Orgie dans la clairière
par Enzo_Cagliari
C’était un samedi après-midi sous le radieux soleil du mois de juin.
Je me suis engueulé avec ma femme. Pour des bêtises en plus. Alors j’ai pris la bagnole et j’ai filé la route plus ou moins par hasard. Je me suis retrouvé à 20 kilomètres au bois de Capet.
Je me suis garé et me suis enfoncé dans la forêt, le lieu était un peu chaud il y a des années, j’ignore s’il l’est encore ?
Une heure que je marche, j’ai bien croisé un couple mais ils m’ont ignoré. Le problème c’est que je suis un peu perdu, il va falloir que je trouve le moyen de me repérer.
Ah, un type au loin, je vais lui demander où est la route quand je le croiserai. Le mec est en bermuda, chemise ouverte. A dix mètres de moi, il s’arrête, se met sur le côté et sort sa bite pour pisser sans se cacher. Je vais vers lui, il me sourit, il se branle maintenant devant moi. Je fais quoi ? Je me dégonfle ou je me lâche ?
– Si tu aimes la bite, je suis très doux ! M’indique-il.
– Elle est belle ! Parvins-je à articuler.
– Vas-y, touche !
Je lui branle un peu la bite, voilà des années que je n’ai pas fait des trucs avec un homme. Mais là je suis prêt, je bande comme un malade. Pendant que je lui astique la bite, il dégrafe mon pantalon et le fait tomber au sol, le caleçon suit. Me voici le cul et la bite à l’air. J’aimerais bien qu’on me regarde, je jette un regard circulaire, mais hélas les voyeurs ne sont pas là, ou alors ils sont bien planqués.
Ça y est, il a ma bite dans sa main, on se branle mutuellement et c’est bon. La main de l’inconnu s’égare, il me pelote les fesses et un doigt tente l’entrée de mon trou du cul.
– Tu aimes ?
– Oui Vas-y !
– Tu m’a l’air d’être une belle petite salope ? Me dit-il
– Toi aussi, non ?
– Dis-moi que tu sens bien mon doigt !
– Humm, j’adore qu’on me foute un doigt dans le cul !
– T’aime quoi d’autre ?
– Sucer, me faire enculer !
– Comme moi, alors on est deux belles salopes toutes les deux, embrasse-moi !
Ça par contre, ce n’est pas vraiment mon truc, mais bon, si ça peut lui faire plaisir ! En plus, il pique ce con, il s’est rasé avec du papier de verre.
– T’es plutôt passif, alors ? Me demande le type
– Je peux être les deux, mais c’est vrai que préfère être passif.
– Vas-y goûte à ma bite !
Bien sûr que je goûte à cette bonne bite, bien raide et au bout luisant, je lui pourlèche le gland sur lequel plane encore l’odeur de sa pisse. Puis je me lance dans une série de va-et-vient qui me remplisse la bouche. Quel plaisir de sucer une bonne bite, j’espère qu’il va ensuite me la mettre dans le cul.
– Tu peux me sucer un peu derrière ?
Encore un truc qui ne me branche pas trop, mais je le fais et lui colle ma langue contre son petit trou du cul.
– Faut que je te dise un truc ?
Ho,làlà, qu’est ce qu’il va me raconter ?
– Je ne suis pas venu seul dans ce bois, je suis un soumis, et ma maitresse m’a ordonné de lui ramener un esclave, si je le fais j’aurais une récompense.
– Et si tu ne le fais pas ?
– Ben, je serais puni !
– Et bien c’est très bien, si t’es maso, tu dois aimer être puni, non ?
– Heu, c’est beaucoup plus compliqué que ça, en fait !
– Elle est comment ta maîtresse ?
– Elle est belle, très belle, une très belle femme, elle est accompagnée d’une amie, très belle aussi.
– Et si je vais la rejoindre avec toi, elle va me faire quoi ?
– Rien de bien méchant, mais on s’enculera devant elles, ça c’est sûr.
L’idée finit par me plaire, on y va !
