Ma première sodomie par Teddy59

Ma première sodomie par Teddy59

J’étais hétéro, marié et avec des enfants, j’avais un collègue de travail (supérieur hiérarchique) qui était homo et vivait en couple.

Nous nous entendions bien et nous faisions du bon boulot car nous étions très complémentaires et nous apprécions mutuellement les qualités de l’autre.
Cela devait faire plus d’un an que nous bossions ensemble et il nous arrivaient de faire certains rendez-vous d’affaires en commun et quelques déplacements.
Nous avions été ensemble à un rendez-vous pour un dossier important et juteux pour l’entreprise. Chacun jouant son parfaitement son rôle, l’affaire avait été conclue.

Nous étions donc un peu euphoriques sur le chemin du retour. Mon collègue me propose alors de passer chez lui pour fêter cela et buvant une bonne bouteille.
J’acceptais, tout en étant sur mon petit nuage. Nous étions en milieu d’après-midi, nous avions donc tout notre temps.

Arrivés chez lui son ami (il jouait vraiment le rôle de la femme au foyer), nous accueille et rapidement mon collègue (on va l’appeler Max) me propose de se faire un sauna.
Ils habitaient une grande maison de maître, équipée d’une salle de jeux (billard, flippers,..), d’un saunas, d’une piscine extérieur dans un grand jardin très boisé.
L’idée de se délasser dans un sauna me plaisait beaucoup. J’aime bien les saunas et hammam.

Je n’avais jamais avoué à Max que j’avais déjà eu des expériences avec des hommes, pour éviter toute confusion ou lui faire espérer que… peut-être…etc…
Je suis bien hétérosexuel, mais il m’arrive parfois de passer du temps et de faire des choses sexuelles avec des hommes. Cela me vient de temps en temps comme une pulsion, je dirai presque comme une envie su..bite….
Depuis ma 1ère expérience avec homme lorsque j’avais une vingtaine d’années, cela m’arrive de façon très épisodique. Je peux avoir envie et y aller avec une semaine d’intervalle, comme je peux rester plusieurs mois sans y aller.
Pour vous situer mon niveau, lors de cette première fois je n’ai pas embrassé, pas sucé, je n’ai fait que recevoir une pipe, des caresses et pour ma part j’ai juste masturbé ce partenaire d’une fois…
Par la suite j’étais retourné sur les lieux (des WC publiques) et j’avais fait de nouvelles rencontres. En général c’était très bref, échange de caresses et branlettes réciproques.

Nous voilà donc en train de boire un verre de bon vin pendant que le sauna se met en température. Nous discutions tous les trois, confortablement installés dans ces énormes fauteuils en cuir.
Je sentais que le vin commençait à me faire un peu chavirer. J’étais heureux, nous avions fait de bonnes affaires, nous passions un agréable moment, what else !!!

Le saunas était prêt, Alain (l’ami de Max) nous apporte des serviettes et nous passons à tour de rôle dans la salle de bains pour nous mettre en tenue d’Adam. Nous sommes donc installés dans le sauna et nous parlons de tout et de rien quand, peut-être que Max avait senti que j’étais un peu désinhibé par l’alcool, soudain il se met à me parler de ses relations avec les hommes. Comment fonctionne un couple homo…

En bref il m’expliquait que chez les homos il arrivait fréquemment qu’ils fassent des choses avec d’autres hommes ou bien en couple avec d’autres couples ou d’autres hommes.
Je l’écoutais religieusement, ravi d’apprendre comment il fonctionnait, quand soudainement je m’entends encore lui dire

– Tu sais j’ai déjà eu des expériences avec des hommes… ».

