Les libertins du Cantal 2 – Les locataires par Enzo_Cagliari

 

Les libertins du Cantal
2 – Les locataires
par Enzo

Le lendemain matin, je me réveillais assez tard, je descendis en cuisine, n’y trouvait personne. J’effectuais un petit tour dans la maison, René devait être parti vaquer à ses occupations, Florence n’était nulle part et Dominique comme à son habitude devait ronfler comme un loir.

Je me fais un café, regarde la pendule, déjà 10 heures, un bruit de moteur, je jette un coup d’œil, c’est Florence qui revient de je ne sais où. Elle me fait un bisou rapide, n’a pas l’air de bon poil.

– Je viens de recevoir un coup de fil, je devais avoir des locataires pour la petite dépendance du fond, et ces conards se sont décommandés au dernier moment. Je vais garder les arrhes, mais ça va nous faire une perte… parce que repasser une annonce maintenant, il est trop tard.
– Pourquoi tu ne passerais pas une annonce sur un site libertin, je ne sais pas moi, « couple bisexuel hébergerait couple ayant les mêmes tendances… »
– N’importe quoi… Quoi que… on peut toujours essayer… bougonne-t-elle avant de me laisser en plan.

Et à midi, la voilà toute rayonnante qui m’annonce :

– J’ai eu quatre réponses à mon annonce, la quatrième ce sont des gens de Dijon, ils seront là en fin d’après-midi… Tu as eu une bonne idée, ça mérite un câlin, sors ton zizi je vais te faire une bonne pipe.

La sonnerie du téléphone portable de Florence mit malheureusement à mal cette intéressante initiative. Et tandis qu’elle s’en allait converser dans la salle à manger, j’allais ranger ma bite quand Dominique descendant du premier pénétra dans la cuisine.

– Ben qu’est-ce que tu fais la bite à l’air ?

– Florence voulait me sucer, elle a eu un contretemps.
– C’est pas grave, je vais la remplacer.

Et joignant le geste à la parole, ce ravissant jeune homme se penche vers ma virilité et la met dans sa bouche. Je ne tarde pas à bander pour ce bon, ce qui lui permet de soigner sa fellation… Qu’est-ce qu’il suce bien, je suis aux anges.

– Voilà, on s’absente cinq minutes et c’est l’orgie dans la cuisine ! Plaisante Florence en revenant. Dommage que je doive m’absenter un bon moment ! A tout à l’heure, amusez-vous bien, ne m’attendez pas pour le déjeuner.

Dominique s’est hélas relevé,

– A ton tour de me sucer ! Me demande-t-il

OK, ce n’est pas une corvée. Me voilà donc en train de sucer la très belle queue de Dominique. Elle raidit bientôt sous ma langue gourmande, et je me régale, mais il me fait signe d’arrêter et me propose :

– Tu veux que je t’encule ?
– Bien sûr !

Il a l’air étonné de ma réponse rapide, c’est vrai que j’y ai eu droit trois fois hier, et que c’était nouveau, mais j’ai apprécié, j’ai bien le droit, non ? Je m’arcboute contre le plan de travail de la cuisine et tends mon cul en le faisant dodeliner. Dominique ouvre tous les tiroirs les uns après les autres, je comprends qu’il cherche des préservatifs, il s’énerve, n’en trouve pas et part en chercher ailleurs… J’ai l’air fin tout seul dans la cuisine en train de tortiller du cul.

Il revient.

– Recommence à faire bouger ton petit cul, ça m’excite !

Il me tartine d’un peu de gel, et devant estimer que l’endroit est désormais habitué, me pénètre sans trop d’attention.

– Aie !
– Je t’ai fait mal !
– Un petit peu !
– Là, ça va ?
– Oui, ça va aller, vas-y doucement.

Ce mec a une bonne mentalité, il est très impulsif, parfois, il faut le freiner, le remettre à sa place, mais il n’est pas buté du tout et accepte volontiers les critiques, Il y va délicatement et me sodomise comme un dieu, en prenant son temps. Il finit par jouir et cherche ma bouche pour me rouler un patin. Dans mes relations avec les hommes c’est peut-être aujourd’hui le geste qui me plait le moi, mais je sens que vais m’habituer.

Ma queue est raide et je n’ai pas joui. Va-t-on inverser les rôles ? Je me souviens que Dominique m’a dit qu’il préférait les attitudes passives quand il se travestissait… Il m’attrape la queue, toujours revêtue du préservatif, me la tripote un peu. Je me laisse branler, après tout pourquoi ne pas jouir comme ça ? Quelques minutes après le préservatif se remplissait de ma semence, et nous nous embrassions de nouveau.