A notre arrivée, les deux maîtresses sortent de la voiture. Jennifer est une grande brune bronzée d’une quarantaine d’année, joli visage et attitude volontaire, vêtue d’un pantalon de cuir noir et d’un gilet de la même matière se fermant par une fermeture éclair sur le devant. Cynthia est une petite blackette habillée d’une minijupe et de collants. Son petit haut blanc est décolleté de façon très impudique, le haut des aréoles étant nettement visibles. Deux belles salopes, quoi !
– Alors, esclave, tu as fait une trouvaille ?
– Oui, maîtresse !
– Raconte !
– Ben j’ai croisé ce mignon petit pédé, j’ai sorti ma bite, il me l’a tripoté, après on s’est tripoté tous les deux, je lui ai mis un doigt dans le cul, puis il m’a sucé la bite et le trou du cul.
– Et, bien on trouve de ces salopes dans les bois ! Commente Cynthia en rigolant.
– M’en parle pas ! Les mœurs se dégradent de jours en jours, ma chère.
– Approche-toi ! Et met toi à genoux devant moi ! M’ordonne-t-elle
Je le fais !
– Tu vas ouvrir la bouche et je vais te cracher dedans ! Tu es d’accord ?
Je m’entends dire « oui ». Rêve-je !
– Mais avant tu vas me le demander, je veux que tu dises « Maitresse crachez moi dans ma gueule de salope ! »
– Maitresse crachez moi dans ma gueule de salope !
Elle le fait, puis invite Cynthia à faire de même.
– C’est bien, on va te tester mieux, allez, en route
On s’enfonce dans le sous-bois, jusqu’à une petite clairière.
– A poil, tous les deux !
Ce n’est pas un problème, nous voilà rapidement nus comme des vers. Jennifer retire son pantalon et son string. Elle m’exhibe ses fesses, des belles fesses bien lisses. Elle en écarte ensuite le sillon.
– Viens me lécher le trou !
On y va ! Petit problème, le cul de la dame n’est pas très propre. Certes cela n’a rien d’une catastrophe, mais il est clair qu’elle s’est bien mal essuyée le troufignon après avoir fait sa grosse commission. Du coup, me voici stoppé dans mon élan.
– Ah, oui ! Viens me dire Cynthia ! Maîtresse Jennifer n’utilise jamais de papier toilettes, ce sont ses esclaves ou ses amies qui remplissent cette fonction. C’est moi qui me suis dévoué tout à l’heure, mais j’en ai laissé, oh, un tout petit peu. Allez approche- toi, tu as le droit de sentir avant de lécher.
Elle en profite pour m’assener un coup de cravache sur les fesses. Je fais quoi ? Je me barre en courant ! Ces fesses sont trop belles, j’ai trop envie de me prendre au jeu, je m’habitue à l’odeur qui n’a d’ailleurs (heureusement) rien d’insoutenable, puis pris d’une frénésie incontrôlable, je me mets à lécher tout ça avec application.
– Je veux sentir ta langue dans mon cul.
Oui, ben je fais ce que je peux, je n’ai pas une langue de caméléon, j’introduis juste le bout, c’est délicieusement pervers. Je parie qu’après on va m’intimer l’ordre de lécher le cul de la jolie doudou. D’ailleurs la voici qui retire sa culotte…
Déception ! Ce n’est pas pour moi, c’est l’autre esclave qui s’y colle ! Ce n’est pas juste.
Jennifer se dégage, je me relève, elle me fait face et me gifle. Elle est con, ça fait vachement mal. Je cherche où sont mes fringues pour quitter cette bande d’abrutis, mais la voilà qui m’enlace et qui m’embrasse. Décidemment, que voilà une maîtresse qu’elle est étrange ! D’autant que la baiser doit avoir un goût particulier après mon petit nettoyage.
– Tu aimes qu’on te domine ? Demande-t-elle.
– Non, ou alors juste des petites misères.
– Des petites misères ? Comme ça !
