L’hôtesse de l’air – 4 – Enquête sur le trottoir par Air Hostess

L’hôtesse de l’air – 4 – Enquête sur le trottoir par Air Hostess
L’avenir est sombre.

Les relations entre Tim et les deux femmes prennent un aspect ambigu. L’athlète au cœur d’artichaut ne peut se détacher de Françoise qui flatte sa vanité vis à vis de la communauté noire et qui l’excite au plus haut point. Il témoigne à Souria d’un sentiment fleur bleue tout à fait inattendu. Les deux femmes présentes, il espère les voir se témoigner leur tendresse. Il parait très excité lorsque Françoise chevauche le ventre nu de sa compagne ou plonge son visage dans les gros seins nus de la nourrice. Françoise doit s’avouer qu’elle ne peut résister à l’odeur de sueur des noirs. Cette saveur épicée, au goût exotique qui émane de leur corps entraîne de sa part un débordement de cyprine qui déborde de son sexe. Les blancs ont une sueur, moins aphrodisiaque, les noirs disent que nous sentons le cadavre. Bouche à bouche, Françoise allongée sur le corps rebondi de Souria, Tim les pénètre l’une après l’autre, sortant son énorme bite toute engluée de la jouissance de la blonde française pour envahir le sexe rouge cerise de la jeune mère.

– Ah ! Crie celle-ci, ça glisse bien, le jus de ma Françoise : ça me fait jouir.

Et la grande noire se trémousse pour s’enfiler plus profondément le pénis qui gonfle au fur et à mesure. Les trois corps apaisés, les deux femmes affamées de sperme, rassasiées, le mâle prend du repos, étendu sur le dos de Françoise toujours allongée sur Souria. Le temps passe, ils se taisent, tentant de retenir ces moments privilégiés dans la mémoire de leurs chairs. Puis la sexualité‚ reprend ses droits, Françoise perçoit la reprise de la tension dans la grande queue qui repose entre ses cuisses. Tim, lui lèche la nuque, la mord et lui fait sentir entre les fesses qu’il est prêt à reprendre l’assaut. Cette fois, il varie, il modifie son approche. Une pénétration anale complète provoque l’orgasme prolongé de Françoise qui jouit, sa langue palpitante aspirée par la bouche pulpeuse de Souria, qui engloutit sa salive. Quelques minutes plus tard, elle-même subit le même sort, elle hurle de plaisir la grosse bite enfoncée jusqu’au pubis dans son cul épanoui.

Shannah en larmes se réfugie dans les bras de Françoise. Greenwood a tenu parole, il a obtenu, non sans mal, une autorisation de visite. Il parvient à faire sortir le shérif qui veut assister à l’entretien en l’entraînant dans un bureau, soi-disant pour recueillir son avis personnel, sur la situation de sa cliente. Flatté, le représentant local de l’autorité du comté laisse les deux filles en présence dans la sordide cellule grillagée.

