L’inconnue du Strasbourg-Lyon par Belle-cour

L’inconnue du Strasbourg-Lyon par Belle-cour

L’histoire remonte à quelques années alors que je travaillais comme employé administratif au Conseil de l’Europe à Strasbourg (ben quoi ?)

Etant originaire de Lyon je faisais régulièrement à la fin de chaque semaine le trajet Strasbourg-Lyon en train, et le plus souvent de nuit.

Ce soir-là, je monte dans le train et m’installe dans un compartiment vide près de la fenêtre. Quelqu’un a oublié une revue, une de ces revues soi-disant médicales qui raconte trop souvent n’importe quoi ! Un titre m’attire :  » Mettez du piquant dans votre vie sexuelle !  » Je le parcours, il n’y a rien de nouveau, je me dis qu’en matière de piquant je pourrais sans doute leur envoyer quelques idées… Et justement en attendant le départ mes pensées vagabondent et je m’assoupis. Je m’imagine déjà entre les bras de Sonia, ma copine qui comme très souvent doit venir me chercher à la gare, et je prépare en rêves la nuit que nous allons passer. J’imagine nos baisers, nos caresses, et je dois avouer que l’évocation de ces pensées provoque en moi un flot d’émotions et même un début d’érection.

Le train s’ébranle, me tirant de mon demi-sommeil. Je constate alors que le compartiment s’est rempli, il est maintenant occupé par deux hommes voyageant seuls à ma gauche, un couple d’une cinquantaine d’années se faisant face près de la porte et, en face de moi, une femme ravissante d’une quarantaine d’années. Elle est vêtue d’un tailleur vert et d’un chemisier blanc au travers duquel on peut deviner la dentelle d’un soutien-gorge. Ses cheveux blonds descendent sur ses épaules et encadrent un visage doux soigneusement maquillé.

Seule la lumière de la veilleuse est allumée ce qui fait que lorsque le train quitte la gare le compartiment se retrouve plongé dans la pénombre.

J’observe ma voisine par son reflet dans la vitre, je détaille chaque parcelle de son corps en m’attardant un peu plus sur ses magnifiques jambes que gainent des bas si j’en juge par le liseré de dentelle noire qui déborde à peine du bas de sa jupe. La soie de son chemisier tendu par ses seins bouge au rythme lancinant des chaos de la voie ferrée et de sa respiration. Elle a les yeux fermés et je peux à loisir l’observer. Des pensées érotiques resurgissent à mon esprit mais cette fois ci ma partenaire n’est plus la même mais bel et bien ma charmante voyageuse.

D’un bref coup d’œil dans le compartiment je peux constater que tous les autres voyageurs sont assoupis. Je sens en moi monter une douce chaleur qui ne tarde pas à atteindre le bas de mon ventre. Pour calmer mes ardeurs je change de position et tente de m’installer un peu plus confortablement. Ce faisant ma jambe vient au contact d’une jambe de la femme assise en face de moi. Ce contact ne fait qu’aggraver mon état, j’observe sa réaction : rien, soit elle dort, soit elle feint de n’avoir rien senti. Ce contact fortuit me donne des idées et j’accentue ma pression en glissant ma jambe entre les siennes. Qu’elle ne fût pas ma surprise de les sentir s’écarter lentement dévoilant plus largement le haut de ses cuisses. Je ne m’étais pas trompé elle porte bien des bas, et elle ne dort pas, dans la pénombre il me semble qu’elle a ouvert les yeux. Je tente de croiser son regard mais n’y parviens pas. Mon genou caresse maintenant ses cuisses, elle glisse légèrement sur la banquette rapprochant son ventre de mon genou. D’un mouvement habile elle retire une de ses chaussures et pose son pied sur ma banquette entre mes cuisses. Elle fait courir ses orteils contre ma braguette en une délicate caresse. Je dois me retenir pour ne pas jouir de cette simple mais si merveilleuse caresse.

