Quand j’étais à la fac de droit, les étudiantes me surnommaient « l’arroseur ». Tout était parti des indiscrétions d’une jolie rousse que j’avais emmenée à la campagne pour une balade en amoureux. Elle portait un petit short blanc et un tee-shirt rouge qui moulait admirablement sa superbe poitrine. Après le pique-nique, j’entrepris de la déshabiller et, peu farouche, elle se laissa faire. Quand elle fut nue, je quittai moi aussi mes vêtements et, bien que la question soit parfaitement superflue, je lui demandais :
« Veux-tu que nous fassions l’amour ?
– Oui ! Vois, je suis prête !
– Moi, j’ai un petit problème, dis-je, mentant effrontément. Je ne peux faire l’amour à une femme que si elle est mouillée.
– Ah bon ? Mais il n’y a pas de lac ni de rivière ici. Et tu as vidé pratiquement toute la bouteille d’eau minérale que tu avais amenée !
– Il y a bien une solution, repris-je, mais je ne sais pas si cela va te plaire.
– Dis toujours, car moi en te voyant nu, je suis toute chaude !
– Je pourrais pisser sur toi !
– Pisser sur moi ! s’exclama-t-elle interloquée. Ah celle-là on ne me l’avait jamais faite !
– Dans ce cas, tant pis. »
Je fis semblant de reprendre mes vêtements pour me rhabiller, mais elle m’arrêta :
« Attends ! On peut essayer ! Cela ne m’emballe pas, mais si c’est le seul moyen pour que tu sois en forme… »
Je ne me le fis pas dire deux fois. Je lui demandai de se mettre à genoux, penchée en arrière et lui promis qu’elle ne le regretterait pas. Debout devant elle, j’ouvris les vannes en grand et fis jaillir sur ses cuisses, sur sa poitrine, sur son visage toute l’eau que j’avais bue. Elle garda la bouche fermée, mais je pissais sur ses lèvres et tout cela m’excita au plus haut point. Alors mon sexe retrouva toute sa prestance en quelques secondes sous le regard étonné de la jolie rousse. Je me ruai en elle et lui fis l’amour une heure durant, lui procurant plusieurs orgasmes et la laissant pantelante et stupéfaite d’avoir tant joui.
« On ne m’avait jamais fait l’amour comme cela, déclara-t-elle. C’était divin, absolument divin, c’était géant !
– Tu vois, lui fis-je remarquer, ce que tu aurais perdu en refusant mon arrosage préliminaire ?
– En effet, reconnut-elle. Il faudra qu’on recommence. Vraiment, c’était génial ! »
Et c’est ainsi que la jolie rousse se convertit aux jeux d’eau et qu’elle y prit goût. Elle alla même jusqu’à me boire afin d’augmenter encore mon excitation et, par conséquent, le volume du membre qui, ensuite, s’enfonçait en elle et la menait sur les cimes du plaisir. Mais cette bavarde ne put s’empêcher de raconter ses exploits à l’une de ses amies qui, bien entendu, transmit les informations à une troisième et ainsi de suite. Et c’est ainsi que je fus de plus en plus sollicité par de petites curieuses qui voulaient vérifier par elles-mêmes si ces histoires d’arrosage étaient bien réelles et si cela me transformait vraiment en étalon. Abondance de biens ne nuit pas : je répondis généreusement à leurs demandes et « l’arroseur » les arrosa abondamment avant de les chevaucher jusqu’à ce qu’elles demandent grâce.
En hiver ou pendant la mauvaise saison, les séances avaient lieu dans mon studio qui, heureusement, était entièrement carrelé si bien qu’il suffisait d’un coup de serpillière pour le remettre en état. En général, les filles préféraient que je les arrose dans la douche, mais, souvent, je les accompagnais aux toilettes et, une fois assises, je pissais sur elles tandis qu’elles se soulageaient. L’une d’elles accepta même de me boire tandis qu’elle pissait dans la cuvette et j’avais la délicieuse impression que c’était mon eau qui entrait dans sa bouche et ressortait entre ses cuisses après l’avoir rincée de l’intérieur.
