Place de la Trinité par Enzo_Cagliari

Place de la Trinité par Enzo Cagliari

En cette fin d’après-midi de Septembre, je buvais tranquillement une bonne bière bien fraîche à la terrasse d’un café du quartier St-Lazare, quand j’entendis derrière moi cette réplique surréaliste prononcée par un homme à l’accent méridional :

– Ecoute Marie, arrête avec ça, je n’ai aucune envie de me faire enculer !

Je pensais la réflexion au second degré, elle m’amusa mais sans plus, mais il y eut une suite, et cette fois c’est une femme qui parlait :

– Fais-le au moins pour me faire plaisir, et si ça se trouve tu ne le regretteras pas !
– J’ai pas envie de devenir pédé, même pour tes beaux yeux… répliqua sèchement l’homme

Oups !

Du coup je me tourne discrètement, la femme doit avoir au moins dans les 50 ans, mais super bien conservée, coiffure très chic, yeux verts, rouge à lèvres outrancier et sourire carnassier, elle est très bronzée (UV ?) avec pas mal de petites taches sur la peau, elle est vêtue d’une sorte de débardeur noir légèrement décolletée sur une poitrine qu’on devine généreuse (refaite ?). Le mec fait très chippendale, très grand, blond probablement décoloré, souriant et look de jeune loup.

– La question n’est pas là, ça ne va pas te tuer ! Je ne vois pas pourquoi, vous, les hommes vous voulez toujours nous enculer alors que vous vous avez honte de le faire…

De mieux en mieux !

– Ecoute, Marie, ou on parle d’autre chose ou alors je préfère qu’on stoppe tout de suite cette relation.
– Et bien stoppons tout de suite cette relation ! Répondit la bourgeoise du tac au tac.
– Bon, je te laisse, tu m’auras donné quand même quelques beaux souvenirs, mais on n’est pas vraiment du même monde, allez salut ! Répondit l’homme se levant…

La femme ne répondit même pas et se resservit une grande rasade de thé. Je venais donc d’assister à une rupture en direct, et rupture pourquoi, parce que si j’avais bien compris, la dame lui proposait une partouse bisexuelle, et que le monsieur ne voulait pas. Voilà qui m’amuse, et puis plus je mate cette personne, plus elle me branche, elle a un visage intéressant, une belle bouche, une jolie peau dorée, et puis ce joli décolleté bien rempli…

J’ai envie de m’amuser et je me lève de mon siège pour interpeller la dame, je vais me livrer à un exercice d’improvisation de haute voltige, je n’ai rien préparé, ça m’excite, j’ai neuf chances sur dix de me planter, et alors, quelle affaire, qu’est-ce que j’ai à perdre ?

– Bonjour Madame, je ne voudrais pas être incorrect, mais parfois on entend des choses qu’on ne souhaiterait pas entendre…

La tronche de la bonne femme qui me regarde comme si j’étais un martien fraichement débarqué de sa soucoupe ! Je continue :

– J’ai donc cru comprendre que le monsieur qui vous tenait, puis qui vous a faussé compagnie s’est éclipsé sans vous payer votre consommation, permettez-moi de la régler à sa place ?

Abasourdie, la nana se demande à qui elle a affaire :

– Mais, attendez, vous faites quoi là ?
– Je drague madame ! Répondis-je absolument pas démonté.
– Et bien j’en ai connu… mais des comme vous…
– M’autorisez-vous à m’asseoir à vos côtés ?
– Non, merci !
– Alors d’accord, je ne vous importunerais pas plus d’une minute, je voulais simplement vous dire que je vous trouve très séduisante…
– Très original !
– A ce point que si j’avais eu la chance que vous me fassiez la même proposition qu’à la personne qui était avec vous il y a cinq minutes, j’aurais en ce qui me concerne accepté sans hésiter !
– Qu’est-ce que vous racontez ? Me demande alors la bourgeoise éberluée qui se met à me détailler de la tête aux pieds comme si elle voulait savoir à qui elle avait vraiment affaire !
– Vous êtes craquante, réellement ! Repris-je.
– Vous, vous… avez entendu notre conversation ?
– Bien malgré moi.
– Asseyez-vous, ne restez pas debout, voyons, vous êtes qui ? Vous faites quoi dans la vie ?
– Je m’appelle Etienne, je suis courtier en œuvres d’art et ça me laisse beaucoup de temps libre !

Gros mensonge, mais ça fait plus branché que dépanneur en informatique.

– Intéressant, je m’appelle Marie-Claire et je vis de mes rentes, mais je m’intéresse à un tas de choses.
– La peinture ?
– J’aime les jolis tableaux, mais je ne m’y connais pas beaucoup !
– Le sexe !
– Ça fait partie des plaisirs de la vie, non ?

Et alors que je cherchais déjà ma prochaine réplique, la voici qui me balance :

– Alors comme ça vous aimez bien vous faire enculer ?