– Je vais en ville à pied chercher des trucs, tu viens avec moi ?
– Ben, il faut quand même que je bosse, il faut que je coupe du bois…

Je cherche de quoi me faire un sandwich et je monte travailler dans ma chambre.

Vers 16 heures, Florence tape à ma porte.

– Thibault, nos locataires seront là d’ici une heure. Comme René est pris en ville et ne rentreras pas de suite, je voudrais que tu sois à mes côtés pour les accueillir.
– Pas de problème.

Pas de proposition sexuelle ou de geste équivoque cette fois-ci… il n’y a pas que le sexe dans la vie…

Vers 17 h 30 une voiture pénètre dans la cour, je descends rejoindre Florence qui accueille les nouveaux venus : Bertrand a la trentaine, pas très grand, binoclard, dégarni et petite moustache, pas un play-boy, mais une bonne bouille quand même. Sophie a la même tranche d’âge, plus grande que son compagnon, sans doute une vraie rouquine, visage agréable avec des taches de rousseurs et de beaux yeux bleus, mais coiffée un peu n’importe comment avec des barrettes.

On se serre les mains, les deux zigotos nous dévisagent. Normal ils veulent savoir où est-ce qu’ils mettent les pieds. Florence me présente comme étant l’un de ses neveux. On les aide à décharger la bagnole, puis on les accompagne à la petite dépendance qui est de l’autre côté de la cour, on leur fait le petit topo d’usage sur les commodités, les formalités…

– Ah ! Il faut que je vous prévienne d’un petit truc, j’avais complètement oublié de vous brancher l’eau chaude, je viens juste de le faire… mais pour vous dédommager je vous ferais cadeau d’une demi-journée…
– Oh, ce n’est pas la peine ! Coupe Sophie.
– Si, si, il faut être régulier en affaires… cela dit si vous voulez prendre une douche vous pouvez profiter de la nôtre, cela ne nous gêne pas du tout…
– Je vais peut-être accepter ! Répond Sophie, le voyage m’a crevé, j’ai des courbatures partout… Et toi Bertrand ?
– Moi, ça va… mais on peut faire comme ça, va prendre ta douche, pendant ce temps-là je vais un peu déballer les valises…
– OK, je vous emmène alors ? Propose Florence.
– Le temps de prendre des affaires de rechange et je vous suis.
– Ah ! Reprend Florence, si vous en êtes d’accord, la maison vous offre un apéritif de bienvenue à 19 heures, nous pourrons ainsi faire mieux connaissance.

Ils sont d’accord.

Je reste dans la salle à manger pendant que Sophie prend sa douche. Elle ne s’y éternise pas et réapparait au bout d’un quart d’heure, vêtue d’un bermuda et d’un joli petit débardeur, la tignasse enroulée dans une serviette.

– Alors, ça fait du bien ? Dit Florence histoire de dire quelque chose d’intelligent.
– Oui, mais j’ai toujours mes courbatures… mais bon, c’est pas grave, après une bonne nuit, ça ira mieux…
– C’est un massage qu’il vous faudrait, je peux vous masser si vous voulez, je sais faire.
– Ah, ben pourquoi pas ?
– Couchez-vous sur le canapé, pendant ce temps-là je vais chercher les produits.

La femme s’installe sans rien retirer de ses vêtements. A son retour Florence lui propose :

– Faudrait peut-être enlever au moins le haut.
– Juste le tirer, peut-être ? Objecte-t-elle
– C’est comme vous voulez, mais ça va me gêner pour masser les épaules.

Elle enlève son truc tout en restant couchée… Pour quelqu’un qui vient de répondre à une annonce échangiste et bisexuelle, cet excès de pudeur ne manque pas d’être insolite.

Je me suis mis en retrait pour ne pas que ma présence gène Sophie. Florence masse la rousse avec application, l’autre à l’air d’apprécier.

– Vous faites ça très bien, ça me fait un bien fou !
– Et comme ça ? Demande Florence en lui parcourant la peau du bout de ses doigts.
– Oh, Oh, là là ! Arrêtez, ce n’est plus du massage ça !
– Ce n’est plus du massage, mais ça détend, vous voulez vraiment que j’arrête…
– Euh… non…
– On va peut-être enlever ce bermuda, je ne vous ai pas massé les fesses… Vous aimez qu’on vous masse les fesses ?
– Oui, oui, massez-moi les fesses !

Florence lui pétrit les fesses, les tapote du plat des doigts, les triture, les malaxe. Consciemment ou pas Sophie a écarté ses jambes permettant à la masseuse d’accéder à ses parties intimes.