Mais, dès que les beaux jours arrivaient, j’emmenais mes conquêtes dans les prés ou dans les bois, je les couchais nues sur des tapis d’herbe fraîche, de mousse ou de feuilles mortes et je pissais longuement sur leur corps avant de les pénétrer et de les clouer sur la terre afin de les entendre chanter leur jouissance et avant de répandre sur elles ou en elles un sperme épais et abondant.
Toutefois je n’étais pas dupe. Je savais bien que si elles acceptaient mes arrosages préliminaires, c’était essentiellement pour pouvoir jouir ensuite d’un phallus infatigable qui les limait bien mieux que celui de leur petit copain souvent éjaculateur précoce ou, en tout cas, incapable de tenir plus de vingt minutes. Les filles acceptaient mes douches personnelles, mais ne les sollicitaient pas. Il me fallut attendre plusieurs années avant de dénicher la perle rare qui partagerait pleinement mes goûts pour les jeux d’eau tiède.
Le miracle se produisit alors que je passais des vacances sur une plage naturiste en Corse. J’y fis la connaissance d’une femme absolument superbe. Elle devait approcher des trente ans. J’en avais alors trois de plus. Elle répondait parfaitement à mes critères de beauté : grande, élancée, la taille fine, avec des seins impressionnants à la fois lourds et fermes. Sur le coup, je pensais qu’elle avait des implants, mais, par la suite, je pus vérifier que cette poitrine peu commune était parfaitement naturelle. Nous avons sympathisé et, un matin, alors que nous étions seuls tous deux, nus, allongés sur le sable, elle sortit de son sac une grande bouteille d’eau et me la tendit :
« Vous n’avez pas soif ?
– Si, un peu, lui dis-je, en pensant que peut-être elle accepterait de faire l’amour et qu’il fallait que j’aie la vessie pleine.
Je rêvais déjà de pouvoir arroser une si belle plante.
– Alors, soyez gentil, videz la. »
Elle contenait plus d’un litre et j’eus un peu de mal à tout avaler. Quand, au bout d’un moment, je sentis une envie pressante me tenailler, je me mis à la caresser et me préparai à lui sortir mon boniment habituel. Mais elle me devança après avoir jeté un coup d’œil circulaire :
« Tu veux baiser ? D’accord, mais d’abord je veux que tu me pisses dessus. Je sais, c’est pas commun, mais j’adore ça ! »
Alors là, j’étais interloqué. Jamais, de ma vie, une femme n’avait prononcé des mots aussi doux à mes oreilles. Enfin une amatrice de pisse ! Enfin une femme qui ne subit pas la douche d’urine, mais qui la réclame ! Elle mit mon hésitation sur le compte de l’étonnement qui pouvait être le mien face à une demande un peu hors norme. Elle ne pouvait pas deviner que j’attendais cela depuis si longtemps ! Je bondis sur mes pieds et, d’instinct, elle prit la pose que je préfère : à genoux devant moi, légèrement penchée en arrière, offerte. Fou de bonheur, je commençais à pisser sur elle et aussitôt, elle se mit à bouger, elle offrit sa chatte, son ventre, ses seins pulpeux au jet, étala la pisse sur sa peau comme si, en effet, elle était sous la douche, en répétant :
« Oui, beau mâle, pisse ! Pisse ! J’adore ! Pisse ! Pisse ! »
J’étais émerveillé de la voir ainsi se régaler sous le jet. Pour elle, ce n’était pas un préalable nécessaire pour préparer la suite, c’était déjà, en soi, une source de joie et de plaisir. Puis elle s’empara de ma bite afin de la diriger vers son visage et la pisse jaillit sur son front, sur ses joues, sur ses lèvres, puis – ô délices – dans sa bouche grande ouverte. Alors que je n’avais pas fini, elle referma la bouche sur mon membre et – ô régal – je continuais à pisser dans sa bouche fermée et elle avala tout ce que je lui donnais, apparemment ravie. J’aurais aimé pisser plus longuement encore dans cette bouche de femme, mais c’était trop bon et je me mis à bander. Elle me garda en elle, sa langue léchant amoureusement mon gland, jusqu’à ce que ma bite soit devenue trop volumineuse pour ses lèvres et qu’elle réclame d’autres portes à forcer. Alors, au sommet de ma forme, je me glissai entre ses cuisses et pénétrai sa chatte trempée.