Ce langage aussi cru, proféré de façon si inattendu eut le pouvoir de m’exciter, et si elle veut vraiment jouer à ce jeu, je ne me déroberais pas ! Pire je la joue provoc :

– J’adore ça, une bonne bite dans le cul c’est génial !
– Homo ? Bi ?
– Bitophile !
– C’est quoi ça, c’est nouveau, ça vient de sortir ?
– Je ne suis pas attiré par les hommes, mais par leur queue, oui ! Oh vous avez une petite poussière sur le bras, permettez que je vous l’enlève !

Et sans attendre de réponse, me voici en train de lui caresser le bras…

– Vous avez la peau douce !
– Il parait, oui ! Vous caressez très bien !
– Je peux vous caresser encore mieux, si vous voulez…
– Ne rêvez pas, je ne suis pas non plus inconsciente au point de m’embarquer avec un inconnu.
– Alors faisons mieux connaissance !
– Je ne suis pas contre les aventures, mais j’ai une nette préférence pour les hommes soumis.
– Ça tombe très bien, j’adore jouer à l’esclave !
– Non ?
– Si !
– Caressez-moi encore les bras ! Quel dommage Que vous ne puissiez pas me caresser les fesses, j’adore qu’on me caresse les fesses !

L’idée !

– Je suis en voiture…

Je n’ai pas besoin de continuer, elle a compris !

– Vous êtes garé loin ?
– A cinq minutes à pied ! Dans le haut de la rue là-bas.
– Allez la chercher, je vous attends, mais bon, je reste cinq minutes avec vous et après je vous laisse, d’accord ?

Je marquais mon accord et déposais un billet sur la table !

– Je vous avais promis de payer votre consommation
– Garde ton fric, esclave et dépêche-toi !

O.K., je me dépêche, mais arrivé au coin de la rue, je me retourne par réflexe, Marie-Claire n’est plus à sa place. C’était trop beau pour durer, cette affaire. Tant pis, c’est pas bien grave !

Dix minutes plus tard, la voiture récupérée, je repasse malgré tout devant la terrasse du café. Miracle ! Marie-Claire m’attendait sagement, je donne un coup de klaxon et elle me rejoint.

Je ne connais pas trop le quartier où je suis venu pour un dépannage, elle m’indique quelques rues « tranquilles », on tourne pas mal. Marie Claire a relevé sa jupe bien plus haut que la mi-cuisse, j’y pose la main droite à chaque fois que je peux, me voilà en train de bander comme un dingue d’autant qu’à chaque contact, je monte un peu plus haut sans soulever de protestation. Finalement je parviens à me garer dans une petite rue.

Je lui remets ma main sur sa cuisse et approche mon visage du sien avec la ferme intention de l’embrasser.

– Attends ! Me dit-elle me stoppant net dans mon élan.

Et la voilà qui après avoir débouclé sa ceinture de sécurité, se soulève légèrement de son siège et retire sa culotte

– C’est un test, c’est pour voir si tu es un bon esclave, tiens renifle ! Me dit-elle, me passant l’objet.

Pas très nette, la culotte ! Elle est légèrement mouillée d’une urine récente, il y a aussi quelques traces moins claires.

Mes sentiments sont partagés parce que j’ai bien l’impression d’avoir perdu la maîtrise du jeu, mais il n’empêche que mon excitation est au maximum. Comme dans un rêve, je renifle la culotte, ces odeurs intimes me rendent fou. Je vais pour lui rendre :

– Non, tu la gardes, tu me la rendras ce soir ?

Ce soir ? Qu’est-ce qu’elle me raconte ? J’essaie de reprendre l’initiative, ma main s’approche de l’échancrure de son débardeur !

– Qu’est-ce que tu es en train de faire ? Fait-elle mine de demander en stoppant mon geste.
– J’essayais de découvrir ta poitrine…
– Ma poitrine, tu la verras ce soir, pour l’instant je suis venue pour que tu me pelotes les fesses.

Et en disant cela, elle se soulève un petit peu en pivotant légèrement sur la droite. Je réponds donc à l’invitation et entreprend de lui caresser ses globes fessiers. Elle a l’air d’aimer ça et me le redit :

– Hum, j’adore qu’on me tripote les fesses !

De caresses en circonvolutions, je m’approche l’air de rien du sillon, me demandant jusqu’où elle me permettra d’aller

– Fous-moi un doigt dans le cul !

Puisque c’est elle qui me le demande, on ne va pas se priver, je me lèche l’index, l’entre avec une facilité déconcertante et l’agite, elle m’encourage, pousse des petits cris, me demande d’introduire un second doigt que je lèche préalablement sans trop m’attarder sur l’état du premier. Un petit coup au rétroviseur, quelqu’un arrive côté trottoir. On arrête tout ! Je pensais qu’on reprendrait après, mais non :

– Lèche tes doigts ! Ordonne-t-elle

Bon, leur état n’est pas catastrophique mais ils sont quand même un peu pollués.