– Ben dites-donc cher amie, on dirait que ça vous fais de l’effet ! Commente Florence en constatant que l’endroit commence à être bien mouillé.
– Je crois que vous avez fait ce qu’il fallait pour ça. Je suis toute mouillée.
– Je crois que nous allons bien nous entendre, chère Sophie… tournez-vous donc, je m’en voudrais de vous laisser dans cet état.

Ah, ce moment-là, Florence feint de découvrir ma présence :

– Thibault, peux-tu nous laisser entre femmes quelques instants, s’il te plait… Ah, moins que vous ne souhaitiez qu’il reste, chère Sophie.

Elle semble hésiter.

– On va en rester là pour le moment, ça m’embête d’aller trop loin sans que mon mari soit là…
– Tu es vraiment sûre, ma bibiche ? Répond Florence en lui explorant la chatte.
– Non, je ne suis pas sûre…
– Qu’est ce qui te ferait plaisir, tu penses à quoi en ce moment ?
– Je peux me lâcher !
– Bien sûr !
– J’aimerais bien sucer la bite de ton neveu pendant que tu me lèches la chatte !

Vite avant qu’elle ne change d’avis. Florence et moi sans aucune concertation nous retrouvons à poil, et j’offre ma virilité à cette énigmatique rousse. Elle suce bien, mais l’affaire ne dure pas longtemps, succombant sous les coups de langue de Florence elle pousse un hurlement et retombe comme une chique molle sur le canapé. Elle est mouillée de tous ces sucs et pas seulement de transpiration.

– Si vous voulez reprendre une douche, lui propose Florence.
– Oui, mais je vais d’abord rejoindre mon mari, il doit s’inquiéter… à tout à l’heure. Ah, il faut que je vous dise, mon mari, la bisexualité c’est un fantasme, il ne l’a jamais fait, mais il est prêt à franchir le pas, c’est une question d’ambiance… mais bon si ça ne le fait pas tout de suite, ne lui en voulez pas, il faudra peut-être plusieurs tentatives.
– Ne vous inquiétez pas, au contraire faire découvrir des plaisirs nouveaux à quelqu’un c’est très excitant. Mais dites-moi, son fantasme c’est juste sucer, ou aller plus loin.
– Il n’est pas contre la sodo, on a des godes à la maison, et on s’en sert tous les deux… Allez, j’y vais…
– Tu me finis ? Demandais-je à Flo.
– Pas question, la Sophie, je la veux dans mon plumard ce soir, avec ou sans René. Quant à toi et Dominique vous allez me baiser Bertrand, devant moi, ça va m’exciter un maximum. Au fait il est rentré, Dominique ?
– Oui, il est allé couper du bois près des grottes, je vais aller le prévenir qu’il soit prêt pour 19 heures.
– Quand tu lui auras expliqué de quoi il s’agit, je pense qu’il sera prêt sans problème.
– Tu vas t’habiller spécialement ? Lui demandais-je
– Non, je n’y pensais même pas, je pense qu’ils vont arriver « normalement »… et si ma foi, Sophie arrive en tenue sexy, je pourrais toujours aller me changer. Le plan c’est ça, je commence à chauffer Bertrand et quand il est bien excité, je vous fais entrer en jeu.
– Pas de problème.

Ces braves gens arrivent à 19 heures tapantes comme convenu, Bertrand en bermuda et polo de marque mais assez moche, Sophie en longue jupe de coton avec en haut un marcel noir assez quelconque qui lui découvre ses jolies épaules. Sur la table, une piquette locale qui permettra de faire du Kir, quelques autres bouteilles d’apéro, des jus de fruits, quelques biscuits apéritif concoctés par la maîtresse de maison… et plus insolite une belle assiette blanche un peu en retrait garnie de préservatifs et de dosettes de gel intime.

– Puis-je vous suggérez de vous placer sur ce canapé entre ces deux messieurs ! Indique Florence à Sophie. Et vous Bertrand venez donc près de moi… Voilà j’ai cuisiné un cake aux olives, et quelques autres bricoles, on ne mourra pas de faim… Je vous sers, vous prenez quoi, whisky, pastis…

Florence laisse passez le premier jet informel de la conversation, la météo, la région, la gastronomie locale, puis profitant d’un silence fortuit elle attaque :

– Et si vous nous disiez de quelle façon vous avez trouvé notre annonce ?