« Veux-tu que je te baise en douceur ou à grands coups ? lui demandai-je.
– A grands coups ! Comme une brute ! Défonce-moi ! fit-elle. »
Ah ! Décidément, cette femme avait tout pour me plaire ! Je me ruai en elle, la pistonnant sans la moindre retenue, écrasant ses seins plantureux de mes mains affamées, puis, après qu’elle eut crié plusieurs fois sa jouissance sans la moindre retenue, je la retournai et la pris en levrette. Tout en la limant, j’enfonçai deux doigts dans son cul. A travers la mince paroi qui sépare les deux voies d’accès, je caressai mon sexe ce qui augmentait encore mon excitation.
« Ejacule ! suppliait-elle. Ejacule ! Je n’en peux plus !
– Pas avant d’avoir goûté à ton cul, lui dis-je. »
Et joignant le geste à la parole, je plongeai dans le passage étroit et repris de plus belle mes va-et-vient incessants tout en lui donnant plusieurs claques sonores sur les fesses. Quand, enfin vaincu, je sentis la sève monter, je me retirai et allai m’enfoncer dans sa bouche. Elle avala mon sperme tout comme elle avait bu ma pisse, avec une gourmandise qui faisait plaisir à voir.
Nous sommes retombés sur le sable, l’un à côté de l’autre, épuisés. Après quelques minutes de récupération, cette divine créature me déclara :
-« Chapeau ! Tu es un sacré queutard. J’ai rarement autant joui. Il faut que je te récompense !
– Me récompenser ? fis-je, étonné. Mais la plus belle récompense qu’un homme puisse recevoir, ce sont les orgasmes qu’il procure à sa partenaire.
– Peut-être, mais j’en connais une autre qui ne va pas te décevoir. J’ai envie de te lécher le cul. Viens au-dessus de ma bouche. »
Ah ! Quel homme pourrait refuser une telle invitation ? Ce n’est pas si fréquent qu’une femme propose une feuille de rose après l’amour. Décidément, cette belle inconnue avait tout pour me plaire ! Je vins donc m’accroupir au-dessus de son visage et aussitôt je sentis sa langue se glisser entre mes fesses et me lécher la raie. Quel délice ! Mon cul, presque malgré moi, s’ouvrit afin de mieux se prêter à son exploration et quand la pointe de sa langue se mit à le masser, ma bite, comme montée sur un ressort, se redressa et retrouva sa rigidité. Ma compagne interrompit un court instant ses caresses anales pour me suggérer :
« Si tu peux, pisse sur moi pendant que je te lèche le cul
– Désolé, ma chérie, j’adorerais cela, mais je bande trop.
– Alors, fit la coquine, baise-moi encore ! »
Et nous repartîmes pour un nouveau corps à corps tout aussi passionné que le précédent et qui dura encore plus longtemps.
La semaine qui suivit fut enchantée. Nous nous retrouvions tous les matins au même endroit et nous revivions les délices de la première rencontre. Je buvais abondamment avant de la rejoindre afin de pouvoir pisser le plus longtemps possible sur son corps offert et dans sa bouche puis nous faisions l’amour et, chaque fois, j’avais droit à ma « récompense ». Le cinquième jour, alors que j’étais accroupi au-dessus de son visage pour qu’elle me lèche le cul comme elle aimait à le faire et le faisait si bien, un naturiste s’approcha de nous. Il nous avait sans doute observé depuis un bon moment car il avait une belle érection. Je dis à la belle :
« Surtout ne t’arrête pas. Continue de me lécher le cul. J’adore. Mais sache que nous avons un visiteur
– Comment est-il ? demanda-t-elle.