– Je savais que tu ne m’abandonnerais pas !
– On va te sortir d’ici. Un peu de patience !
– Si tu savais, ils me traitent comme du bétail. Tous les adjoints du shérif sont des rustres, des paysans. Dès que je me lave, ils viennent me regarder comme une bête rare. Je fais mes besoins, sous leurs regards égrillards. Tu sais que je n’ai pas peur des hommes, mais je ne peux plus supporter cela.
– Calme-toi. Raconte-moi ce qui s’est passé au ranch. Le procureur se tait, nous ne savons rien.
– Après l’invitation de Brown et le départ de son hélicoptère personnel, j’ai compris tout de suite qu’il avait une idée luxurieuse en tête. Il m’avait placée à côté du secrétaire-pilote et n’arrêtait pas de me peloter. Il m’avait demandé de mettre une tenue très sexy et il incitait le pilote à prendre des privautés à mon égard, tandis qu’il lui caressait la nuque. Quelque chose ne collait pas. Avait-il l’intention de me sauter ou de me faire baiser par le secrétaire. Je me demandais s’il ne préférait pas caresser son employé. Arrivés au ranch, tout à fait isolé dans le désert, voilà le blondin qui nous attend et qui se précipite sur moi, comme si j’étais aimantée. Brown n’était pas content. Réfugiés tous les quatre dans une grande bergère en rotin, ils me déshabillent et je pense, un instant qu’ils vont m’enfiler les uns après les autres. Je me réjouis déjà, mais voilà que ce corniaud de Brown demande de se faire attacher sur la table avec de grosses cordes qui traînaient dans le ranch. Il avait l’air fin avec sa petite bite ridicule.
– Oui, mais il sait s’en servir. Il m’a fait jouir pas mal avec ce petit machin.
– Possible, mais cet imbécile ne m’a pas touchée, sinon, il vivrait encore. Il désirait qu’on le couche sur la table à plat ventre, pour permettre au blondin de l’enfiler, tandis que le secrétaire avait pour mission de me baiser sous ses yeux. La dispute a débouché brusquement, le blondin préférait me sauter, le secrétaire voulait baiser le sénateur comme il paraissait en avoir l’habitude. Il fumait tous, une cochonnerie de marijuana qui empuantit la pièce, la fumée obscurcissait ma vue. Ils en sont venus aux mains et Brown m’a crié de couper ses liens. J’ai saisi un grand couteau sur une desserte et j’ai coupé les cordes. Puis le blondin m’a entraîné dans une chambre vide, tandis que les deux autres continuaient à s’engueuler. Le blondin baisait bien. Il avait une longue bite très fine qui disait-il, plaisait beaucoup aux messieurs. Totalement bisexuel, il vivait d’expédients et des dons de ses amant(e)s. Très mince, nerveux, remuant sans cesse, stressé, les yeux dans le vague, il baisait en parlant sans cesse. Il ne parvenait pas à jouir, comme s’il avait absorbé une de ces drogues qui font bander, mais retardent l’éjaculation. J’ai dû jouir cinq ou six fois, puis je me suis endormie. Je me suis réveillée quand le shérif est arrivé avec ses cochons d’adjoints. Ils m’ont tous pelotée, soi-disant pour vérifier que je n’étais pas armée. J’étais à poil, il n’était pas difficile de voir que je n’avais pas d’arme. Il n’y avait plus personne dans la baraque, Brown, le secrétaire Allquist et le blondin avaient disparu. Voilà tout ce que je sais

– L’audience préliminaire est fixée au 13 mai. La caution demandée par le procureur du comté s’élève, vu les charges retenues à 500.000 dollars.

Françoise prend un vol régulier pour New York pour rassembler la somme. Elle laisse Souria et son bébé sous la garde de Tim qui revient d’un mystérieux voyage sur son Cesna. Les deux noirs sont ravis d’occuper la chambre. Françoise retourne au Waldorff et prend discrètement contact avec Paris, elle obtient un accord pour pouvoir disposer du montant nécessaire sur les crédits mis à sa disposition. Le concierge du Waldorf lui téléphone

– Miss, une… »dame » veut vous rendre visite. Hum !
– Demandez-lui, comment s’appelle-t-elle ?
– Elle dit qu’elle porte le nom de Jane Radcliffe et que vous la reconnaîtrez facilement.
– Faites la monter.

La porte s’ouvre sur une apparition surprenante, Jane Radcliffe n’est autre que la chanteuse noire qui trouvait Françoise tellement à son goût ! Les deux femmes s’embrassent et Jane explique qu’étant de passage à New-York, elle a reçu un message de Tim qui lui signalait que l’hôtesse française était à nouveau au Waldorf. Jane est vêtue d’un short blanc très court et d’un corsage en lamé‚ qui met en valeur sa poitrine haletante.

– J’ai encore plus chaud ici qu’à la Nouvelle-Orléans, dit-elle en épongeant ses aisselles nues.