Mais pourquoi diable lui ai-je dit cela ??? Qu’est ce qui m’a pris de lui balancer cette info alors que cela faisait plus d’un an que je lui avait caché cela…. L’alcool c’est sûr, le fait de me sentir bien, en confiance et heureux…

Tout de suite j’ai vu son regard étonné et puis un petit sourire qui apparaître sur ses lèvres. Il me demandait alors dans quelle circonstance c’était arrivé et combien de fois et est-ce que j’étais actif ou passif, bref un tas de questions auxquelles j’étais bien embêté de répondre.
Je tentais de lui expliquer mes jeux de touche pipi quand j’étais en pension et puis l’occasion qui s’était présentée à moi et cette première fois avec un homme en étant adulte.

Ses yeux pétillaient et il me demandait des détails sur cette relation. J’étais très gêné, j’avais l’impression de me mettre à nu devant lui… façon de parler car il faut dire que j’avais gardé ma serviette autour de la taille, comme lui d’ailleurs, mais légèrement entrouverte pour laisser les cuisses un peu écartées (position de mec en somme).
Il semblait déçu par mon récit car j’avais fait un raccourcis pour résumer à une branlette commune.

– Mais tu es actif ou passif ?

Je ne comprenais pas sa question… Il m’explique alors que l’on peut être actif, passif ou bien les deux… Il se leva et arrivé à ma hauteur il passa sa main sous ma serviette et prit doucement ma bite dans sa main, comme pour évaluer la marchandise… il n’était pas super à l’aise non plus donc il allait la lâcher quand il a senti que mon membre se raidissait…

– Eh bien dit donc tu grimpes vite ! me dit-il en souriant.

Il avait un regard comme un enfant qui déballe son cadeau à Noël… Il retira sa main et sorti du sauna pour aller se doucher. J’attendais un peu qu’il termine sa douche et dès qu’il en sortit j’y allais à mon tour.

En sortant de la douche je le vis dans la grande baignoire ovale qui était située presque au milieu de la pièce, juchée sur une petite estrade. Il m’invita à le rejoindre, prétextant que c’était bon après un saunas de se délasser dans une baignoire. Là pas le choix, je quittais ma serviette pour entrer dans le bain. J’étais assis depuis moins d’une minute quand il a tendu son bras sous l’eau en ma direction et de suite j’ai senti sa main saisir ma queue. Il m’a sorti une phrase du genre

– C’est pas le tout de m’exciter, maintenant il faut me calmer.

Je le laissais me toucher pendant un moment puis j’aventurais ma main sous l’eau à la rencontre de son sexe. Je le saisis à mon tour et je commençais à jouer avec, le décalottant, lui tâtant les bourses, je lui caressais un peu l’entre cuisse puis je reprenais son sexe dans ma main et le masturbais doucement…

Après quelques minutes de nos échanges de caresses, j’entendais son souffle s’accélérer, puis il se raidissait de tout son corps, rejetant sa tête en arrière et s’abandonnant tout entier jusqu’à ce qu’il éjacule.

Je continuais un peu le mouvement tout en ralentissant fortement pour stopper. Je croyais en rester là, mais il me dit

– Attend tu restes c’est à ton tour maintenant.

Je jubilais intérieurement de savoir que j’allais avoir mon petit plaisir aussi. Il me tripotait de partout Avec ses deux mains en même temps. Tantôt sur mon gland en le titillant doucement, puis soupesait mes couilles qu’il trouvait d’une bonne taille, passait sa main sur mes cuisses, me pinçait les tétons, … Il était partout ! Je sentais mon plaisir monter inexorablement alors à mon tours je me laissais aller en arrière quand soudainement j’ai senti son doigt fouiller mon cul, je n’ai pas eu le temps de réagir qu’il l’avait déjà enfoncé dans mon anus…

Mon plaisir est arrivé encore plus vite et plus fort…. Dans un dernier souffle je m’arcboutais sortant mon sexe de l’eau comme un iceberg, poussé par ce doigt qui fouillait mes entrailles…
J’explosais avec un léger cri et je retombais comme enivré, saoul, hagard pendant quelques secondes interminables…

Max souriait, ravi et surement fier de ce qui venait de se passer. Tout bas il me glissait à l’oreille

– On ne dit rien à Alain ». Ok.

