Mon service dans le XVIème – Chapitre 3 par Isabelle de Cheverny

Mon service dans le XVIème – Chapitre 3
par Isabelle de Cheverny

Cela fait maintenant un an que je suis au service personnel de Madame et Monsieur dans le XVIème arrondissement de Paris. Une forme de routine tranquille s’est installée dans les tâches domestiques quotidiennes.

Madame et Monsieur sont très gentils avec moi et mes amis n’ont toujours pas la moindre idée de l’aspect très particulier du contrat qui me lie à ce couple.

En effet, chaque matin, j’arrive au pied de l’immeuble habillé comme tous les jeunes hommes de mon âge avant d’enfiler la tenue féminine de travail que je garderai jusqu’à la fin de ma journée où je reprendrai mon apparence masculine et le cours de ma vie « ordinaire ».

Régulièrement, Madame, qui a assuré ma formation avec sérieux, me demande de faire des heures supplémentaires lorsque des amis sont invités en soirée.

Leurs hôtes sont informés de ma condition spéciale et ont fini par accepter ma condition de personnel de maison transgenre. Je ne sais pas combien de temps durera cet état de grâce qui me permet de vivre ma double identité, mais je suis bien décidée à en profiter.

Ce soir, Madame et Monsieur ont invité un couple de connaissance de longue date, Philippe et Vanessa, la quarantaine, professions libérales, avec lesquels j’ai cru comprendre qu’ils avaient partagé des moments connus par eux seuls.

Les deux couples passent au salon avant le diner pour prendre une coupe de champagne. C’est dans ma petite robe noire, souliers vernis et bas clairs que je débute mon service. Passant près de Monsieur, c’est lui qui le premier effleure mes jambes. Pendant que les quatre convives discutent, je me tiens debout près de Vanessa en attendant les ordres pour la suite de la soirée. Discrètement, elle glisse une main sous ma robe remontant par derrière le long de mes jambes. Je la sens faire un repérage méthodique et découvrir au toucher mes bas autofixants puis ma culotte et estimer enfin le volume de ce qui la remplit (au repos pour le moment). C’est une entrée en matière très agréable à laquelle je me plie bien volontiers appréciant toujours ces marques de sensualité entre adultes consentants.

Etant passés au salon, je débute le service autour de la grande table ronde nappée. Le plat de résistance étant achevé, les conversations sont légères et la bonne humeur règne. Monsieur, d’un œil complice, me regarde en adressant un regard sans équivoque à son ami Philippe qui acquiesce. Je me glisse alors doucement sous la table à quatre pattes, afin d’offrir une fellation à son invité. Son pénis est chaud et parfumé. La prise en bouche est très agréable et je m’applique à détendre comme il se doit cet homme qui semble apprécier mon traitement de faveur. C’est un pénis gonflé que je range difficilement dans le slip avant de sortir de cet endroit insolite où j’avais une vue ravissante sur les jambes de ces dames.

Philippe a pris des couleurs, et les convives poursuivent leurs conversations joyeuses jusqu’à la fin du repas. La table desservie, je me tiens à la disposition de mes employeurs. A entendre leurs propos, les quatre adultes ont manifestement une pratique bien rodée de l’échangisme et de la bisexualité. Madame me demande alors de m’allonger sur la table. Je comprends vite avec fébrilité que je serai le prochain plat à déguster.

C’est Philippe, que j’avais mis en appétit pendant le repas, qui le premier ouvre le bal en sortant sans tarder son membre et en me l’enfournant dans la bouche. Je retrouve la douce sensation sur mon palais. Pendant que je le suce avec application, la tête renversée sur le bord de la table, Vanessa, qui ne veut pas être en reste, se place derrière son mari et commence à le déshabiller.