Les deux tourtereaux se regardent, puis Sophie répond :

– En fait, on a eu des problèmes familiaux cette année, ce qui fait qu’on avait rien prévu pour les vacances. Mais on n’allait pas passer trois semaines sans bouger non plus, on pensait au départ à se faire un petit week-end un peu coquin, on a cherché sur le net et on a trouvé votre formule, voilà c’est tout simple.
– Des petits week-ends coquins comme vous dites, vous en faites régulièrement ?
– Trois fois, non quatre fois… Reprend Sophie, Deux fois c’était pas mal du tout, avec un couple dont la femme était bi, les deux autres fois c’était assez décevant. On voudrait bien faire ce genre de rencontres plus souvent, mais on est vraiment dans une région paumée, et pour ce qui est de trouver des couples avec un mec bi, c’est la galère. Alors là, justement le fait d’être en vacances nous permettait d’aller plus loin.
– Très bien, nous allons essayer de ne pas vous décevoir, mon mari devrait rentrer tout à l’heure et se joindra à nous, et j’espère aussi que je pourrais vous présenter notre copine Claudine dans les prochains jours. Bon, j’enlève mon tee-shirt, il fait chaud ce soir.

Le soutien-gorge de Florence n’est pas vraiment ce qu’il y a de plus sexy, mais enfin, il n’est pas si mal et moule bien sa jolie poitrine. Le Bertrand reluque à la façon du loup de Tex Avery, c’était le but du jeu.

– Hummm, j’ai l’impression que Bertrand a envie de voir ma poitrine ?
– Ma foi, ça ne me déplairait pas !
– Je m’en doute bien, qu’est-ce qu’on fait Sophie, on lui fait plaisir, je lui montre ?
– C’est comme vous voulez, mais le pauvre va être tout excité ! Répond l’intéressée avec un petit air coquin.
– Et il faudra gérer son excitation, je suppose ?
– C’est exactement ça !
– Je crois que je saurais faire ! Conclut Florence. Allez Bertrand, dégrafez-moi ce machin.

L’autre n’hésite pas, mais tout énervé qu’il est, il doit se reprendre à trois fois pour soulever les agrafes.

– Alors, c’est comment ?
– Très joli :
– Touchez, je vous en donne la permission, vous pouvez même me l’embrasser.

Ah, ça, il n’hésite pas, le voilà en train de gober les nichons de Florence, amusant spectacle… mais voilà que la main de Sophie que je n’attendais pas si tôt arrive sur mon entrecuisse. Je l’encourage du regard, mais comme un con je viens de m’apercevoir que j’ai enfilé un bermuda sans braguette. Elle veut passer sa main par en haut mais c’est trop serré, et j’ai fait un nœud. Alors elle essaie de passer par la cuisse, mais ce n’est pas évident.

– Je vais l’enlever ce truc, dis-je en me levant.

Et j’enlève le calcif avec, me voilà la bite à l’air… et je n’ai pas le temps de me rasseoir que la Sophie me pompe pour la deuxième fois de la journée. Du coup Dominique se lève à son tour, dégage son organe et se place à mes côtés, réclamant son dû. La rouquine nous suce alors alternativement. J’hésite à lui demander de se déshabiller, après tout, ça se fera naturellement.

De l’autre côté de la table basse, Florence assise est en train de sucer Bertrand qui s’est relevé et n’en finit pas de lui peloter les seins. Le spectacle de sa femme en train de sucer des bites n’a pas l’air de lui déplaire. Florence s’en aperçoit et lance sa première tentative.

– Ça te plait de voir ta femme sucer des bonnes bites, hein ?
– C’est vraiment une belle salope !
– T’aimerais bien être à sa place, hein, rien qu’un peu pour voir ce que ça fait…

Pas de réponse.

– Viens on va regarder de plus près, ça va nous exciter, n’ai pas peur je vais continuer à m’occuper de toi ! Attends on va tirer un peu la table basse, aide-moi un petit peu… Voilà…

Les voilà tous les deux près de notre trio.

– Accroupis-toi près de moi !

Florence profite du moment où Sophie abandonne ma bite pour prendre en bouche celle de Dominique, pour me prodiguer quelques mouvements de fellation.

– Regarde comme elle est belle ! Dit-elle à Bertrand.

Il est fébrile, Bertrand, il sait où il a mis les pieds, il respire un grand coup.

– Je peux essayer ! Dit-il dans un souffle.

Mais déjà il a ma bite sans sa bouche. Bon c’est sa première pipe, c’est un peu mécanique tout ça et ça manque de technique et d’expérience, mais on va lui apprendre au Bertrand, on n’est pas vache.

– Alors c’est bon la bite ? Plaisante sa femme.
– Délicieux ! Je peux goûter celle-là aussi ? Répond-il en désignant le membre de Dominique.

Elle lui abandonne sa proie ! Et hop le Bertrand en est déjà à sa deuxième bite. Il passe de l’une à l’autre dans la plus grande confusion, puis se calme et conserve la mienne en bouche, ce qui permet à Sophie de sucer Dominique.

Florence est passée derrière Bertrand, et lui a fait glisser son bermuda.

– Oh ! Le joli petit cul ! Plaisante-t-elle.

J’essaie de me dégager de sa fellation, qu’il me fait plutôt mal, sans le vexer.

– Attend je vais te montrer quelque chose !

Je profite du fait que la bite de Dominique est de nouveau libre pour m’en emparer.

– Voilà, regarde bien les mouvements que je fais !

C’est pourtant pas difficile, comment j’ai fait moi, j’ai bien appris tout seul… question d’appétence peut-être, je ne vais pas lui faire un cours magistral non plus, mais lui montre comment je fais avec ma langue, et avec mes lèvres.

– Allez, fais comme moi ! Lui demandais-je en lui tendant ma bite.

Bon, ça va, il a compris, c’est nettement mieux, et pendant ce temps-là Florence lui lèche le trou de balle, tandis que Dominique prodigue la même caresse sur l’intimité arrière de Sophie.

Bientôt Florence remplace sa langue par son index et lui trifouille le fion. Du coup il a du mal à se concentrer sur sa fellation et m’abandonne la bite.

– T’aimes ça qu’on te tripote ton petit cul ? Hein ma salope !
– J’adore ça, continue !
– Sophie, elle te le fait souvent ?
– Oui, et elle me gode aussi !
– Et ce que tu voudrais c’est une vraie bite ? Une bonne bite pour ton cul de pédé ?
– Oui !
– Et bien tu vas même en avoir deux pour le prix d’une… Allez Thibault, encule-moi cette salope.
– Euh, déjà ?
– Bien sûr, tu en meurs d’envie !

Je lui tartine un peu l’anus avec du gel, je m’encapote… et allons-y la jeunesse, je rentre relativement facilement dans ce petit cul. Le voilà dépucelé, je vais et je viens, la situation m’excite. Sophie s’est rapprochée pour ne rien perdre du spectacle.

– Alors c’est bon ?
– Oui, il m’encule bien !
– Depuis le temps que tu voulais une bite dans le cul…
– Qu’est-ce que c’est bon !
– Prépare-toi tu prendras le relais ! Indique Florence à Dominique.

Je ne peux plus me contrôler, je vais jouir, je jouis dans la capote, Sophie se penche, que veut-elle faire ? Et puis soudain, je comprends, j’ai à peine sortie ma bite du cul de Bertrand, que la voilà qui me la met dans sa bouche et entreprend de nettoyer la capote… je n’ai pas eu le temps de regarder quel était son état, mais la dame à l’air de se régaler.

Après cet intermède, Dominique nique à son tour le Bertrand… je passe devant et m’occupe de sa bite que tout le monde a négligée jusqu’ici. Comme beaucoup d’hommes il a du mal à bander pendant la sodomie, mais mes caresses buccales réveillent un peu la bête. Plus loin, les deux femmes ont entamé un soixante-neuf d’enfer… Heureusement que la ferme est éloignée parce que dans quelques instants les cris de plaisirs vont fuser.

Ça ne rate pas, Sophie d’abord, puis Florence dans la foulée… Dominique décharge à son tour. Il n’y a donc que Bertrand qui n’est pas joui.

– Viens me prendre, ma salope ! Lui propose alors Florence en se positionnant en une levrette des plus suggestives.

Il n’hésite pas, s’encapote à la vitesse grand V et la besogne à qui-mieux-mieux, provoquant des jappements de plaisir de sa charmante monture.

– Encule-moi ! Finit-elle par dire.

Il ne se le fait pas dire deux fois, lui pénètre l’anus avec une facilité déconcertante, s’excite, s’énerve et finit par jouir dans un râle.

Dans un geste provocateur, Florence se retourne, et se met à lui lécher la queue toujours encapotée sans avoir trop vérifié dans quel état elle était ressortie de son cul. Ce doit être dans ses habitudes.

On est tous un peu crevés, on reste à poil à l’exception de Florence qui a remis son haut mais pas son soutien-gorge.

– Si vous voulez rester pour le repas, j’ai de quoi faire une super grosse omelette ! Propose-t-elle.
– Pourquoi pas ? Répond Sophie, T’as besoin d’aide ?

Les deux nanas partent en cuisine, nous voilà entre hommes. En fait on est un peu gênés, comme ça, tous les trois, la bite à l’air.

– On se ressert un apéro ? Propose Dominique.
– Plutôt un jus de fruit, ou même de l’eau ! Répond Bertrand, en fait j’ai vachement soif.

Dominique se lève pour nous servir du jus de pommes, il s’amuse à tortiller du cul. Je le soupçonne d’avoir envie de recommencer à faire des galipettes.

– Alors c’était bon ? Demande-t-il à l’adresse de Bertrand.
– Tu parles de quoi ? Du jus de fruit ou de mon dépucelage ?
– D’après toi ?
– J’ai un peu mal au cul, mais sinon c’était super.
– Et mon cul tu le trouves comment ? Demande Dominique.
– Il est joli !
– Touche-le si tu veux, j’ai envie de me faire caresser le cul.

L’autre accepte, il paraît un peu gêné, tout de même.

– Alors c’est doux ?
– Oui, c’est doux !

Mais la conviction n’y est pas trop. Un peu bizarre quand même d’autant qu’il n’a pas du tout l’air de regretter ce qu’on lui a fait… Mais peut-être après tout, le fait de toucher les fesses d’un homme ne l’intéresse-t-il pas ?

Dominique n’insiste pas et lui dit :

– Tiens j’ai une idée, je reviens dans dix minutes…

Je crois avoir compris ce qu’il est parti faire, mais je n’en dis mot, espérant que l’initiative plaira à Bertrand. En attendant nous voici tous les deux comme deux andouilles, je ne sais pas trop quoi lui dire… je lorgne vers sa queue.

– Elle est belle ! Enonçais-je.

Il me répond d’un petit sourire. J’y mets la main, il se laisse faire, je le branle, ça grossit vite, et le voilà qui bande, Du coup sa libido se réveille et il me touche la mienne. Petits moments de branlette mutuelle, il ne branle pas très bien, c’est trop rapide, mais peu importe ce que je veux c’est la sucer. Je me penche et hop, je la gobe. Là je me régale, depuis que je suis dans le Cantal, j’ai vraiment appris à aimer sucer les bites, je ne m’en lasse pas. J’alterne les grandes mises en bouches, les léchages de verge et les lapements sur le gland. Il est aux anges, le Bertrand.

– Tu suces bien ! Me confie-t-il

Ça fait toujours plaisir, je devais avoir un don caché…

– Tu ne voudrais pas essayer de m’enculer ? Lui demandais-je.
– On peut toujours essayer ! Qu’il me répond.

Je n’y croyais pas, je n’ose pas lui demander de me « préparer ». Dommage que sa femme soit en cuisine, elle aurait été directive. Je lui demande malgré tout de me mettre un peu de gel. Il se met la protection d’usage, je m’ouvre au maximum et ça rentre… non ça ripe… deuxième tentative, ça ripe encore, qu’est-ce qu’il se passe ? Allez une troisième fois.

– Je ne bande plus assez, s’excuse-t-il, mais on ressaiera, peut-être tout à l’heure.

Pas bien grave et voici que Dominique arrive :

– Salut les garçons !

C’est spectaculaire, c’est la seconde fois que je vois Dominique en fille. Visage maquillé avec application, y compris les yeux, petite perruque blonde frisée. Chemisier blanc très transparent laissant deviner un petit soutien-gorge à balconnet d’où émergent ses gros tétons. En bas une petite jupe noire, des bas résilles noirs et bien sûr des escarpins.

– Alors ? Demande-t-il en virevoltant devant Bertrand.
– Etonnant ! Répond ce dernier.
– Ça te tente ?
– Ça me trouble !
– Ça te trouble, mais est-ce que ça te tente ?
– Disons que je n’ai rien contre le fait de me laisser tenter…

Et sur ces entrefaites, les deux femmes reviennent de la cuisine. Sophie est marrante, elle a recouvert sa nudité d’un tablier, mais ses seins débordent, c’est assez cocasse.

– Oh ! Bonjour madame… mais c’est toi Dominique ?
– Oui, oui, c’est bien moi !
– Et ben, ça alors ! T’es mignon tout plein comme ça !
– Mignonne ! Il faut me parler au féminin quand je suis en fille.
– Ah ! Bon, ben c’est pas un problème, tu es une femme à bite alors ?
– Et tu aimerais faire des choses coquines avec une femme à bite ?
– Pourquoi pas ? Et toi Bertrand ?
– Ma foi, je ne dis pas non !

L’ambiance est chaude, Florence rigole et prend la parole :

– Je voulais vous annoncer que pour l’omelette on va la faire cuire un peu plus tard, on va attendre René, mon mari, il va arriver d’un moment à l’autre.
– Et il est prévenu de qui se passe ici ? S’inquiète Bertrand.
– Florence l’a chauffé au téléphone, à mon avis tu vas avoir droit à ta troisième bite dans pas très longtemps ! Répond Sophie.

Bon, qu’est-ce que je deviens dans toute cette affaire ? Manifestement notre couple de locataires a envie de se payer un délire avec Dominique et réciproquement. Il ne me serait sans doute pas opportun d’intervenir, mais il me reste Florence, heureusement…

Alors tandis que Sophie roule un patin à Dominique et que Bertrand fait tomber la robe de cette dernière dévoilant une jolie petite culotte rose et un porte-jarretelles assorti. Je chuchote à l’oreille de Florence.

– J’ai demandé à Bertrand de m’enculer, mais il n’y est pas arrivé, je suis en manque…
– Mon pauvre Biquet… et en plus je suppose que quand René va arriver c’est sur Bertrand qu’il va jeter son dévolu… ton petit trou du cul n’est pas près d’avoir de la visite.
– A moins que tu me prennes avec un gode ?
– Ah, oui, c’est une bonne idée, ça. Je vais chercher l’objet, j’ai un joli gode ceinture, je n’ai jamais eu l’occasion de te le montrer.

Les deux locataires asticotent Dominique qui se retrouve bientôt la bite à l’air. Une bite bien raide que Bertrand a prise en bouche, tandis que Sophie s’occupe du verso du travesti. Sa langue s’agite sur son œillet brun. Dominique se trémousse et fait sa folle :

– Oh, vas-y lèche-moi mon trou à merde, c’est trop bon. Minaude-t-il
– Oui, ben justement, on ne peut pas dire qu’il sente la rose ton trou du cul !
– Oh ! Alors arrête, j’ai du mal m’essuyer tout à l’heure, je suis désolé.
– Non, non, je finis toujours ce que j’ai commencé… et puis en fait ça ne me dérange pas tellement !
– Oh ! Quelle coquine tu fais, allez vas-y continue, nettoie-moi le troufignon puisque tu aimes ça !
– Bien sûr que j’aime ça, un jour, je te servirais de papier à cul…
– C’est vrai ! Cochonne, va !

Florence revient harnachée d’un gode ceinture, un machin noir assez gros. Du coup j’ai un peu la trouille que ça me fasse mal.

– C’est pas un peu gros ?
– Tais-toi, je ne voulais pas le sortir si tôt mais puisque tu me l’as demandé, tu vas l’avoir. Suce-le, salope !

Je me prends au jeu et je suce le gode en latex, m’imaginant qu’il s’agit d’un vrai. Pendant ce temps-là Sophie fait aller et venir un, puis deux doigts dans le fondement de Dominique. Elle les ressort au bout d’un moment, constate leur état et fait semblant de s’énerver.

– T’es vraiment dégueulasse, tu as vu dans quel état tu as mis mes doigts ?
– Ma pauvre bichette, je croyais que ça ne te dérangeais pas ?
– Tu ne crois quand même pas que je vais bouffer de l’omelette avec des doigts plein de merde ?
– N’exagérons rien, ils sont à peine pollués.
– Alors dans ce cas, ce ne devrait pas être une corvée pour toi de les nettoyer !

Bien joué ! Dominique lèche donc les doigts de Sophie sans problème apparent, puis tend son cul, invitant Bertrand à le pénétrer.

Miracle de la simultanéité, le gode de Florence s’enfonce dans mon cul en même temps que la bite de Bertrand dans le cul du travesti. On se fait bourrer en cadence, tandis que Sophie est partie s’astiquer la minouche sur le canapé en ne perdant rien du spectacle…

… Et c’est à ce moment-là que René rentre.

– Et bien il y a de l’ambiance ici, bonjour messieurs dames, moi c’est René, je suis le mari de Florence !
– Moi c’est Bertrand, se présente ce dernier. Permettez-moi de finir d’enculer votre neveu, ou votre nièce, je m’y perds, avant de vous rejoindre.
– Je vous en prie, faite comme chez vous, ce petit cul est délicieux, je l’ai souvent pratiqué, je ne m’en lasse pas.
– Ah, bon, vous enculez votre neveu ?
– Oui et il adore ça, et il suce bien aussi !
– Eh ben, quels cochons ! Moi, c’est Sophie, si voulez venir me rejoindre, ce ne sera pas de refus, toutes ces méchantes gens m’ont laissée seule et j’en suis réduite à me masturber toute seule.