Je m’habillais et puis après quelques échanges de banalités, je quittais les lieux pour rentrer chez moi.

Le lendemain dans la société nous nous sommes vus comme chaque jour et à ma grande satisfaction, il était comme d’habitude, son comportement envers moi n’avait pas changé.
La journée se déroulait comme n’importe quelle autre journée de travail. Nous avions l’habitude de travailler tard, surtout moi en fait. Max rentrait chez lui souvent vers 18 h 30 – 19 heures, parfois 19 h 30.

Ce soir-là j’étais surpris de le voir encore dans son bureau alors qu’il était passé 19 heures…
Une employée de la comptabilité vient dans mon bureau et me dit

– Je suis la dernière à partir, il ne reste plus que vous et Monsieur Max
– Ok merci Sandrine, bonne soirée

Je commençais à me poser des questions sur les intentions de Max à mon égard étant donné l’heure, quand il a débarqué dans son bureau à son tour et là j’ai vite compris.

Il prétextât me communiquer une info (sans importance) puis je le sentais un peu embarrassé, ce qui n’était pas du tout son genre. Il me demanda de le suivre pour aller dans l’entrepôt car il voulait me montrer quelque chose. Je le suivais innocemment… Il s’arrête et commence à me parler d’un stock qu’il faudrait peut-être vendre rapidement car il traînait depuis un moment… je crois que lui-même trouvait se prétexte ridicule… Il s’approche de moi et met sa main sur ma braguette et caresse mon sexe tout en essayant de m’embrasser. Je détournais la tête pour éviter ses lèvres qui atterrirent sur ma joue.

– Je suis désolé je n’embrasse pas…
– Ce n’est pas grave me dit-il

Et il retira ma ceinture puis dégrafa mon pantalon qui tombait à mes pieds.. Il passa sa main dans mon caleçon pour saisir ma verge qui était déjà en érection. Il s’agenouilla devant moi et commença à me sucer. Je n’étais pas à l’aise car sur le lieu de travail et puis dans cet entrepôt, mais je me laissais faire, car je dois dire que c’était bien agréable…

J’étais adossé à une table qui servait pour emballer les marchandises, Max se releva et me fit me retourner. Il était derrière moi, me collait et se frottait doucement, me dévoilant ainsi que son membre était bien raide.

Ses bras m’enlaçaient, m’empêchant tout mouvement avec les miens, je ne pouvais donc que subir sans participer. Il me branlait d’une main et de l’autre je sentais qu’il trafiquait quelques chose….

Soudain il abaissa d’avantage mon caleçon pour le faire glisser jusqu’en bas de mes pieds, puis j’ai senti son sexe arriver entre mes fesses… il était bien gluant, surement à cause du liquide pré-séminal, prouvant sa grande excitation. Il forçait sur ma rondelle et je sentais la douleur grandir… d’un coup ma rondelle a cédée, le laissant s’enfoncer en moi brutalement. Il commençait à faire quelques aller-retour en moi, je serais les dents mais la douleur était insupportable. Je lui demandais d’arrêter, ce qu’il fît immédiatement. Il se retira alors, me laissant avec le cul meurtri…

C’est alors qu’il me demandait si c’était la 1ère fois… Oui bien sûr que c’est la 1ère fois et ce sera la dernière c’est trop douloureux… Enervé je m’habillais et Max en faisant autant, tout en m’expliquant que j’aurais dû le prévenir, qu’il aurait procédé différemment, etc…

Je quittais l’entrepôt pour regagner les bureaux, Max me suivait et devait surement s’amuser de ma démarche de cow-boy ayant fait une journée de cheval… Mon cul me brûlait. La douleur persistait.

Arrivés dans les bureaux, Max tentait de s’excuser, tout en me faisant comprendre que c’était de ma faute, que j’aurais dû lui dire que j’étais « vierge » de ce côté-là.