Et la voilà qui se met à me pincer et à me tordre les tétons ! Comment a-t-elle deviné que j’adorais ça ?
– C’est bon ?
– C’est trop bon !
– Alors laisse-moi faire, je vais te faire plein de bonnes choses, aussi bonnes que celle-là ! Tu veux ?
– On peut toujours essayer.
Elle ordonne à l’esclave de l’aider à m’attacher au tronc d’un arbre, face devant, puis sort d’une mallette deux pinces à seins qu’elle m’accroche aux tétons. Cynthia se marre, elle s’était éloignée et la voilà qui revient avec un bouquet d’orties. Au secours !
– Détachez-moi, je ne joue plus !
– Tu n’y connais rien, si les gens ont les orties en horreur, c’est parce qu’ils se grattent. Si tu ne te grattes pas, tu vas voir comme c’est bon.
– Pas envie, détachez moi, s’il vous plait.
– Alors juste une fois.
La salope ! le bouquet atterrit sur ma poitrine. Toute de suite ça me picote.
– On arrête !
– Non, je veux que tu me dises de continuer, tu seras récompensé… Tiens regarde !
Elle dézipe lentement son haut, dévoilant un joli soutien-gorge rouge.
– Esclave, enlève moi-ça.
Il le fait, j’ai maintenant ces deux magnifiques seins terminé par de jolis et épais tétons bruns, à quelques centimètres de moi.
– Tu aimerais les lécher ?
– Oui !
– Alors laisse-moi jouer avec toi !
J’hésite, mais je me sais déjà vaincu.
– Alors !
– J’ai confiance, je me laisse faire.
Le picotement semble baisser d’intensité, mais Jennifer met maintenant l’intérieur de mes cuisses en contact avec les orties. Je la vois approcher le bouquet de mon sexe. Je ferme les yeux, le contact est terrible. Là où la douleur avait cessé elle revient, différente. L’envie de me gratter est énorme.
Jennifer se dirige alors vers l’esclave qui à son tour subit la caresses des orties, mais sans être attaché.
La douleur cesse peu à peu, mais j’ai la peau comme un chef indien partant à la guerre. Jennifer revient vers moi et joue avec mes seins pendant plusieurs minutes m’arrachant des cris ou la douleur se mélange au plaisir dans une curieuse symphonie de sensations…
– Approchez-vous vous verrez mieux !
Mais à qui parle-t-elle ?
J’aperçois alors un groupe de trois jeunes asiatiques, une femme et deux hommes. Les deux gars ont coiffés moderne, c’est-à-dire n’importe comment, mais la femme est très belle avec un visage délicat et de belles lèvres bien ourlées. Elle tient les bites parfaitement bandées des deux gars dans chaque main.
– Vous voulez participer ?
Pas de réponse.
– Vous pourriez répondre ! Si vous dites non, on ne sera pas fâchés et vous aurez même le droit de continuer à regarder.
– On regarde un peu, ça nous excite et après ils vont me sauter tous les deux ! Répond la fille.
– Comme vous voulez, prenez-en plein la vue, c’est gratuit.
Jennifer, me détache.
– Et surtout, ne te grattes pas ! Mets-toi en levrette, l’esclave va t’enculer avec sa bonne bite. Suce-la un peu avant pour qu’elle soit bien raide.
J’obtempère. Je me régale de nouveau du contact de cette belle bite dans ma bouche. Je la gâte et elle grossit bien. Je sens alors qu’on me tartine du gel à l’entrée de mon petit trou. L’esclave fait plusieurs tentatives avant que mon anus accepte ce corps étranger. (Eh, c’est que je ne me suis pas fait faire ça si souvent, on a bien un gode à la maison, mais il n’est pas très gros).
Et ça y est, ça coulisse dans mon cul, ce con me fait un peu mal, mais je ne dis rien, me souvenant qu’en principe la douleur initiale ne dure pas.
– Quel magnifique spectacle ! Commente Jennifer, je ne connais rien de plus excitant que deux mecs qui s’enculent.