Madame, placée en face, de l’autre côté de la table, retrousse délicatement ma robe puis me caresse les jambes gainées de nylon clair, en prenant soin de s’attarder sur mes cuisses que j’écarte librement afin de lui faciliter la tâche. La bosse que forme mon clito masculin sous ma petite culotte de lycra blanc semble l’attirer. Le tissu tendu peine à contenir mon organe qui gonfle progressivement sous les caresses expertes de mon employeur.

Tout en continuant à sucer Philippe, je sens Madame retirer ma lingerie et libérer mon clito épilé qui se dresse spontanément devant ses yeux. C’est elle désormais, qui me prends à pleine bouche, avalant mes testicules et se régalant de ma semence qui perle délicatement au bout de mon prépuce alors que je me retiens. Jugeant que l’objet est arrivé à une taille satisfaisante, Madame, n’y tenant plus, enlève sa culotte et grimpant sur la table, enfourche d’une traite sa chatte trempée sur mon membre qui disparait dans son intimité charnue.

C’est alors que Vanessa, retirant son mari de ma bouche, grimpe à son tour sur la table dans l’autre sens pour s’accroupir sur mon visage, déchirant l’entre-jambe de ses collants et écartant d’une main ses dessous afin que je lui pratique un cunnilingus. Ses lèvres pulpeuses, humides et parfumées sont un délice. Elle ondule en guidant ses lèvres sur ma bouche, cherchant à obtenir les meilleures sensations.

C’est à ce moment que Monsieur décide de prendre son invitée par les hanches et la positionne en levrette au-dessus de mon visage. Une vue imprenable me permet d’être le spectateur privilégié du vagin de Vanessa que je viens de préparer à être pénétré avec ardeur par le pénis fougueux de Monsieur pendant que Madame poursuit sa chevauchée sur mon membre écarlate.

La tête de Vanessa, baissée au niveau de mon bas ventre, saisit chaque instant des va-et-vient de son amie, poussant ensemble des gémissements de plaisir.

Philippe, s’étant déshabillé et un peu éloigné de la table, profite de chaque instant de la scène en se masturbant. J’ai l’impression qu’il se réserve pour plus tard… Cette situation a le don de me fait monter en température. Qui resterait insensible à ma place ? Le plus difficile est de ne pas éjaculer et de faire durer l’excitation.

Madame est maintenant les jambes entremêlées face à moi et entreprend de frotter ses lèvres trempées sur mes fesses comme le ferait deux lesbiennes cherchant à s’exciter mutuellement l’entre jambe. La mouille abondante sortant de son vagin trempe ma raie qui devient luisante de secrétions. Elle semble déchaînée et redouble d’ardeur dans ce corps à corps. Ses doigts s’agitent simultanément sur son clitoris émergent de ses petites lèvres largement ouvertes.

Monsieur, laissant l’entrejambe trempée de Vanessa à quelques centimètres au-dessus de mon visage, rejoint Madame qui est descendue de la table. Ils entreprennent de retirer ma robe, ne me laissant que mes bas autofixants et mon petit soutien-gorge, prenant chacun une de mes jambes pour m’offrir à leur invité.

Le précieux liquide de Madame ayant lubrifié le passage, c’est elle qui introduit son index, puis le majeur ensemble dans le but de préparer le passage. Les mouvements lents et circulaires de ses doigts dilatent efficacement mon anus et me font pousser de petits cris de désir.

De ma position, j’entrevois à travers les cuisses de Vanessa qui chevauche ma bouche, Philippe, qui se prépare à la pénétration. Ayant jugé que le moment était venu, Madame invite Philippe à me prendre. Offerte, jambes écartées tenues de part et d’autre, je sens le pénis de Philippe entamer l’entrée de mon intimité. Agrippant fermement mes jambes gainées, son membre gonflé pénètre par lents paliers jusqu’au fond de moi jusqu’à me prendre complètement. Alors que Madame et Monsieur me maintiennent en position, la sensation d’être ainsi remplie en cadence avec virilité par un sexe d’homme est délicieuse.