Je le rassurais lui disait que l’incident était clos, mais que cet essai avait été concluant et que ce n’était pas mon truc. Max semblait navré et m’expliqua que c’était normal que j’avais eu mal parce qu’il n’avait pas pris en compte ma « virginité » et me suppliait de lui laisser une seconde chance maintenant qu’il savait. Il insistait et je sentais que je ne pouvais pas quitter les lieux sans lui accorder cette seconde chance.

– Ok on fera un autre essai, mais laisse-moi récupérer.

Bien sûr me dit-il, on fera cela demain soir… Je le saluais, me disant que d’ici demain je trouverai un prétexte pour reporter ce nouveau test..

Le lendemain Max était tout jovial et sa bonne humeur était contagieuse. La journée s’est déroulée très vite et lorsque le dernier employé a quitté l’entreprise, j’ai vu Max se pointer dans mon bureau…

Il souriait avec un air malicieux.

– Tu viens dans mon bureau » me dit-il avec une voix toute douce…
– OK, je termine et j’arrive dans une minute ».

J’arrivais dans son bureau et il était assis à l’autre bout de la grande table de réunion…

Son bureau était très grand, il y avait même une kitchenette avec un frigo un évier, etc… Son bureau trônait à côté de la fenêtre et il y avait cette très grande table ovale, capable de recevoir au moins 12 personnes.

Max se tenait au bout, assis avec devant lui une bouteille de Porto et 2 verres. Il me faisait signe de venir m’asseoir à ses côtés tout en me disant

– Tu aimes le Porto je crois ?
– Oui oui ! lui répondis-je un peu perplexe.

Il levait son verre, comme pour trinquer. Après avoir bu une gorgée, il me parlait de divers choses de travail, comme cela arrive pour faire le point en fin de journée. Il levait régulièrement son verre pour que je boive comme lui… A peine mon verre vide qu’il m’en servait un autre. Là j’ai compris qu’il voulait me désinhiber pour avoir la tâche plus facile.

Cela faisait bien 20 minutes que nous discutions en buvant et Max se leva et me dit

– Tu m’aides à débarrasser ?

Je portais les verres et lui la bouteille jusqu’à la kitchenette. Je faisais demi-tour et arriver près de la table de réunion il m’attrapa par l’épaule et en souriant me dit

– Eh bien mon coco, tu ne crois pas que la réunion est terminée.

Puis avec des yeux remplis de malice, il s’approchait de moi, me regardant droit dans les yeux. Là il me dit

– Cette fois j’ai tout prévu.

Et il sortit de sa poche un flacon translucide…

– Tu vois, c’est un gel spécial anal, rien que pour ton petit trou de balle.

Et il riait, tentant ainsi surement de dédramatiser l’instant.

Il commença par me déshabiller, enlevant d’abord ma cravate, puis ma veste, ma chemise,… Et il me caressait le dos, les bras, le torse, m’embrassait dans le cou, descendait pour me lécher les tétons et les mordiller doucement, pendant que ses mains continuaient à me déshabiller. J’avais une fois encore le pantalon en bas des pieds, mais cette fois Max prit la peine le retirer complètement . J’étais donc nu comme un vers devant lui. Je ne l’avais pas touché du tout. C’est alors qu’il me demanda de contrôler si son sexe était en érection. Bien sûr je ne doutais pas qu’il le fût, mais je m’exécutais et bien sûr il bandait à fond.

Il se déshabillait et me demanda de l’aider. Pendant qu’il retirait le haut je m’occupait de lui ôter son pantalon et je baissais son caleçon jusqu’en bas des pieds.

Nous étions nus tous les deux, il s’avança sur moi, m’obligeant ainsi à reculer et la table faisant barrage à ma retraite, je n’avais pas d’autre choix que de m’allonger sur le dos.

J’étais donc allongé sur la table, mes jambes encore à l’extérieur et Max se glissa entre mes jambes puis tenant mes mollets de chaque côté il me poussa pour que je recule davantage sur la table, jusqu’à ce que mon cul soit posé au borde la table…

La suite s’est déroulée assez rapidement, j’ai senti sa main m’enduire le cul de gel, c’était une sensation de fraîcheur et pas désagréable du tout… il me fouillait la rondelle avec un doigt, jouant au bord tout en maintenant une légère pression qui s’accentuait un peu plus à chaque passage. Son doigt me pénétrait complètement, je retrouvais la sensation obtenue avec une femme qui m’avait doigté.