Le train ralentit et entre dans une gare, les deux hommes se lèvent, prennent leurs bagages et quittent le compartiment sans prêter attention à nos positions qui peuvent paraître incongrues. Quelques instants plus tard, le train redémarre, personne n’est entré dans notre compartiment. Le couple de quinquagénaires ne s’est pas réveillé. Ma compagne de voyage se lève et vient prendre la place d’un des hommes qui est parti, tout près de moi.

Toujours sans un mot, elle se tourne un peu vers moi, tournant le dos au couple endormi et pose une jambe sur ma cuisse. Sa jupe se relève d’elle-même. Elle prend ma main et la glisse sous sa jupe, je sens la douce moiteur de son entre-jambe au travers d’une fine culotte en dentelle. Mes doigts griffent doucement le tissu, je peux sentir ses lèvres gonflées par le désir. Je me penche un peu vers elle et dépose un baiser près de son oreille, mes doigts caressent sa fente au travers de sa culotte, ma queue est maintenant en pleine érection. Ma bouche toujours près de son oreille que je mordille, je glisse mes doigts sous sa culotte que j’écarte avec soin. Je caresse ses lèvres qui sont maintenant bien humides et qui semblent aspirer mes doigts. Nos langues se mêlent en un baiser torride, elle a fait glisser ma braguette, a glissé sa main dans mon caleçon et masse tendrement mais fermement ma queue prête à exploser. Nous restons là quelques instants à nous caresser puis dans un murmure elle me demande de la suivre. Nous nous retrouvons dans le couloir, elle s’est placée devant une fenêtre comme pour regarder dehors. Le couloir est désert, je me place derrière elle. L’étroitesse du lieu et les chaos du train nous plaquent par instants l’un à l’autre. Je l’embrasse dans le cou, mes mains se plaquent sur seins, elle a dégrafé son chemisier, je caresse sa peau douce et libère ses seins de leur prison de dentelle. Ils sont magnifiques, dressés fièrement, ils durcissent encore plus sous l’effet de mes caresses. Je fais rouler ses tétons entre mes doigts, malaxe la chair ferme de ses deux globes. Avec une habileté sans pareil elle sort mon sexe de mon pantalon. Je me retrouve ainsi le sexe à l’air et elle la poitrine dénudée dans le couloir de ce train où d’un moment à l’autre quelqu’un peut sortir et nous surprendre, cela décuple mon désir. Tout en me massant le sexe, elle relève sa jupe de son autre main et écarte sa culotte qu’elle fait glisser à ses chevilles. Elle guide mon membre jusqu’à ses fesses, se penche un peu et caresse sa fente avec avant de se l’introduire.

Quelle sensation !!

J’ai abandonné ses seins pour la maintenir fermement par la taille. Je la pénètre lentement mais profondément. Son bassin ondule, le chaos provoqué par quelque passe à niveau manque de nous déséquilibrer, mon sexe est presque sorti de son étui chaud et humide, je l’y replonge avec précipitation ce qui lui arrache un petit cri de bonheur. J’accélère mes mouvements et la laboure maintenant avec régularité, les effets ne tardent pas à se faire sentir j’explose en elle en de longs jets puissants. Je poursuis mes efforts et, prenant de l’assurance au niveau équilibre, je glisse une main entre ses cuisses. Mes doigts s’activent sur son clito dur et gonflé. Elle ne tarde pas à jouir à son tour !

