un trav, à poils (mais sans poils…), en train de se vider les intestins dans les toilettes d’une boîte de nuit, en plein jour… : trouver l’erreur… !!. Il finit par balancer une longue giclée de sperme sur le carrelage et se taille sans avoir prononcer la moindre parole. Moi, je respire enfin et sent comme une intense libération intérieure… En me dirigeant vers la sortie, j’arrive encore à marcher dans la semence du barman : et merde, il manquait plus que cela !! Pourtant cette longue traînée blanche sur un carrelage tout noir, je ne pouvais pas la louper ! Je m’arrête par conséquent aux lavabos pour essuyer l’éjaculat qui colle à la plante de mon pied. A cet effet, je soulève la jambe et place carrément mon pied dans la cuvette qui, par chance, n’est pas très haute. La position est relativement acrobatique et guère esthétique, mais à la guerre comme à la guerre ! C’est le moment que choisit la maquilleuse pour entrer en coup de vent dans les toilettes. Elle donne l’impression d’être aussi pressée que moi quelques instants auparavant !

– Vite, je dois faire pipi ! S’exclame-t-elle, en ajoutant : « -Qu’est-ce que tu fais là dans cette position ?

J’imagine qu’elle doit être au courant de ma « préparation » ou alors qu’elle ne s’en souvient plus !? Je balbutie un :

– C’est-à-dire que…

Je n’ai pas le temps de terminer ma phrase…

– Ouiii, le lavement !

Je ne vais pas commencer à détailler la branlette silencieuse du barman, ni mon faux pas dans son sperme. Je me contente d’un :

– C’est cela, Madame.
– Viens avec moi, vite !! .

Dans le cabinet de toilette, elle soulève sa jupe en jeans, laisse tomber son string sur les chevilles et m’ordonne de me mettre à genoux à ses côtés. Une quinzaine de centimètres à peine séparent mes yeux de son pubis et il m’est impossible de détourner le regard ; bon d’accord, pas d’hypocrisie : la vue est superbe !! Elle possède en effet un adorable petit minou avec un triangle pubien taillé de près, des grandes lèvres glabres et rebondies ainsi qu’une fente qui laisse apercevoir les bords libres de ses petites lèvres.

– J’ai eu l’occasion de discuter un peu avec ta Maîtresse durant la séance de maquillage. Me dit-elle le plus naturellement du monde en prenant place sur la lunette du WC. -Il parait que tu es très soumise et que l’on peut te demander beaucoup de choses ?

Ma foi, c’est la vérité vraie… Merci Maîtresse.

– Et bien quand j’aurai fini de faire pipi, tu vas me faire jouir avec ta bouche !

Voilà ce que j’appelle un programme alléchant dans tous les sens du terme. Au petit suintement qui se fait entendre, je devine que Myriam entame son impérieuse miction. L’écoulement se fait ensuite plus bruyant pour atteindre sa pleine puissance tandis qu’elle me caresse les cheveux comme si j’étais un gentil toutou. La scène est un tant soit peu surréaliste…

– Ouf, ça va mieux ! Ajoute-t-elle en expédiant par saccade les quelques derniers petits jets d’urine résiduelle dans le pot.

Je compatis d’autant plus que je viens de traverser une épreuve similaire… ! Elle se met debout, abandonne son string sur le sol, pose un pied sur la lunette et me dit tout de go :

– Tu me lèches le cul d’abord, j’adore qu’on me lèche le cul !

Ce n’est pas pour me déplaire mais le plus malaisé reste, de face, l’accès à son petit trou ! J’immisce littéralement la tête dans sa vulve et pousse ma langue à la rencontre de sa rosette. En guise d’accueil, je reçois un mélange de pisse et de sécrétions vaginales plus onctueuses car je pense que Myriam mouillait déjà un peu, par anticipation ! Il n’empêche que la pointe de mon nez se trouve littéralement insérée dans son vestibule vaginal et que la langue s’étire au maximum afin d’atteindre son orifice anal.

-Oui, lèches moi le cul !

Myriam semble apprécier les mots crus. Je m’y applique au mieux, Madame, ai-je envie de répondre !

– Non, ça va pas comme ça, on va changer de position.

Je n’osais le proposer. Elle exécute prestement un demi tour sur elle même, se penche un peu vers l’avant et écarte ses globes fessiers des deux mains.

– Vas y !

Outre le fait que la vue est splendide, l’accès à son anus est direct dans ses conditions et la feuille de rose se transforme en une partie de plaisir (partagé !!). Bref, c’est la voie royale de l’anulingus…. Ma langue parcoure très brièvement son sillon inter fessier avant de concentrer ses efforts sur les plissures de son sphincter et de pénétrer le canal anal le plus profondément possible. Se faisant, elle ondule un peu du bassin et émet de vagues gémissements.

– Mon sexe maintenant.

Je quitte donc la région anale et parcoure de la langue ses grandes lèvres qui baignent dans une épaisse couche de jus au goût salé. A mon avis, le taux d’humidité dans cette région doit avoisiner les 200 % !! Je lape et avale l’excédent de liquide afin d’obtenir un meilleur contact entre ma langue et son petit bouton durci. Au contact de ma bouche, je perçois que ses grandes lèvres deviennent pareillement plus rigides. La maquilleuse grogne de plus belle en me tirant par les cheveux et en plaquant ma tête contre son périnée détrempé.

– Myriam, Myriaaaam.

C’est Joe qui vient de pénétrer dans les toilettes et qui cherche… Myriam !

– Putain d’emmerdeur ce type. S’exclame Myriam qui va néanmoins jusqu’au bout de son orgasme avant de lancer :

-J’suis là, qu’est-ce que tu veux encore ?
-On a besoin de toi et de Stéphanie….

A SUIVRE.

Stéphanie.

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Une réponse à Stéphanie aux sports d’hiver 6 – Séance de photos par Stephanie01

  1. Transmonique dit :

    J’ai moins aimé ce chapitre que j’ai trouvé glauque.
    Et la site semble avoir disparue dans les limbes !

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