– Pourquoi ne le font-ils pas tous ? Interroge Cynthia.
– C’est un mystère, ma chère, c’est un mystère répond-elle, mais en attendant lèche moi la chatte, elle dégouline.
Cynthia ne se le fait pas dire deux fois et se plaçant entre les cuisses de son amie, elle lui lape la chatte avec frénésie. La clairière s’emplit bientôt du cri de jouissance de Jennifer, laquelle après un nécessaire petit répit en redemande en se plaçant en soixante-neuf cette fois, afin qu’il n’y ait point de jalouse. L’affaire est rondement menée, Jennifer jouira une seconde fois avant que Cynthia la rejoigne au septième ciel. Quelques instants plus tard, l’esclave se retirait après avoir joui, me laissant le cul béant.
La petite asiatique intervient alors.
– Je proposerais bien un jeu !
– Dis toujours. répond Jennifer.
– J’aimerais bien qu’un de mes copains se fasse enculer !
Protestations de deux mâles qui ne s’attendaient pas à ça !
– Juste l’un des deux, précise-t-elle !
– Pas moi dis le premier
– Moi non plus dis le deuxième.
– On va tirer à pile ou face, le perdant se fait enculer, le gagnant me baise. C’est un jeu !
Les deux gars se concertent et finissent pas accepter.
– D’accord tire une pièce, cet esclave (elle me désigne) enculera le perdant.
Le perdant n’élève aucune protestation, il se pointe devant moi après avoir retiré ce qui restait de ses vêtements et approche son visage du mien pour m’embrasser, je n’en demandais pas tant, mais accepte le baiser. Il embrasse super bien comme une femme, et au moins lui il ne pique pas. Il se met en position, je m’encapote. Et allons-y, excité comme je suis l’affaire ne dure pas bien longtemps. Il me remercie, me dit que je lui avais fait ça très bien, et le trio disparaît dans les fourrés.
– Bon, c’est l’heure des récompenses. Indique Jennifer.
Si je comprends bien, on commence par moi. J’ai donc le bonheur, le plaisir et l’avantage de sucer comme un soifard les merveilleux nichons de Dame Jennifer. Voilà qui me fait rapidement rebander.
Hélas, les meilleures choses ont une fin. Jennifer me laisse et fait signe à l’esclave de se coucher dans l’herbe sur le dos. Elle s’accroupit au-dessus de sa bite, tandis que Cynthia s’accroupit au-dessus de sa bouche. Et avec une synchronisation remarquable, les deux femmes se mettent à pisser d’abondance. L’esclave boit ce qu’il peut, et est visiblement ravi de ce qui lui arrive. Quand je pense que j’ai raté ça !
L’esclave s’essuie, puis tout comme nous se rhabille. Il embrasse ensuite Jennifer avec tendresse et complicité. Le trip est fini, il n’y a plus d’esclave, ni de maîtresse.
– Ça m’a donné faim toutes ces bêtises, dites les mecs, si vous nous offriez, le restaurant ? Un petit truc, une bonne pizza par exemple. Propose Jennifer
L’esclave (qui ne l’était plus à cet instant) me fait signe qu’il est d’accord. Alors allons-y
Petit problème pour retrouver ma voiture mais ce ne fut là qu’un détail. Le restau s’est bien passé, ces braves gens se sont révélés aussi charmants qu’intéressants. On ne m’a pas demandé mes coordonnées, ce fut l’occasion qui aura fait le larron. On s’est quitté avec de gros bisous, même de la part de l’esclave qui piquait de plus en plus.
Quand je rentrais à la maison, ma femme m’attendait en grignotant un paquet de chips devant la télé.
– T’es toujours fâché ? Me demande-t-elle.
– Meu non, viens me faire un bisou.
FIN
Dans le petit bois
Devinez quoi qui y a ?
Ben oui, on ne trouve pas que des champignons dans les bois
Jolie rencontre, ça fait bander
J’ai adoré, ma bite aussi.
Les coquins sont dans les bois !