Son parfum troublant est noyé dans le flot odorant de sa transpiration. Françoise ne peut résister à cet appel à sa sexualité‚ et tandis que Jane déboutonne son strict chemisier blanc, elle dégrafe le short et dégage les longues jambes de la chanteuse. Bientôt les deux femmes entièrement nues se rejoignent sur le couvre lit de soie et s’étreignent avec fureur. Chacune connaît maintenant le goût intime de l’autre, mais elles n’ont pas encore connu d’orgasme partagé. Se plaçant la tête, entre les cuisses de Jane, Françoise plaque son sexe sur le visage de la divette. La noire ouvre les grandes lèvres de l’hôtesse qui libèrent une giclée de cyprine parfumée, pendant ce temps, la blonde racle le clitoris turgescent de la star. Un orgasme, sans cesse renaissant emporte les deux femmes dans un délire sexuel qui leur fait oublier toute réalité‚. Plusieurs heures s’écoulent avant qu’elles s’abattent dans leurs bras, épuisées par la violence de leurs sentiments.

Une lueur d’espoir.

Tim n’a pas perdu de temps, installé dans la chambre de Françoise, il a mobilisé ses informateurs et rencontré le détective qui enquête sur les participants à la tuerie du ranch. La disparition du chauffeur-confident apparait comme très importante au géant noir, l’attorney ne partage pas son opinion.

– La fille a peut-être également tué le chauffeur, dit-il à Tombstone, qui lui fait observer que déjà transporter le cadavre de Brown paraissait difficile à attribuer à une mince jeune femme.

L’enquêteur privé‚ fouille les milieux interlopes et les bars fréquentés par les gays. il espère trouver la trace du blondin à la longue bite. Après une journée harassante, consacrée à la visite de tous les bars louches de Washington, il trouve une piste au « Green daffodil », un barman bouffi, en échange d’un billet de 10 dollars, reconnait la description de « Mary Pink » surnom du blondin qui monnaie ses charmes. Un billet de 50 dollars fortifie sa mémoire et lui arrache des détails supplémentaires. Parfois, le blondin à la recherche d’un client se travestit en gonzesse et arpente le bitume. Il s’est battu avec une prostituée du nom de Nikki qui défendait son territoire. Retrouver Nikki tâche facile pour un détective confirmé qui vers les 10 heures du soir, aidé par des copines compatissantes aperçoit sous la lueur d’un lampadaire électrique une grande rousse corpulente qui parcourt à pas furieux les quelques mètres de trottoir qu’elle défend farouchement. Elle rougeoie, la chevelure de flammes, les lèvres sanglantes, les joues maquillées à outrance, le léger chemisier entrouvert sur une poitrine rebondie, la mini-jupe et les souliers à très hauts talons passés au minium, tout concourt à souligner une forte personnalité. Notre enquêteur engage la conversation, et la rousse incendiaire lui propose un endroit plus discret pour cent dollars la passe. Marchant devant lui, elle traverse un passage étroit, entre les buildings, encombré de poubelles, où des collègues de bas-étage pratiquent des fellations au rabais sur des ombres filiformes et peu fortunées. Nikki atteint un hôtel petit, mais propre où elle a ses habitudes. Elle franchit le bureau d’accueil, suivie de notre limier. Dans l’escalier étroit, il se risque à glisser la main sur une cuisse et atteint un fessier ferme endurci par les longues déambulations de la dame. Dans la chambre, méfiante, elle exige que l’enquêteur face usage des lavabos pour passer sa queue au savon. elle surveille l’opération, car dit-elle son expérience lui a appris que l’hygiène, l’absence de drogues et une bonne psychologie lors du premier contact l’ont toujours préservée des mauvaises surprises. Elle s’étend sur le lit, après avoir retroussé sa mini-jupe et retiré sa culotte de soie noire, c’est moins salissant avec toutes ses mains d’hommes qui vous tripotent dans l’escalier et toc ! Comme le privé‚ ne fait pas un geste d’approche, elle se méprend et ouvre encore plus largement son chemisier rouge, jusqu’à retirer de son soutien-gorge rouge, ses gros nichons rebondis aux énormes tétons rouges. L’enquêteur ne peut masquer la bosse qui vient de se former dans son pantalon. il saisit un sein d’une main ferme et questionne la fille.

