Ma bite en redemande par Verdon

Ma bite en redemande par Verdon

J’ai beau tous les matins et le soir également
Me branler le chichi et jouir à tous vents,
Pourtant je bande encore en allant au boulot,
Au bureau, au restau et même dans le métro.
Je bande en regardant les jambes de Lisette
Jaillir à l’horizon de sa courte jupette.
Je bande aussi très dur derrière la DRH
Qui a un très gros cul dégauchi à la hache.
Je bande dans la gargote quand Suzie la serveuse
Glisse dans mon assiette une omelette baveuse.
Je bande aussi, j’avoue, quand je pisse au WC
A côté de Dédé dont le short est baissé.
Et je bande en rentrant, pour baiser mon amie
Qui les jambes au plafond, m’attend dessus le lit,
Car quand je bande ainsi, c’est normal elle le sait
Il faut que je la baise pour lui foutre la paix.
Et je m’endors repu sur ses grosses mamelles
Enfoncé jusqu’aux couilles au fond de sa venelle.
………
Mais au réveil matin : oh putain quelle ardeur !
Je bande de nouveau, j’ai la bite à midi.
Alors ça recommence, je saute sur Lilly
Qui me tourne le dos, son anus en trompette.
Elle me tend sa gloriette, je la prends en levrette
Et zou, la gratifie d’un vigoureux bonheur.
Puis comme mon appendice sort la mine un peu grasse
Je lui donne à téter, c’est un peu dégueulasse
Mais Dame bien élevée sait qu’elle ne doit laisser
Son homme s’en aller la plume encore froissée.
Avec ses grands yeux blancs qui louchent sur mon vié
Je comprends qu’elle adore le goût de l’encrier !

Je quitte alors de lit pour faire un gros pipi…
Un pipi si bruyant au fond de la cuvette
Qu’elle accoure la chipie, s’asseoir sur la tinette
Elle écarte les cuisses et je lui pisse au con,
Au ventre et sur les joues. Elle me prend le zizi
Et le suce, gourmande, en massant mes roustons,
Puis se rince la bouche en laissant le trop plein
Du bon jus mordoré lui arroser les seins.
Bon sang qu’ils sont mignons les bouts de ses tétons
Où goutte, goutte à goutte la sublime boisson !
Je gobe sur ses ‘tétous’ des perles de rosée
Et assis sur ses cuisses, ma pine est arrosée
Par la bouillante crue de sa pisse endiablée.
Alors fusent des pets de son ventre comblé
Et elle chie la salope, des crottes pralinées
Qui soulagent son bide et la font frissonner.

…………..

Il est temps maintenant que je parte au boulot.
J’y baiserai Rosy qui commence très tôt….
Je déconne, putain ! Aujourd’hui c’est samedi…
Alors retour au lit….  » C’est foutu pour la grasse.
Ouvre les cuisses ma Belle, fais-moi petite place !
On va remettre ça pendant tout le weekend.
Allons, lève ta couenne et ne fais pas la dinde « ….
Mais les femmes sont comme ça qui quand elles ont en marre
Tirent le drap jusqu’au cou et larguent les amarres….
Les deux pieds dans le dos elle m’a foutu dehors
Et le cul au tapis je bande plus encore….
Que c’est dure la vie d’une bite honorable !
Quand Dame dans le lit n’est plus au cul mettable.

Aussi je suis sorti dans la rue comme un con
La pine en manche de pioche, les couilles comme du plomb.
Et je m’en vais bouffer chez ‘mère Patachon’.
 » Pas de chance me dit-elle, pour ton joli pilon « .
Elle a ses ragnagnas, et je fais le planton !
Alors Suzie accourt m’emboucher la pointure
 » Viens donc, mon biquet, je te fais un bon prix :
Doigt au cul, mi- pension, le service est compris
Et tu repartiras le nœud dans les chaussures « .

Ma bite n’a pas longtemps traîné dans mes chaussettes.
La garce a tant fourré son doigt dans ma rosette
Que je bande à nouveau en sortant de chez elle.
C’est l’heure où dans le parc, accourent des Demoiselles
Qui ont en guise de chatte, un insolent phallus.
Je vise Marinette dotée d’un bel anus
Un superbe bijou ! Je l’encule debout
Elle me dit :  » Que c’est bon ! » mais elle bande mou.
Aussi c’est sa copine qui tendrement jalouse
Me suce l’os à moelle et me dit  » je t’épouse  » !
Et par mon trou du cul la folle me met ça.
Voilà que je rebande de nouveau comme un fou.
Et pour la remercier à mon tour je la troue.
Elle me fait la toilette, tant pis pour le caca.
Mais diable que ces garces ont la fesse goulue !
Et couilles contre couilles on n’est jamais déçu.
Je retourne au bistro histoire de boire un coup
Et j’en rebois un autre et d’autres coups sur coups
Si bien qu’à la maison j’entre tout à fait saoul.
Titubant et à poil je me fous dans le lit.
Sur le cul de ma Belle je m’endors, groggy.

………………………

 » Mais c’est quoi ce bordel  » quand au petit matin
Un grec moustachu me grimpe sur les reins.
Chahutant mes oreilles l’insolent leur murmure :
 » Aller va-s’y Chérie, ouvre ton cul, canaille !
Elle est vachement serrée ce matin ta rondelle !  »
Qu’il dit le gougnafier planté dans mes entrailles.
En me trouant le cul de sa bite bien dure
Persuadé qu’il encule ma Salope infidèle.
Cloué sur le matelas je rue comme un bon diable.
Mais ce bon cul n’est pas celui de sa maîtresse.
Aussi le micheton qui ‘décule’ en détresse,
En me laissant béante l’orée de mon p’tit trou
Se taille comme un voleur, les jambes à son cou….
Non sans avoir vidé dessus mon postérieur
Les chaudes envolées de ses bonnes ardeurs.
Putain juste au moment ….où je trouvais ça bon !
……………
Je crois que ce coup-ci je me suis fait marron !
 » Mais qu’est-ce qu’il t’arrive, minaude ma catin
C’est bien la première fois que tu manques d’entrain.
Tu as les roubignolles qui trainent dans les platebandes
Mais ce n’est pas possible,…
Je vois que tu débandes ! « …..

15/05/2020

Ce contenu a été publié dans Histoires, Poèmes, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

Une réponse à Ma bite en redemande par Verdon

  1. Harivel dit :

    Quel festival ! Quel délice de mots et de situations excitantes, j’en reste baba !

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *