Les survivants de la fin du monde 7 – Orgie en black and white par Léna Van Eyck

Les survivants de la fin du monde 7 – Orgie en black and white par Léna Van Eyck

L’ambiance devient étrange.

– C’est les radiations, ça doit rendre amoureux ! Déclare Mamadou.
– Pourquoi ? Toi aussi, t’as envie de baiser ? Lui demande Betty, la blondinette.
– Moi, j’ai tout le temps envie de baiser.
– C’est vrai, ça ? Demande la jeune fille en tripotant la braguette du black. Humm, on dirait bien que ça bande là-dedans
– C’est toi qui me fais bander !
– J’espère bien ! Tu me la montres ?
– Devant tout le monde ?
– Ben oui, qu’est ce que ça peut faire ?

L’instant d’après la bite de Mamadou était dans la main de Betty.

– Ben, allez-y vous gênez pas, faites comme chez vous ! Proteste formellement Jack.
– Faut pas t’énerver comme ça, mon gars, et puis tu devrais enlever ta panoplie, on est pas au carnaval ! Lui lance Mylène.

Déstabilisé, Jack n’ose pas répondre

Et en disant cela, la belle blackette s’approche de Louis qui fait des yeux tout ronds.

– T’es mignon, toi, comment tu t’appelles ?
– Louis !
– Je te plais ?
– Oui.
– Eh bien, déshabille-moi !

Et tandis que Betty a maintenant la bite de Mamadou dans la bouche, Louis a commencé à déshabiller Mylène. Et le voilà arrivé au moment fatidique où il faut dégrafer le soutien-gorge. Louis s’escrime, s’acharne, s’obstine… mais n’y parvient pas.

– Ce doit être coincé ! Dit-il en guise d’excuse.

Et à ce moment-là Prune, la jolie brune intervient, détache le soutif d’un simple geste et le lui enlève.

– Ah les hommes, faut tout leur apprendre ! commente-t-elle.
– Bravo, ma chérie ! Lui dit Mylène, viens donc m’embrasser.

Prune ne refuse pas et le baiser qui aurait pu être chaste, ne l’est pas, c’est au contraire très profond, très sensuel et même assez baveux.

– Quelle belle poitrine ! Commente Prune.
– J’aimerais bien voir la tienne !
– Je vais te montrer ! Tu es bi ?
– Ça m’arrive !
– Comme moi alors, mais je n’ai jamais été avec une blackette.
– Eh bien c’est l’occasion ma belle ! Oh, ils sont pas mal non plus tes nénés ! Attend fais-moi voir ton cul ! Whaou, il est d’enfer !
– Tu veux y gouter ? Lui propose la blanquette en s’écartant les globes fessiers.
– Un peu que je vais y gouter ! Répond la brune en se baissant de telle façon que sa petite langue puisse venir farfouiller l’anus de sa partenaire. Elle trouva qu’il avait une saveur un peu particulière mais cela ne la gênait pas outre mesure.
– Tu peux me mettre un doigt si tu veux.

Prune ne se le fit pas dire deux fois et se mit à pilonner le rectum de Mylène qui du coup se pâmait d’aise.

– On va aller sur le canapé, là, on sera bien toutes les deux. Lui propose la blackette au bout d’un petit moment.

Du coup, Louis est dépité.

– T’inquiète pas mon grand, on pourra s’amuser tout à l’heure mais pour l’instant on reste entre filles, alors t’attends ton tour, d’accord ?

Alors il s’éloigne un peu s’approche du couple formé par Betty et Mamadou.

– T’as vu comme elle me suce bien, ta copine ! Ça te plait de nous regarder ! Te gêne pas ? T’avais déjà vu une bite de black ?
– Euh…
– Elle te plaît !
– Elle est belle !
– Tu veux la sucer !
– Non, non !
– Tu as tort, intervient Betty lâchant un instant sa proie, elle est délicieuse !
– Non, non !
– Essaie, quoi ! Tu ne vas tout de même pas te dégonfler ! Allez baisse-toi et ouvre la bouche !

Et comme dans un rêve Louis obéit et commence à sucer la queue de Mamadou. La bite va maintenant d’une bouche à l’autre, de Betty à Louis et de Louis à Betty.

Kévin et Jack font banquette chacun de leur côté et avec des dispositions d’esprit bien différentes.

Jack se rend bien compte que le leadership qu’il exerçait sur son groupe de gothiques est en train de se dissoudre comme neige au soleil, et se demande ce qu’il convient de faire. De plus, bien qu’il prône la liberté sexuelle, il n’aime pas voir Prune, qui est sa petite amie attitrée, fricoter avec d’autres partenaires. Alors il s’approche du canapé où les deux filles se donnent du plaisir et commence à flatter les fesses de sa copine.

– Laisse-nous tranquille, tu vois bien qu’on est occupée, lui lance cette dernière.

Dépité, il s’en va bouder.

Kévin a une toute autre préoccupation, il a flashé sur le corps délicieusement chocolaté de Mylène. Le coup de foudre ! Un vrai coup de foudre ! Mais comment gérer ça d’autant que rien n’indique que ce soit réciproque.

Du bruit dans l’escalier, c’est Fulbert et Lucette qui redescendent, l’affaire n’ayant pas traînée.

– Mais c’est l’orgie, là-dedans ! Constate la jeune fille, l’air faussement choquée.
– Ça va ? Lui demande Kévin, histoire de dire quelque chose.
– Super ! Ce mec m’a super bien enculé, et sa bonne bite de black elle était super bonne… Dommage que ça n’a pas duré longtemps. Et tu fais quoi, toi ?
– Je regarde !
– Ah bon !

Et la jeune femme s’en alla rejoindre Betty et Louis toujours occupés à sucer en duo la bite de Mamadou. Lucette se dit d’abord que s’il y en avait pour deux, il pouvait aussi bien y en avoir pour trois, mais se rendit compte qu’elle gênait un peu, alors elle passa derrière l’homme, lui écarta les fesses, et commença à lui lécher le fion, puis elle lui introduit un doigt dans le fondement, avant de le faire aller et venir. Cette privauté avait l’air de satisfaire notre homme qui en frétillait des fesses. Dame ! Deux langues devant, une langue derrière, on ne lui avait jamais fait tout cela en même temps à Mamadou.

– On fait une petite pause ! Quémanda-t-il sentant la jouissance monter.

Le petit groupe se disloque mais reste en place. Betty n’en peut plus d’admirer cette belle bite dressée comme un piquet et luisante de salive.

– Elle est trop bonne ta bite ! Ne peut-elle s’empêcher de commenter.
– Bien sûr qu’elle est bonne ! Répond Mamadou, pas modeste pour un sou. Qui c’est qui la veut dans son cul ?
– Moi, moi ! Répond Betty
– Non, moi d’abord ! intervient Lucette.
– On va tirer au sort ! Propose Mamadou, je vous donne une pièce, vous la lancez si elle tombe du côté face vous êtes éliminé…
– Hé, moi je ne joue pas ! Proteste Louis !
– Mais si tu joues ! Lui dit Betty
– Non, non !
– Tu ne vas pas te dégonfler ! Insiste Lucette.

On lance les pièces, Lucette est éliminée, un pile ou face classique départage ensuite Betty et Louis… et c’est Louis qui s’y colle, les lecteurs l’avaient bien évidemment deviné, bande de petits pervers !

Louis voudrait bien se défiler, mais ne sait pas trop comment faire.

– On essaie mais si je te dis d’arrêter, tu arrêtes !
– Mais oui, commence par enlever ton pantalon, ce sera plus pratique pour t’enculer !

Pas trop rassuré, Louis s’exécute.

– Whah, regardez-moi ces jolies petites miches, tu ne vas pas me dire qu’avec un cul comme ça, tu ne t’étais jamais fait enculer ?
– Ben…
– D’accord, tu n’oses pas le dire, c’est pas grave ! Mais il faut pas avoir honte, moi aussi je me fais enculer, c’est bon tu sais ! Allez cambre-toi bien ! Ce joli cul tout blanc il faut que je lèche.

Et Mamadou se met à lui lécher le trou du cul avec tant de fougue que l’anus finit par s’entrouvrir, du coup il y fait glisser un doigt, puis un deuxième et agite tout ça en cadence.

– Bon, on va passer aux choses sérieuses ! Si quelqu’un avait une capote ? Et il faudrait du gel aussi ?

On lui file une capote, le gel se fait attendre mais Betty revient rapidement de la cuisine avec une bouteille d’huile d’olive expliquant que ça devrait faire l’affaire.

Ça a un peu de mal à entrer mais ça finit par le faire. Mamadou d’un coup sec pénètre à fond, Louis rouspète :

– Arrête, ça me fait mal !
– Je ne bouge plus, ça ne peut pas faire mal !
– Oui, ben retire toi !
– Cool mon gars, laisse-toi aller, on va faire ça gentiment !
– Ça me plait pas trop !
– Faites le taire, les filles, je n’arrive pas à me concentrer..

Betty se place alors devant son camarade et lui offre sa chatte à lécher. Lucette, elle, a l’idée de passer derrière Mamadou et de lui doigter le trou du cul comme elle l’avait déjà fait il y a quelques instants..

– Oh, je sens quelque chose dans mon cul ! Qu’est-ce que c’est ?
– C’est un petit lutin qui t’encule !

L’air de rien Louis s’accoutume fort bien de cette sodomie qui lui provoque maintenant des frissons de plaisir. A ce point que quand Mamadou décule, il se dit qu’il aurait aimé qu’il continue un petit peu.

Betty pensant que son tour est venu passe une capote à Mamadou afin qu’il en change.

– Désolé les filles, mais on va attendre un peu, là je vais exploser.
– Arrose-moi ! lui demande Betty

Prestement il retire le préservatif, puis quelques mouvements de branlette ont tôt fait de lui faire juter la bite. Betty et Lucette en reçoivent plein la tronche, et les deux cochonnes se lèchent mutuellement le visage en se régalant.

– Faut que je fasse pipi ! Indique l’homme.
– Les toilettes c’est là-bas… répond Lucette.
– Vous voulez pas que je vous pisse dessus, les filles ?
– Non mais ça va pas ! Répond la fille !
– Si, moi je veux bien ! Intervient Betty. Reste à côté de moi Lucette, tu vas voir, c’est rigolo !

Un joli jet doré commencé à fuser de la belle bite de Mamadou, il arrose les seins de Betty qui s’en badigeonne allégrement, Lucette se prend au jeu en rigolant.

– Tu veux gouter ? propose l’homme !
– Juste une goutte ! Répond Betty en ouvrant une large bouche.

Elle en avale un peu.

– Humm, c’est pas mauvais tout ça ! Encore un peu.

Lucette regarde sa camarade de jeu avec un air effarée.

– Ça a quel goût ? demande-t-elle.
– Ben essaie tu verras bien !
– Pas envie !
– Eh ben, embrasse-moi !

Lucette ne réalisa qu’au dernier moment que Betty avait encore plein de pisse dans la bouche..

– Pouah ! Qu’est-ce que tu me fais faire ?
– C’est spécial, hein ?
– C’est dégoutant !
– Embrasse-moi encore !
– T’es vraiment ravagée !
– Allez !

Poussé par on ne sait quel démon, Lucette accepta ce second baiser.

– Je vais devenir aussi salope que toi !
– On ne fait de mal à personne, on s’amuse. Tu ne peux pas nous faire encore deux ou trois petites gouttes, Mamadou ?
– Non, c’est fini, j’avais une grosse envie !
– Suce lui la bite ! Suggéra Betty à Lucette, elle doit avoir encore le goût de son pipi.
– Tu crois que je ne serais pas cap’ ?

Et Lucette étonna sa copine en venant lécher le joli membre qui du coup reprit un peu de sa raideur.

Sur le canapé, Prune et Mylène m’en peuvent plus de se brouter le minou et de se fourrer les doigts dans tous les trous. On ne saurait dire combien de fois, elle se sont fait jouir… Beaucoup de fois !

Maintenant elles sont un peu fatiguées, elles restent là toutes les deux assises sur le canapé en se caressant négligemment les cuisses.

Kévin pensant qu’il y a là une opportunité s’approche en faisant un sourire idiot. Mais il est devancé par Louis.

Mylène se souvient alors qu’elle a fait une promesse au jeune homme. Ça ne lui dit pas grand-chose, mais la jeune femme n’aime pas se déjuger.

– Viens me baiser ! Lui dit-elle.

L’affaire fut vite expédiée, après une brève pipe, Mylène s’étala sur le dos sur le canapé, ouvrit ses cuisses et laissa Louis la prendre, il jouit rapidement et l’antillaise pensa qu’il serait bien diplomate de simuler.

Prune toujours complètement débraillée s’était levée du canapé pour laisser la place au baiseur, elle se retrouve nez à nez avec Fulbert, le congolais.

– T’es canon, toi ! Lui dit-il
– Ah tu trouves ?
– Tu veux me sucer ?
– Pourquoi pas, déballe-moi un peu tout ça. Je vais te montrer ce que je sais faire avec ma bouche.

Ça va très vite, le pantalon dégringole sur les chevilles, immédiatement suivi du caleçon, Prune effectue une légère flexion des genoux, et hop, la bite est dans la bouche et devient toute raide.

– Whah ! Tu suces trop bien, toi !
– Humpf, humpf !
– Ne parles pas, continue !

Prune se régale, ne se contentant pas de pomper ce bel organe, mais œuvrant de la langue, la faisant aller partout, du gland à la verge et de la verge aux couilles.

– Tu voudrais que je t’encule !
– Oui, oui !
– En levrette ?
– Non je veux te voir, viens !

Le canapé étant devenu libre, elle s’y couche et relève bien les jambes laissant ainsi l’accès à son anus.

La chatte de la fille étant trempée, Fulbert se sert de la mouille pour lui lubrifier le trou de balle, puis la pilonne en bonne cadence.

Courroucé de voir ainsi sa dulcinée se faire ainsi sodomiser à quelques mètres de ces yeux, Jack s’approche du couple, blanc comme un linge.

– Salope, grosse truie, morue, putain ! Dit-il à l’adresse de sa copine.
– Oui et alors ? Répond la jeune fille, tandis que Fulbert lui jette un regard noir.
– Elle ne fait rien de mal, va t’assoir mon gars,

C’est ce qu’il fit ! Il n’allait tout de même pas se frotter physiquement à Fulbert, il n’aurait pas fait le poids.

Betty et Lucette jouèrent de la langue afin de redonner bonne vigueur à la bite de Mamadou.

Soudain Lucette murmure quelque chose à l’oreille de sa copine, elles sont très complices, alors d’un mouvement bien coordonné, elles se retournent l’une à côté de l’autre et se cambre le croupion.

– Whah ! Quel spectacle ! S’écrie Mamadou !
– On te laisse choisir, l’une ou l’autre ou l’une après l’autre, c’est comme tu le sens, c’est toi le chef ! Lui dit Lucette.

Et comme, dit-on les hommes préfèrent les blondes, c’est Betty qui subit les assauts du jeune black le laissant complètement épuisé tandis que les deux femmes tombaient dans les bras l’une de l’autre.

Kévin dépité d’être laissé pour compte, quitta la pièce et s’enferma dans une des chambres du premier étage.

« Un jour je ferais l’amour avec Mylène ! Mais quand ? Et à quelle occasion ? »

Mylène s’est relevée en quête d’un verre d’eau. Tout le monde est plus ou moins crevé après cette orgie sauf Jack toujours habillé en Dracula.

Oh ! Ce serait mensonge de dire que le spectacle ne l’a pas quelque part excité, mais il en presque honte. Mais surtout il n’a pas eu l’occasion de trouver sa place, en ce moment, il n’est plus le leader d’une mini secte d’allumés, mais un paumé habillé pour le carnaval et humilié par sa désormais ex-petite copine.

– Ben mon grand ! Lui dit Mylène, pourquoi tu ne t’es pas amusé avec nous !
– Je ne sais pas, je suis fatigué !
– Fallait le dire, je t’aurais fait un massage ! Tu voudrais un massage, là, maintenant ?
– Non, merci !
– Imagine ! T’es tout nu et moi aussi, on se badigeonne avec de l’huile, je glisse sur ton corps, tu sens mes seins, je coince ta bite entre mes gros nichons. Ça ne te fait bander ce que je raconte ?

Et tout en disant ça, sa main s’en va vérifier l’entrejambe de l’homme. Bien sûr qu’il bande. Elle va pour lui extirper la bite de la braguette.

– Non pas aujourd’hui ! Dit-il en se levant.

Il le regrette, mais il préfère adopter l’attitude de l’homme « digne » au-dessus de tout ça !

« Si je me fais masser par cette pute, je me mets un peu plus à leur niveau, alors non ! »

Et c’est donc la veuve poignet qui le soulagera dans l’intimité des toilettes.

Tout le monde est un peu épuisé, on se rafraîchit, on boit des bières, on grignote, on discute.

Mais rapidement Mylène se rend compte que le groupe de gothiques, quoi que dans l’ensemble plutôt sympathique appartient à un autre monde, celui des fils à papa de la moyenne bourgeoisie de province, du coup passé les conversations à base de supputations sur l’origine et les conséquences du fléau, et les propos en dessous de la ceinture, ils n’ont pas grand-chose en commun. Et puis l’attitude de Jack qui ne participe à la conversation que par monosyllabes finit par devenir pesante.

– On va vous laisser ! Dit Mylène au bout d’un moment, on squatte au bout de la rue, là où il y a la porte orange.

Personne ne le montre, mais cette décision est accueillie avec un certain soulagement par les « gothiques » à l’exception de Kévin qui en pince pas mal pour la belle Mylène.

– On se tient mutuellement au courant s’il y a du nouveau….
– Tu as oublié ta culotte, lui dit Kévin
– Garde là, ça te fera un souvenir.

Du coup le visage de Kévin s’illumine de bonheur ! Il ne faut pas grand-chose, parfois !

Dans le pavillon à la porte orange, Rochedoux les attendait. Mylène l’invectiva :

– Tu fais quoi, toi ? Tu glandes pendant que nous on prend tous les risques.
– Je ne suis pas non plus obligé de vous suivre comme un toutou, je ne suis peut-être plus votre chef, mais toi tu n’es pas chef non plus !
– Bon, alors je vais te dire, il y a entre nous comme une incompatibilité. Alors tu vas dégager, tu t’installes où tu veux, c’est pas les pavillons qui manquent, mais tu ne restes pas dans nos pattes.
– Tu te prends pour qui ?
– Tu veux qu’on vote ?
– C’est du racisme !
– Et ta sœur ?

Rochedoux ramassa ses quelques affaires et se dirigea vers la porte.

– Vous pourriez au moins me dire comment ça s’est passé là-bas ?
– T’avais qu’à rester avec nous, comme ça tu serais au courant.
– Conasse !

Les deux groupes s’organisaient pour survivre, ils se rendirent ensemble dans un supermarché où ils récupérèrent des conserves, des bougies et des torches électriques, mais aussi des pâtes et du riz qu’ils pourraient faire cuire avec un camping-gaz, des produits de toilette et des préservatifs. Mylène en profita pour faire une provision de petites culottes et de quelques petits hauts qui allaient bien.

Mylène mit au courant les « gothiques » de l’existence de Rochedoux

– Il faisait partie de notre groupe, mais on a eu des grosses divergences. Il est plus con que méchant !

Rochedoux, lui s’était installé dans le pavillon d’un grand lecteur, presque à l’entrée du village, et peu loin de celui des « gothiques ». Il passait son temps à lire et à déambuler en ville. Il trouva un vélo, c’est bien pratique pour faire les courses.

Il ne se passa pas grand-chose pendant quelques jours. Personne ne percevait de symptômes inquiétants et aucun avion ne se décidait à survoler la région.

Kévin prit l’initiative d’aller saluer Mylène, celle-ci l’accueillit avec bonne humeur de même que ses compagnons, mais il aurait souhaité que la rencontre débouche sur un trip sexuel, c’est ce qui se passa, mais pas exactement comme il l’avait projeté.

Il fallait un prétexte, il fit dans le classique et cueillit quelques fleurs qui poussaient dans les jardins.

– Bonjour ! Mylène est là !
– Oui entre ! Tu veux un café ?

Mylène arriva, les deux jeunes gens s’embrassèrent chastement.

– Qu’est ce qui t’amène, mon grand ?
– J’ai trouvé des fleurs, je voulais te les offrir, c’est idiot, non ?
– Mais non, c’est gentil.
– En fait c’est un prétexte, je voulais te dire un truc, mais bon tu vas me prendre pour une andouille, c’est pas facile à dire, mais il faut que je te dise !
– Oh, là là, ce n’est pas grave j’espère !
– La première fois qu’on s’est rencontré, nos deux groupes… ça a tourné à l’orgie…
– Eh alors, on s’est bien amusé, non ?
– Pas moi, je n’ai rien fait !
– Et c’est quoi le problème ?
– Quand je t’ai vu toute nue, si belle, si désirable…
– Oh là là !
– Je n’ai eu qu’une envie, faire l’amour avec toi… Mais l’enchainement des événements a fait que ça ne s’est pas fait.
– Ce sont des choses qui arrivent, on aura sans doute une autre occasion, si on ne crève pas tous avant.

Moment de silence gêné ! Kévin ne se voit pas lui demander comme ça de but en blanc de faire l’amour avec lui d’autant que la jeune femme n’a pas l’air disposé à faire le premier pas.

« Bon, j’aurais essayé ! Tant pis pour moi !  » Se dit-il in petto

Il but néanmoins son café avec une lenteur calculée espérant bien qu’il se passerait quelque chose.

A suivre

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4 réponses à Les survivants de la fin du monde 7 – Orgie en black and white par Léna Van Eyck

  1. Peggy dit :

    Le festival des bites !

  2. Werber dit :

    Imaginez le thème d’un concours d’histoire érotiques : « Décrivez une rencontre ente des gothiques et des frigos ! » Je dois dire qu’ici le résultat est étonnant !

  3. Stablinski dit :

    Ah, si les gens étaient aussi décontracté que dans ces récits, qu’est-ce qu’on vivrait mieux !

  4. Darrigade dit :

    Ben, il y en a du monde, habituellement les grosses partouzes c’est en fin de récit quand on s’est habitué au perosnages, là on se sent aussi mélangé que les participants, mais l’érectomètre fonctionne bien

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