L’alcool avait bien fait son travail car j’étais dans un état de zénitude ou « coolitude », conscient de ce qui m’arrivait mais incapable de réagir.

Cela devait faire plusieurs minutes que Max me doigtait le cul quand il retira son doigt et vient poser sa verge à l’entrée de mon anus… Là, je sentais son membre chaud m’envahir doucement, il me demandait à voix basse de pousser légèrement et je sentais sa bite progresser dans mon rectum jusqu’à ce que je sente ses couilles me caresser l’entre-jambe.
Il entama alors un mouvement de va-et-vient, je le sentais en moi et alors j’étais envahis par une sensation indescriptible de bien-être, de plénitude, avec une certaine jouissance du moment présent.

J’avais chaviré, Max avait dû sentir que je m’abandonnais complètement à lui. Il me masturbait en même temps qu’il me pénétrait et plus le temps passait et plus je sentais mon plaisir monter inexorablement.

Max avait accéléré ses mouvements et j’en perdais la tête, un dernier remords vint dans ma tête. Comment moi l’hétéro, l’homme qui aime les femmes et qui les collectionne, comment est-ce possible que je me retrouve sur cette table les jambes en l’air avec une bite dans le cul ?

La puissance du plaisir arrivait à son paroxysme, alors ce remords a vite disparu pour me laisser pleinement jouir de la situation. En parlant de jouir, je sentais que Max aller bientôt craquer alors que de mon côté l’explosion était imminente… nous avons presque éjaculé en même temps. Ma giclée est venue asperger mon torse, tandis que j’entendais Max jouir en criant assez fort et en claquant ses couilles sr moi à deux ou trois reprises, puis le calme est revenu…

J’étais là gisant sur la table, les jambes repliées sur moi, appréciant ce court instant de plénitude ou l’on chavire dans un autre monde pendant un infime espace-temps.
Max était parti se laver la bite dans la kitchenette, je me relavais et j’allais le rejoindre. Sur le chemin j’ai senti couler son sperme le long de mes cuisses …
Nous étions restés silencieux pendant que nous nous habillions. Une fois prêt l’un et l’autre, Max s’adressa à moi

– Alors ? Tu as aimé hein petite salope !

Son ton était amical, juste amusé et surement très content de sa victoire.

Depuis ce jour-là, je suis beaucoup plus compréhensif sur le mode de vie des homos… ;o) et bien sûr j’ai eu bien d’autres aventures homo et même avec des transsexuelles…
Mais laissons cela pour une autre histoire…

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4 réponses à Ma première sodomie par Teddy59

  1. Lamy dit :

    Moi c’était lors d’une sortie entre potes à Fontainebleau , on a fait un jeu à gages, on était six ou sept, un machin avec éliminations successives, on s’est mis d’accord le perdant devait se faire enculer. j’ai triché j’ai perdu exprès, je me souviens encore du contact de cette belle queue contre mes fesses, les autres assistaient et me traitait de tantouse, de pédale, je m’en foutais, (à la limite ça m’excitait)

    • Slummy dit :

      Tu peux dire que t’as beaucoup de chance d’avoir vécu ça que un simple jeu. je t’envie énormément, car à 46 ans, je reste sur ma faim.

  2. Serge_sodo dit :

    Pas mal ce récit sauf que je ne comprend pas pourquoi l’auteur ne suce pas ! C’est tellement bon de sucer une bonne queue !
    Mais alors l’illustration ! Quelle merveille ! Ce beau jeune homme qui se fait enculer profondément par une bonne bite et qui savoure son plaisir.
    Devant une telle photo, ma bite a grossi et je l’ai sorti pour me masturber.
    Merci Monsieur Teddy

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