– Pas mal et bien membré ! »
Elle n’ajouta pas un mot et, comme je le lui avais demandé, elle continua ses caresses sur mes fesses, dans la raie, sur mon cul, mais la gourmande ouvrit largement le compas de ses jambes. L’invitation était claire. L’homme vint s’agenouiller entre ses cuisses, mais, à ma grande surprise, il ne la pénétra pas. C’est ma bite, dure et verticale, qui l’intéressait. Il la prit dans sa bouche et se mit à la sucer. Je n’avais jamais imaginé une telle situation : une femme me léchait le cul pendant qu’un homme me pompait la queue ! Je me laissais faire, ravi, et le suceur s’y prit si bien qu’il obtint très vite ce qu’il cherchait : de longues giclées de sperme jaillirent sur sa langue. Il s’en régala, avala le tout et partit sans dire un mot comme il était venu.
« Ce type, c’est un voleur de foutre ! s’exclama ma compagne quand je me relevai. Tu as intérêt à en produire très vite car je n’ai pas eu ma dose ! »
Elle fit ce qu’il fallait pour cela et put boire à nouveau au phallus, quelques instants plus tard, le nectar dont elle raffolait. Pendant que nous reprenions des forces, allongés l’un à côté de l’autre, je lui avouai mon étonnement :
« Comment fais-tu, lui dis-je, pour avaler de telles quantités de pisse ? Je n’ai jamais connu cela avant toi !
– Sache, mon beau mâle, que l’urine des hommes est bonne pour les femmes. Elle embellit leur peau et quand elle est bue, apporte à l’organisme des minéraux dont il a besoin notamment du zinc. En plus, chez moi, quand un homme m’arrose, cela a un effet aphrodisiaque. Un bon arrosage remplace avantageusement tous les préliminaires et je suis prête alors à toutes les pénétrations.
– Mais ces vertus de l’urine, tu y crois vraiment ?
– Absolument. Cela a été démontré dès 1944 par des scientifiques, notamment un certain John William Armstrong, auteur d’un très beau livre intitulé : « The water of life : a treatise of urine therapy ». D’ailleurs, l’urothérapie est très répandue en Asie surtout en Inde et au Japon.
– Je confesse que je suis un peu sceptique, mais puisque tu l’affirmes, je suis prêt à te doucher aussi souvent que tu voudras pour que tu gardes ton beau teint de jeune fille et à te donner à boire jusqu’à ce que tu sois désaltérée, directement du producteur au consommateur !
– La première fois que je t’ai bu, poursuivit-elle, j’ai su tout de suite que tu es végétarien. Les mangeurs de viande ont une urine plus forte, moins agréable à boire ! La tienne me plaît beaucoup !
– J’ai bien l’intention de ne pas te priver de cette « water of life » !
Cette femme, si friande de ma pisse et de mon sperme, cette femme sachant si bien lécher ma bite et mon cul, cette femme si bonne à baiser, comment aurais-je pu m’en séparer ? J’abrégeai mes vacances en Corse pour prendre l’avion avec elle, je rentrai à Paris, démissionnai de mon poste, déménageai pour m’installer avec elle dans le Sud-Ouest où elle résidait. C’est là que je vis depuis plusieurs années et je n’ai jamais eu à regretter ma décision. Chaque jour, j’arrose cette plante superbe et j’en jouis après lui avoir donné sa dose de « water of life ». De temps en temps, bien que je n’aime guère partager, j’invite des copains afin qu’ensemble nous pissions sur elle pour augmenter encore son plaisir… et le nôtre.
Bernard B.
Pas si mal dans le genre pissing, je trouve !
Trop de facilités, dommage ça a failli être bien
Un peu vantard, l’auteur ! ça gâche un peu le plaisir de la lecture