Partouze avec Jean (au sauna)
par Copacabana
Depuis plusieurs jours déjà j’ai très envie de sexe, mais les circonstances ne s’y prêtant pas, je suis contraint à l’abstinence. Mes masturbations quotidiennes, même alimentées par mes nombreux fantasmes n’y suffisant pas, je ne pourrai pas tenir encore très longtemps, surtout que, surfant sur Internet et mes diverses messageries, j’ai plusieurs réponses positives (en tout cas, apparemment positives) à des annonces postées il y a quelques jours.
Mais d’abord, avant de poursuivre, qui suis-je ?
Je suis un homme, 1, 89 m, la cinquantaine, marié, cherchant de plus en plus à » sortir de la routine » et cherchant surtout à retrouver une époque bénie (les années 70/80) ou tout était possible dans le domaine du sexe, sans grand risque et arrière-pensées…
J’aime le sexe, avec des hommes, des femmes, des travestis.
J’ai dans le domaine du sexe, ce que j’appelle des » périodes « . J’ai ma période » travesti « , ma période » douche dorée « , ma période » voyeur « , etc… En ce moment, je suis plutôt dans ma période » sexes d’homme et sperme « .
C’est donc la teneur de mes annonces du moment.
» Homme cherchant hommes pour caresses, suçages et éjaculations abondantes », telle était ma dernière annonce, à laquelle Jean venait de répondre. Quelques jours après, je l’appelle pour lui proposer un rendez-vous dans un de mes bars favoris pour discuter d’une suite possible.
C’est ainsi que, attablé devant une bière, je vois arriver Jean, 1,80m, la soixantaine très élégante, mince, bronzé et souriant. Nos signes respectifs de reconnaissances ayant fonctionnés, il vient directement à ma table et commanda aussi une bière.
Le contact est immédiat et nous commençons à discuter comme si nous nous connaissions depuis toujours. Il est aussi marié et il me confirme qu’il cherche un homme pour une bonne séance de sexe sans tabou ni contrainte. Rapidement, il me propose d’aller dans un sauna qu’il connaît à coté de la gare de Lyon, où nous pourrons nous éclater sans souci. En attendant une deuxième bière que nous avons commandée, nous poursuivons la discussion en évoquant les possibles jeux qui seront les nôtres dans quelques instants. La bière m’inspirant, je lui dis qu’il y a déjà quelques temps que je ne me suis pas fait arroser par un jet chaud et doré et que j’adore cela. A son regard brillant, je vois qu’il s’excite à l’idée de me faire ce plaisir, qu’il souhaite que je lui rende en retour. Après ces préliminaires, nous évoquons quelques suites possibles faites de queues bien raides et de jets de sperme brûlant. Passablement excité, je lui dis :
« Tu sais, tu m’excites vraiment beaucoup ! Là, je bande très fort ! J’aimerais sentir ta main sur mes couilles et ta bouche sur mon gland ! »
Il me répond :
« Je suis dans le même état ! Allons-y maintenant, j’ai trop envie de te pisser sur les seins et de te jouir sur la figure ! Tu as l’air d’être aussi salope que moi ! Je suis sûr que nous allons nous entendre ! »
Nous nous mettons en route, via le métro, vers la gare de Lyon. Le métro est bondé et bien que le parcours soit bref (trois stations), cela nous suffit pour discrètement nous exciter, par des regards, des frôlements (ah ! Sa main le long de ma cuisse, à presque toucher mon sexe !), des chuchotements ; un moment, je suis serré derrière lui, poussé par la foule et je lui susurre dans l’oreille :
» Tu sens ma queue entre tes fesses ? Je te fais l’amour doucement … »
Rapidement, nous sommes à destination ; il est temps …
Nous sommes maintenant dans la place. La première impression est bonne ; les locaux sont très propres, fréquentés par une vingtaine d’hommes. Une fois passés au vestiaire et vêtus de notre serviette, Jean, qui connaissait déjà les lieux, m’entraîne directement à l’étage inférieur. Je le suis dans un coin très sombre ou aussitôt, il se met face à moi et entreprend de me caresser le sexe. Nous laissons tomber nos serviettes ; je sens son sexe dressé qui se frotte sur mon ventre. N’y tenant plus, je m’accroupis pour le prendre en bouche ; Jean a un très gros sexe avec un gland bien chaud que je lèche goulûment en lui caressant les couilles. Je l’entends marmonner :
« Ah, va-y, sois salope ! Suce-moi bien, tu m’excites comme un fou ! J’ai trop envie, vide-moi bien les couilles ! Je vais tout te cracher dans la bouche ! »
En même temps que je le suce, je me caresse les seins dont les tétons sont maintenant tous durs. Je sens que Jean ne va pas tenir longtemps et je me réjouis d’avance des giclées que je vais recevoir.