Vanessa, qui s’est mise à genoux près de moi sur la table, entreprends de me masturber en se calant sur la cadence de son homme qui me pilonne maintenant avec vigueur. Je suis aux anges et pousse des cris de plaisirs, ne pouvant me retenir face à ce déferlement de luxure. Ses testicules frappent mes fesses au rythme de ses coups de boutoirs qui provoquent en moi des sensations inavouables de chienne en chaleur.

Vanessa, tout en masturbant frénétiquement mon sexe, encourage Philippe à redoubler d’ardeur et à déverser sa semence dans mon corps brûlant. C’est dans un long râle et en plaquant violemment son corps contre mes fesses qu’il jouit longuement. Je sens une douce chaleur envahir l’intérieur de mon corps et se répandre dans mon ventre.

Haletant, satisfait, rassasié, Philippe se retire laissant couler le sperme tiède de mon anus dilaté et réagissant encore en cadence sous l’effet de sa queue que Vanessa décide de lécher avec application afin de ne pas perdre une goutte du précieux breuvage.

Excitée par le tableau, Madame se positionne derrière Vanessa, pour lui manger avec gourmandise son abricot lisse et luisant qu’elle pénètre de ses doigts tout en lui suçant le clito avec application. Monsieur, qui n’a pas eu son compte, m’entraîne dans le salon et m’ordonne de le sucer alors qu’il est assis sur un des fauteuils, ce que je m’applique à faire comme une servante bien disciplinée. Les femmes nous rejoignent et s’installent, jupes retroussées, afin de contempler le spectacle tout en massant langoureusement leur entrecuisse.

Je sais ce que Monsieur attend : c’est que je monte sur ses genoux et m’enfile sur son membre dressé les jambes écartées, c’est la position qu’il préfère. Je m’exécute sans tarder. Mes fesses, parfaitement préparées quelques instants avant par ses hôtes sont prêtes. Je m’empale en une fois facilement sur lui, provoquant chez Monsieur un cri de bonheur au moment où son membre est englouti par mon anus lubrifié du foutre de Philippe restant à l’intérieur. Je m’applique à opérer un mouvement régulier et tonique, prenant appui sur les accoudoirs afin de bien assurer. Sur le point d’éjaculer, Monsieur me demande de me mettre rapidement à genoux devant lui, puis finissant de masturber son sexe devant moi, inonde mon visage de son sperme doux et chaud qui coule dans mon cou.

Les femmes sont jalouses, normal.

Philippe, qui a repris des forces, les conduit dans une des chambres à coucher où elles se retrouvent sur le lit, ne gardant que leur bas.

Une surprise m’est réservée, Madame et Vanessa me proposent de partager avec Philippe. Sur le grand lit, nous sommes un quatuor surexcité par les scènes précédentes. Philippe prend Madame et Vanessa à tour de rôle pendant qu’elles me sucent avec gourmandise. Puis c’est à moi de passer à la pénétration alternée des deux dames complètement déchaînées et réclamant du sexe à volonté, ce que je m’efforce à faire de mon mieux malgré la fragile féminité de mon corps mais heureusement doté d’un clito ardent qui amène Vanessa à la jouissance !

C’est Philippe qui permettra à Madame d’atteindre l’orgasme pendant que Vanessa lui malaxait les seins en l’encourageant à atteindre le septième ciel.

Objectif de la soirée atteint avec jouissance assurée pour tous les participants.

Leurs invités rentrés chez eux, je reçu les félicitations de mes employeurs pour mes bons et loyaux services bénévoles.

Quand recevons-nous d’autres invités ?

Isabelle de Cheverny

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2 réponses à Mon service dans le XVIème – Chapitre 3 par Isabelle de Cheverny

  1. Bertrane_Tv dit :

    Une partouze très excitante

  2. Chevrier dit :

    Sauf que dans la pratique ce genre d’extra n’est jamais du bénévolat !
    A part cette bourde, il faut bien admettre que le texte est joliment écrit malgré l’absence de dialogue, et qu’il remplit bien son rôle d’excitation érotique

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