Elle se redresse, réajuste sa jupe et son chemisier, se retourne et nous nous étreignons en un baiser fougueux. Puis, me prenant par la main me guide jusqu’aux toilettes situées au bout du couloir. Nous nous y engouffrons tous deux, l’endroit est minuscule, elle s’assied sur la cuvette, me fait signe d’attendre un instant, puis sans aucune pudeur, je la vois qui se prépare à satisfaire une subite envie d’uriner, elle me fait un sourire complice et au moment où son petit jet doré surgit de son sexe en folie, elle se dégage du mieux qu’elle le peut afin que je puisse profiter de ce charmant spectacle. Cette besogne terminée, elle me dégrafe ma ceinture, baisse mon pantalon puis mon caleçon. Là, elle pose ses lèvres sur mon gland et me prodigue la plus savante fellation qu’il m’ait été donné de connaître. Sa langue passe de mon gland à mes couilles, elle m’aspire comme pour en extraire tout le sperme, elle aspire mes bourses me provoquant une sensation entre bonheur et douleur. J’ai réouvert son chemisier et libéré ses seins qui ballottent doucement. Cette vue et la caresse buccale prodiguée ne tardent pas à faire effet et je jouis dans sa bouche, le sperme coule au coin de ses lèvres sur son cou et descend sur ses seins. Elle se redresse, me fait m’asseoir à sa place relève sa jupe et pose ses pieds de chaque côté de moi m’invitant à déguster son intimité. Je pose mes lèvres sur sa toison et m’enivre de cette odeur d’urine qui y persiste. Ma langue descend le long de ses lèvres épilées, les écarte et s’insinue au plus profond d’elle. Je la lèche longuement, mon pouce s’occupe de son bouton en le faisant rouler à un rythme de plus en plus soutenu. Mon index vient tremper entre ses lèvres puis descend vers son anus. Après l’avoir bien préparé, il s’introduit dans son petit trou pendant que ma langue et mon pouce continuent leur besogne, lui arrachant de petits gémissements qui se transforment bientôt en cris, heureusement couverts par le vacarme du train.

Elle est maintenant assise inconfortablement sur le petit lavabo, je me suis levé et la maintiens, ses jambes se posent sur mes épaules. Ma queue pénètre d’un seul coup dans sa chatte brûlante, et je commence quelques aller et retour. Quand je sens mon membre bien ruisselant, je me dégage et le présente devant son petit trou du cul. Elle est prête, je m’introduis lentement et régulièrement, ma queue remplit maintenant complètement son cul, elle pince son clitoris entre deux doigts et de l’autre main malaxe ses seins. Je vais et viens maintenant aisément entre ses fesses et cette fois ci c’est elle qui jouit la première lorsqu’elle prend son pied je sens tous ses muscles se contracter ce qui a pour effet immédiat de me faire jouir. Pour la troisième fois je décharge en elle, les dernières secousses passées elle entreprend de me nettoyer la bite avec sa langue, puis, avant de me donner un baiser elle s’humecte les lèvres se son propre jus, tous ces goûts mêlés à nos salives me donnent envie de prolonger nos ébats, mais hélas le train va entrer en gare de Lyon-Perrache pour la fin de mon voyage.

Nous nous rhabillons donc et regagnons notre compartiment. Avant de rentrer dans celui-ci nous échangeons un dernier baiser. Elle rentre dans le compartiment, je reste seul quelques instants me demandant si tout cela est bien réel, lorsque j’aperçois par terre la culotte de ma charmante complice, je la ramasse discrètement et la fourre dans ma poche en souvenir…

Lorsque je descends du train la femme a disparu dans la foule. Sonia, ma copine m’attend et me fait signe sur le bord du quai.

La suite aurait pu être dramatique…

En arrivant à la maison j’avais bien eu l’idée d’aller planquer cette satanée culotte. Mais la fatigue,(à moins que ce soit le délicieux petit repas que Sonia nous avait préparé et que j’avais sans doute un peu trop arrosé) m’a fait oublier cette précaution et je me suis affalé dans le lit me lovant contre le corps brûlant de Sonia et m’endormis rapidement, incapable de répondre aux sollicitations de ma dulcinée qui n’insista donc pas.

Le lendemain, je musardais dans le lit. Sonia était déjà debout et comme souvent c’est mon envie de pipi qui me força à me faire violence et à me décider enfin à me lever !

– Bonjour ! Tu as bien dormis ? Me demande Sonia !

Rien que de la voir comme ça, c’est sûr, elle a une idée derrière la tête !

– Ouais, j’ai un peu la tête dans le cul, mais ça va !
– Et tu as rencontré des gens intéressants cette semaine ?