Je suis toujours à ses pieds, sa bite bien au fond de ma gorge quand, ma vue s’étant adaptée à la quasi-obscurité de l’endroit, je m’aperçois que nous ne sommes pas seuls. Je vois un homme derrière Jean, entrain de lui doigter l’anus et je sens deux hommes derrière moi ; je sens surtout leurs sexes qu’ils frottent sur mes joues ! Deux très belles queues, brûlantes et raides. A ce moment là, je sens que Jean se penche en avant ; je comprends vite pourquoi ! L’homme qui est derrière lui, après l’avoir bien doigté, a enfilé un préservatif et est en train de faire l’amour à Jean ! Tout en continuant de téter la bite que j’ai en bouche, je caresse les couilles de son baiseur qui maintenant a complètement rentré son sexe entre les fesses de Jean. C’est vraiment une rencontre fantastique ! Je l’entends geindre de plaisir :
« Ahhh, comme c’est bon ! Vas-y, baises moi à fond, j’ai trop envie ! Défonces moi le cul, fais-moi jouir comme une pute ! »
Les deux autres hommes n’y tiennent plus et se branlent comme des fous ! Tout d’un coup, l’un des deux jouit et m’envoie sur la figure de longs jets de foutre brûlant ! J’étale ce bon jus sur mes seins et, n’y tenant plus, j’attrape à pleine bouche la bite du deuxième juste avant qu’il ne gicle à son tour ! J’ai du mal à l’avaler tant il a une grosse queue ! En quelques secondes, je sens son gland qui grossit et il se vide les couilles ! Je manque d’étouffer tant il crache ! J’en avale une partie et je laisse couler le reste sur mon ventre et ma queue. A mon tour, je râle :
« Ahhh, vas-y Jean, fais-toi défoncer ! Je vais te vider la queue comme aux deux autres ! Tu pourras me pisser dessus après pour me rincer ! Je suis noyé dans le foutre ! C’est trop bon ! »
Jean :
« Ouiiii ! Tu es vraiment la même salope que moi ! Le salaud qui m’encule est entrain de jouir dans mon cul ! Je vais te cracher toute ma sauce dans la gueule ! Vas-y, reprend ma queue ! Ahhh, çà y est ! Je jouiiiis ! »
J’ai juste le temps de me remettre sa queue au fond de la gorge quand il gicle à son tour ! Son sperme est très bon et je prends le temps de tout avaler et d’aspirer les dernières gouttes.
Notre séance ayant attiré quelques autres clients, je suis maintenant entouré de six hommes. Quatre viennent de jouir et à l’exemple de Jean, commencent à me pisser dessus. Je suis à genou et je prends une véritable douche de champagne ! Les deux derniers arrivants se caressent et jouissent très rapidement, toujours sur mon visage !
Je n’ai pas encore joui, tout au plaisir de mes partenaires. Je dis à Jean :
« Je vais faire une pause ; je monte à l’étage au sauna. On se retrouve après si tu veux »
Au passage, il m’embrasse amoureusement et me dit à l’oreille :
« Tu m’as fais très plaisir, tu sais ; réserve ta queue pour moi. Je veux te faire jouir à ton tour…
En attendant, je commence par prendre une douche pour me rincer de l’arrosage que je viens de subir. Tout au plaisir de l’eau qui coule chaude sur moi et des superbes bites qui m’avaient arrosé de sperme et d’urine, je vois arriver à côté de moi un magnifique travesti, accompagné d’un noir au corps luisant de sueur. Ils sortaient du sauna et viennent se rafraîchir sous la douche. Comme je n’ai pas encore joui, mon sexe se met à grossir tout de suite à la vue de ce couple. J’ai toujours adoré les travestis. Le mélange pervers d’un corps de femme aux seins bien ronds et durs avec un sexe d’homme m’a de tout temps apporté des plaisirs très forts. Le noir ayant vu mon excitation, me sourit doucement, m’invitant à me rapprocher d’eux, ce que je fais immédiatement. Sa partenaire me prend les mains, en pose une sur le sexe du noir et l’autre sur son sexe qui commence aussitôt à grossir et durcir. La taille de la bite de son partenaire atteint rapidement une taille considérable ; près de 30 centimètres de long et un diamètre tel que je peux à peine en faire le tour avec ma main. Il me dit s’appeler Max et sa partenaire Suzy. Suzy se penche alors à mon oreille pour me demander doucement :
« J’aimerais te faire l’amour pendant que tu suceras la grosse queue de Max jusqu’à ce qu’il crache tout son jus. Il n’a pas joui depuis hier et ses couilles sont pleines à éclater ! Je l’excite depuis une heure au moins et j’ai réussi jusque là à l’empêcher de jouir ! »
Max, qui a entendu, bande encore plus dans ma main, comme pour me convaincre de l’urgence ! Je n’ai évidemment pas besoin d’être convaincu et je propose à Suzy et Max de m’accompagner dans une cabine pour être tranquille. Comme ils sont d’accord, je les emmène dans la cabine qui a un mur équipé d’un miroir, qui est en fait une glace sans tain…
A peine la porte fermée, je me mets face à Max et je l’embrasse à pleine bouche en lui caressant les pectoraux et en lui pinçant les tétons. Je l’entends qui gémis et je sens sa grosse queue qui gonfle encore et se frotte sur mon ventre. Suzy est derrière moi, sa queue bien raide entre mes fesses. Je sens ses seins sur mon dos. Cela m’excite comme une vraie pute et je tortille des fesses comme une salope prête à tout pour me faire prendre comme une chienne. Max me prend la tête et l’attire vers son sexe pour que je le suce. Il me dit :
» Vas-y, suce-moi la queue ; j’ai envie de jouir dans ta bouche pendant que Suzy baisera ton petit cul de salope ! »
Je prends en tremblant de plaisir sa grosse queue à deux mains et je l’enfourne au plus profond de ma gorge. Je lui titille le bout du gland en pointant ma langue dans le méat bien large et gluant de jus. En même temps, Suzy me doigte le cul en me branlant doucement. Je fais mettre à genoux Max et je me mets sur le dos, écartant au maximum les jambes pour recevoir Suzy dans mon cul qui s’ouvre de désir. J’ouvre aussi la bouche à fond pour que Max puisse me baiser avec sa queue encore plus grosse et raide. Je lui caresse les couilles et les fesses en bavant sur son sexe qui m’étouffe à moitié. Suzy pose son gland à l’entrée de mon cul et pousse doucement. J’ai tellement envie d’elle que je lui prends les fesses et la tire vers moi. Je sens d’un seul coup sa queue qui rentre à fond en moi. Ses couilles dures s’écrasent sur mes fesses. Max se branle dans ma bouche de plus en plus vite. Je lui mets deux doigts dans l’anus et je sens qu’il va jouir ! Suzy a du le sentir aussi car elle me baise de plus en plus vite en gueulant :
» Vas-y, Max ! Crache-lui ton foutre dans la gueule ! Je vais lui remplir le cul avec le mien ! Allez ! Vide tes couilles mon salaud ! »
Suzy pousse encore plus fort et je sens sa queue gonflée dans mon cul béant en crachant un flot de sperme brûlant. Je me pince les seins très fort pendant que Max à son tour me gicle dans la bouche de longues giclées gluantes de foutre, que je laisse couler de chaque coté de mes lèvres pour m’en masser les seins et la queue en marmonnant :
« Ahhh ! C’est bon ! J’adore le foutre ! J’en veux encore ! Noyez-moi sous le sperme ! Va-y Suzy, pisse-moi dans le cul ! Max, pisse-moi dans la bouche ! Arrosez-moi comme une salope ! Je veux encore des bites et des grosses couilles pleines de foutre ! »
Max et Suzy, ayant à peine débandés, se caressent doucement le bout du gland, ce qui déclenche bientôt une douche de pisse, drue et chaude, avec laquelle ils m’arrosent le cul et la bouche. Je me désaltère à cette fontaine en imaginant Jean et d’autres voyeurs derrière la glace sans tain.
Après quelques instants de repos, Suzy, Max et moi sortons de la cabine. En me dirigeant vers la douche et le sauna, j’entends Jean, dans le couloir où il y avait la glace sans tain :
» Ahhh ! Oui ! C’est bon ! Donnez-moi vos grosses queues de noir ! Faites comme l’autre salaud ! Giclez tout votre foutre sur moi ! Ahhh ! Encore ! Encore ! »
Je me dis que Jean prend au moins autant que moi son pied dans ce sauna !
