Les confessions de SlutBoy 1 – Piégé par ma femme par SlutBoy (Slut31)

– Souris mon chéri, tu es filmé!

Je manque de tomber de mon siège; je me retourne pour voir ma femme dans l’entrebâillement de la porte, pointant le caméscope sur moi. Quelle horreur, je n’ai jamais eu autant honte de ma vie! Je suis assis devant l’ordinateur de notre chambre, le pantalon de pyjama aux genoux et la veste ouverte, en train de me masturber d’une main pendant que l’autre pince le téton; à l’écran, il y a un homme, nu et ligoté, en train de se faire fouetter de toutes les façons imaginables par une maîtresse sadique qui l’insulte copieusement. Absorbé par mon fantasme, je n’ai rien entendu. Mais depuis quand …? Comme si elle avait lu dans mes pensées, elle me lance:

– J’ai pratiquement toute la scène, je pense que ce sera réussi.

Je fais mine de remonter mon pantalon pour cacher ce sexe tout ramolli mais elle me coupe net.

– Non, reste comme ça, tu es très bien; lève-toi que je puisse m’asseoir.

Je m’exécute, le pantalon tombe sur mes chevilles; calmement, elle me dit de croiser mes mains sur la tête et elle vient prendre ma place devant le PC.

– Alors, voyons un peu ce qui t’excites tant, dit-elle en lançant la première vidéo. Nous allons regarder ces films ensemble; je pense que la réaction de ton sexe sera un bon indicateur de tes goûts; tu n’as pas le droit de parler.

Bien sûr, mon sexe regonfle très vite au fur et à mesure que défilent les vidéos. Je suis rouge de honte, je suis moite et pourtant, au fond de moi, je me rends compte que je ressens un indéfinissable plaisir; après tout, je suis en train de vivre un fantasme en grandeur nature. Elle ne dit rien mais prend des notes.

Au bout d’une heure, mes bras me font mal à hurler et je laisse échapper un gémissement; elle se tourne vers moi et me dit:

– Mon pauvre chéri, tu dois commencer à fatiguer mais il va falloir t’habituer. Tiens, va me chercher mes mules à talons hauts ainsi qu’une de tes cravates et ton ceinturon noir; allez, va.

Je dois mettre ma cravate autour du cou en la laissant la plus longue possible pour qu’elle puisse servir de laisse; puis, à genoux, je lui tends la cravate en signe de soumission; elle m’attire vers elle, je lui retire ses mules pour la chausser de l’autre paire, pointue et avec un superbe talon aiguille. Une fois chaussée, elle se lève et tout en me tenant en laisse à quatre pattes, commence à faire le tour le tour de la chambre. Dans ma position, tout ce que je peux voir, ce sont ses chevilles coiffant l’aiguille des talons, ce qui me fait bander encore plus; j’ai l’impression que je vais exploser! Elle revient s’asseoir au bord du lit et me fait mettre à genoux devant elle, mains dans le dos; lentement, elle relève sa chemise de nuit en soie puis écarte les cuisses pour me laisser voir sa chatte, déjà luisante; visiblement, tout ceci lui fait aussi de l’effet. Toujours lentement, les jambes toujours bien écartées, elle se penche en arrière sur les coudes tout en relevant les cuisses, ce qui a pour effet de dévoiler son anus. Elle tire sur la cravate et amène ma tête devant son anus en disant simplement:

– Lèche, petit esclave !

Je ne me fais pas prier et me mets ardemment au travail; très vite, j’entends de petits gémissements qui me disent que je ne dois pas m’en sortir si mal que cela. Au bout d’un moment, elle m’amène jusqu’à sa chatte, que je me mets à lécher avec toujours beaucoup d’application et son plaisir monte encore d’un cran. Soudain, elle tire sur la cravate et m’écarte de son sexe; elle me tend un vibromasseur en disant seulement:

– Suce, salope !

Je suis tellement stupéfait de l’entendre me parler ainsi que je m’exécute sans rien dire. J’ai honte de sucer ce truc qui ressemble bien à un (beau) sexe d’homme mais en même temps, comme tout à l’heure, je ressens un frisson de plaisir me parcourir et mon sexe gonfle encore; là, c’est sûr, je vais exploser; je suis tenté de me caresser mais elle m’ordonne de recroiser les bras dans le dos. Elle m’ôte le vibro pour me le remettre en bouche, en marche et tourné vers elle; elle tire sur la laisse et me voilà, à genoux, en train de simuler un acte sexuel; j’en oublie ma honte et me laisse mener à son rythme. Très vite, trop vite, elle atteint un orgasme d’une puissance inconnue jusqu’alors; elle n’en finit pas de crier et de se contorsionner, tout en me maintenant la tête entre ses cuisses. Soudain, la laisse retombe et je peux contempler le superbe spectacle de sa chatte offerte, au moins à mon regard.

Je commence à me relever pour la pénétrer mais elle m’arrête net en me mettant la main sur l’épaule.

-Non, reste à genoux; tu vas prendre ton plaisir en esclave; après tout, c’est ce que tu avais en tête pour ce soir… Allez, vas-y, masturbe-toi !
– Mais, pas comme ça, pas devant …

La laisse se tend d’un seul coup, me coupant le souffle.

– Obéis, c’est ça ou rien !

Le regard est dur et le ton cassant; je me mets à me caresser, d’abord lentement puis de plus en plus vite; mes dernières inhibitions s’effacent et il ne reste plus que la promesse du plaisir que je suis autorisé à prendre, à genoux devant ma maîtresse adorée. Nous restons là, les yeux dans les yeux, afin qu’elle sache exactement où j’en suis dans la montée de plaisir; quand elle me sent prêt, elle force ma bouche ouverte, approche ses lèvres et me roule une pelle en m’enfonçant sa langue au fond de la gorge tout en me bloquant la tête de ses deux mains; après un baiser intense et trop court, elle éloigne ses lèvres et m’ordonne de garder la bouche ouverte. Etonné, je vois ses lèvres s’étirer vers l’avant puis s’ouvrir pour laisser s’écouler un filet de salive qu’elle laisse lentement couler entre mes lèvres; incapable de me retenir plus longtemps, je jouis avec une violence inouïe et mon sperme se répand sur le carrelage de la chambre. Tout à mon rôle d’esclave, sans attendre un ordre d’elle, je me mets à tout lécher. Elle me regarde faire, un petit sourire aux lèvres. Quand j’ai fini, elle me détache, m’autorise à me relever et me dit simplement:

– Va prendre une douche et au lit. Demain, tu travailles tôt

Lorsque je sors de la salle de bains, elle est déjà dans le lit et semble profondément endormie. Je me couche et épuisé comme je le suis, ne tarde pas à sombrer dans un sommeil profond, non sans m’inquiéter de la tournure qu’ont prise nos relations ce soir.

(À suivre)

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