Putain, le flash, je comprends tout, même sa main derrière son dos, qui cache la culotte ! Que faire, il n’est pas possible d’improviser une histoire abracadabrante ! La seule solution : la vérité !

– Je vais te raconter !

Alors je lui racontai, lui résumai plutôt !

– Salaud !

Elle disait cela d’un drôle d’air, elle n’avait l’air pas spécialement fâchée

– Et tu crois que tu va-t’en tirer comme ça ? Continua-t-elle.
– Bon, te fâches pas, ce sont des choses qui arrivent, l’important c’est que je t’aime, maintenant si tu veux en faire un drame, j’en tirerais les conclusions, mais je trouve que ce serait dommage !
– A genoux !

Je crains d’avoir mal entendu, elle pète les plombs !

– J’ai dit à genoux et enlève ton pyjama !
– Sonia ! On se calme !
– Je suis très calme ! Ce que tu as fait réclame une punition ! Je vais te rougir le cul !

J’allais lui dire que décidément ça n’allait pas fort côté cérébral, mais bizarrement la situation commençait à m’exciter, alors, me prenant au jeu, j’enlevais mes habits de nuit, me mis à genoux !

– Les mains à plats par terre ! Et redresse ton croupion ! Salopard !

Le premier coup de ceinture me fit sursauter, le deuxième me fit mal, le troisième me fit très mal, je criais des aïes et des ouilles, il me sembla qu’elle essayait d’ajuster ses coups de les faire moins fort, la douleur se transformait peu à peu en un plaisir trouble et je me surprit à bander. Enfin elle stoppa !

– Bon c’est fini, on se relève et on implore mon pardon !
– Je te demande pardon, ma chérie !
– Mais c’est qu’il bande le salopard ! Ça t’as excité que je te fouette le cul, mais c’est pas possible je vis avec un véritable pervers !
– Je le crains en effet !

Et pour toute réponse, Sonia se baisse, se met à genoux, la bouche à la hauteur de ma bite et se met à me la sucer avec une avidité certaine, la langue lèche, les lèvres coulisse, je finis par sentir la jouissance monter, je la préviens. Alors, elle abandonne sa position, se couche carrément sur la moquette, écarte les jambes !

– Viens !

Je ne me fais pas prier, j’accours, je saute je me précipite, et la pénètre, et tandis que son corps tressaute comme pris de convulsion je jouis en elle quelques minutes plus tard, et m’affale sur son corps qui en veut encore, mon visage, remplace alors mon sexe et je lui suce frénétiquement le clitoris jusqu’à ce qu’elle éclate de jouissance dans un geyser de mouille.

Je me relève, un peu pantelant, elle aussi, je ne sais que penser de cette scène complètement démente !

– Bon ! Tu vois le principal c’est qu’on s’aime encore ! Lui dis-je, histoire de parler.
– Je vais te dire ! Ça ne me dérange pas que tu ais des aventures ! Simplement je veux que tu me le dises à chaque fois, et je veux que tu me laisses te punir ! Si tu savais comme ça m’excite !
– Tu parles sérieusement ?
– Vi !
– Alors d’accord !
– Mais il faut que tu fasses encore quelque chose pour te faire pardonner complètement !

Je m’attendais au pire

– Deux choses d’ailleurs Aïe !
– La première c’est qu’à midi tu vas me payer le restaurant !

Ouf !

– La deuxième, c’est que j’ai envie que tu viennes m’embrasser !

Gloups !

Belle-cour
Amateur de 69 et de rosette

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3 réponses à L’inconnue du Strasbourg-Lyon par Belle-cour

  1. Baruchel dit :

    Quelle belle écriture ! Quel récit envoutant ! J’ai adoré et j’ai bandé !

  2. Senator dit :

    On dirait deux récits différents accrochsé artificiellement, mais tout ça n’est pas si mal

  3. Bloch dit :

    Bonne ambiance ! Moi aussi j’aime la rosette et les 69

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