– Euh, peut-être pas !
– Ah bon, tu n’as pas envie qu’on se revoie ce soir ?
– Si !
– Alors tu lèches !
– J’aime pas trop !
– Mais si tu aimes, mais tu ne veux pas te l’avouer, lèche esclave, et ce soir je te pisserai dans la bouche !

Je lèche ! C’est la première fois que je mets mes doigts dans la bouche après qu’ils soient allés triturer un autre trou du cul que le mien. Parce qu’avec le mien, je l’ai déjà fait, mais uniquement dans les périodes de très forte excitation, je vainquis toutefois mes résistances et obtempérais, rencontrant un goût, certes âcre mais non repoussant.
– C’est bien ! Tu es libre ce soir ?
– Oui, en ce moment je suis célibataire !
– Voilà, c’est un petit club privé dans lequel je me rends presque tous les jeudis.

Elle m’explique, me note l’adresse :

– On se réunit entre copines et on joue à des jeux très coquins, Si tu aimes la soumission, tu ne devrais pas être déçu.
– Mais, attends, je ne tiens pas à me faire flageller non plus !
– Ne t’inquiètes pas, on n’est pas des sauvages ! On forme un petit club, parfois on amène des esclaves et on joue avec, quand on n’a pas d’esclave, on tire au sort et l’une d’entre nous devient l’esclave des autres, c’est ce qui m’es arrivé la dernière fois, ces salopes m’ont attaché, m’ont fouetté, m’ont pissé dans la bouche, ça m’a bien plu !

Elle me fait bander avec ces histoires…

– Ce soir je crois que Denise amènera un esclave, si tu as envie de te faire enculer tu pourras en profiter. Ça te tente, hein, gros cochon ?
– Ben !
– Tu aimes ça, les bites, hein ?
– J’aime bien les femmes aussi…
– J’avais compris, mais toi tu dois être le genre à trainer dans les pissotières de gare pour mater les queues des mecs. Je me trompe.

Je n’ai jamais fait ce genre de choses mais si ça l’amuse de le croire, je ne vais pas la contrarier

Elle me regarde vicieusement et ajoute :

-Allez, à ce soir, je compte sur toi, ne te dégonfles pas ! Au fait n’oublie pas de me rapporter ma culotte, tu as même le droit de te masturber dedans… Tiens, oui c’est une bonne idée, ça ! Rapporte la moi avec une belle tache de sperme !

Et sur ces paroles, elle sort de la voiture me laissant dubitatif.

C’était donc dix minutes de pure folie avec une mature nymphomane à moitié déjantée. Il n’était à ce moment-là dans mon esprit aucunement question que je donne suite à ses propositions délirantes. Un peu curieux, tout de même, je me demandais bien ce qui pouvait se passer dans ce mystérieux club privé… mon cerveau vagabonde… Je m’imagine découvrant le galbe de ses seins, tétant goulûment ses tétons, m’égarant ensuite vers son pubis, dégustant son suc intime, buvant son urine tiède. Et bien sûr, voilà que je bande ! Dilemme : gérer la situation tout de suite ou jouer au délicieux challenge du plaisir retardé. Un coup d’œil au rétro ! Après tout se branler dans une voiture en stationnement, voilà qui est d’une totale perversité ! Et puis il fallait que je me calme. Je me masturbais donc, très vite, sans rechercher un instant ni à optimiser mon plaisir ni à le retarder. J’éjaculais dans la culotte de la dame comme elle me l’avait suggéré, essayais en vain de m’essuyer avec, terminais avec des kleenex, fis une boule de tout cela que je m’apprêtais à jeter au caniveau par la vitre de la voiture, mais la présence sur le trottoir d’une mère de famille et de sa progéniture m’y fit renoncer. La boule atterrit donc sur le plancher de la bagnole et je démarrais, direction, la maison !

Une douche, une bière…. Puis la flemme de me faire à manger, je descends au traiteur chinois du coin. La serveuse est adorable, c’est une nouvelle, il n’y a que quelques semaines qu’elle est en France, j’ai du mal à communiquer avec elle. Quand je lui ai demandé son prénom elle n’a rien compris ! J’essaie de penser à un tas de choses afin de dissiper les images de l’après-midi qui reviennent en boucle dans mon esprit. Mais pas moyen. Ça revient, ça revient, ça n’arrête pas ! J’aurais mieux fait de rester chez moi et de regarder un truc à la télé.

Il n’y a pas grand monde au chinois ce soir, il y a des jours comme ça ! La serveuse me balance des petits sourires. Après tout, j’ai peut-être une chance ? Je la tente.

– Ça vous dirait si je vous emmenais boire un verre après votre service ?
– Oui !

Elle a dit « oui » c’est dingue ! Moi qui m’attendais à une longue procédure de drague, voilà l’affaire expédiée en un clin d’œil ! Mais bon, il faut fixer les modalités maintenant, je verrais ça plus tard, la fille est déjà repartie derrière son comptoir. Des images se forment déjà dans ma tête, je m’imagine en train de la déshabiller, de lui peloter les seins, de… et la voilà qui revient avec un verre qu’elle me pose à côté de celui qui est derrière mon assiette. Catastrophe, elle a tout compris de travers, tout est à refaire !