Il y a des choses qu’il est inutile de dire deux fois à René. Il s’installe sur le canapé à côté de Sophie et commence à la peloter, puis il lui embrasse le bout des seins.

– Monsieur René ?
– Oui c’est moi !
– Vous n’avez pas de bite ?
– Pardon ?
– Je voulais savoir si vous avez une bite ? Répète-t-elle en mettant la main là où elle se trouve.
– Ben, vous voyez, vous l’avez trouvé !
– Sortez-moi ça que je la suce !
– Vos désirs sont des ordres…
– Oh le bel organe. C’est mon mari qui va être content !
– Votre mari suce des bites ? Demande hypocritement René qui bien sûr avait été mis au courant de tout ça téléphoniquement par son épouse.
– Il a sucé ses deux premières bites aujourd’hui ! Jamais deux sans trois n’est-ce pas ?
– D’accord c’est promis, je vais lui en garder un peu, mais en attendant occupez-vous de la mienne.
– Volontiers, mais si vous pouviez me dégager tout ça, j’aurais ainsi le plaisir de vous peloter les fesses tout en prodiguant ma fellation.

Tout le monde s’amuse bien, je me fais défoncer par le gros gode-ceinture de Florence. Heureusement l’objet est souple, il est souple mais il est gros. Et soudain il m’arrive un truc de dingue, du sperme se met à couler de mon sexe sans qu’il y ait eu d’éjaculation.

– C’est normal, c’est le frottement sur la prostate qui fait ça ! Me rassure Florence.

Je me repose un peu. Bertrand exténué et en sueur arrête de limer Dominique et s’affale sur une chaise à mes côtés, avant de se raviser en demandant l’autorisation de prendre une douche. Je lui montre où ça se passe mais je ne reste pas avec lui… On jouera à la savonnette un autre jour. Du coup c’est Dominique qui vient à mes côtés, il doit manquer d’affection car le voilà qui me roule une pelle. Je me laisse faire. Après tout il embrasse bien !

Sur le canapé, René est en train de prendre Sophie en levrette. Quant à Florence elle débarrasse la table…Je l’aide un peu… je commence à avoir faim.

Et voilà que Bertrand revient, tout beau tout propre, mais pas très sec.

– Je me suis permis de vous emprunter une serviette ! Commente-t-il

Il est un peu à l’ouest, on le voit bien qu’il a emprunté une serviette, il en est entouré.

– T’es pas beau comme ça ! Le taquine Florence en lui retirant la serviette, je te préfère à poil.

Elle lui tripote un peu la bite, il se laisse faire, bande assez vite, elle le suce un peu histoire de le chauffer.

– Venez donc par ici ! Lui demande René qui continue à besogner Sophie.

Il a compris le message, il s’avance, place sa queue à hauteur du visage de René afin que ce dernier puisse le prendre en bouche.

– On va changer, tu vas me sucer, et pendant ce temps-là je vais sucer Sophie. Propose René.

Le trio se met en place et tandis que René lèche le sexe de la jolie Sophie, Bertrand suce sa troisième bite de la journée en ne cachant pas son plaisir.

– Allez suce-moi bien, j’attends que Sophie jouisse et après je vais t’enculer !
– Humpf, Humpf ! Répond ce dernier, la bouche pleine.

Sophie finit par hurler, et s’affale comme une chique molle, à moitié groggy. Bertrand n’a même pas attendu qu’on le lui dise, il est déjà en levrette, attendant l’assaut… et tandis que Florence part enfin faire cuire l’omelette, René encule le locataire.

Dominique proteste

– Et moi, alors ? Depuis que Thibault est là tu ne m’encules plus !
– Gros jaloux, place-toi à côté de Bertrand, je vais vous enculer tous les deux.
– Merci tonton !

à suivre

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3 réponses à Les libertins du Cantal 2 – Les locataires par Enzo_Cagliari

  1. Orsini dit :

    Quant tout le monde s’encule
    Je regarde et mes fesses ondulent
    Car dans mon cul je veux de la pine
    qui en cadence folle, me lutine

  2. Sorenza dit :

    En voilà une bonne idée de vacances ! Une location pour couple échangiste (et bisexuel en plus !)
    Ça doit bien exoster en vrai, non ? Il n’y a pas de raison 😉

  3. Baruchel dit :

    Je n’avais pas vu qu’il y avait une suite (il y en a même deux !)
    J’avais manqué quelque chose, c’est très agréable à lire et quelle usine à fantasmes avec tous ces gens qui baisent dans tous les coins et par tous les orifices.

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