Après une bonne douche, je vais attendre Jean dans la salle du fond ou est projeté un film porno montrant trois hommes très bien montés, entrain de jouer avec une nymphette très menue mais avec un véritable visage de petite salope perverse ! Elle m’excite beaucoup à jouer avec les trois bites à sa portée, les suçant une après l’autre, tout en se caressant la chatte. J’avais véritablement envie de me jeter sur l’écran pour lui prendre le cul et l’enculer comme un fou ! C’est dans cet état d’excitation que me trouve Jean lorsqu’il revient de sa partouze. Je lui dis que j’avais gardé mon foutre en réserve pour lui mais que là, il y avait urgence ! J’ai vraiment envie de me vider les couilles ! Je vois à son regard qu’il était plus que d’accord pour me donner satisfaction ; aussi, je l’entraîne dans la pièce attenante à la salle de cinéma. Cette pièce étant équipée d’une vitre de séparation qui permet de voir et d’être vu des spectateurs, nombreux et excités par le film. Une fois dans la pièce, je me mets face à la vitre, en léchant celle-ci et en me pinçant les tétons, pendant que Jean, derrière moi, me branle et me doigte l’anus. Je me penche un peu en avant pour tendre mon cul vers Jean et pour être à la hauteur des sexes des spectateurs qui commencent à se branler, excités par le film et par le spectacle de la salope déchaînée qui s’offre à leurs yeux. Les premiers ne tardent pas à jouir et à faire gicler de grandes coulées de foutre qui coulent sur la vitre. Je suis ces coulées avec ma langue de l’autre côté, m’imaginant en train de déguster ces nectars blancs et crémeux. Jean de son côté a remplacé ses doigts dans mon cul par sa bite et me baise à grands coups. Je sens ses couilles s’écraser sur mes fesses à chaque coup de sa queue. Je bande de plus en plus, sentant mon sperme monter et près à gicler. Je n’en peux plus et je crie :
« Vas-y, rempli moi le cul de foutre ! Je veux encore du sperme ! Regarde tous ces salauds qui se branlent ! Je veux leurs queues et leur jus ! ».
Jean libère alors le verrou de la cabine ou nous sommes, permettant ainsi aux spectateurs de s’approcher de nous. Là, c’est la folie finale ; nous sommes encerclés d’hommes, nus, la queue dressée, près à jouir. J’attrape les queues les plus proches pour les pomper et les vider. En quelques minutes, j’en vide quatre ! Le sperme me dégouline des lèvres ! D’autres nous jouissent dessus, sur mon visage, sur le cul de Jean qui continue à m’enculer. Les yeux pleins de foutre, je vois Max entrer dans la cabine, sa gigantesque bite dressée comme un pieu. Jean s’écarte, lui laissant la place. Max a enduit sa queue de vaseline et commence à la faire rentrer dans mon cul grand ouvert. Je suis tellement excité que quelques poussées suffisent pour que les 30 centimètres de son mandrin me pénètrent à fond. Suzy, qui était rentrée dans la cabine avec Max, vient se positionner devant moi et prend ma queue dans sa bouche. Elle se branle en même temps. Max me pince les seins en gueulant :
« Je vais te remplir le cul de foutre, salope ! Tu vas cracher ton jus maintenant ! Suzy va te vider ta queue de pute « .
C’est trop bon. Je sens la queue de Max se gonfler et onduler sous la pression du foutre qu’il me crache dans le cul. Je prends alors la tête de Suzy pour l’écraser sur ma queue qui explose dans sa bouche. Je crache enfin mon jus en une dizaine de grandes giclées qu’elle garde en bouche pendant que Max se retire. Le bruit que fait sa queue en sortant de mon cul est impressionnant. J’ai comme un courant d’air qui me rentre à l’intérieur. De mon cul béant, je sens dégouliner tous les foutres que je viens de prendre. Suzy se redresse et m’embrasse à pleine bouche, me faisant passer mon foutre avec sa langue. Je crois qu’après cette folie, je n’ai plus un endroit de mon corps qui n’est pas recouvert de sperme ! Je reprends doucement mes esprits et avec Jean, me dirige vers la douche.
Après dix minutes passées sous l’eau chaude nous allons au vestiaire et, une fois habillés, nous sortons. Une fois dehors, Jean me propose un dernier verre autour duquel nous décidons de nous revoir le plus vite possible pour d’autres folies. Entre autre, il me parle de Zoé, son Doberman, qu’il a dressé de façon très particulière, le rendant très porté sur le sexe…Tout un programme qui me fait à nouveau fantasmer…
Il n’y a aucune honte à aimer la bite, moi aussi j’adore en sucer !
Du bon gay qui m’a rappelé quelque souvenirs, je ne suis pas gay mais comme dirait quelqu’un, j’ai quelques tendances…
Tu aimes les bites, alors ?
Bien sûr ! Et toi ?
Moi, je suce !