– Vous êtes très belle (nouvelle tentative)
– Oui ! répond-elle avec un petit sourire

Et puis, l’intuition

– You speak english ?
– Just a little !

Encore raté, il va falloir que j’apprenne le chinois, ou le vietnamien ou le thaïlandais, je ne sais même pas son origine. Je suis déçu parce que pendant deux minutes je me suis surpris à fantasmer trop fort sur elle. Tant pis, je rentre et je me masturberais à la maison (ça ne fera jamais que la deuxième fois aujourd’hui,) où j’irais voir une prostituée… où alors…. Et voilà les images de Marie-Claire qui reviennent…

Et si j’allais voir ? Je regarde l’heure, j’ai le temps ! Je m’installe sur le canapé, j’essaie de m’intéresser à la télé, mais il n’y a rien pour m’accrocher, plus il a de chaines, moins il y a de trucs à regarder voir, mes paupières deviennent lourdes, je m’endors.

Un bruit me réveille, il est à peine 21 heures, je n’ai pas dormi longtemps. Je me débarrasse de mon chéquier et de ma carte bleue, je ne prends que du liquide et je pars en reconnaissance… par le métro.

L’adresse qu’elle m’a indiquée se trouve dans un quartier assez bourgeois, je repère le numéro. J’ai dix minutes d’avances, je tourne un peu dans le secteur. A ce moment-là je me mens à moi-même en me disant que je ne suis pas sûr d’y aller…

A 21 h 30 très précise, je sonne à l’interphone

– Oui ! Me répond une voix de femme
– Je viens de la part de Marie-Claire.
– Montez, 3ème gauche.

Je monte, la porte s’ouvre.

Une blonde plutôt mûre, un peu rondouillarde et très maquillée me toise, me fait entrer mais on reste dans l’entrée :

– Marie-Claire vous a expliqué comment ça se passait ?
– Juste en gros, elle n’est pas là ?
– Elle n’est pas arrivée !
– Ah ! Je vais faire un tour et je vais revenir, alors !
– Pourquoi je vous fais peur ?
– Non, non !
– Que vous a-t-elle dit au juste ?
– Elle m’a juste dit qu’on y pratiquait la domination entre amis ?
– Et vous êtes son esclave !
– Si on veut, oui !
– Tu as un droit d’entrée à payer, elle te l’a dit aussi ?
– Ben non !
– C’est 100 euros !

Je commence à me demander si je ne vais pas m’enfuir en courant, mais la somme demandé est relativement modeste et je l’ai sur moi. Je regarde Denise (puisque c’est son prénom) elle porte une petite robe blanche décolletée à fines bretelles et à grosses mailles, mais le petit plus c’est qu’elle n’a pas de soutien-gorge en dessous. Je ne vous dis pas l’effet que ça me fait ! Du coup je lui sors de mon portefeuille la somme demandée.

– Ils te plaisent mes nichons on dirait ?
– Ben, oui, faut avouer !
– Ne rêve, pas ce n’est pas pour toi ! Tu pourras peut-être mieux les voir tout à l’heure mais pour ce qui est de les toucher, nada !
– Tant pis pour moi !
– Voilà une grille, tu vas la remplir.

On vient de me tendre un questionnaire. Il comporte une série de pratiques regroupées en rubriques, je dois cocher dans des cases « oui », « non » ou « éventuellement ». Déjà vu ce système-là chez une dominatrice il y a un bout de temps, je remplis le papelard debout, le rend à Denise Elle regarde ce que j’ai coché.

– Bon, t’es un petit soumis, toi ! Mais tu as l’air d’avoir de la bonne volonté. On va voir ça à l’usage ! Tu entres ici, il y déjà du monde. Tu te mets complètement à poil, complètement même les chaussettes !

Ok, on y va, je pénètre dans une très grande pièce avec un coin bar, genre salle de reception. Je dis bonjour, personne ne me répond. Pas trop sympa ! Le S.M. n’empêche pas la convivialité, mince alors. Je jette un regard circulaire mais Denise me presse :

– Tu fais quoi ? Je t’ai dit de te mettre à poil, pas de regarder ce qu’il y a au mur, c’est pas le musée du Louvre ici !

Bien, les hostilités commencent. Je pars ou je reste, mais maintenant que j’ai payé… Il y a là deux autres femmes matures qui sirotent des bières autour d’une petite table. On va les décrire un tout petit peu pour la suite :

Belinda, bronzée fausse blonde aux long cheveux raides, pas très grande, le regard noir et vicelard. Elle est vêtue d’un haut de maillot de bain assez ridicule aux couleurs du drapeau américain et d’une jupette courte bleu marine.