– Dis- moi, Nikki. Tu as eu des problèmes avec une petite frappe, celui qu’on surnomme Mary Pink.
– Le salaud, si je le retrouve, je lui coupe sa banane à cet enfoiré !
– Tu ne sais pas où il crèche ?
– Qu’est-ce que tu lui veux ? Tu es aussi de la pédale ?

Le ton devenu prudent, la fille déclare qu’elle n’a aucune idée de l’endroit où il vit, ni dans quels lieux on peut le trouver. Comme la pute parait fraîche et expérimentée, notre limier décide de profiter des cent dollars versés et se déshabille, sous l’œil critique de la donzelle qui se marre. Il s’étend sur le lit aux draps propres, mais la fille qui s’est absenté dans les toilettes revient avec une panoplie d’instruments.

– Qu’est-ce que tu préfères, le fouet ou le martinet ? D’abord, je vais t’attacher.

Nu, les fesses en l’air, il subit les brutalités de la dame qui se venge des tracas quotidiens en lui zébrant les fesses de longues marques rouges sanguinolentes à souhait. D’abord silencieux et surpris par la spécialité de la tapineuse, il crie ce qui accentue la dégelée de coups, la peau des fesses le brûle, mais tout à coup la robuste fille dépose un baiser mouillé‚ sur l’ecchymose la plus cuisante. Maintenant après chaque coup, elle baise la marque sanglante de ses exploits et le privé sent monter en lui une jouissance terrible qui prend naissance dans ses reins meurtris et tord ses couilles enflammées. Il appelle maintenant les coups qui augmentent son plaisir. Après une dernière rafale qui fait péter la peau des écorchures, elle le retourne comme une crêpe et saisissant son pénis entre ses lèvres carminées, elle suce le membre brûlant qu’elle mord cruellement avec ses incisives. Il jouit à flot dans la bouche tout à coup douce et accueillante qui avale avec la satisfaction du devoir accompli, l’offrande du client satisfait. Allongés tous deux, sur le lit, elle parle un peu de son boulot de ses clients ou de ses clientes parce que sa clientèle comprend les deux sexes. Mais jamais elle ne reviendra sur Mary Pink.

Prévenue par Tim, des résultats de l’enquête, Françoise, accompagnée de Jane prend le premier avion pour la capitale fédérale. Elle loue à l’aéroport un vaste bahut Chevrolet et se met à la nuit tombante à la recherche de Nikki le tapin. Les deux femmes la blanche et la noire questionnent les filles nombreuses dans cette rue. Oui c’est bien ici, le coin favori de Nikki. La fille en se déhanchant sur ses hauts talons reprend son poste d’attente et Françoise l’aborde avec un sourire engageant. Jane reste dans la voiture et promet d’intervenir si la conversation dure trop longtemps. Françoise prend le même chemin que le détective et se retrouve sur les draps blancs de la petite chambre. Elle échappe à l’obligation du savonnage et se voit déculottée et déshabillée de main de maître par la rouge dominatrice. Entièrement nue, celle-ci implore la jeune française d’utiliser les instruments de sa spécialité‚ pour la battre, mais Françoise incapable de faire mal, caresse la lourde poitrine et suce les tétons écarlates. La pute gémit sous la caresse.

– Mords-moi, dit-elle. Mords-moi les seins.

Les dents de la française écrasent les bouts durcis. En entendant les cris de jouissance de la rousse, elle en oublie de questionner la fille, elle commence elle-même à jouir. Son con collé à la cuisse puissante de la pute, déverse un flot de jus, sa respiration s’accélère, ses yeux dilatés fixent le visage extasié. Elle extrait de la masse d’outils sexuels répandus sur le lit un gros godemiché qu’elle introduit, sans douceur, dans le con rougeâtre. La fille sursaute :

– Dans le cul, mets-moi quelque chose dans le cul ! Crie-t-elle à Françoise qui obtempère aussitôt.