Tanya : forte brune à grosses lunettes perchées sur le bout du nez, les cheveux coiffés en chignon, très souriante, elle est vêtue d’un tailleur pantalon noir dont le haut est ouvert sur un énorme soutien-gorge mauve

Une petite soubrette black se tient près du bar, elle est juste habillée d’un petit tablier blanc de serveuse, ses seins de bonnes proportions débordent de chaque côté du plastron, c’est tout à fait bandant… Et puis il y a un quatrième personnage, dans le fond de la pièce, un homme, complètement nu à l’exception d’un ridicule nœud papillon, il est à genoux, plutôt bien foutu, un esclave comme moi sans doute ?

Denise s’approche de moi, me contourne, me regarde dans les yeux. Puis soudain sans prévenir, me crache au visage, me gifle et ordonne :

– Mets-toi à genoux ! Esclave !

J’accepte le jeu, elle se penche pour m’attraper mes tétons dans chacune de ses mains et me les serre avec force. Là, elle peut y aller, j’adore ce truc, et en plus ça me fait bander !

– On t’a donné l’autorisation de bander ?
– Non maîtresse !
– Bon, on va attendre Marie-Claire, mais tu ne perds rien pour attendre, tu vas déguster, mon salaud !
– Il a peut-être soif ? Suggère alors Belinda la petite fausse blonde au regard vicelard.
– Tu veux quoi ? Une bière ?
– Je veux bien, oui !
– Malou, une bière pour l’esclave de Marie-Claire !

Je ne suis pas dupe ! Ça cache quelque chose, mais cela m’étonne que l’on commence déjà les pratiques uro. Malou, la soubrette verse de la bière dans une chope et la tends à Belinda qui s’est levée ! Elle s’approche de moi et me balance tout le contenu à travers la figure ! C’est idiot parce que cette fantaisie me prive du plaisir d’observer mieux la soubrette qui regagne sa place le cul à l’air ! Quel joli popotin !

– Merci maîtresse ! Balbutiai-je en bandant encore plus fort.

La Belinda me parait bien excitée, elle se dirige vers un râtelier ou elle se saisit d’une fine cravache ! Ça y est je vais passer à la casserole… mais son geste est freiné par l’arrivé de Marie-Claire. Je le regrette presque, la perspective de me faire corriger par cette belle vicieuse m’excitait déjà !

– Alors les filles, on voulait commencer sans moi ? Plaisante-elle.

Elle embrasse ses trois copines, va mettre la main au panier de la soubrette, mais n’a pas un mot pour le chippendale toujours logé dans son coin.

– Mon petit esclave est là ! Je savais bien qu’il viendrait !

Tu parles, facile à dire, si j’avais pu communiquer avec la petite chinoise, je ne serais sûrement pas là !

– Tu m’as rapporté ma culotte, j’espère ?

Ah ! Oui la culotte ! Ben non je n’ai plus pensé à la culotte, qui est restée en boule avec un kleenex sur le plancher de la bagnole !

– Non maîtresse, j’ai oublié !

A ce stade, il est possible qu’elle me vire, ça se fait parfois, parait-il. ! Pas bien grave, enfin un peu dommage quand même. Et « vlatipa » que je reçois une paire de baffes. Je rentre vite dans mon rôle :

– Pardon maîtresse !
– C’est quoi ce jeu ? Intervient Denise, tu lui avais prêté ta culotte !
– Oui, il devait jouir dedans et me la rapporter…
– Humm, voilà qui mérite une sacrée punition ! Qu’est qu’on va lui faire ?
– On va voir, mais avant il faut que je vous raconte comment je l’ai trouvé ! En fait c’est lui qui m’a abordé en me disant qu’il voulait se faire enculer !
– Non ?
– Si ! Tiens racontes-nous tout ça ! me demande-t-elle et tu n’oublies aucun détail on n’est pas pressée, n’est-ce pas les filles ?

Me voici dans le rôle du conteur pour dames seules, c’est nouveau, je cherche mes mots ! La grosse Tanya est partie chercher des pinces à linges, elle s’approche de moi et m’en colle une à chaque téton ! Ça m’électrise. J’ai le malheur d’ouvrir la bouche, elle me crache dedans !

– Ça va t’aider à nous raconter !
– Il était une fois…

oooOOOooo

– Et voilà vous savez tout !
– On lui fait quoi ? demande Denise
– Si on jouait à Parfum de femme ? propose Belinda
– Je l’aurais parié ! rétorque Denise, mais tu n’es pas sûre de gagner cette fois ci ! Je passerais la dernière d’accord !
– Et moi juste avant elle ? reprend Belinda

C’est quoi ce jeu ?

– Bon je serais en deuxième alors ! dit Tanya. Tu connais le jeu, j’espère, toi l’esclave ?
– Ben non !
– Et bien tu vas nous renifler le cul et tu devras désigner laquelle a le meilleur parfum !

Ah, bon ! On ne me l’avait jamais faite encore celle-là ! Marie-Claire enlève sa robe ! Dingue, elle n’a pas remis de culotte, elle est nue en dessous à l’exception de son soutien-gorge blanc qu’elle n’a pas du tout l’air décidé le retirer. Elle doit s’entretenir sérieusement, pas de graisse, le bronzage est intégral, l’épilation aussi. Elle se tourne ! Quel beau cul !! Elle s’écarte les globes fessiers. On me fait approcher !

– Tu renifles et c’est tout pour l’instant !

Mon nez est collé à son trou du cul. Une légère odeur s’en dégage. Je pense déjà à l’état où doivent être ceux des deux autres qui disent gagner le concours. Et puis soudain la voilà qui pète, je me recule d’instinct mais une main me retient ! J’ai compris c’est ça le jeu ! Mais sa flatulence était plus bruyante qu’odorante. Manifestement elle tente de renouveler l’opération mais n’y parvient pas.

Elle s’éloigne ! Me voici partagé. Devenir testeur en flatulence n’a jamais été dans mes fantasmes, mais dans le cadre d’une domination, je prends plaisir à l’accepter… j’aurai quand même préféré d’autres choses, elles viendront sans doute après.

Et voici la « grosse » Tanya qui retire son pantalon et son énorme slip mauve !

– Allez, au boulot !

Elle n’écarte rien du tout et c’est moi qui sépare ses deux grosses masses de chair, ça sent la sueur, c’est plein de poils, mais ça sent la femme, j’approche, c’est très acre, je renifle, je fais le petit chien je suis en plein dans mon rôle, manifestement elle essaie de péter, elle n’y arrive pas !

– Lèche !

Ah bon, faut lécher maintenant ! Je lèche, ça ne m’a jamais dérangé de lécher un trou du cul et je commence même à y trouver du plaisir.

– Allez lèche encore ! Lèche mon cul plein de merde !

On est en pleine poésie !

– Tu as envie ? lui demande Belinda.
– Maintenant je ne sais pas, mais tout à l’heure sûrement, oui…
– Bon, à moi maintenant !

Et voici Belinda qui s’est débarrassée de sa jupette, c’est la troisième à garder le haut, ça m’énerve un peu ! Par contre j’ai l’impression que celle-ci elle peut me faire ce qu’elle veut, je l’accepterais, elle m’excite de trop ! Elle se met en position, moi aussi. Comme Marie-Claire elle est intégralement rasée et bronzée quoique moins intensément, son petit œillet est bien dessiné comme je les aime. L’odeur est envoûtante, pour l’instant c’est elle la meilleure… Si elle pouvait me demander de lécher… Je demande si je peux…

– Tu me lécheras tout à l’heure si c’est moi la gagnante et je te chierais même dessus pour te récompenser, je crois que j’ai une petite envie…

Glups ! Elle est un peu timbrée celle-là. Puis je me souviens avec horreur, que sur la grille que j’ai renseignée, j’ai indiqué scato : éventuellement ! C’est quoi pour elles « éventuellement » ?

Et me voici sous Denise, pas mal non, d’autant plus qu’elle accepte, elle, qu’on la lèche… Le moins qu’on puisse dire c’est qu’elle n’est pas très nette du cul, je me demande même si elle n’a pas carrément oubliée de s’essuyer. Elle me pète au visage plusieurs fois de suite… L’effet de surprise est passé, on s’habitue à tout… n’empêche que j’en ai plein les narines.

Alors c’est qui la gagnante ?

Dilemme, si je désigne Belinda, elle va me faire un truc que je ne souhaite pas… à moins que mon masochisme me le fasse supporter quand même…

– On dirait que tu hésites, me dit cette dernière, si c’est moi tu sais ce qui va t’arriver… je suis la seule à avoir envie, sinon les autres, elles te l’auraient dit…

Et histoire d’ajouter encore à la confusion elle retire son soutien-gorge, elle a de jolis seins un peu lourds dotés de larges aréoles brunes…

– Alors c’est moi ? Demande-t-elle.
– Oui ! M’entendis-je murmurer.
– Tu ne crois pas que tu as un peu trichée ? Lui lance Denise !
– Non j’ai joué, j’aurais pu perdre ! Bon je crois que j’aimerais assez que, puisque vous avez perdu, vous veniez me lécher le cul à votre tour en signe de reconnaissance de ma victoire !

Les trois femmes viennent à tour de rôle lécher le cul de Belinda. Puis on m’ordonne de me remettre à genoux. La femme se positionne comme tout à l’heure.

– Je n’ai jamais fait ça ! Crois-je utile de préciser…

Du coup elle se retourne, me crache au visage et m’envoie deux gifles !

– Dis donc, un esclave ça ne raconte pas sa vie, ça subit ! Tu savais ce que tu faisais en me désignant, oui ou non ? Alors pour l’instant tu lèches et moi je pousse… Surveillez-le bien les filles !

Je m’applique, mais manifestement, ça ne vient pas ! Elle se dégage, je crois alors m’être tiré du guêpier dans lequel je me suis moi-même fourré, mais ce n’est même pas évident.

– Bon on va attendre 5 minutes, en attendant on va boire un coup… Tu vas aller te mettre là-bas à la place de l’esclave et lui, il va venir ici… Pas debout, à quatre pattes comme un chien

Je croise donc le biquet et vais occuper son coin. On ne fait plus attention à moi, les quatre nanas, ont entrepris de maquiller le biquet, de lui mettre une perruque. Puis Marie-Claire se met à le masturber. Dès que sa bite a atteint une bonne érection, elle me fait signe de revenir…

– Allez, viens te faire enculer !

L’idée ne me déplait bien, mais je ne sais pas trop comment me disposer !

– Suce-lui la bite pour commencer, salope !

Je ne me fais pas prier. Sa bite est belle, bien droite, le gland est tout rose, je gobe l’objet avec avidité, je me régale, donne de savants coups de langue et de puissants mouvements de lèvres, je n’ai pas eu si souvent l’occasion de faire ça… mais me voilà excité comme un fou…

– Tu le lèches derrière maintenant !

Ça, ça me plait beaucoup moins, je n’ai jamais sucé le cul d’un mec, mais je m’aperçois que l’ordre ne s’adressait pas à moi, c’est le chippendale qui me lèche le fion afin de le lubrifier bien comme il faut.

– Vas-y encule la, cette salope !

Je pensais qu’il aurait du mal à entrer, mais non, ça passe à l’aise, et le voilà qui me ramone. C’est super bon, je me pâme…

– Alors, t’aimes ça te faire enculer, ma salope ? Me demande Marie-Claire.
– Oui, c’est bon !
– C’est comme ça qu’on répond à une maîtresse !
– Oui, j’aime bien me faire enculer, Maîtresse !
– Ah ! Voilà qui est mieux !

Belinda ordonne alors à mon sodomite de se retirer. C’était bon, même si j’ai un peu mal au cul… Elle s’approche de nous.

– Hum, il n’était pas très propre ton cul, tu as vu dans quel état tu lui as mis la bite !

Bon ! C’est vrai que la capote est un peu polluée, mais il n’y a rien de catastrophique non plus…

– Lèche ! Nettoie !
– Non, ça ne me dit rien !

Une lanière de cuir me cingle les fesses. L’ordre est répété :

– Lèche ! Nettoie !
– Non, je ne veux pas faire ça !

On me cingle de nouveau, la décision de quitter précipitamment ce lieu de débauches est quasiment prise.

– Dis-moi, tu es une petite salope, oui ou non ? Me demande Belinda en prenant un petit air canaille.

Ouf on parle d’autre chose, je crois donc avoir échappée au léchage… je réponds donc :

– Oui, oui, je suis une petite salope !
– Je ne suis pas sûre, les vraies petites salopes, ça n’hésitent pas à nettoyer les bites qui sortent de leur culs, toi pour l’instant tu te dégonfles, c’est pas bien… mais je sais que tu vas te ressaisir, allez lèche, nettoie et plus vite que ça, petite salope !

Cette nana m’envoute. Je réfléchis très vite, après tout j’ai bien sucé mes doigts cet après-midi, cette fois, c’est juste un peu plus gros. J’essaie, toujours la même impression, un goût assez neutre, un arrière-goût plutôt âcre, mais rien de franchement repoussant, je vais donc lui nettoyer comme il faut sa bite (ou plutôt sa capote) à l’autre chippendale ! Lequel est invité après cette petite fantaisie à retourner dans son coin.

– Tu t’es bien fait enculer, tu as droit à une récompense… me précise Belinda.

Je flaire le piège.

– Pour avoir ta récompense, il faut la demander ! Insiste-t-elle
– Maîtresse, est-ce que je peux avoir ma récompense ?
– Met toi déjà à quatre pattes et ensuite je veux que tu me nommes la récompense je vais te donner…

C’est bien ce que je pensais ! Je ne dis rien, je bloque ! Mais voilà que Tania est passé derrière moi et m’administre plusieurs coups de martinet à la volée… et elle n’est pas spécialement douce.

– J’arrêterais quand tu auras répondu à Belinda.

A ce stade, je peux très bien décider de me barrer de ce repaire de folles… mais Belinda s’accroupit devant moi, approche son visage à quelques centimètres du mien, fait quelques mouvements de langues et minaude :

– Et puis, ça me ferait tellement plaisir…

La salope, elle est en train de me manipuler, je résiste, je ne réponds pas, et l’autre derrière qui continue à me fouetter. C’est décidé, je me barre… Et puis le miracle : Belinda reprend ses mouvements de langues et cette fois atteint mes lèvres. Je craque, on s’embrasse l’espace de quelques secondes…

– Alors ?
– Chie-moi dessus, maîtresse !

Déjà je le regrette, mais on me fait allonger sur le sol, et comme tout à l’heure j’ai les fesses de cette superbe femme au-dessus de mon visage.

– Un petit pipi pour commencer ! Ouvre bien la bouche !

Jusque-là ça va, elle me pisse quelques gouttes que j’avale sans problème, la suite ça va être autre chose… si seulement elle pouvait bloquer comme la première fois… Mais elle ne bloque pas… je vois un étron qui commence à sortir de son anus, elle pousse encore… Elle a le tact de s’avancer un tout petit peu, pour que je ne reçoive pas tout ça sur le visage, effectivement l’étron se tortille, se détache et me tombe en bas du cou, drôle d’impression….

– Joli ! commente Denise.
– Attends j’ai pas fini ! Répond Belinda.

Un second et un troisième étron viennent rejoindre le premier. Je bande comme un cerf, et c’est tout à fait inattendu !

– Malou, le plateau ! Demande Marie Claire.

La petite soubrette s’approche de moi, ramasse à pleines mains les étrons échoués sur mon torse, et les dispose sur un plateau en argent.

– Je vois que ça t’excite ! Reprend Belinda, je ne pensais pas que ça te ferais bander comme ça, mais du coup, on va continuer le jeu, tu vas me servir de papier à cul …

Bizarre, je la sentais venir, celle-là ! Sans réfléchir je précipite ma langue sur ses fesses et entreprend de nettoyer tout ça ! Ce n’est pas spécialement mauvais, un peu âcre peut-être, mais on s’y fait…

– Et ben dis donc, il t’a drôlement bien nettoyé, je me le réserve pour tout à l’heure ! Indique Tanya.

Oui, mais bon, j’en ai marre de faire le jouet, j’ai trop envie de jouir, je me branle, j’éjacule.

– Pourquoi tu t’es branlé ?
– Pourquoi tu as joui ?
– Salaud d’esclave !
– Vas-t-en ! Vas-t-en !

Elles sont de plus en plus menaçantes, qu’est-ce qu’elles vont me faire ?

Je me réveille en sueur, quel drôle de rêve, j’ai mouillé mon slip… il faut que je me lave et que je me change, mais je regarde ma montre, j’ai le temps, je n’ai pas beaucoup dormi.

J’hésite quand même à aller à ce curieux rendez-vous, le fait d’avoir joui m’a un peu démotivé, mais bon, ma curiosité l’emporte.

L’adresse qu’elle m’a indiquée se trouve dans un quartier assez bourgeois, je repère le numéro. J’ai dix minutes d’avances, je tourne un peu dans le quartier. A ce moment-là je me mens à moi-même en me disant que je ne suis pas sûr d’y aller…

A 21 h 30 très précise, je sonne à l’interphone !

– Oui ! Me répond une voix d’homme
– Je viens de la part de Marie-Claire.
– Montez, 4ème droite.

Je monte, la porte s’ouvre. Une montagne de chair apparaît.

– Entrez !

J’obtempère, cherche Marie-Claire du regard. Le colosse m’indique qu’elle n’est pas encore arrivée, mais qu’elle ne devrait pas tarder.

– Une bière ?
– Non merci !

Le mec doit faire 1 m 95 il est bâti tout en largeur, un cou de taureau, son marcel laisse apparaître des biscotos impressionnants, un vrai pilier de rugby ! Il est coiffé en brosse, et est affublé de petites moustaches assez ridicules, à tous les coups, ce mec doit travailler dans l’armée ou la police. Je n’ai pas, mais vraiment pas envie de me faire dominer et sodomiser par ce monstre.

– Ah, zut, j’ai oublié le cadeau pour Marie-Claire dans la voiture, je reviens de suite ! Annonçais-je comme prétexte à ma fuite.

Arrivé en bas, je me faufile dans les rues, pas envie de rencontrer Marie-Claire à la station de métro.

C’est quelques minutes plus tard que je me rendis compte que j’avais oublié de rapporter sa culotte… comme dans mon rêve.

FIN

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7 réponses à Place de la Trinité par Enzo_Cagliari

  1. Breton dit :

    Ah ces bourgeoises perverses, moi aussi elles me font fantasmer et si en plus elles jouent a des petits jeux comme dans ce récit fabuleux, c’est le pied.

  2. Ajax dit :

    J’aime a regarder
    une femme en train de chier
    L’impatient étron
    devient boudin marron
    Après j’aime lécher
    En bandant comme un poney

  3. chandernagor dit :

    Estonius pousse un peu loin le bouchon, mais le fantasme du club des matures salopes fonctionne parfaitement !

  4. Darrigade dit :

    De la haute voltige… réussie. La lecture de ce récit m’a fortement émoustillé

  5. Baruchel dit :

    L’auteur s’en sort admirablement bien… à pas de loup

  6. claire dit :

    Il est curieux comme le fantasme scato est abordé de façon très différente suivant les auteurs. On sent Estonius fasciné par la pratique mais peu désireux de se lancer trop loin. Les amateurs du genre seront sans doute un peu déçu, pourtant c’est un très joli texte avec des passages très excitants.

  7. Berlioz dit :

    C’est très bon et je me suis régalé de ce texte. On sent au fil du récit les hésitations de l’auteur a travers les questionnements et les hésitations de son héros, de la scato, oui mais jusqu’où ? En fait seule la solution de l’onirisme pouvait conclure ce récit, mais l’auteur s’en sort admirablement

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