Un second godemiché‚ aussi gros que le premier fiché dans l’anus, la fille rend la pareille à Françoise, les deux filles tenant fermement les godes s’assurent une jouissance prolongée. Après un long moment d’extase, la pute extrait le gode du sexe de Françoise pour le sucer avec ravissement, elle passe ensuite au godemiché vibrant qu’elle extrait du cul de sa compagne et lèche avec passion.

On frappe violemment à la porte et Jane fait une entrée de théâtre, son Stetson blanc sur la tête elle domine de son mètre quatre-vingt-dix les deux femmes enlacées. Elle ne peut résister à son envie de déguster les filles comme un sorbet. Françoise la présente à Nikki, mais déjà, la grande noire fourre son museau entre les cuisses de la péripatéticienne, Françoise baisse le short et le string blanc qui sépare les deux fesses et lèche l’énorme clitoris boursoufflé‚ de la noire qui suce les grandes lèvres de la rousse. Bientôt, nues toutes les trois, elles alternent les positions, chacune désirant offrir aux deux autres le meilleur aspect de sa virtuosité sexuelle. Si Nikki désirait se sentir l’esclave d’une femme dominante qui réponde aux caresses par des coups, elle a trouvé en Jane une partenaire idéale. Après une fessée donnée avec force sur son gros derrière, Nikki humblement implore son pardon. elle reçoit l’ordre de lécher Françoise étendue sur les draps. Sa langue parcourt tous les recoins du sexe de la blonde, qui comme vous vous en doutez, mouille déjà comme une fontaine. Pour aiguillonner son ardeur, la noire lui tord les seins, mord les tétins flamboyants et pince les fesses. Nikki subit un martyre qui engendre une jouissance croissante. Elle pousse des cris étouffés par les poils pubiens de l’hôtesse. Elle mouille également avec abondance le visage sombre qui maintenant lui mange le bas ventre.

Deux heures se passent en combinaisons diverses, chacune proposant sa version préférée et sa place dans le trio. Les trois femmes sortent de l’hôtel lorsque, la nuit très avancée, les néons des bars louches s’éteignent l’un après l’autre. Nikki se rend à son poste habituel pour gagner sa croute, les deux autres vont reprendre la voiture. Les trois femmes sont entourées par un groupe d’adjoints du shérif qui les pousse dans un car de ramassage, la voiture saisie, les suit, pilotée par un policier. Le shérif accueille Françoise avec un rire sarcastique et l’accuse de faire illégalement le trottoir. La jeune française sort le grand jeu, demande de téléphoner à l’ambassadeur de France, ancien officier de son père, avant d’entrer dans la diplomatie, déclare que son amie Jane, artiste de variétés a retrouvé en Nikki, une amie d’enfance, qui vit dans des conditions difficiles. Mais que maintenant, les trois femmes vont vivre ensemble, dans la plus stricte légalité. Après quelques menaces voilées sur le sort qu’il réserve à Shannah et aux trois autres, il est bien forcé‚ de les relâcher avec des excuses et de leur rendre le véhicule de location dûment fouillé.

à suivre

Ce contenu a été publié dans Histoires, Récits, avec comme mot(s)-clé(s) , , , , , . Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.

3 réponses à L’hôtesse de l’air – 4 – Enquête sur le trottoir par Air Hostess

  1. Voisin dit :

    Toute une ambiance, j’aime bien !

  2. Baruchel dit :

    ll faut en fait lire toute l’histoire pour bien en apprécier le sel

  3. Corringer dit :

    « – Dans le cul, mets-moi quelque chose dans le cul ! Crie-t-elle à Françoise qui obtempère aussitôt
    Ça c’est du dialogue ! Mais justement le gros défaut de ce texte c’est que des dialogues il n’y en pas assez ce qui fait que la lecture paraît dense. Sinon il y a de beaux passages, il faut bien le reconnaître

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *